Programmation Arc GIS Python V1!1!19dec2

Initiation à Python avec ArcGIS
Hervé BOHBOT
v. 1.1 – décembre 2013
HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours
Hervé BOHBOT
Ingénieur de recherche, SIG et télédétection
Archéologie des Sociétés Méditerranéennes – CNRS UMR 5140
390, avenue de Pérols – 34970 Lattes
 04 67 15 61 35 –  04 67 22 55 15 – herve.bohbot@cnrs.fr
Som m a ir e
Introduction 3
1ère partie – Le langage Python
1. Questions préliminaires 5
2. Les bases : principaux types de données et structures 11
3. Programmation objet avec Python 26
2ème partie – Python avec ArcGIS

4. Python dans ArcGIS 31
5. Accès aux données 38
6. Filtres, curseurs, sélections et symbologies 48
7. Géométries 55
8. Eléments de mise en page 63
9. Scripts et outils 66
10. Création de compléments (add-in) 70
Conclusion 73
Annexes 75
3
Introduction
Pourquoi programmer avec ArcGIS ?
 Pour automatiser les tâches répétitives et gagner du temps.
 Parce qu'on a souvent besoin d’une fonction non fournie en standard.
 Parce que l’utilisation de programmes faits par d’autres est parfois frustrante.
 Pour être autonome.
7 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours
Objectifs du cours
 Découvrir les bases du langage Python.
 Fournir de petits exemples de codes réutilisables (snippets).
 Permettre de comprendre, modifier, utiliser des scripts ou programmes écrits en

Python.
 Savoir utiliser les outils de géotraitement, manipuler des données

géographiques et automatiser des tâches pour gagner du temps.
 Donner l'envie d'aller plus loin.
4
1. Questions
préliminaires
Som m a ir e
 Quels outils et pour quoi faire ?
 Qu'est-ce que Python ?
 Pourquoi utiliser Python ?
 Quelle version avec ArcGIS ?
 Comment utiliser Python ?
• La fenêtre Python dans ArcGIS
• Editeurs externes : IDLE, PythonWin, PyScripter
5
Quels outils pour quoi faire ?
L’environnement de développement d’ArcGIS est constitué de divers outils.
 Personnaliser l'interface d'ArcGIS  boîte de dialogue Personnaliser.
 Ajouter des éléments à l'interface utilisateur (boutons, menus, barres d'outils…)
 compléments (add-in), développés en .NET, Java ou Python (depuis la v. 10.1).
 Créer une application autonome basée sur des composants d'ArcGIS, gérer
l'interactivité avec l'utilisateur (souris, clavier, etc.)  développement avec .NET
(Visual Studio Express) ou Java (Eclipse), basé sur la librairie ArcObjects.
 Enchaîner un ensemble de traitements sans programmation  Model builder.
 Automatiser l'utilisation d'outils de géotraitement, la lecture et l'écriture de
données, la production cartographique  développement avec des scripts Python.
 Faire tout ça (sauf les applications autonomes)  VBA avec ArcObjects, mais
disparition annoncée (ArcGIS 11).
Qu ’e st - ce qu e Pyt h on ?
 Langage de programmation, structuré et orienté objet.
 Licence open source, multiplateformes (Windows, Linux/Unix, Mac Os…).
 Syntaxe relativement simple.
 Créé en 1991 par Guido van Rossum (toujours développeur du projet).

 Nommé en référence aux Monty Python (!)
 Diverses implémentation : CPython (standard), Jython (java), IronPython…
 Site web : www.python.org

 Versions courantes : 2.7.6 et 3.3.3
 Fichiers Python : simples fichiers texte (extension *.py).
Dans l'anglaise langue, se prononce

[paille-feun]
6
Pou r qu oi u t ilise r Pyt h on ?
 Langage facilement lisible : utilisation d'espaces et d'indentations plutôt que
des caractères ou des mots-clés pour délimiter les blocs de commandes.
 Très nombreux modules dans la distribution standard.
 Syntaxe "élégante" : il faut souvent trois fois moins de lignes que pour écrire la
même chose dans un autre langage.
 Approche "multi-paradigme" : la programmation peut être orientée objet ou
procédurale, ce qui permet une flexibilité dans la résolution d'un problème.
 Langage extensible : des bibliothèques permettent d'ajouter des fonctionnalités
à la distribution standard du logiciel (connexion à une base de donnée, interface
graphique (wxPython, PyQt), traitement XML (pyXML), traitement d'images.
 Interfaces avec des bibliothèques écrites dans d'autres langages (numpy pour le
calcul scientifique, écrit en C).
 Largement utilisé : langage de scripts de nombreux logiciels (SPSS, Gimp,
Maya…) et des jeux (Quake…), administration du moteur de recherche Google...
Qu e l Pyt h on a ve c Ar cGI S ?
 9.x : Introduction de Python comme langage de script pour ArcGIS.
PYTHON version 2.7 livrée avec ArcGIS 10.1
Installation de Python par défaut dans le répertoire c:\Python27

Chaque version d’ArcGIS est prévue pour fonctionner avec une version Python
donnée, installée avec : 9.2  2.4
9.3  2.5
10.0  2.6
10.1  2.7
10.2  2.7.3
Développer avec ArcGIS, où comment régulièrement reprogrammer la roue :
AML (pour ArcInfo, jusqu'à 7.x) VBA .Net (VB, C#)

Avenue (pour ArcView, jusqu'à 3.x)
Langages propriétaires
(ArcGIS 8.0 à 10.2) Java, Python
2001 2013
7
Où u t ilise r Pyt h on ?
 Les programmes écrits en Python (scripts) peuvent être exécutés dans une
application ArcGIS ou en dehors d’ArcGIS.
 Les fichiers Python (*.py) sont de simples fichiers texte qui peuvent être écrits
avec de nombreux éditeurs. Des versions "compilées" (*.pyc, *.pyo) peuvent être
générées à partir des fichiers *.py
 Ligne de commande : menu Démarrer, ArcGIS, Python 2.7, Python (command line)
 « Fenêtre Python » dans les applications ArcGIS.
 Environnements de développement intégré (IDE), fournissant plus ou moins de

confort de développement : IDLE et PythonWin fournis avec ArcGIS (assez
basiques) ou tiers.
Fe n ê t r e Pyt h on Menu Géotraitement / Python ou icône
Prompt >>>
Entrée 2 fois exécute la commande
1
Fenêtre d’aide (syntaxe
Fenêtre de commande des fonctions…)
La fenêtre Python permet d’exécuter une ou plusieurs lignes de code structuré et remplace la ligne de
Commande des versions d’ArcGIS < 10.0
8
Pyt h on I D LE
 Python’s Integrated
DeveLopment Environment
 Menu Démarrer / ArcGIS /
Python 2.7 / IDLE (Python GUI)
 Interface développée en
Python, basée sur la librairie
graphique Tk/Tcl.
Nombreuses autres interfaces de

développement pour Python.
Pyt h on W in
 Application plus livrée depuis ArcGIS 10.1 et à télécharger sur
http://sourceforge.net/projects/pywin32/files/pywin32/ , version en cours build 218)
 Extensions Python pour Microsoft Windows (accès aux objets de l’API Win32 et
aux objets COM).
 Débogueur intégré.
 Nécessaire pour exécuter
d’anciens scripts ArcGIS et ceux
utilisant la librairie win32com.
9
PyScr ipt e r
Editeur gratuit et open source, fournissant un environnement de développement
très élaboré et confortable :
 Multifenêtrage et onglets :
console, fenêtres de code,
débogage, variables, etc.
 Auto-complétion du code
détaillée.
Pour utiliser les outils d'ArcGIS dans

PyScripter, il faut référencer la librairie
arcpy dans le menu Outils / Options /
Options de l'IDE, rubrique Code
completion, à la ligne Special
packages, il suffit de rajouter arcpy.
Télécharger sur : http://code.google.com/p/pyscripter/
10
2. Bases du langage
Python
Som m a ir e
Concepts de base du langage Python :

 Variables et typage de données
 Commentaires
 Type chaîne
 Types numériques et opérateurs
 Structures de contrôle (tests conditionnels, boucles)
 Procédures, fonctions et modules
 Gestion d’erreurs
 Types séquence (chaînes, listes, tuples) et dictionnaires
 Types date
 Fichiers texte
11
Va r ia ble s
Une variable est créée et initialisée dans un type donné dans un même temps :
 Pas de déclaration préalable.
 Pas de type à déclarer explicitement (typage dynamique).
 Affectation avec le signe égale.
Règles d’utilisation :
 L’initiale doit être une lettre ou "_".
 La longueur du nom n’est pas limitée, mais ne doit pas contenir d’espace ou de caractères spéciaux.
 Les noms sont sensibles à la casse : toto, Toto et TOTO sont 3 variables différentes.
 Une variable doit être initialisée avant d’être utilisée.
 Il est recommandé de donner des noms explicites, de grouper des mots et de capitaliser les initiales à
l’intérieur du nom, ex. bufferDistance (les majuscules initiales sont réservées aux noms de classes).
 Ne pas utiliser les mots réservés du langage :
Affichage de la valeur d’une variable :

 En entrant son nom au prompt.
 En utilisant la commande print
• permet d'afficher plusieurs valeurs,
variables, en les séparant par des
virgules.
• sépare les différents éléments affichés
par des espaces.
Affectation multiple :
Noter les différences d'affichage entre
IDLE (exemples du haut) et fenêtre
Python d'ArcGIS (exemples du bas).
Affectation parallèle :
Afficher le type d’une variable : fonction type()
Détruire une variable : del
12
Com m e n t a ir e s
Les commentaires du programme sont introduits par le signe : #

