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La STEG est la deuxième plus grande entreprise tunisienne par son chiffre d'affaires en 2009.
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istoire[modifier]
Jusqu'en août 1959, l'industrie électrique tunisienne est répartie entre huit sociétés différentes. Ayant décidé de prendre provisoirement en c harge ces sociétés, l'État tunisien place, le 15 août 1958, un
comité de gestion à la tête de l'une de ces sociétés connue sous le nom de (ompagnie tunisienne d'électricité et transports. Par le décret-loi n°62-8 du 3 avril 1962, l'État met fin à cette situation en
Peu après, une politique d'électrification est mise en place qui, en une quarantaine d'années, fait passer le taux d'électrif ication urbain de 20 % à près de 100 % et le taux d'électrification rural de 6 % à
99 %.
Activités[modifier]
Production[modifier]
La STEG dispose d'un parc de production diversifié composé de 25 unités de production d'une capacité totale de 3 300 MW ; trois nouvelles centrales sont en chantier 5.
Par rapport aux choix technologiques utilisés dans les centrales, voici le tableau de répartition 6 :
hydraulique (2,1 %) ;
éolienne (2 % en 2010).
Alstom Power a été successivement chargée de la construction des centrales de la STEG, à Radès (1994), Sousse (2001) et Ghannouch (2009)7 .
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foyers pour un investissement de V millions de dollars
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été inauguré récemment par M
Ot man Ben Arfa, Président du (onseil
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A cet effet, et depuis uel ues années, l¶orie ntation de la S E est de valoriser
ses compétences et son savoir -faire par la réalisation de projets pour le
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actuellement en coopération tec ni ue et aussi au conventions de
coopération signées avec entreprises omologues dont VV entreprises
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La STEG entretient ses relations avec ses clients à travers 38 districts et 90 agences.
La STEG crée, en octobre 2006, une filiale intitulée (SIS). SIS, se basant sur l'expérience et le savoir-faire de la STEG, vise des marchés potentiels sur le plan local, mais
SIS réalise dès son premier exercice en 2007 un chiffre d'affaires de 3,2 millions de dinars , dont 80 % à l'exportation, chiffre qu'elle quadruple dès la fin du premier semestre 2008. Elle parvient à gagner la
confiance d'un certain nombre d'entreprises d'électricité et de gaz en Afrique subsaharienne . On peut citer parmi les pays où SIS est intervenue : ¶jibouti, Comores, Yémen, Tchad , Rwanda et, en cours de
La Société tunisienne de l'électricité et du gaz (????? ? ???????? ???????? ?????? ) (STEG) est une société tunisienne de droit public à caractère non administratif. Créée en 1962, elle a pour mission
la production et la distribution de l'électricité et du gaz naturel sur le territoire tunisien.
Jusqu'en août 1959, l'industrie électrique tunisienne est répartie entre 8 sociétés différentes. Ayant décidé de prendre prov isoirement en charge ces sociétés, l'État tunisien place, le 15 août 1958, un
comité de gestion à la tête de l'une de ces sociétés (connue sous le nom de (ompagnie tunisienne d'électricité et transports). Par le décret du 8 avril 1962, l'État met fin à cette situation en créant un
monopole public confié à la STEG. Peu après, une politique d'électrification est mise en place qui, en une quarantaine d'anné es, fait passer le taux d'électrification urbain de 20% à près de 100% et le taux
d'électrification rural de 6% à 95%.
Le nombre des clients de la STEG au réseau électrique est évalué à 2 500 000 et le nombre de ses clients au réseau degaz naturel à 180 000 (juin 2006). Sa production électrique annuelle est estimée à
10 000 GWh.
Lors du Conseil des ministres du 3 novembre 2006, le président ·ine el -Abidine Ben Ali charge la STEG d'entamer les études relatives au ¸ développement de l'électricité au moye n de
l'énergie nucléaire. ¹ Le projet prévoit la construction d'une centrale nucléaire d'une capacité de 900 MW dont l'entrée en fonction interviendrait à l'horizon 2020. Il faut savoir qu'une cellule sur le suje t
existait à la STEG depuis la fin des années 1970 mais était en so mmeil depuis.