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Soudage orbital[

dant lequel la torche de soudage tourne sans interruption à au moins 360° autour d’une pièce fixe
(composant cylindrique, tel qu’un tube).

Soudage laser
(LBW : Laser Beam Welding)
L'énergie est apportée sous forme d'un faisceau laser. Les sources laser peuvent être de type
CO2, Nd:YAG ou LED.
Principe du soudage laser
Un système optique concentre l'énergie du faisceau laser, (1 × 105 W/cm2 à 1 × 106 W/cm2) et
génère un capillaire rempli de vapeurs métalliques dont les parois sont tapissées de métal liquide
en fusion. Le bain de fusion ainsi créé est déplacé et le métal liquide se resolidifie après le
passage du faisceau assurant la continuité métallurgique entre les pièces.
Plusieurs études sont en cours sur ce procédé, notamment au Centre des technologies de
l'aluminium4 du CNRC (Canada).

Soudage plasma
Considéré comme une évolution du soudage TIG, il s'en distingue par le fait que l'arc est
contraint mécaniquement (constriction mécanique) ou pneumatiquement (constriction
pneumatique), générant ainsi une densité d'énergie supérieure. L'arc peut jaillir entre la tuyère et
l'électrode (arc non-transféré) ou entre la pièce et l'électrode (arc transféré) voire être semi-
transféré. Le soudage plasma peut être réalisé sans chanfrein sur un assemblage en bout à bout
d'un dixième de mm jusqu'à des épaisseurs de 8 mm. Dans ce cas, il nécessite très peu de métal
d'apport. Il est utilisé quasi exclusivement en mode automatisé (robot) et les vitesses de soudage
sont élevées (dizaines de cm par seconde). Cette méthode permet de souder à des températures
atteignant les 10 000 °C.
Il permet de souder les aciers « noirs », les aciers inoxydables et l'aluminium 5.

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