Ils peuvent figurer en début de ligne ou non.
Fondamentaux pour expliquer le rôle et le fonctionnement d'un programme :
- Description des variables, paramètres…
- Séparation des différentes parties d'un programme.
pour l'utilisateur comme pour le programmeur.
" Pse udo- com m e nt a ir e s"
Information sur le codage des caractères utilisés dans un fichier de code source.
À préciser en première ligne du fichier source (code par défaut : ASCII).
# -*- coding: cp1252 -*- Page de code 1252 (Windows), langues d'Europe occidentale.
# -*- coding: utf_8 -*- Utilisation des caractères Unicode : é = Ã©, à = Ã, etc.
Liste des codecs (encodeurs-décodeurs) de texte :

http://docs.python.org/2.7/library/codecs.html#module-codecs
Type st r in g ( ch a în e de ca r a ct è r e s)
Suite quelconque de caractères délimités par des apostrophes ou des guillemets.
 Les guillemets peuvent délimiter une chaîne contenant des apostrophes et vice-versa.
Opérateur + permet de
concaténer… des chaînes
 La fonction str() permet de transformer une expression numérique en chaîne.
 Le caractère \ ajoute des possibilités complémentaires :

• En fin de ligne, permet d'écrireune commande sur plusieurs lignes
• \n insère un saut de ligne dans une chaîne de caractères
• \' permet d'insérer une apostrophe dans une chaine entourée d'apostrophes.
Le préfixe r (pour raw string) devant une chaîne indique que le caractère \ doit être
traité comme un caractère standard. Le préfixe u spécifie une chaîne Unicode.
13
 Ou bien n'importe quoi entouré de triples """ ou '''
Composition d’expressions et formatage de texte :
Utilisation de paramètres de substitution en précisant ou non le nombre de

caractères représentés : %s (chaîne quelconque), %2d (nombre sur au moins
deux caractères), %5.2f (nombre sur 5 caractères minimum dont 2 décimales)
insérés dans une chaîne et passés en arguments après le signe % :
Type s n u m é r iqu e s e t opé r a t e u r s m a t h é m a t iqu e s

Types entier (int), entier long (long), réel (float) et nombre complexe (complex).
Conversions avec les fonctions prédéfinies int(), long(), float(), complex()
Opérations arithmétiques de base : +, -, *, /
 La division d'entiers est entière (Python < 3).
 Type float si le nombre contient un point ou exposant,
 Opérateurs division entière // , modulo % , puissance **
 Fonction eval(chaine) : évaluation d'un nombre ou d'une expression numérique
Priorité des opérations dans une instruction :

Opérations-affectations (à éviter) :
+=, -=, *=, /=
parenthèses, exposants, multiplication et
division, addition et soustraction
14
Fonctions mathématiques
Les plus courantes sont dans un module externe de Python appelé math.
Pour les utiliser il faut utiliser le commande import (ce qui donne accès aux fonctions du
module) :
Appel de fonction avec préfixe math.
Le nom de la fonction est importé :

utilisation directe.
Quelques autres fonctions de math : Le point après le nom du module permet

math.pi, math.e renvoient les constantes pi et e d'utiliser les fonctions disponibles.
 trunc(x) : partie entière  Dans IDLE, Ctrl-Espace affiche la liste.
 floor(x), ceil(x) : entier inférieur, entier
supérieur  Dans la fenêtre Python d'ArcGIS, les
 degrees(x), radians(x) : conversions fonctions s'affichent automatiquement.
 log(x), exp(x) : logarithme, exponentielle L'interpréteur reconnaît les modules et
 sin(x), cos(x), tan(x), atan(x), sinh(x), etc. permet l'autocomplétion du nom.
fonctions trigonométriques.
Fonctions intégrées : abs(x), valeur absolue ; round(x, n), arrondi ; pow(x,y), puissance, etc.
I n t e r a ct ion a ve c l'u t ilisa t e u r
Demander à l'utilisateur d'introduire une valeur d'entrée d'un programme.
Fonctions prédéfinies input() et raw_input()

Les parenthèses peuvent contenir un message explicatif :
prenom = raw_input(u"Entrez votre prénom : ")

print "Bonjour ", prenom
Remarquez l'aide quand le nom de la fonction

est reconnu par l'interpréteur.
 raw_input() renvoie toujours une chaîne de caractères. Les nombres peuvent

être ensuite convertis avec int() et float().
 input() renvoie une valeur correspondant à ce que l'utilisateur a entré (les
chaînes de caractères doivent être entourées de guillemets).
15
I n st r u ct ion s con dit ion n e lle s
if x > 0 :
Si… sinon… ou alors… print x, " est positif"
 Remarquer l'indentation automatique après avoir validé la première ligne se

terminant par deux points (:).
 L'absence d'indentation causerait une erreur.
 Indentation standard de 4 caractères.
 Délimitation claire des blocs de commandes = programme lisible.
if x > 0 : if x > 0 :
print x, " est positif" print x, " est positif"
else: elif x < 0 :
print x, " est négatif ou nul" print x, " est négatif"
else:
print x, " est nul"
Un bloc comprend 0 ou 1 else ; 0, 1 ou plusieurs elif (else if)
Opérateurs de comparaison Booléens : True, False

 Majuscule obligatoire.

x == y # x est égal à y
x != y # x est différent de y Tout nombre non nul, structure (chaînes,
x <> y # idem listes, ensembles, etc.) non vide est
évaluée à True.

x > y # x est supérieur à y
x >= y # x est supérieur ou égal à y Le chiffre 0, toute structure vide est
x < y # x est inférieur à y évaluée à False.
x <= y # x est inférieur ou égal à y
x is y # x est le même objet que y
x is not y # x est un objet différent de y
Les opérateurs peuvent être enchaînés :
Inutile de préciser : if x == True:
Absence de valeur : None


Opérateurs logiques : and, or, not
Majuscule obligatoire.
 Valeur différente de 'vide' (False)

x and y # ET logique
Test d'une variable avec is / is not

x or y # OU logique
not x # évalué à la valeur opposée à x Ex: paramètre facultatif d'une fonction.
16
I n st r u ct ion s com posé e s
En-tête :
Instruction if, elif, else, while, def…
suivie d'un deux points
en dehors des indentations, les espaces sont non significatifs
en-tête :
bloc indenté
Le premier bloc ne peut pas être indenté

>>> print "Hello" ( erreur)
Indentations standard : multiples de 4

Même bloc = même indentation
if embranchement == "Vertébrés":
if classe == "Mammifères":
if ordre == "Carnivores":
if famille == "Canidés":
print "C'est peut-être un chien"
Bou cle W h ile
Répétition d’un bloc d’instructions si et tant qu’une condition est remplie.

La variable compteur doit être initialisée.
i = 0 i = 0 i = 0
while i < 5 : while i < 5 : while i < 5 :
i = i + 1 i = i + 1 i = i + 1
print i print i print i
1 résultat affiché 5 résultats affichés Erreur !
Si la condition initiale n'est pas remplie, le bloc est ignoré.

Si le bloc de données ne rend pas fausse la condition initiale : boucle infinie.
i = 0 Pour sortir d'une boucle infinie :

• Ctrl-F6 dans l"éditeur IDLE
while i < 5 : • Ctrl-F2 dans PyScripter
print "il fait beau" • Echap dans la fenêtre Python d'ArcGIS.
L'instruction break permet de sortir de la boucle.

17
Bou cle For
Répétition d’un bloc d’instructions un nombre défini de fois.

 Syntaxe : for élément in liste :
 élément prend successivement pour valeur chaque item de la liste.
La fonction range([début,] fin [, pas]) renvoie une liste de valeurs numériques (par
défaut, début à 0 et incrémentation de 1) :
L'instruction break permet de sortir prématurément du bloc de commandes.
Fonct ions
 Fonct ions in t é gr é e s ( built - in funct ions)
Plusieurs ont déj à ét é rencont rées.
Liste complète : http://docs.python.org/2.7/library/functions.html
 Fonct ions im por t é e s de m odules ou de packages ( collect ions

de m odules) fournis avec Pyt hon ou par d'aut res sources.
Un m odule est un fichier cont enant un ensem ble de définit ions de
fonct ions, propriét és et classes.
 dir ( m odule) list e les fonct ions d'un m odule.
 h e lp( m odule) en fournit une aide dét aillée.
import math # utilisation des fonctions avec préfixe math.
from math import sin # utilisation sans préfixe de sin()
from math import * # importation de tous les noms
from math import sqrt as racineCarree # redéfinition du nom
Modules fournis : http://docs.python.org/release/2.7/modindex.html
18
Module Fonctions
codecs Codage/décodage de caractères
csv Lecture/écriture de fichiers CSV
datetime Gestion des dates et heures
glob Recherche de fichiers avec caractères génériques (*, ?)
math Mathématiques
os Liées au système d'exploitation
pickle Sérialisation (transfert d'objets entre mémoire et fichier
binaire).
random Nombres aléatoires
re Expressions régulières (recherche de texte correspondant à
un modèle donné)
string Formatage de chaînes de caractères
sys Liées à l'interpréteur Python
zipfile Lecture/écriture de fichiers compressés
Fon ct ion s pe r son n a lisé e s

