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Un scénario Casus Belli pour CAPPEL DE CTHULHU Le centre qe Séléne Ce scénaris conviendra & un groupe d‘Investigateurs noyennement expérimentés, sous la houlette d'un Gardion des arcanes capable d'improviser, Les joweurs peuvent étre novices ou vétérans, Los mentions « p. KK» renvoient a la 5' édition de « L’appel de Cthulhu ». Introduction Pars, printemps 1920. Tout le monde réap rend @ vivre apr la plus horrible guerre de Thistoir. 1 fait beau, fambiance est a Fopt mise... Jusqu'a jour od 'un des Investigateurs recoit une envelope bordée de noir A Tinterieut, un faire-part Sa cousine Emilie, dont il rvavait plus de nouvelles depuis des années, vient de mourit Les obséques auront lieu le surlende rain, au cimetire de Montmartre. Tente Germai- ne, la mére d’Emile, a ajouté une breve note rmanuscrite, sur le théme «je compte sur ta pré sence dans ces moments difficiles». Linvestiga teur serait le dernier des mufle sl se defiait Bien entendu, le joueur va demander des préct sions. Son personnage sat relativerent peu de chases de cette branche dela famille, & part des, souvenis lointains étés passés ensemble, dans la propriété de ss grands-parents, en province. A Tépoque, Emile état une charmante jeune file. Ele set marigeen 1910, vingtdeux ans, et aeu un enfant cing ans plus tard. Martial Francoeur, son mati, a été tué quelques jours avant armas tice, lnvestgateur fa jamals vue petit René, qu se retrouve orphelin a Tage de quatre ans. Bien sir, le coup du drare familial commence a ‘te use, depuis le temps que les scénaristes de Lapel de Cthulhu sen servent sans vergogne. Crest néanmoins Tune des méthodes les plus simples et les plus efficaces pour lancer un scé nario. Dans n'importe quel groupe de person- rages, vous pouvez étre sir quil yen aura au ‘moins un & qui ce petit morceau histoire fan liale sappliquera sans difficultés. En fit, avec in peu de chance, vous aurez méme la possibi t@ de décider que les Investigateurs sont tous cousins. A défaut,jouez la premiére scéne avec le personnage concern, et aissez-le contacter ses amis juste aprés lenterrement. Ni fleurs ni couronnes Le service funébre se déroule sous un soleil radieux. Le ban et farrgreban dela famille est Le malheureux Investigateur retrouve un trou peau dfoncles et de tantes quil nlavait pas vus depuis des années, des hordes de cousins, des _meutes de neveux et de niéces...Tante Germaine a beaucoup viel. Elle approche des sotxante dix ans, et Elie était son demier enfant surv ‘vant. Ele couve farouchement le petit René, tout raide et tout tide dans son costume nor. is ‘lement, le pauvre bout de chou est (pour utliser une expression modeme) complétement trauma: tis. Il parle a pene, et débite d'une voix mécani- ‘que les réponses aux condoléances que sa grand: meére lia apprises la veile au soit, LCenterrement proprement dit est parfitement déprimant. Bien si le pett René ny assist pas ‘Aon age, e serait une épreave trop dure a sur= rmonter. Il est resté a Thtel particulier de sa rand mre, sous la garde des domestiques.Aprés| Te cimetire, tout le monde sy rend pour le epas, Celutet est conforme la tradition: trop copleux, et prétexte a bavardages et commérages fami liaux. En bout de table, cBté de Germaine, René grignote un peu de viande accompagnée de purée... et sécroule, le visage cyanosé, Si Tnves tigateur ne se précpite pas, Cest quil 'a vrai: ment pas Téoffe d'un héros. Héas, Penfant est dja mort, Comme le cousin Mathieu, le pharma cien, pourra le diagnostiquer immédiatement, est un empoisonnement, Selon Iu, Cest de la strychnine, en dose sufisante pour liquide tou te lassemblée. La police arrive, en compagnie un médecin qu confirme opinion de Mathieu “Tout le monde est interrogé par Tinspecteur Jan vie, un petit gros a moustache et chapeau melon, puls renvoyé dans ses foyers avec la perspective un nouvel enterrement la