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22/08/2021 Jones 1 Cameron Jones Dr Gourley English 221 5 décembre 2014 Walk a Mile Quand j'entends les autres

nds les autres parler de ce que les pa…

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Jones 1

Cameron Jones

Dr Gourley

anglais 221

5 décembre 2014

Marcher un mille

Quand j'entends d'autres parler de ce que les pauvres devraient faire, comment ils devraient vivre, comment

ils devraient élever leurs enfants, je me demande si les gens qui disent ces choses ont déjà été

pauvres. A commenté [A1] : Dans une argumentation narrative, les écrivains peuvent
ne pas utiliser une introduction traditionnelle avec thèse. Dans cet échantillon
essai, l'auteur présente son sujet mais ne fournit pas de thèse
J'ai grandi dans ce que je ne peux décrire que comme une maison monoparentale « principalement » où ma mère
déclaration dans son introduction.

était le soutien de famille et le « contenant des choses » pour ses trois enfants et un beau-fils.

Ma mère avait un diplôme d'études secondaires, pas d'université, une série d'emplois mal rémunérés et quatre enfants à

nourrir et assurer la garde des enfants. Je pense à quel point ma vie de maman est difficile, et je n'ai que

de repenser à mon enfance pour ne pas m'apitoyer sur mon sort très longtemps. A commenté [A2] : L'auteur utilise ce paragraphe et

d'autres qui suivent pour établir l'éthique. Elle veut le faire


clair qu'elle a vécu une vie de pauvre, ce qui ajoute à sa
La meilleure façon que je puisse dire, c'est que ma mère a toujours fait ce qu'elle avait à faire. Mon père est parti crédibilité en écrivant sur ce sujet.

quand j'étais petit, donc je ne me souviens pas de la vie avec lui dans la maison. Je me souviens juste de ma mère

se remarier rapidement car, après tout, dans le sud au début des années 80, c'est ce que faisaient les femmes. Ce

était un temps et un endroit où une femme ne devrait pas être sans mari, mais, dans cette situation,

avoir un mari n'a pas beaucoup aidé avec nos finances.

La réalité était que mon beau-père avait des problèmes de dos et parfois ne pouvait pas du tout travailler.

Quand il pouvait travailler, parce qu'il avait aussi peu d'éducation et de formation, ses emplois étaient très bas

payant. D'une certaine manière, quand il travaillait, les choses étaient encore plus compliquées parce que cela signifiait

ma mère a dû nous trouver une garderie. J'étais à l'école, ce qui m'a aidé, mais ma mère a été forcée de

envoyer mes frères dans des garderies et des baby-sitters qui n'étaient pas très enthousiastes à l'idée de s'occuper de

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enfants. Quand mon beau-père travaillait, après l'école, je rejoindrais mes frères dans ces

garderies, et dans mon esprit de maternelle, certaines de ces situations étaient carrément horribles.

Il y avait une baby-sitter qui ne me laissait pas manger après l'école, et je me souviens avoir été si

faim. « Si vous continuez à manger autant, vous allez grossir », disait-elle. Je ne voulais certainement pas être

gras, et j'avais honte de demander à manger. Mais, j'avais vraiment faim. Une autre réalité d'être un

une partie des travailleurs pauvres est que vous avez peu d'argent pour vous nourrir. Et, même avec ma mère qui travaille

de longues heures chaque semaine, je me souviens avoir toujours faim de nourriture. Il était rare de Commenté [A3] : Ici, l'auteur fait appel au pathétique en

raconter une histoire sur la faim dans l'enfance. Cet appel à


émotions est destiné à faire comprendre au public
être rassasié après un repas. Il n'y avait tout simplement pas assez pour tout le monde, même si ma mère était vraiment
la pauvreté et la faim des enfants.

créatif avec du pain périmé et du spam. Donc, je suppose que la baby-sitter n'avait vraiment pas à s'inquiéter

à propos de mon grossissement, et moi non plus. Mais ses paroles m'ont quand même fait mal.