 Mêmes règles de nommage que
Même mot réservé pour déclarer une pour les variables.
procédure (sans renvoi de résultat) ou une  Paramètres séparés par des
fonction (avec renvoi de résultat) : def virgules.
def nomFonction(liste de paramètres):  Paramètres facultatifs initialisés
bloc d'instructions
avec None.
 Parenthèses vides si pas de
def nomFonction(liste de paramètres):
bloc d'instructions
return résultat
paramètres.
 Plusieurs return possibles.
 Valeur None si pas de return ou si
return sans argument.
 Ligne de description de la fonction
sous la déclaration d'en-tête,
docstring utilisée par help() :
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Variables locales et globales
Les variables utilisées dans une fonction sont locales sauf si elles sont
déclarées global avant leur affectation.
Comparer les
valeurs des
variables loc et glo
dans les exemples
1 et 2.
Modules personnalisés
Créés par l'ut ilisat eur et enregist rées dans un fichier * .py ( qui devient
un m odule) et t ransform é en * .pyc ou * .pyo ( byt e code) , code
" com pilé" lors de l'im port at ion.
Sé qu e n ce s ( it e r a ble s)
Types de données définis comme des séries de caractères ou d’éléments,
modifiables ou non :
 Chaînes de caractères (type string).
 Listes (collection modifiable d'éléments, type list).
 Tuples (liste non modifiable, type tuple).
Quelques fonctions s'appliquant aux séquences :

 len(seq) : longueur d'une chaine de caractères, nombre d'éléments d'une
liste, d'un tuple ou d'un dictionnaire.
 min(seq), max(seq) : plus petit ou plus grand élément d'un séquence.
 map(fonction, seq) : applique une fonction à chaque élément de la séquence.
 sorted(seq) : trie les éléments d'une séquence.
Les séquences supportent aussi l'addition

et la multiplication (opérateurs + et *)
20
Chaînes de caractères
Séquence ordonnée de caractères, accessibles un à un.
 Extraire des parties d'une chaîne :
Premier caractère : indice 0 ch[i] # le caractère i+1

ch[:i] # du début jusqu'au ième caractère
ch[i:] # du caractère i+1 à la fin
ch[i:j] # du caractère i+1 à j
 Fonctions chr(x) et ord(c), passage code ASCII / caractère.
 Mise en majuscules, minuscules  Transformer une chaîne en liste à l'aide

upper(), lower(), title() d'un séparateur, méthode split(sep)
méthodes appliquées à une
chaîne
Listes
Collection ordonnée d'éléments (items) entre crochets, séparés par des virgules.
 Les éléments peuvent être de types différents.
listeFourreTout = [14, "clés", 12.4]
 Une liste peut-être un item d'une autre liste.
 Ajout, modification et suppression d’éléments (même indexation que les
chaînes).
Ajout d'un item (à la fin)
Insertion d'un item après le premier
Suppression des items 8 et 9,

s'obtient aussi avec la
commande del liste[7:9]
21
Méthodes append(élément) ; count(élément), nombre d'occurrences de élément ;
insert(rang, élément); pop(élément), retourne élément et le supprime de la liste ;
remove(élément), supprime élément ; sort(), trie la liste.
Opérateurs in et not in testent la présence d'un item dans une liste.
Fonction range([début,] fin [, pas]) renvoie une liste d'entiers.
Exemple d'utilisation d'une liste : ajout d'un répertoire à la liste des répertoires dans
lesquels Python recherche des scripts.
Tuples
Listes figées d'items (pas d'ajouts, suppressions, etc.) : intégrité maintenue dans le code.
 Accès aux items par indices comme pour les listes et chaînes de caractères.
 Eléments entre parenthèses (ou non), séparés par des virgules.
tupLR = ("Hérault", "Gard", "Lozère", "Aude", "Pyrénées-Orientales")
tupOlev = 144, 154, 46, 95, 144
tupSeul = ("Seul",) # un seul élément, il faut ajouter une virgule.
Méthodes index(valeur), renvoie l'indice et count(valeur), renvoie le nombre

d'occurrences d'un item donné.
Fonction zip(liste de séquences) renvoie une liste de tuples, chaque tuple

contenant le ième élément de chaque séquence en entrée. La liste est de la
longueur de la séquence le plus courte.
22
Dictionnaires
Collection non ordonnée de couples clé:valeur, séparés par des virgules et
placé entre accolades.
 Les clés doivent être uniques.
 Différent d'une séquence : pas de concaténation, d'extraction suivant un indice, etc.
 Utile pour stocker un ensemble de données avec des ajouts et des suppressions et
où l'ordre n'est pas important.
 Méthode get(clé) renvoie la valeur si la clé

existe, sinon None ou une valeur spécifiée.
Opérateurs in et not in testent la présence d'une clé (et non d'une valeur)
dans le dictionnaire.
Fonction dict() permet de créer un dictionnaire à partir de listes de doublets :

dict([[clé1,valeur1],[clé2,valeur2], …])
Méthodes items(), keys() et values() renvoient les listes de clé-valeur, clés,

ou valeurs du dictionnaire sous forme de listes ; has_key(k) est vrai si k est
existe ; clear() efface tous les items ; pop(k) efface la clé et retourne la
valeur, etc.
Exemple de comptage
des lettres d'un texte :
23
Tr a va ille r a ve c le s fich ie r s
Changer le répertoire courant :
Ouverture : fonction open(), en lecture ("r"), écriture ("w") ou ajout ("a").
Méthodes pour lire : read(nbcar), si nbcar est omis, lit tout le fichier ; readline(),
lit une ligne ; readlines(), transfère toutes les lignes dans une liste.
 Un fichier est lu séquentiellement, il n'est pas possible de "remonter".
 En fin de fichier, readline() renvoie une chaine vide.
 Une ligne vide dans le fichier contient en fait "\n" (caractère de terminaison
de ligne)
Méthode pour écrire : write(chaine)
 Pour faire un retour à la ligne, chaine doit se terminer par "\n"
Fermeture : fonction close().

 Le fichier n'est plus verrouillé par Python pour d'autres applications.
Ge st ion de s e r r e u r s ( e x ce pt ion s)
 Blocs d'instructions délimités par la séquence de mots-clés : try, except,
else, finally.
 Permet une exécution "sous réserve" du code et de "sortir proprement" en
cas d'erreur d'exécution du programme.
 Les blocs else et finally sont optionnels.
 Il peut y avoir plusieurs blocs except, chacun traitant un ou plusieurs types
d'erreurs donnés (SyntaxError, SystemError, ZeroDivisionError, etc.)
Liste des exceptions : http://docs.python.org/2.7/library/exceptions.html

24
Dates
Les classes (date, time, datetime, timedelta…) gérant les dates et l'heure se
trouvent dans le module datetime.
 Création d'un objet de type date avec la méthode date(année, mois, jour).
 Un objet date possède les propriétés year, month, day et une méthode
weekday() qui renvoie un chiffre de 0 à 6 pour les jours de la semaines du
lundi au dimanche.
 Date du jour : date.today()
 Date et heure actuelle : datetime.now(), objet datetime avec propriétés
hour, minute, second, microsecond en plus des propriétés de date.
 Différence entre deux dates est un objet de type timedelta (qui possède des
propriétés days, seconds, microseconds.
 La méthode strftime() crée une chaîne représentant une date-heure et la
méthode inverse strptime() crée une date-heure à partir de chaînes de
caractères. Elles possèdent de nombreuses directives : %A (nom du jour), %m
(numéro du mois), %y (année sans le siècle), etc.
Doc Python http://docs.python.org/2.7/library/datetime.html#module-datetime
I n t e r fa ce gr a ph iqu e : le m odu le Tk in t e r
 Pas de boîte de dialogue standard : possible d'utiliser une librairie graphique
telle que Tkinter (livrée avec Python).
 Manipulation de widgets (ou contrôles) : Entry() zone de saisie ; Button(),
bouton de commande ; Label(), étiquettes, menus, listes déroulantes…
définis sur une fenêtre initialisée par fonction Tk() et affichée par mainloop().
 Permet de répondre à des évènements utilisateur (clic souris, touche
pressée).
 Méthodes : pack() minimise occupation du widget dans la fenêtre,
bind(événement, réponse), définies sur les widgets.
25
3. Programmation objet
avec Python
Som m a ir e
 Concepts de base : classes, instances, propriétés, méthodes

 Création de classes d'objets
 Encapsulation
 Héritage
 Polymorphisme
 Utilisation des objets
26
Con ce pt s de ba se
Méthode de programmation se rapprochant du monde réel :
 composé d’objets : une carte, une voiture...
 possédant des propriétés (ou champs, attributs) : une échelle, une couleur…
 supportant des actions, appelées méthodes (procédures et fonctions) : zoomer,
démarrer...
 pouvant répondre à des événements (clic, contact) les affectant.
Les objets sont regroupés en Classes (Cartes, Voitures) possédant les mêmes
propriétés, méthodes et événements.
La syntaxe des instructions est de la forme : objet.méthode, objet.propriété
Programmation : manipulation « d’instances » (exemples) d’éléments d’une

classe) d’objets. D’où les mots instancier, instanciable, instanciation.
En Python, toutes les variables identifient une instance d'une classe d'objet : variables
numériques, séquences (chaines de caractères, listes, tuples), dictionnaires, etc. sont des
objets.
Méthode
'addition'
27
Cr é a t ion de cla sse s d'obj e t s
 Instruction composée class Nom :
 Par convention, les noms de classes
commencent par une majuscule.
unObjet = nomClasse()
 Création d’un nouvel objet (ou instance) de la classe nomClasse, qui sera
manipulable via la variable unObjet avec unObjet.méthode ou unObjet.propriété
 Parenthèses obligatoires (autres langages utilisent le mot-clé New)
Définition des attributs (propriétés)

de l'instance par affectation.
Remarque : les propriétés ne sont

pas normalement définies de cette
manière !
p2Objet = p1Objet
Affectation de la référence de p1Objet à p2Objet : les 2 variables désignent le
même objet en mémoire. On obtient ainsi 2 alias sur le même objet.
Un objet peut être

composé d'autres objets :
Enchaînement des lectures

de propriétés avec des "."
28
Encapsulation
Les définitions et initialisation des propriétés des instances, l'implémentation
des méthodes de la classe, se font à l'intérieur de la définition de la classe.
 Empêche l'accès aux données par un autre moyen que les services proposés
ce qui garantit l'intégrité des données contenues dans l'objet.
 Méthode __init__ : constructeur, définit les attributs par défaut d'une
nouvelle instance de classe (notée self par convention).
Dans l'exemple ci-dessous : longueur et largeur peuvent être précisés ou omis (car initialisés) lors de
l'instanciation de l'objet. La méthode centre() renvoie deux valeurs (tuple).
Implémentation de
la méthode centre()
Héritage
L'héritage permet de transférer à une classe les caractéristiques d'une autre
classe. La classe dont elle hérite est appelée classe mère (ou classe de base,
classe antécédente).
 La classe elle-même est appelée classe fille (ou classe dérivée, descendante).
 Syntaxe class ClasseFille(ClasseMere) :
 trait1, trait2, etc. attributs de classe hérités (pouvant être redéfinis localement).
Vertebre
Oiseau Mammifere
Carnivore
Chien
29
Polymorphisme
 Des classes différentes peuvent partager la même méthode.
 L’implémentation des méthodes et propriétés se fait dans le bloc de classe,
les objets peuvent donc répondre différemment.
 Une classe fille peut redéfinir (surcharger) une méthode héritée.
ANIMAL
OISEAU
Ut ilisa t ion d'u n obj e t