semaine suivant, Peu dlvestigateurs restentiniférentslorsqu’on assassine eur propre famille sous leur nez. Log «quement e personnage devrait prendre cela com me une offense personnelle, et appeler ses col Tegues a la rescouss. Que se passe-t-il? Emile t René ont tous les deux été assassinés, ‘mais pas par la méme personne. En fait, dans esprit de son meurtrier, 'asassinat de René est tun act de justice. Aprés tout, enfant avait tué sa propre mere Remontons un peu en arrive. mile s'est mariée en 1910 avec Martial Franceur, un homme riche et charmant, dont elle était tc8s amoureuse. Seule combre leur bonheur: is Warrivaient pas & avoir enfants. En 1914, Martial est parti ala guerre, laissant Emile seule et rongée d'angoisse, cert ne quelle serait bientt veuve, lle avait du temps lire et, un jour, Tune de ses amies ll parla de ce «entre de cure» en Touraine, dont la propriétare se faisait fort de guéir toutes les formes de ster: lite. Emile décida de tenter sa chance. Ele passa quelques semaines au centre Séléne, une grande ferme située a flanc de collin, &des kilometres de tout, Elle y suivit le traitement recommandé par la maitresse des lieux, une certaine «Madame Isthar». A son retour, elle retrouva Martial, qui profitait de sa premiére permission. Le petit René rnaquit neuf mois plus tard, en juillet 1915. Disons-e tout de suite, Mme Isthar est une sorié re. Cenfen est pas moins une tres brave femme, qui na strictement rien & voir avec Cthulhu et ses sbies, Malheureusement, lle a trés mal choi si endroit od installer son centre de cure. I se ‘wouve que lacolline oil est tia un passe. ly a quelques millénaies, ce fut le liew du culte ‘une entité démoniaque et assoifée de sac fices, Comme tous ses congénéres, cee créature sendormit lorsque les étoiles ne li furent plus propiees. lle sommelle depuis, mais les bic lages magiques de Mme isthar Font rapprochée de Vevell. En fait, le monstre est assez conscient pour pénétrer dans les reves de certainescuristes, lex passer un marché avec elles: des enfants. en change de lime de leur premier-né. La pauvre Emilia fait partie de celles qui ont accept. Elle sen a conservé aucun souvenir conscint, mais somatttude & Tégard de René a toujours été bizar: re... Son is est tres inteligent, rs rnfermé..et pas entlérement humain. Il abrite un fragment Ge la conscience du monstre et cela se vot. fi Jiea fini par avoir peur de son fils Un soir, René Ta poussée dans la rviere, Exit File test lel que nous falsons connaissance du der: ner personnage de afaie: Jeanne Leguennec, ‘une ancienne infil du centre Séléne. Jeanne ‘est une brave femme bien dérangée, vaguement médium, qui esent» que quelque chose cloche avec certaines patients. Eile a été renvoyée ily trois ans, mais a conservé les noms et les adresses de celles qutelle rouvat «étranges>. Apprenant la mort dE, elle a fit une petite enquéte, a compris que ele petit démons Tavait tuée, vest mélée aux domestiques qui préparaent le repas de midi, et a ajouté du poison aux plats dest: nés a René. Aprés quoi elle s'est éclipsée ~S aS Orientons-nous Dans un premier temps, les fnvestigateurs peu vent deployer leurs talents dans deux directions. Lamort de René ‘© Le résultat de Fautopsie sera conn le sure demain, René a succombé a une dose massive de strychnine, ou plus précisément de mortaux- rats, administée par voie orale. Le Dr Kellerman, ui a pratique les examens, fest pas facile & approche. Toutefols, si les Investgateurs font cet effort, ils seront récompensés par un petit bout d'information qui ne igure pas dans le rap port. Selon Kellerman «Le pauvre gosseelaurait as vécu vieux, de toute facon avait une curiew se malformation cardiaque ~ je n'avais jamais rien vu de pare Ca Tauraittué un jour ou autre, d'un seul coup, sans peévenir ly avait aussi une ‘ou deux bizarreries chimiques. Je nfl pas pous sé Texamen, javais trois autres clients qul ater dalent que