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Ceci pour deux raisons (outre le fait que le système qu’elles décrivent, servent ou
contestent, évolue) :
- La diversité des formes d’organisation selon le secteur auquel elles appartiennent,
selon leur antériorité (le poids de l’histoire est important et les influences aussi) selon
leur taille également…
- Les organisations peuvent être étudiées selon plusieurs aspects comme les
caractéristiques internes, leurs rapports aux extérieurs, les relations (de pouvoir,
d’alliances, hiérarchiques…) entre les individus, selon les objectifs communs ou
divergents…
Ainsi, il n’existe pas une science de « l’organisation » mais des sciences de l’organisation
croisant l’économie, la science politique, la sociologie, la psychologie, le droit dont l’un des
objets d’étude est précisément l’organisation comme telle ou certaines de ses composantes.
En revanche, la littérature est dominée par deux grands courants qu’il convient d’étudier :
- Le paradigme (ou courant) fonctionnaliste (on admet un système de coopération
plutôt harmonieux et en équilibre – le système d’ensemble n’est pas remis en cause :
mieux, « on » est ici à son service)
- Le paradigme (ou courant) critique ou hétérodoxe (repérage d’intérêts divergents et
analyses des conflits : ici le système dominant est combattu)
Rappel :