1. Assigner à une variable une inst ance de la classe désirée :
- Instanciation (nouvel objet créé) avec le nom d'une classe.
- Instanciation par une propriété ou méthode d’un objet existant.
- Objet existant déjà pointé par une autre variable.
OISEAU
2. Appel de méthode, définition ou récupération

d’une valeur de propriété :
30
4. Python dans ArcGIS
Som m a ir e
 La calculatrice de champs.
 Le site-package arcpy.
 Fenêtre Python et outils de géotraitement.
 Utilisation du Model builder pour créer un script.
 Trouver et utiliser des scripts.
31
Équivalent à l'outil :
Ca lcu la t r ice de ch a m p CalculateField_management()
Calcul simple :
1. Choisir l'analyseur Python.
2. Construire l'expression résultat à
l'aide des noms de champs, des
boutons opérateur et des fonctions
Python proposées.
3. Cliquer Ok.
Calcul ou expression complexe

Si le calcul fait intervenir des expressions
conditionnelles, des boucles, des fonctions
personnalisées :
- De préférence, tester le code dans un
interpréteur Python.
- Cocher la case Afficher le bloc de code. La
fenêtre se sépare en deux : saisie du
code (script Pre-Logic) et saisie du résultat
à affecter au champ.
- Copier le code dans la fenêtre (ou
bouton Charger...).
Le code Python doit être contenu dans une
ou plusieurs fonctions (def) qui seront
appelées dans la fenêtre d'affectation au
champ calculé.
Lancer le calcul avec Ok. Les résultats (erreur ou bonne exécution) sont
affichés dans la fenêtre Résultats de géotraitement.
32
Fe n ê t r e Pyt h on
 Glisser-déposer des outils de géotraitement et de ses paramètres à partir de
l'Explorateur de fichiers, la fenêtre Rechercher ou la fenêtre ArcCatalog.
 Le rôle et la syntaxe de l'outil (paramètres d'entrée et de sortie) sont indiqués
dans la fenêtre d'aide.
La fenêtre Python permet

aussi de charger et
sauvegarder des scripts.
Ou t ils de gé ot r a it e m e n t s
Plusieurs centaines d'outils classés par thèmes.

 Utiliser l'outil recherche
Leur utilisation dans les scripts dépend du niveau
de licence disponible : produit
arcpy.ProductInfo()et arcpy.CheckProduct()
et extensions arcpy.CheckExtension().
Appel de l'outil sous la forme :

arcpy.NomOutil_aliasBoiteOutils
Par exemple :
arcpy.Buffer_analysis()
arcpy.DefineProjection_management()
arcpy.CostDistance_sa()
33
Fe n ê t r e r é su lt a t de gé ot r a it e m e n t
La fenêtre Résultats de géotraitement donne accès à toutes les informations
sur les paramètres entrée/sortie, l'environnement et l'exécution d'un outil de
géotraitement.
Ces informations peuvent être utilisées dans les scripts Python.
Cr é e r u n e n ou ve lle boît e à ou t ils 1.
Clic droit sur ArcToolbox et Ajouter une

boîte à outils.
2.
3.
Définir Alias (ex : mesoutils) et Description dans

les propriétés de la boîte.
34
Ut ilise r M ode l bu ilde r pou r cr é e r u n scr ipt
 Construisez et validez votre modèle.

 Menu Modèle/Exporter… Vers un script Python
 Fichier *.py prêt à être modifié, développé…
a r cpy
 Site-package : contient l'ensemble des outils de géotraitement mais
aussi d'autres classes, modules et fonctions ('classiques').
 Succède au module ArcGISscripting utilisé dans les versions 9.2 et 9.3.
 Nécessite une version 2.7.x de Python.
Boîte à outils Module

import arcpy 3D Analyst 3d
from arcpy import env Analyse analysis
env.workspace = "c:\Student" Cartographie mapping
Conversion conversion
Géocodage geocoding
Module env
Geostatistical Analyst ga
Définit l'environnement d'exécution des Gestion de données management
outils de géotraitement. Mise à jour edit
Network analyst na
Référencement linéaire lr
Point d'accès central pour l'exécution de tous les Spatial analyst sa
outils de géotraitement d'ArcGIS, extensions Statistiques spatiales stats
comprises (sous réserve de disposer des licences Tracking Analyst ta
correspondantes).
35
Gr ou pe s de fon ct ion s e t cla sse s d'obj e t d'a r cpy
Aide en ligne : Desktop, Géotraitement, ArcPy
M odu le de ca r t ogr a ph ie : a r cpy.m a ppin g

 Le module arcpy.mapping permet d'ouvrir et manipuler des documents
ArcMap (*.mxd) et des fichiers de couches (*.lyr).
 Il est intégré à la structure de géotraitement d'ArcGIS.
 Il permet d'automatiser la plupart des aspects concernant la création, le
traitement et la gestion de documents cartographiques, mais ne donne pas
accès à tous les objets d'ArcMap.
Fonctions
Classes
36
M odu le a r cpy.sa ( Spa t ia l An a lyst )
 Tous les outils traditionnels d'algèbre spatiale sont intégrés de façon

transparente dans l'environnement Python depuis la version 10.0
 L'autocomplétion facilite la construction d'expressions.
 La nouvelle "Calculatrice raster" exécute des expressions d'algèbre
spatiale à l'aide de la syntaxe Python.
Au t r e s m odu le s ( 1 0 .1 )
 Network Analyst (arcpy.na) : utilisation des outils fournis par l'extension

du même nom, complétée par des fonctions et classes supplémentaires
pour automatiser les analyses de réseaux.
 Data Analyst (arcpy.da) : manipulation de données (édition, conversion de

et vers tableaux NumPy, gestion des domaines, réplicas, sous-types des
tables et classes d'entités de géodatabases. Nouvelles versions des
curseurs de recherche et mise à jour de données.
 Module temporel (arcpy.time) : classes, propriétés et méthodes pour

travailler avec des intervalles de temps et des zones horaires en Python.
37
5. Accès aux données
Som m a ir e
Accès aux données

 Espaces de travail
 Accès aux blocs de données et aux couches
 Ajout d’une couche à un bloc de données
 Objets permettant de créer des données
 Accès aux classes d’entités
Création de nouveaux jeux de données (tables, classes d’entités…)

 Champs et collections de champs
 Ajout d’enregistrements
 Mise à jour de valeurs
38
Obj e t m a ppin g.M a pD ocu m e n t ( docu m e nt Ar cM a p)
Une référence à un objet "document ArcMap" est souvent la première référence d'un
script Python car ce paramètre est requis par de nombreuses fonctions d'arcpy.mapping
Deux manières d'instancier un objet MapDocument(), le plus souvent selon que le script
s'exécute dans ArcGIS (le document courant est "CURRENT") ou à l'extérieur (chemin
d'accès et nom d'un fichier *.mxd)
Quelques propriétés de MapDocument : filePath (chemin complet du *.mxd), title,

activeView (nom de bloc ou mode page), relativePaths (option chemins relatifs cochée ou
non), description, author, credits…
Quelques méthodes de MapDocument : save(), saveACopy(), makeThumbnails(),

deleteThumbnails()…
Obj e t m a ppin g.D a t a Fr a m e ( bloc de don n é e s)

 Référence un bloc de données dans un document ArcMap.
 La fonction ListDataFrames() renvoie une liste de blocs de données dans leur
ordre d'affichage dans la table des matières.
Bloc de données actif :

 Propriété activeView() de MapDocument renvoie le nom du bloc actif.
 En écriture, modifier activeView() permet d’activer un nouveau bloc de
données ou de passer en mode mise en page ("PAGE_LAYOUT")
Nombre de blocs du document : >>>len(dfList)
39
Obj e t m a ppin g.La ye r ( cou ch e )
 Référence une couche dans un document ArcMap ou dans un fichier *.lyr.

 Plusieurs propriétés de la boîte de dialogue d'ArcMap ne sont pas (encore)
accessibles à l'aide de scripts Python : symbologie, plage de visibilité, etc.
 Il y a plusieurs types de couches, qui n'ont pas les mêmes propriétés : il est
nécessaire de tester le type de couche (méthodes isFeatureLayer(),
isRasterLayer(), isGroupLayer()) ou si telle propriété est supportée (méthode
supports(nom_propriété) avant de l'utiliser.
 La fonction ListLayers() renvoie une liste de couches dans leur ordre
d'affichage dans la table des matières.
 La fonction Layer() permet de référencer un fichier *.lyr
Aj ou t e r u n e cou ch e à u n bloc de don n é e s

Possible avec 3 fonctions de arcpy.mapping :
 AddLayer(bloc, couche, position= AUTO_ARRANGE, BOTTOM, TOP)
 AddLayerToGroup(bloc, groupe, couche, position)
 InsertLayer(bloc, couche de référence, couche à ajouter, position = AFTER, BEFORE)
La couche à ajouter peut provenir d'un fichier *.lyr, d'un document ArcMap mais pas être créée.
Su ppr im e r u n e cou ch e : RemoveLayer(bloc, couche)
D é pla ce r u n e cou ch e : MoveLayer(bloc, coucheRef, coucheDeplacee)
40
Cor r ige r la sou r ce de don n é e s
Il est très fréquent qu'un document ArcMap "perde" le lien
avec les données sources des couches sur disque.
La fonction ListBrokenDataSources(document ArcMap ou fichier
*.lyr) permet de récupérer la liste des couches orphelines.
Les méthodes de la classe Layer :
 findAndReplaceWorkspathPath(ancien espace de travail,
nouvel espace de travail)
 replaceDataSource(nouveau chemin, type d'espace de travail, {jeu
de données})
permettent de se ressourcer en changeant l'espace de travail
ou l'espace de travail et aussi le jeu de données.
Mise à jour de la table des matières : arcpy.RefreshTOC()