Une autre baby-sitter m'a mis au travail pour aider à prendre soin des autres enfants, pas seulement de mes deux

des frères plus jeunes mais aussi d'autres enfants à la maison. Je me souviens d'avoir été si jeune et d'être

assez horrible à ça. Je me souviens avoir eu des ennuis quand mon plus jeune frère, qui était vraiment juste

un nourrisson, a trop pleuré. "Fais-le arrêter de pleurer", me criait la baby-sitter. je ne savais pas

comment.

Ma mère nous a finalement fait sortir de cette baby-sitter après un gros incident, qui impliquait mon

maman découvrant que j'aidais à prendre soin de mes frères et des autres enfants. Ça venait

quelque chose comme ça:

J'étais censé être "de service", mais les dessins animés étaient également diffusés. Comme vous pouvez vous y attendre, étant

un Kindergartner, j'ai été attiré dans les dessins animés. La prochaine chose que je savais, j'entends mon petit frère

crier suivi de la baby-sitter qui me crie dessus. Apparemment, il était tombé de son petit

bascule. Il y a peut-être eu d'autres enfants impliqués.

« Pourquoi ne surveilles-tu pas ton frère ? » Elle a crié.

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J'ai haussé les épaules et pointé du doigt la télévision.

"Qu'est-ce qui ne va pas? Ton frère aurait pu être blessé ! Commenté [A4] : Dans tous les récits, y compris le récit

argument, le dialogue est une stratégie courante pour aider à transmettre


informations d'une manière qui "montre" au public ce
J'ai pleuré des yeux. Je ne savais pas comment j'avais pu être une si mauvaise sœur. Je sais maintenant
s'est passé au lieu de simplement « raconter ».

que j'étais bien trop jeune pour m'occuper de jeunes enfants, mais, à l'époque, la honte était grande - et

ma punition arrivait encore.

Lorsque ma mère a entendu l'histoire de la baby-sitter, elle était d'abord très en colère et

en quelque sorte, cette colère semblait être dirigée contre moi. Elle a dit à mon beau-père, qui m'a donné une fessée

sévèrement pour l'incident. Plus tard, ma mère a dû changer d'avis et réaliser qu'elle

ne devrait probablement pas payer une baby-sitter pour me surveiller quand je travaillais pour la baby-sitter,

eh bien, au moins en quelque sorte de travail. Et, je suis sûr que ma mère ne voulait pas que ma punition aille comme ça

loin. Elle nous a trouvé une autre baby-sitter.

Je sais que ma mère a dû vouloir quitter son travail plusieurs fois, mais elle n'avait d'autre choix que

travailler beaucoup, parfois deux emplois. Cela signifiait qu'elle n'avait presque pas le temps d'être maman. je me souviens

la voir conduire sur notre route, se diriger vers le travail de nuit, alors que je rentrais à pied du

arrêt de bus scolaire. Mon cœur se brisait. Je suis sûr que la sienne l'était aussi.

Une fois, en CP, j'ai fait pipi dans mon pantalon à l'école. J'ai été envoyé au bureau pour être envoyé

domicile. Alors que j'étais assis sur une chaise en plastique dans mon pantalon en velours côtelé froid et mouillé dans le bureau du directeur, j'étais

surpris que je n'aie reçu aucun sermon du directeur sur le fait d'être trop vieux pour mouiller mon pantalon.

Au lieu de cela, on m'a dit que ma mère ne pouvait pas quitter le travail pour venir me chercher. L'école a essayé mon

beau-père mais n'a pas pu le joindre. L'école a essayé mon père, mais il n'a pas pu s'absenter du travail pour

venir me chercher. Je ne l'avais pas vu depuis des mois de toute façon. Je ne sais pas combien de temps je suis resté là-dedans

bureau, mais mon pantalon avait presque séché quand la sœur cadette de ma belle-mère est arrivée à l'école. je

la connaissais à peine, mais je l'aime toujours pour m'avoir sauvé de mon pantalon mouillé de honte. j'ai pleuré tout le

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jusqu'à chez elle, et elle m'a dit de ne pas pleurer, que des accidents arrivent. Elle ne savait pas ce que mon

la vie à la maison était comme. A commenté [A5] : Ceci est un autre exemple d'appel à
pathétique. L'auteur veut que son public comprenne comment
c'est problématique quand les parents ne peuvent pas quitter le travail pour s'occuper
Bien sûr, j'ai été sévèrement fessée pour cet incident, et je suis sûr que mes lecteurs peuvent être leurs enfants.

