Le premier jour du reste de ta vie

Le film fait le portrait d´une famille française de cinq personnes : Marie-Jeanne et Robert Duval
sont les parents qui ont trois enfants : Albert, Raphaël et Fleur. L´action décrit la vie de cette
famille pendant douze années mais on fait attention aux cinq jours, cinq jours qui sont les plus
décisifs dans la vie de chacun d´eux, parce que après ce moment là rien ne sera jamais pareil.

À mon avis Le premier jour du reste de ta vie est un film qui raconte une autre fois l´histoire d´une
famille sans rien de neuf à dire. L´histoire et le portrait qui fait de la famille sont banales et les
personnages sont très simples : le bon étudiant autonome et mûre, le jeune qui ne pense qu´á s´amuser
et la adolescent rebelle qui est contre sa mère, un père qui travaille et une mère que profite que ses
enfants ont grandi pour faire ce que lui plaît et qu´elle n´a pas pu faire quand ses enfants étaient petits.
C´est sympa mais rien de nouveau.

Par contre, j´ai trouvé original la structure du scenario parce que le tournage de cinq jours décisifs dans
la vie de chacun des personnages a permis au réalisateur, d´une part, représenter comme même au sein
de la famille la plus unie cohabitent toujours des êtres très différents les uns des autres et comment les
uns déterminent les autres. Et d´autre part, cette structure lui a permis l´utilisation des différentes
techniques comme les flashs back, qui déplace le spectateur au passé pour mieux comprendre le
pressent ; ou les longues ellipses de temps qui laissent les spectateurs se imaginer ce qui a bien pu se
passer pendant ce temps.

C´est aussi intéressante le traitement de la musique, comme le reflet de la personnalité de chaque

personnage, et le jeu des acteurs, bien qu´ il soit un peu inégal parce qu´il y a des acteurs qui ont été
splendides, comme M.A. Groudin ou J. Gamblin, tandis que il y a d´autres qui sur jouent un peu, comme
Z. Breitman ou P. Marmai

Bref, C´est un film qu´on peu voir pour passer un moment de divertissement et de détente mais que ne
c´est pas grave si on ne le vois pas.

·········Por una parte, en cuanto a lo formal, el esquema de los cinco capítulos, uno por miembro de la
familia, me parece globalmente bien empleado, porque todos ellos recogen a todos los protagonistas,
aunque siguiendo a uno. Confieso no haber reparado, lo leo luego, en que la cámara se comporta de
manera muy diferente en cada uno de ellos. Quizás en algún momento ese capitulado fuerza que se deban
emplear recursos con un poco de falta de elegancia (como el flash back del hermano pequeño en su cama
sobre el concierto de air guitar; ¿no sucede que en lo que parece una ensoñación, un recuerdo, aparecen
momentos en que no está quien sueña/recuerda sino su padre solo, en la barra del local del concurso?),
pero en general creo que funciona muy bien.
··········También me parece muy buena la ambientación, porque pese a que el ámbito temporal no es muy
extenso, están bien definidas las modas, las músicas, a veces incluso las maneras de hablarse.

··········Pero no es sólo el buen oficio; me gustan ideas que, filmadas sin demasiado subrayado, me
parecen muy bonitas, muy cinematográficas, para contar cómo son las cosas: la llamada al recuerdo de
una película de vaqueros de potentes diálogos, contada de unos a otros (sí, nos contábamos las películas –
cuando aún teníamos memoria para eso-); la falsa recuperación en el sueño de un número telefónico; la
Resistencia como vía de aprendizaje del catado de vinos; la mirada de la niña a la muchacha antes
 de perder la virginidad y la sangre de después; el encontrar el aliento de un muerto en lo último que infló
y tapó. Conmigo esas cosas funcionan muy bien: me emocionan.
··········También me parece una buena mirada sobre esa familia, comprensiva en dos sentidos. Si a veces
puede ponerse demasiado melosa (¡esa cámara girando en torno a los felices comensales de la última
cena!), yo a esas alturas ya se lo perdono. Igual que algunas cosas ya demasiado usadas (el matemático
que muere en un duelo, o tocar fondo y seguir cavando).

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Bien que douze années de la vie d'une famille y soient évoquées, le récit du Premier jour du reste de
ta vie est concentré sur cinq jours. L'explication de ce choix avec Rémi Bezançon : "L'idée de filmer cinq
jours décisifs dans la vie de chacun s'est imposée dès l'écriture du scénario. Même au sein de la famille la
plus unie cohabitent toujours des êtres très différents les uns des autres (...) Plutôt qu'un film choral, j'ai
eu envie d'un film avec cinq personnages principaux car ce qui m'intéresse c'est de voir comment dans
une famille les uns déterminent les autres. Et plus ça m´a permis de jouer avec de longues ellipses de
temps. J´aime l´idée de laisser les spectateur se imaginer ce qui a bien pu se passer entre ces ellipses.

Marie-Jeanne et Robert Duval ont trois enfants : Albert, Raphaël et Fleur. Le portrait de
leur famille s'esquisse sur une douzaine d'années, à travers cinq journées particulières.
 X
LE PREMIER JOUR DU RESTE DE TA VIE, ou cinq jours décisifs dans la vie d'une
famille de cinq personnes, cinq jours plus importants que d'autres où plus rien ne sera
jamais pareil le lendemain.

 Repasa cinco días decisivos en la vida de un matrimonio y sus tres hijos, repartidos a lo
largo de doce años. Cada uno de los días del film corresponde a un miembro de la familia,
cuyos pasos se siguen de la mañana a la noche. Un hijo que se marcha del hogar familiar;
una adolescente a punto de perder la virginidad que entra en guerra con su madre; a su
vez, en el umbral de una crisis, al aproximarse a los 50 años, un padre taxista que ya no le
dirige la palabra a uno de sus hijos, mientras que el otro vive inmerso en sus fantasías
amorosas. (FILMAFFINITY

"Notable (...) impactante banda sonora de exquisito gusto (...) acaba destacando sobre
todo por esos pequeños detalles que dan cuenta del absurdo y, al tiempo, de la grandeza
de la vida" 

Javier Ocaña: Diario El País 

 "No cuenta nada nuevo pero, aún así, todo tiene un sello de melancolía interior,
una serena atracción.

Le Premier jour du reste de ta vie, ou cinq jours décisifs dans la vie d'une famille de cinq personnes,
cinq jours plus importants que d'autres où plus rien ne sera jamais pareil le lendemain.