Appliqu e r u n e n se m ble de dé fin it ion à u n e cou ch e
 Sous-ensemble d'entités pour l'affichage et l'analyse (propriétés de la

couche, onglet Ensemble de définition).
 Utiliser la propriété definitionQuery de la classe Layer.
41
En vir on n e m e n t de gé ot r a it e m e n t :
cla sse a r cpy.e n v
 Les paramètres d’environnement de géotraitement
sont les paramètres système par défaut, utilisés
par chaque outil.
 On peut les définir par la boîte de dialogue ouverte
par le menu Géotraitement / Environnements…
 Ils correspondent aux propriétés de la classe
arcpy.env
propriété paramètre
workspace Espace de travail (string)
outputCoordinateSystem Coordonnées en sortie (prj)
extent Etendue de traitement (xmin, xmax,
ymin, ymax)
cellsize Taille de cellule (analyse raster)
etc.
Espa ce s de t r a va il ( w or k spa ce s) e t don n é e s

Un espace de travail est généralement un répertoire ou une géodatabase.
Types d’espaces
de travail Workspace
(Workspaces)
contient
(répertoire)
Table
Raster
(géodatabase)
Classes d’entités
(FeatureClass) DataSet
Table
Jeu de classes d’entités

(DataSet)
FeatureClass
…
42
Accè s a u x don n é e s
 Fonctions : ListDatasets(), jeux de données ; ListFeatureClasses(), classes
d'entités ; ListFiles(), fichiers ; ListRasters(), rasters ; ListTables()
 L'espace de travail doit avoir été défini auparavant.
 Toutes les fonctions ont un paramètre wild_card permettant de filtrer les
noms de fichiers : ex : "toto*.
 Paramètres supplémentaires selon le type de données : type de géométrie,
format de table, format d'image, etc.
ListFeatureClasses ({wild_card}, {feature_type}, {feature_dataset})

{feature_type} : Point, Polygon, Polyline, etc. Tous les types affichés par défaut.
Parcourir la liste et faire le traitement voulu, par exemple, exporter toutes les
classes d'entités de la géodatabase en fichiers de formes.
ListRasters ({wild_card}, {raster_type})
{raster_type} : BMP, GIF, IMG (Erdas Imagine), JP2 (Jpeg2000), JPG, PNG,
TIFF, GRID (ESRI GRID), ALL (tous les types de raster, défaut).
ListTables ({wild_card}, {table_type})
{table_type} : dBASE (fichiers DBF), INFO (table ARC/INFO), ALL (tous les
types de tables, défaut, mais pas encore de fichier Excel)
43
Cr é e r u n e spa ce de t r a va il ( W or k spa ce )
Création de l'espace de travail souhaité en fonction

du type de données à utiliser à l'aide d'un outil du
jeu d'outils Espace de travail de la boîte
management (outils de gestion de données).
La fonction ListWorkspaces({filtre},{type}) permet de récupérer la liste des

espaces de travail d'un type donné.
Si aucun argument, l'ensemble des espaces de travail disponibles :
Cr é a t ion de n ou ve a u x j e u x de don n é e s
 Outils CreateFeatureClass_management(), CreateFeatureDataset_management(),
CreateTable_management()...
 Type de données créé dépend du type de l’espace de travail (workspace) spécifié :
Espace de travail CreateFeatureClass CreateFeatureDataset CreateTable

Répertoire ShapeFile (3 - Fichier DBF
fichiers)
Géodatabase Classe d’entités Jeu de classes d’entités Table de géodatabase
Table (workspace, nom, modèle)

Classe d'entités (workspace, nom, géométrie : "POINT", MULTIPOINT",
"POLYLINE", POLYGON")
Jeu de classes d'entités (workspace, nom, référence spatiale)
44
Vé r ifie r l'e x ist e n ce de don n é e s : fon ct ion arcpy.Ex ist s( )
 Vérifie l'existence de classes d'entités, de tables, de jeux de données, de

fichiers de formes, d'espaces de travail, de couches dans l'espace de
travail courant lors de l'exécution.
 Gère les chemins d'accès d'ArcCatalog (seulement reconnus par ArcGIS) :
 Pour les sources de données autres que géodatabases et

jeu de classes d'entités, possibilité d'utiliser l'instruction:
os.path.exists
Ecr a se m e n t de don n é e s e x ist a n t e s

 Par défaut, aucun outil n'écrase de donnée préexistante. Cette option peut être
changée si la propriété arcpy.overWriteOutput est True. Si cette propriété est
False, une tentative de réécriture causera une erreur.
 os.remove(path) efface le(s) fichier(s) indiqué(s), sans passer par la corbeille !
D é cr ir e le s don n é e s : la fon ct ion D e scr ibe ( )
 Les outils de géotraitement fonctionnent avec des types de données très

différents. La fonction Describe() permet de déterminer les propriétés d'un
jeu de données (type, champs, index, etc.) afin de le traiter de manière
appropriée.
 Describe() renvoie un objet de la classe Describe. Tous ces objets ont des
propriétés communes (baseName, catalogPath, children, dataType,
extension, file, name, path, etc.) et les propriétés correspondant à leur type
de données (GDB, table, fichier de forme, etc.)
45
Accé de r a u x ch a m ps ( Fie lds)
 Tables et classes d’entités ont une propriété fields, liste de champs

renvoyée par un objet Describe.
 Liste de champs renvoyée également par méthode arcpy.ListFields(),
pouvant être filtrée sur le nom et le type du champ.
 Propriétés des champs: nom, alias (aliasName), domaine, modifiable (editable),
indexé (hasIndex), isNullable (accepte l'absence de données), requis, longueur,
type (SmallInteger, Integer, Single, Double, String, Date, OID, Geometry, BLOB),
échelle, précision.
Type OID: compteur donnant un numéro unique à

chaque enregistrement, appelé "OID" ou "FID".
Type Geometry : appelé le plus souvent "Shape"

Type Double (float), Single (entier long).
Tr a va ille r a ve c le s ch a m ps
Avec les outils de géotraitement :
 AddField_management(table, champ, type)
 DeleteField_management(table, champ)
 CalculateField_management(table, champ, valeur)
Nombre de champs : fonction len() sur la liste renvoyée par ListFields.
Test si un champ donné existe : longueur de liste non nulle pour un appel à
ListFields avec critère nomChamp.
 Fonction ValidateFieldName(table, nomChamp) : vérifie si un nom de champ est conforme

aux normes de la source de données (ex : moins de 11 caractères, pas d'espace ni de
caractères spéciaux pour les tables DBF) et corrige nomChamp si nécessaire.
 Fonction AddFieldDelimiters(table, nomChamp) : ajoute les délimiteurs de champ
correspondant aux requêtes de l’espace de travail (crochets pour GDB perso, guillemets pour
fichiers de forme).
46
Syst è m e s de coor don n é e s : obj e t Spa t ia lRe fe r e n ce
 Instanciation : sr = arcpy.spatialReference (chemin_complet_vers_fichier_prj)
 Propriété : name, donne le nom du SRS (ex : 'RGF Lambert 1993')
 Méthodes : exportToString() copie le contenu du fichier .prj dans une chaîne,
loadFromString() réalise l'opération inverse.
 Le système de coordonnées est une propriété :
- des blocs de données (arcpy.mapping.DataFrame)
- de la description (arcpy.Describe) d'une couche, classe d'entités, jeu de
données...
Lister les systèmes de référence

d’un espace de travail.
47
6. Filtres, curseurs,
sélections et symbologies
Som m a ir e
Sélectionner des d'enregistrements

- Filtre attributaire
- Filtre spatial
Travailler sur des ensembles ou sous-ensemble d'enregistrements
- Curseur de recherche
- Curseur de mise à jour
- Curseur d'insertion
Mettre à jour la symbologie
48
Le s cu r se u r s
 Un curseur permet de parcourir un ensemble d'enregistrements d'une table ou d'une
classe d'entité, en renvoyant un objet Row (contenant l'enregistrement ou entité) à
chaque itération.
 Trois types de curseur : SearchCursor(), UpdateCursor() ou InsertCursor().
obj e t s a r cpy.Cu r sor e t a r cpy.da .Cu r sor ( version 10.1)
rows = arcpy.méthode(table, {where_clause}, {spatial_reference}, {fields})
SearchCursor
Filtre attributaire ou
InsertCursor renvoi de toute la table
UpdateCursor
rows = arcpy.da.méthode(table, champs, {where_clause}, {spatial_reference})
Liste de champs ou "*" (tous les champs) ou jetons renvoyant des informations sur la
géométrie : SHAPE@XY, SHAPE@X, SHAPE@Y, SHAPE@AREA, SHAPE@LENGTH, SHAPE@...
Accé de r a u x e n r e gist r e m e n t s d'u n cu r se u r
 Parcours à l'aide d'une boucle for
 Parcours à l'aide d'une boucle while
Lors de leur création, les curseurs pointent au-dessus

du premier enregistrement. On utilise la méthode next()
pour pointer sur le premier enregistrement, puis de
nouveau next() pour faire défiler les enregistrements.
None est renvoyé en fin de curseur.
Impossible d'atteindre un enregistrement particulier (position), ni de "remonter"

dans le curseur, il faut pour cela réinitialiser le curseur avec reset().
49
Filt r e a t t r ibu t a ir e
 Requête SQL sur un ou plusieurs
attributs d'une table.
 Il faut rédiger la clause Where. :
<champ> <opérateur> <valeur>
 La syntaxe SQL varie suivant la
source de données :
Géodatabase Fichier de forme

personnelle Couverture ArcInfo
GDB fichier
Délimiteur de champ [] ""
Un caractère ? _ (underscore)
0, 1 ou + caractères * %
Casse indifférent sensible
Fonction arcpy.AddFieldDelimiters(workspace, nomChamp) ajoute les délimiteurs qui

conviennent à nomChamp dans le workspace considéré.
 À partir d'une couche vectorielle (Layer) ou d'une vue tabulaire (View) :
Sé le ct ion pa r a t t r ibu t s
 Modificat ion des ent it és sélect ionnées.
SelectLayerByAttribute_management (inlayer_or_view, {selection_type}, {where_clause})