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je me demandais pourquoi ma mère n'avait pas quitté mon beau-père. Je peux seulement dire que, quand tu es pauvre, tu

ont peu d'options. Elle a essayé de le quitter plusieurs fois, mais il la menaçait et même la blessait.

Elle économisait parfois assez d'argent pour une ordonnance restrictive, mais la police de la petite ville

les officiers n'ont pas fait grand-chose pour l'appliquer. Elle ne pouvait pas se permettre un divorce, et avouons-le, quand vous êtes

travailler deux emplois, quelqu'un pour surveiller vos enfants, même si quelqu'un pourrait leur donner une fessée

trop dur parfois, c'est mieux que personne.

C'est ce que fait la pauvreté. Il vous donne peu d'options, parfois aucune option, pour sortir

de situations et en essayant d'améliorer votre vie. Il laisse vos enfants affamés et en moins de

situations de garderie idéales. Et, à bien des égards, cela vous punit, ainsi que vos enfants, lorsque vous

travail.

Pendant mes premières et deuxièmes années d'école, ma mère emmenait mes frères dans un

garderie sur le chemin du travail, et je resterais à la maison, me préparerais pour l'école, et mon

mon beau-père m'emmenait à l'école sur le chemin du travail. J'étais en retard presque tous les jours, ce qui avait un

impact négatif sur mon éducation précoce. Je sais que ma mère aurait préféré un meilleur départ pour

mon éducation. Elle m'a toujours souligné l'importance d'une bonne éducation, mais, encore une fois, il

n'y avait pas d'options. J'étais condamné à être en retard à l'école. Notre cercle était vicieux. Quand tu es pauvre, c'est

vous obtient à chaque tournant.

Mes expériences ont eu un impact sur ce que je ressens envers les parents pauvres avec des enfants.

Heureusement, je ne suis plus pauvre et, grâce à l'éducation que ma mère a soulignée, je travaille pour

obtenir mon diplôme avec l'aide d'un mari et d'enfants qui me soutiennent. Quand j'entends les gens

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porter un jugement sur les mamans ou les papas qui choisissent de ne pas travailler et, à la place, utilisent les services sociaux pour

soutenir leurs enfants, je veux leur raconter mon histoire. Je ne sais pas si mon histoire changerait

l'esprit de tout le monde, mais je pense qu'il le devrait. Jusqu'à ce que nous ayons des garderies de qualité et gratuites ou abordables pour

parents qui travaillent, nous ne devrions pas juger les parents qui ne veulent pas envoyer leurs enfants chez des baby-sitters. Commenté [A6] : Ici, l'auteur fait appel aux logos
ou logique pour essayer d'aider son auditoire à comprendre que la garderie
Nous ne devrions pas juger les parents qui veulent être là pour leurs enfants lorsqu'ils tombent malades à les problèmes des personnes pauvres sont complexes et
une aide est nécessaire.

l'école ou faire pipi dans leur pantalon.

Je ne peux certainement pas dire que tous ceux qui luttent sont confrontés exactement à la même situation que ma mère

fait, mais avant de juger les pauvres et de leur dire ce qu'ils devraient ou ne devraient pas faire

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parents, nous ferions mieux de réfléchir longuement et sérieusement à leurs situations de vie, à leur complexité,

et à quel point les solutions peuvent être compliquées. Commenté [A7] : Ce dernier paragraphe renvoie à la
introduction et présente l'énoncé de la thèse. Ici le
l'auteur demande moins de jugement et une réflexion plus complexe
sur les problèmes de pauvreté.

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