je es ouvre Mais je suppose que c'est pour ca quia claqué auss vite Normalement, la ‘mort-aux-rats met un moment & agi, mais la, ¢a a éinstantané.» Lnspecteur Janvier nest pas un imbécile, mais iva prendre un peu de retard su les personnages, leur laissant le plaisir de le devancer réguliere ‘ment. Dosez ses interventions selon vos besoins, ‘mais inira par sinéressr a la mort Emile, et ‘emontera probablementjusqu'au centre Séléne. Bien entendu, dans la grande tradition du genre, ia horreur des detectives amateurs. ‘© Linterogatoire des domestiques de Germaine donne tout de suite une piste. La cuisinere se souvient fort bien dune grande femme «toute rmaigre, avec une robe noiren, qui est entrée et engage la conversation. Elle a prise pour une cousine pauvre, ou une dame de compagnie. La femme n'est pas restée plus de cing minutes. Diautres serviteurs ont vue, mais personne n'a fait attention elle, «Elle paralssait tellement convenable» est a réponse la plus fréquente. © Aprés avoir entendu ga, Janvier lance un avis de recherche, et commence interroger un par un tous les droguistes dela région paristemne, ala recherche de celul quia vendu la mort-aux-rats Sans suecés: Jeanne se lest procurée 4 Tours. La mort d'Emilie Tante Germaine est effondrée, alitee et refuse toute visite pendant quarente-huit heures, Ens: te elle reprend le dessus, et accepte de recevoir les Investigateurs. Elle sit las peu de choses sur Taccident Emilie et René étaient en vacances, la propriété familia, et Emilia fait une chute fatale dans larivire, un solr. lle ne proteste pas sie Investigateurs ul font part de leur désit de rouvrirVenquéte, Aprés tout, ele est tout aussi capable qu'eux de trouver bizare cette succession de morts, Les personnages rvont done plus qu’a s'embar quer pour Vernon, charmante localité situge & tne petite centaine de kilometres au nord ouest de Paris. Tante Germaine y posséde un ancien ‘moulin couvert de lere,entouré dun grand parc traversé par une petit rivire. ly a une vingta: ne de pies, dimmenses cheminées, un grenier plein de chauve-souris et une maison séparée pour les domestiques. Les serviteuss sont tos. Pour commences, ily a Met Mime Barlieu, qui sont agés, charmants et ‘ourulent es postes de maitre hte, de cuisni re, de jrdinier et de cocher. Is ont vu grandi Emilie ont des tas anecdotes draconter sur son enfance et son adolescence, mais ne savent pas srand:-chose ls ont tous les deux remarqué que le petit René était anormalement calme pour un enfant de son age, et qu’Emilie état trop nerveu se, mais ils attribuent cela la mort prematurée de Francoeur et & «cte maudite vie de Parisien ‘qui vous détaque avant heures Virginie, la pti te bonne qui vient pendant la journée, naimait pas René, mais sans trop savoir pourquoi. Au cours de la conversation, Tun des trois mention nera Mme Mancin, la nurse de René lla raccom pagné le petit gargon & Paris, et ils supposent aufelle doit chercher une autre place, a Theure uil est. Hein? Non, elle nat pas malgre et habillée de noir, quelle drdle ide! {Une reste plus qua retourner Pars pour écumer les bureaux de placement. la troisiéme tentat ve, les Investigateurs metent la main sur Mme Mancin, Cest une femme d'une trentaine dan nées, plutotcorpulente et tout fat gentle. lle est assez discrte sur ses précédents employes, mais les PJ touverontcertainement le moyen de Jui der la langue (il suffira de uf trouver une autre place, ou de veil ce quelle ait es moyens. de ne pas en chercher une pendant un ou dew ‘mois) Selon elle: «René était un drole de petit, sarcon. Toujours gent toujours calme, jamais de caprces, jamals de colées. Tes intelligent, aus- sill vemait juste dapprendre aire, ei d6voait tous les livres qui ul tombaient sous la main Jai rarement eu & mioceuper d'un enfant aussi facil et ene comprends pas pourguol Mime Em le. enfin el... ene veux pas dire du mal des morts mals. elle ne elmalt