Exemple : sélectionner tous les pays dont la superficie est supérieure à celle de la France
Ex t r a ct ion pa r a t t r ibu t s
 Créat ion d'une nouvelle t able ou classe d'ent it és.
Select_analysis(in_features, out_feature_class, {where_clause})
50
Filt r e s spa t ia u x
 Type de filtre, qui peut également avoir un critère attributaire (paramètre ClauseWhere).
 Sélectionne des entités selon leurs relations spatiales.
 Utilisable avec classes d'entités uniquement.
 Relation spatiale : INTERSECT, WITHIN, CONTAINS, HAVE_THEIR_CENTER_IN, etc.
SelectLayerByLocation_management(in_layer,
{overlap_type}, {select_features},
{search_distance}, {selection_type})
Exemple : sélectionner toutes les villes de Chine.
En r e gist r e m e n t s e t e n t it é s ( obj e t s a r cpy.Row )

 Un objet Row est renvoyé à chaque itération du curseur.
 Il permet d'accéder aux valeurs des champs d'une table (et notamment au
champ qui porte la géométrie des classes d'entités).
Méthode Rôle
getValue(nomChamp) Renvoie la valeur du champ
isNull(nomChamp) Vrai si le champ est vide (Null)
setNull(nomChamp) Affecte Null à la valeur du champ
setValue(nomChamp, objet) Affecte une référence à objet au champ
Accéder à la valeur contenue dans un champ :

row.getValue(nomChamp) ou row.nomChamp
Affecter un objet à un champ :

row.setValue(nomChamp, objet) ou row.nomChamp = objet
51
Curseur de recherche : SearchCursor()
curseur = arcpy.SearchCursor (dataset, {where_clause}, {spatial_reference}, {fields}, {sort_fields})
Parcours en lecture seule d'un ensemble d'enregistrements (calcul de statistiques,

comptage d'enregistrements...).
 dataset : nom de table ou de classe d'entités
 {where_clause} Filtre d'enregistrements.
 {spatial_reference} Référence spatiale
 {fields} champs à retourner, séparés par des ";" (tous par défaut)
 {sort_fields} champs de tri séparés par des ";", noms suivis de "A" (pour ascending) ou
"D"(pour descending)
curseur = arcpy.da.SearchCursor (table, champs, {where_clause}, {spatial_reference})
 table : nom d'une classe d'entités, table ou couche.

 champs : liste des champs qui sont concernés par le curseur, ou "*" représente tous les
champs (mais pas pratique, il faut accéder à un champ par son index), ou jetons
renvoyant des informations sur la géométrie ou l'OID.
 {where_clause} Filtre d'enregistrements.
 {spatial_reference} Référence spatiale.
SHAPE@XY —A tuple of the feature's centroid x,y coordinates.

SHAPE@TRUECENTROID —A tuple of the feature's true centroid x,y coordinates.
SHAPE@X —A double of the feature's x-coordinate.
SHAPE@Y —A double of the feature's y-coordinate.
SHAPE@Z —A double of the feature's z-coordinate.
SHAPE@M —A double of the feature's m-value.
SHAPE@ —A geometry object for the feature.
SHAPE@AREA —A double of the feature's area.
SHAPE@LENGTH —A double of the feature's length.
OID@ —The value of the ObjectID field.
52
Curseurs de mise à jour : UpdateCursor()
 Modification ou suppression d'enregistrements.
 Utilisable avec ou sans filtre.
 Méthodes next(), deleteRow(), updateRow() disponibles
Exemple : mise à jour de la valeur d'un champ Densite sur l'ensemble d'une classe :
curseur = arcpy.UpdateCursor(table, {where_clause}, {spatial_reference})
curseur = arcpy.da.UpdateCursor(table, champs, {where_clause}, {spatial_reference})
Mises à jour en dehors d'une session de mise à jour : pas d'annulation possible !
Curseurs d'insertion : InsertCursor()

 Ajouter des enregistrements.
 Pas de filtre.
 Méthode : newRow() crée une ligne vide et insertRow() l'insère en fin de table.
curseur = arcpy.InsertCursor(table)
curseur = arcpy.da.InsertCursor(table, champs)
Liste de champs ou "*" (tous les champs) ou jetons renvoyant des informations sur la
géométrie : SHAPE@XY, SHAPE@X, SHAPE@Y, SHAPE@AREA, SHAPE@LENGTH, SHAPE@...
53
M e t t r e à j ou r u n e sym bologie ( 1 0 .1 )
Nouvelles classes arcpy.mapping permettant de modifier une symbologie de couche :

- par valeurs uniques (classe UniqueValueSymbology),
- par couleurs graduées (classe GraduatedColorsSymbology),
- par symboles gradués (classe GraduatedSymbolsSymbology)
- par classification d'un raster (classe RasterClassifiedSymbology).
Tester le type de symbologie d'une couche : propriété symbologyType de la classe
Layer (valeurs : "UNIQUE_VALUES", "GRADUATED_SYMBOLS, "GRADUATED_COLORS", "OTHERS").
Mise à jour d'une symbologie unique en fonction du résultat d'une requête (couche 'usstates_L48')
mxd = arcpy.mapping.MapDocument("current")
lyr = arcpy.mapping.ListLayers(mxd)[0]
arcpy.SelectLayerByAttribute_management(lyr, "NEW_SELECTION", '"POP1999" > 10000000')
stateList = []
rows = arcpy.da.SearchCursor(lyr, ["STATE_NAME"])
for row in rows:
stateList.append(row[0])
if lyr.symbologyType == "UNIQUE_VALUES":
lyr.symbology.classValues = stateList
lyr.symbology.showOtherValues = True
arcpy.RefreshActiveView()
arcpy.RefreshTOC()
54
7. Géométries
Som m a ir e
 Type d’objet géométrie.

 Créer de nouvelles géométries par la programmation.
 Examiner les relations spatiales.
 Afficher des entités.
55
Type d'e n t it é s gé om é t r iqu e s
 Objets des classes Point, Polyligne (PolyLine) Polygone (Polygon)

Multipoint, Polyline ou
Polygon servent à Multiple Multiple
représenter une entité
Simple Simple
(feature).
 Une entité peut être simple
ou multiple (plusieurs
parties) : chemins et boucles
Chemin (Path) Boucle (Ring)
sont renvoyés par la
méthode getPart().
 Point (x, y) : base de
toutes les géométries. Segments
 Fichiers de forme :
2 points reliés
par une courbe
Line BezierCurve EllipticArc CircularArc
uniquement segment de
type Line.
Point Multipoint
Ut ilisa t ion de la gé om é t r ie
 Classes d'entités simples possèdent un champ géométrie, généralement
nommé Shape.
 La fonction Describe permet de récupérer le nom du champ géométrie d'une
classe d'entités par la propriété shapeFieldName et son type par la propriété
shapeType.
 La valeur du champ géométrie, obtenue avec getValue() est un objet géométrie,
qui dispose de plusieurs propriétés décrivant l'entité.
Calcul de la surface totale de

géométries à l’aide d’un curseur.
56
Poin t s ( obj e t s Poin t e t Poin t Ge om e t r y)
 Un point est défini par un couple de coordonnées (X, Y). Il peut avoir des
propriétés M (mesures), Z (altitude) et un identifiant ID.
Point ({X}, {Y}, {Z}, {M}, {ID})
 Par défaut : X et Y sont à 0.

 Un objet Point n'est pas à proprement parler une classe de géométrie : pas
de méthodes descriptives, à comparer avec un objet PointGeometry.
 Une collection de points peut servir à construire n'importe quel type de
géométrie.
Pr opr ié t é s de s obj e t s Gé om é t r ie
Permettent d'obtenir des informations décrivant un objet de type Géométrie
(PointGeometry, Polyline ou Polygon).
Méthode Rôle
geom.area, geom.length Surface, périmètre.
geom.centroid, geom.trueCentroid Centroïde.
geom.firstPoint, geom.lastPoint Premier et dernier point de geom.
geom.hullRectangle Coordonnées du plus petit rectangle enveloppant geom.
geom.isMultipart, geom.partCount geom est-elle multiparties, combien de parties.
geom.getPart(n) Renvoie la partie n de geom (point ou tableau de points)
geom.labelPoint Point d'ancrage de l'étiquette de geom.
geom.type Type de geom : point, ligne, polygone.
geom.pointCount Nombre de points de geom.
Valeurs numériques renvoyées par area et length sont dans les unités dans lesquelles les entités sont
stockées (souvent en mètres)  plus parlant de convertir en kilomètres, hectares ou kilomètres carrés.
57
M é t h ode s de s obj e t s Gé om é t r ie
Renvoient True ou False selon les relations spatiales entre l'objet geom1
(point, ligne ou polygone) et l'objet geom2.
Méthode Rôle
geom.contains(geom2) geom1 contient geom2.
L'intersection de geom1 et geom2 produit une géométrie
geom.crosses (geom2)
de dimensiobn inférieure.
geom.disjoint (geom2) geom1 et geom2 n'ont aucun point en commun.
geom1 et geom2 sont constituées du même ensemble
geom.equals (geom2)
de points.
L'intersection de geom1 et geom2 produit une géométrie
geom.overlaps (geom2)
de même dimension.
geom.touches (geom2) Les limites de geom1 et geom2 s'intersectent.
geom.within (geom2) geom1 est contenue dans geom2.
Obj e t Ar r a y
 Un objet Array peut contenir un nombre indéfini d’objets géométrie de tous types.
Array ({items})
 items : peut être un point, une liste de points ou un autre Array.
 Propriété count renvoie le nombre d’éléments du tableau.
Méthode Rôle
add(value), append(value) Ajoute un point ou un autre tableau à la fin du tableau.
clone(point_object) Clone un objet point.
extend (items) Etend le tableau avec items.
getObject(index) Renvoie l’objet du tableau situé à la position indiquée.
insert(index, value) Ajoute un objet au tableau à la position spécifiée.
next () Renvoie l’objet suivant la position courante.
remove(index) Supprime l’objet situé à la position spécifiée.
removeAll() Supprime tout le contenu et renvoie un objet vide.
replace(index, value) Remplace l’objet à la position spécifiée par value.
reset() Replace le curseur sur le premier élément du tableau.
58
Colle ct ion de poin t s ( obj e t M u lt ipoin t )
 Collection ordonnée de points.
Multipoint (inputs, {spatialReference}, {hasZ}, {hasM})
 inputs : liste de coordonnées (de type Point ou Array)
 Autres paramètres optionnels
 Propriétés et méthodes des objets Géométrie.
Création d’un fichier de
formes de multipoints à
partir d’une liste.
Lign e s ( obj e t Polylin e )

 Un objet Polyline est une entité définie par un ou plusieurs chemins, chacun
étant une série de segments connectés.
Polyline (inputs, {spatialReference}, {hasZ}, {hasM})
formes de lignes à partir
d’une liste de points.
59
Polygon e s ( obj e t Polygon )
 Un objet Polygon est une entité définie par une ou plusieurs formes fermées
(anneaux), chacun étant une série de sommets (x, y) reliés.
Polygon (inputs, {spatialReference}, {hasZ}, {hasM})
 inputs : liste de coordonnées (de type Point ou Array).
 Autres paramètres optionnels.
formes de polygones à
partir d’une liste de points.
Méthode getObject(n)
renvoie l’élément n de Array.
Obj e t Ge om e t r y
 Un objet Geometry définit un type d’entité (point, multipoint, ligne ou polygone)
et la forme correspondante.
Geometry (geometry, inputs, {spatialReference}, {hasZ}, {hasM})
Un objet Geometry peut être

utilisé pour recevoir le
résultat d’un géotraitement.
Ici, g ne contient que les

géométries.
60
Le ct u r e de la gé om é t r ie
d'u n e e n t it é
 La propriété getPart() retourne une

énumération des points de la
collection.
 Permet de lire les propriétés des
points (coordonnées, numéro de
partie et numéro de sommet).
 Le premier appel à next() se place
sur le premier enregistrement.
xmax
Obj e t Ex t e n t ( e n ve loppe , e m pr ise ) ymax
 Plus petit rectangle englobant une géométrie.

 Rectangle défini par son coin inférieur gauche et son xmin
ymin
coin supérieur droit.
Toute géométrie a une enveloppe renvoyée par sa
Etendue d'un polygone
propriété Shape.extent
Extent ({XMin}, {YMin}, {XMax}, {YMax}, {ZMin}, {ZMax}, {MMin}, {MMax})

Affichage de l’étendue
d’une entité :
Permet de zoomer sur une entité : propriété extent du bloc de données (DataFrame)
61
Ope r a t e u r s t opologiqu e s ( 1 0 .1 )
 Les classes de géométrie supportent des opérateurs topologiques : boundary

(limites), buffer, clip, convexHull (enveloppe convexe), difference,
distanceTo, intersect, symmetricDifference et union.
Buffer
ConvexHull (enveloppe convexe) Difference
distanceTo
Clip (découpage) Boundary (limites)
Géometrie dite « simple » si elle est topologiquement

correcte (polygones fermés, segments non dupliqués,
etc.). Les entités sont corrigées avant d’être ajoutées à
une classe d’entités..
62
8. Éléments de
mise en page
Som m a ir e
 Eléments cartographiques (Layout Elements).

 Impression / exportation de cartes.
 Utilisation de fichiers PDF
63
Élé m e n t s ca r t ogr a ph iqu e s ( La you t Ele m e n t s)
 Conteneurs pour des blocs de données, des

éléments d’habillage de carte (MapSurrounds),
des objets d’autres applications ou des tables
de données.
Liste mise à jour dynamiquement en fonction
des changements opérés dans le bloc de
données.
Obj e t s Gr a ph icEle m e n t
Propriétés Type
elementHeight RW Hauteur, largeur, position (x, y) de l'élément. Unités de Float

elementWidth la page ou de la carte
elementPositionX
elementPositionY
name RW Nom de l'élément String
type R DATAFRAME_ELEMENT (bloc de données), String

GRAPHIC_ELEMENT, LEGEND_ELEMENT
MAPSURROUND_ELEMENT (échelle, flèche du Nord)
PICTURE_ELEMENT, TEXT_ELEMENT
 Les différent s obj et Elem ent hérit ent des propriét és de GraphicElem ent
et aj out ent les leurs ( t ext pour Text Elem ent , t it le pour LegendElem ent ,
 Les propriét és liées dynam iquem ent sont non m odifiables ( ex : it em s
de la légende) .
La fonct ion a r cpy.List Gr a ph icEle m e n t ( docAr cMap, { t ype_élém ent } )

renvoie la list e des élém ent s cart ographiques d'une m ise en page.
64
module arcpy.mapping
I m pr e ssion d'u n e ca r t e
Impression vers un fichier ou vers une imprimante :
 ListPrinterNames()
 PrintMap(map_document, {printer_name}, {data_frame}, {out_print_file}, {image_quality})
Ut ilisa t ion de fich ie r s PD F Méthode de l'objet

PDFDocument :
Création d'un document PDF vide :
 PDFDocumentCreate(pdf_path)
Ouverture d'un document pdf existant :
 PDFDocumentOpen(pdf_path, user_password=None, master_password=None)
Fonctions du module arcpy.mapping
Ex por t a t ion d’u n e m ise e n pa ge
Nombreux formats images ou vecteurs disponibles :
Formats vectoriels Formats image

 ExportToEPS()  ExportToTIFF()
 ExportToAI()  ExportToJPEG()
 ExportToPDF()  ExportToBMP()
 ExportToSVG()  ExportToGIF()
 ExportToEMF()  ExportToPNG()
Exemple : exporter la carte courante au format JPEG
65
9. Scripts et outils
Som m a ir e
 Paramètres en entrée et en sortie.

 Résultats de géotraitement
 Enregistrer un script en tant qu'outil.
66
Pa r a m è t r e s e n e n t r é e e t e n sor t ie
 En entrée : méthode GetParameter() pour passer un objet
et GetParameterAsText() pour une chaîne de caractères.
 Respectivement en sortie : méthodes SetParameter() et
SetParameterAsText()
 Les arguments sont numérotés à partir de 0.
Chaque paramètre d’outil est associé à un objet Parameter, qui possède des propriétés
et méthodes utiles pour la validation de l’outil :
Méthode Rôle Type

clearMessage () Efface les messages d’erreur ou d’avertissement.
hasError () Vrai si le paramètre contient une erreur. Boolean
hasWarning () Vrai si le paramètre contient un avertissement. Boolean
isInputValueDerived () Vrai si l’outil est validé au sein d’un modèle et est une sortie d’un autre outil du modèle. Boolean
setErrorMessage (message) Assigne un message d’erreur au paramètre (ce qui empêche l’exécution).

Assigne un message d’avertissement au paramètre (ce qui n’empêche pas l’exécution de
setWarningMessage (message)
l’outil).
altered Vrai si l’utilisateur a modifié la valeur du paramètre. Boolean
Type de données attendu du paramètre : couche ("GPLayer"), nom de champ ("Field"),
datatype String
fichier sur disque ("DEFile"), nombre décimal ("Double"), etc.
Propriété Rôle Type

defaultEnvironmentName Environnement String
direction Paramètre en entrée ("Input") ou en sortie ("Output") String

displayName Nom du paramètre affiché dans la boîte de dialogue de l’outil. String
enabled Vrai si le paramètre est disponible. Boolean
filter Filtre à appliquer aux valeurs du paramètre. Filter
hasBeenValidated Vrai si le paramètre a été validé. Boolean
name Nom du paramètre. String
parameterDependencies Liste indexée des paramètres dépendants. Integer
parameterType Paramètre requis ("Required") ou optionnel ("Optional"). String
symbology Chemin vers la couche (.lyr) utilisée pour la sortie. String

value Valeur du paramètre. Object
 Paramètres définis par programmation ou dans l'onglet
Paramètres des propriétés de l’outil.
 Paramètre peut accepter plusieurs types de données
(données composites) :
67
Ré su lt a t de gé ot r a it e m e nt : obj e t a r cpy.Re su lt
 Les outils de géotraitement renvoient un objet Result, à la différence des
fonctions classiques d'arcpy.
 L’objet Result contient les informations, en lecture seule, sur les résultats
d'exécution du géotraitement qui figurent dans la fenêtre Résultat.
resultatOutil = arcpy.nomOutil_nomBoite(paramètres)
Méthode Renvoie…
getInput(indice) un des paramètres en entrée.
getMessage (indice) un message donné.
getMessages ({severity}) la liste des messages (0 = information, 1 = avertissement, 2 = erreur).
getOutput (indice) un des paramètres en sortie.
getSeverity (indice) le niveau de gravité d’un message donné.
Propriété Rôle Type

inputCount Nombre de paramètres en entrée Integer
maxSeverity Niveau de gravité maximal des messages. Integer
messageCount Nombre de messages émis Integer
outputCount Nombre de paramètres en sortie Integer
resultID Identifiant du travail String
Statut de l’exécution de l’outil : New, Submitted, Waiting, Executing,
status Succeeded, Failed, Timed out, Cancelling, Cancelled, Deleting, Deleted Integer
Aj ou t d’u n scr ipt à u n e boît e à ou t ils

1. Clic droit sur une boîte à outil, Ajouter > Script. Préciser Nom,
Etiquette et Description dans la boîte de dialogue.
2. Indiquer le fichier de script (nom complet avec chemin d’accès).
3. Définir les paramètres d’entrée et de sortie
4. Modifier éventuellement dans l’onglet « Validation », la classe
ToolValidator qui gère la boîte de dialogue de l’outil :
Méthode Appelée…
__init__(self) Initialisation de l’outil.
initializeParameters(self) Ouverture de l’outil
updateParameters(self) Modification d’un paramètre
updateMessages(self) Exécution de l’outil
Le code permet de gérer les listes de paramètres (self.param[n]), les

paramètres visibles (enabled) ou non, etc.
68
Ut ilisa t ion de boît e s à ou t ils pe r son n a lisé e s
Il est possible d'importer une boîte à outils personnalisée dans arcpy avec la
fonction arcpy.ImportToolbox().
Les outils de la boîte « MesOutils.tbx » sont disponibles dans la fenêtre

Python. Ils sont préfixés par arcpy.mesoutils.
Comme les modules intégrés, il bénéficie de l’aide et de l’autocomplétion

du code. Ils sont également disponibles dans tout script dans lequel arcpy
a été importé.
Boît e s à ou t ils Pyt h on
 Boîte à outils qui ne contient que des outils de script Python.