pas vralment, Je ‘ois. lle at foe avec li.Non je ne ais pas pourquoi Je suppose quelle ne desir pas wal rent ave enfants. Beaucoup de jeunes femmes riches sont dans ce cas, aprds tout» Consultée, Me Barc (ou Germain) se écrient se indignation. ien sir ques, il oulat un enfant! Germaine ees pas au courant, mais Ne Barliew lassera €chapper une allusion a «son séjour dans un hpitalspécial pou ga. Ele ven saltpas plus. Ine reste plus qu’ fare une petite visite & ap- partementpatisien dEilie, dan un coin cossu du Vit arrondissement. Si les Investigateurs y vont assez tt i sera encore en état. AU bout lune huitaine de jours, Germaine aura fait don- ner essentiel dese affaires aux bonnes auvres dela parosse, et aura récupér les papiers. Une fouile rapide ne monte en danonmal: Emile rmenait ute ve tranquil et elie, corespondait avec quelques amies de pension. Elle était tes croyanteet le cuté, quia connassalt ben, fap préeiit beaucoup Un jet de Trower objet cache révile une (oute petit) range dans un dossier poussireux: une facture du Cente de cure Sale ‘ne (pour un montant rode) datée de septem bre 1914 La femme en noir véapparait! «Hroisme dune domestique! «La meuttriére ride!» «La veuve noire échoue!» Toutes ces man chettes apparassent ala premiére page des jour ‘aux, peu prés au moment oi les Investigateurs uront récupéré les informations des paragraphes précédents. Dépouillée de ses ornements jour nalistiques, Mhstoire est simple. La veille, une ‘femme en noir stest présentée ala porte de ser vice de (hétl particulier du marquis de Varsena. Elleatentée de faire parler la bonne des enfants ‘de Mme de Varsenac. Labonne, avide letrice de fats divers, est tout de suite doutée quell avalt affaire la meurtriere, ele s'est élipsée sous un prétexte quelconque eta envoyé chercher la pol ‘ce. Malheureusement, a son retour la femme en noir avait dispar. Si les Investigateurs cherchent un élément récu rent, il leur sufft de consultr le bottin mondain ut raliser que le coupe s'est mariéen 1908, et ‘que le jeune Antoine de Varsenac rest né quien décembre 1915. Le marquis de Varsenac est un homme a approcher avec précaution. Il est dépu (6, a & ministre avant la guerre, connalt tout Pari... Quant a sa femme, elle a vingt ans de moins que Iui, une réputation irréprochable et deux beaux enfants, un fis de cing ans et une fille de trois. Elle est plus disponible et plus facile & rencontrer que son épous, mais cest une faciité toute relative, Ele vouvrra crtalnement pas sa porte a nimporte qui et, méme si les person: rages parviennent la renconter, elle ne lachera as spontanément ce quelle sit. En fait, ell une tvestgatice se alt admettre au centre, flee découvrir en de passionnat Les patentes sont mrtées fate de Venecie, manger copieuement, a absorber dlversesptules (a simples comprimésdevtamins, ul sont latherpiea la mode. Tous es sos, Mme isthar igen stance de « méditationhindowe », (qu const a reste asiseen poston dt tas Jusqu't avo des crampes et ne penser rin De temps en temps, ele invite une des patents ume tance de médttation dans son bureau. ‘nes pase ren de pls {Le plus surpronantest que tout cela fonctonne, danse certatne mesure. ve shar nen a pas onscane, masses « pris» sont eannamment efits, pour peu que la patente cot Apras acu, environ la mat des pattetes sont guries de leur tei. lus cals qu ont pass un pace aves ere sus la cal, bens, ne baissere sa garde que si les Investigateurs mentionnent eux memes le centre Séléne, Dans ce as, elle leur confiera quell ya passé quelques semalnes, Te 1914, «Cat plutbt des vacan ces quum séjour Thopital. La société éait un peu rélée, mais fimagine quion doit faire face ce genre de désagréments, parfois.» Si les P} insis tent beaucoup, ils peuvent rencontrer, brive- ‘ent, Je petit Antoine et sa soeur Sophie, Celle-ci est parfatement normale, alors qu’Antoine est précoce, renfermé et peu démonstrati Fata AU PAYS