 Dans la fenêtre Catalogue, clic droit sur un répertoire : Nouveau / Boîte à
outils Python
 Création d'un fichier *.pyt (fichier texte) selon un modèle à personnaliser :

une boîte contenant le canevas d'un outil.
 Clic droit sur la boîte à outils pour la modifier (préciser l'éditeur par défaut
dans les options de Géotraitements d'ArcMap, notepad.exe par défaut).
 La classe Tool doit être renommée et personnalisée. Elle peut être
dupliquée pour ajouter de nouveaux outils à la boîte à outils.
69
10. Création de
compléments (add-in)
Com plé m e n t s ( a dd- in )

 Un complément est une personnalisation de l'interface utilisateur d'une application
ArcGIS : bouton, outil, zone de liste modifiable, menu, barre d'outils, palette d'outils…
 Se présente sous la forme d'un fichier compressé avec extension .esriaddin
(contenant XML, script, icônes, etc.)
 Facile à partager et installer

(répertoire spécifique).
 Développement avec .NET, Java,
XML (v. 10.0) et Python (v. 10.1).
 Nécessite le téléchargement et
installation de l'assistant de
complément Python qui va
générer tous les fichiers
nécessaires au fonctionnement du
complément.
http://www.arcgis.com/home/item.html?id=5f3aefe77f6b4f61ad3e4c62f30bff3b (7 Mo)
70
Pr oj e t s de com plé m e n t s
Pas nécessaire de créer un complément pour ajouter simplement un outil de géotraitement, système
ou personnalisé, à une barre d'outils existante (menu Personnaliser / Mode personnalisation).
 Lancer l'assistant : (1) choisir un répertoire vide pour le complément, (2) remplir les
paramètres (application hôte, nom, version, description, but…) qui apparaîtront dans le
Gestionnaire de compléments (menu Personnaliser des applications ArcGIS), (3)
enregistrer le projet, (4) créer et personnaliser le type de complément voulu.
Création d'une barre d'outils personnalisée

et d'un bouton de commande.
Création d'un bouton de commande
 Attaché à une barre d'outil du

complément (clic droit / Nouveau…).
 Définir ses propriétés : légende, classe
Python qui sera exécutée, messages
d'aide, icône…
 Ecrire le code : modification du script
Python dans le dossier Install du
répertoire de travail du complément.
Dans le cas d'un bouton, implémentation
de la méthode onClick(self).
71
Génération et test du complément
 Dans le répertoire de travail, ouvrez et exécutez le script makeaddin.py 
création d'un fichier .esriaddin
 Double-clic sur le fichier .esriaddin qui vient d'être créé pour lancer
l'utilitaire d'installation des compléments ESRI ArcGIS.
Cliquer sur Install Add-in pour installer le

complément dans le dossier par défaut :
c:\Utilisateurs\<nomutilisateur>\Documents
\ArcGIS\AddIns\Desktop10.1
Un sous-répertoire nommé à l'aide d'un

GUID (global unique identifier) est créé et
reçoit le fichier .esriaddin :
{dd0a6710-985a-479e-8b91-0212bdd34b05}
Ouvrir l'application ArcGIS  le complément est

actif (sinon voir le Gestionnaire de compléments)
Modification d'un complément existant

 Faire une sauvegarde avant toute modification.
 Pour modifier les paramètres ou le contenu d'un complément : relancer
l'assistant de complément Python et naviguer vers le répertoire de travail du
complément. Attention : le script Python original est sauvegardé et remplacé
par une version vierge ( recopier le code à partir de la sauvegarde).
 Pour modifier le script Python : éditer directement le fichier py.
 Recréer le fichier de complément (à l'aide du script makeaddin.py)
 Installer le fichier .esriaddin mis à jour.
72
Conclusion
Pyt h on e t Ar cGI S 1 0 .2
Beaucoup moins de nouveautés concernant Python que dans la version 10.1 :
 Service de géocodage d'adresse.

 Création de bases de données SQLite.
 Conversion d'images multibandes en tableaux tridimensionnels NumPy.
Source : What’s new for geoprocessing (ArcGIS Help 10.2)
73
Ar cObj e ct s  ArcGIS est développé à partir de composants
logiciels programmables s’appuyant sur la norme
COM (Component Object Model) : les ArcObjects.
 création et utilisation indépendante du langage
de programmation.
Ex : les ArcObjects sont programmés en C++.
 Une application compatible peut utiliser les objets COM d'autres applications.
 Plusieurs technologies s’appuient sur cette norme : OLE, OLEDB, ActiveX, DirectX…
Principe : les objets COM « communiquent », indépendamment du langage qui a

servi à les créer, uniquement à l’aide d' « interfaces » qui regroupent des propriétés
et des méthodes.
Dans la « base de registres » de Windows: HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Classes\Interface
Il est également possible d'utiliser ArcObjects directement avec Python.

http://www.pierssen.com/arcgis/upload/misc/python_arcobjects.pdf
Package comtypes : http://pypi.python.org/pypi/comtypes
Epilogu e
Python ne remplace pas totalement VBA car de nombreux objets, propriétés
et fonctions sont encore inaccessibles par arcpy. Toutefois, Python apporte
une facilité de programmation incomparable avec VBA dans les domaines où
il s'applique.
Par ailleurs, les versions successives d'ArcGIS apportent de nouvelles
fonctionnalités en Python.
Le langage Python est également utilisable dans le monde SIG open

source (QGIS, PostGIS, GRASS...), ce qui en fait un langage dont le
spécialiste peut difficilement se passer…
Bonne route !
74
Annexes
75
Bibliogr a ph ie
Documentation ArcGIS 10.1 et 10.2
Python Scripting for ArcGIS®

(Paul A. Zandbergen), ESRI Press 2013
Learning Geospatial Analysis with Python

(Joel Lawhead), Packt publishing
Programming ArcGIS 10.1

with Python Cookbook
(Eric Pimpler), Packt publishing
W e bogr a ph ie
ArcGIS Resources
http://resources.arcgis.com/en/communities/python/
http://resources.arcgis.com/en/communities/analysis/
Support ESRI http://ressources.esrifrance.fr/ et http://support.esri.com
ArcScripts http://arcscripts.esri.com/ (plus mis à jour depuis 2010)
Forums http://gis.stackexchange.com/, http://www.forumsig.org/
Cours IUT Perpignan, Introduction aux scripts Python pour du géotraitement

ArcGIS http://gabriel.fraisse.perso.sfr.fr/ArcGIS/Python%20pour%20ArcGIS/
Cours Penn State University https://www.e-education.psu.edu/geog485/
Apprendre à programmer avec Python (Gérard Swinnen)

http://inforef.be/swi/python.htm
http://python.developpez.com/cours/TutoSwinnen
http://fr.wikibooks.org/wiki/Programmation_Python
Sites officiels : www.python.org , http://www.pythonfrance.com

76

Programmation Arc GIS Python V1!1!19dec2

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Initiation à Python avec ArcGIS

HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

2ème partie – Python avec ArcGIS

Pourquoi programmer avec ArcGIS ?

 Pour automatiser les tâches répétitives et gagner du temps.

 Parce qu'on a souvent besoin d’une fonction non fournie en standard.

 Pour être autonome.

7 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

 Fournir de petits exemples de codes réutilisables (snippets).

 Permettre de comprendre, modifier, utiliser des scripts ou programmes écrits en

 Savoir utiliser les outils de géotraitement, manipuler des données

 Donner l'envie d'aller plus loin.

8 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

 Quels outils et pour quoi faire ?

 Qu'est-ce que Python ?

 Pourquoi utiliser Python ?

 Quelle version avec ArcGIS ?

 Comment utiliser Python ?

• La fenêtre Python dans ArcGIS

• Editeurs externes : IDLE, PythonWin, PyScripter

10 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

11 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

 Créé en 1991 par Guido van Rossum (toujours développeur du projet).

 Diverses implémentation : CPython (standard), Jython (java), IronPython…

 Site web : www.python.org

Dans l'anglaise langue, se prononce

12 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

13 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

PYTHON version 2.7 livrée avec ArcGIS 10.1

Installation de Python par défaut dans le répertoire c:\Python27

AML (pour ArcInfo, jusqu'à 7.x) VBA .Net (VB, C#)

14 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

 « Fenêtre Python » dans les applications ArcGIS.

 Environnements de développement intégré (IDE), fournissant plus ou moins de

Fe n ê t r e Pyt h on Menu Géotraitement / Python ou icône

Nombreuses autres interfaces de

17 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

18 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

Pour utiliser les outils d'ArcGIS dans

Télécharger sur : http://code.google.com/p/pyscripter/

19 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

Concepts de base du langage Python :

22 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

23 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

Affichage de la valeur d’une variable :

Afficher le type d’une variable : fonction type()

Détruire une variable : del

24 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

Les commentaires du programme sont introduits par le signe : #

" Pse udo- com m e nt a ir e s"

Liste des codecs (encodeurs-décodeurs) de texte :

25 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

 La fonction str() permet de transformer une expression numérique en chaîne.

 Le caractère \ ajoute des possibilités complémentaires :

Composition d’expressions et formatage de texte :

Utilisation de paramètres de substitution en précisant ou non le nombre de

27 HB – Programmation d’ArcGIS – Support de cours

Type s n u m é r iqu e s e t opé r a t e u r s m a t h é m a t iqu e s

 Opérateurs division entière // , modulo % , puissance **

 Fonction eval(chaine) : évaluation d'un nombre ou d'une expression numérique

Priorité des opérations dans une instruction :