DE SELENE i au a Premiéres informations Le centre de cure Séléne existe depuis 1907. Il est installé& la campagne, une trentaine de Jdlométres de Tours, a Fécart de tout. Sans etre spécialement secréte, C'est une institution dis: crt, qui ne fait pas de publicté, et dont les sentil de lacientée est attrée parle bouche & orelle~ la stéiité Féminine est quelque chose ‘assez mal connu A 'Gpoque, et qui conserve un Bt vaguement scandaleux et plutét déshono: rant pour celles quien souffrent (quanta la sté rilité masculine, elle nexiste pas, du moins pas dans esprit des hommes des années 20), Si les nvestigateurs remontent dans le passé duu ‘centre & Taide des journaux locaux, ils ny tou vverontstrictement rien d’trange. En revanche, il ya quelques articles algres-doux sur sa fondatri ce, Sidonie Dravile, alias Mme Isthar. Sans aller Jjusquia Taccuser descroquerie, les jouralistes font remarquer qu'une «ancienne médium arivee au bout du rouleau qui, au tourmant du siecle, a réquenté tous les décadents de Pari, rest peut- {tre pas a personne la plus qualifie pour exercer la médecine. Sis prennent contact avec le centre, par lettre ou par téléphone, ils seronttratés avec coutoisie et, Analement, invites & vent le visite. Etsi,..les Investigateurs sont paranoiaques? Attendez-vous 4 ce quils trouvent des ruses et des prétextes ahurssants pour sintroduire dans le centee La vite suffira, mais ils peuvent aussi ‘essayerdinflrer une investigate, de se doter de prétextes coficiels», de se faire embaucher com: ‘me jrdnier.. Dans un premier temps, coopérez. ais Mme Isthar nest pas tombée de la demigre pluie. Hl fnira par démasquer les personages. CCeuccinfont in de plus terrible a redouterqulune expulsion assorte dun sermon sur le theme «la prochaine fois, je préviens la police», mais nos heros niont aucun moyen de e savoir. Les lieux Dans une vieantéieure, le centre Séléne était une arande ferme, au ane d'une collie, cing Kilo metres du village le plus proche. Ilya un grand batiment d'habitation, plus une grange converte en gymnase, des cours de tennis et une piscine couverte, Pendant la visite, Mme Isthar sétend surtout su le confort de Fendroit, et reste assez ‘vasive surle traitement. En revanche, elle four nit sans héste les tar, plutétcoquets. A moins 4uils ne présentent dTexcellentes raisons, les Investigateurs réauront pas le droit de rencon- trer des patientes. Les personnages ont deux possibilté. Sil ya une ferme dans le groupe, elle peut prendre pen sion au centre. Sinon, ils en seront réduits au charme tes relatif de Lhostelre du cheval blanc, au village, et & espionner discrétement, Mme Isthar naccepte en aucun cas que des hommes séjourment parm ses patentes~ cela frat jase. Les habitants ‘© Madame Isthar. Petite, Boulotte, trop fardée, avec trop de bijoux... ers 1880, eee fat des ravages parmi les peintres et les sculpteuts par sens, mais son heute de gloire est passée depuis longtemps. Cela ne Fempéche pas de continuer 3 Jouer les coquettes. le est réllement medium et donne dans la «sorcellere» d deux sous ( Isabella Estarries, femme de confiance. Elle a Ja cinguantaine, un début de moustache, un gros ery Raa EL nezet des maniéres dignes d'un sergent de mari res, Tout ca dissimule un cceur dor et un cer veau remarquable. Cest elle qui fait marcher le centre au jour le our. @ Adéle, Josette et Léonie, infirmiéres et femmes de ménage. Eles sont jeunes, gentile, Jeanne Leguennec, folle & lier FOR 16 INTIO CONI6 — POUIT TALIS DEX 4 ApPio — EDUB. SAN 20. Pav 15 BiM Omge: +144 Armes: Coutenu de Boucher 55%, ern ompéterce: Cations bibiqus 80%, ‘Chaner des eaniques en jane Jeeccear ts ceane tox > Lentité de la colline POUSO INTIS Sort: Dafiagration mentale, Envoyer [ee ise comme sored name nom 153, male sans composante, et limite sux occupants de la ferme). Pouwar: peut prendre possession du corps

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