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Dans la matinée, nous allons vous expliquer les nombreux monuments qui se
trouvent dans la Place Vittorio Veneto, important pivot de la ville. On descendra
dans les "Sassi" pour la visite de la maison-grotte du quartier Casalnuovo. On
remontera ensuite dans le quartier Piano pour le déjeuner. Dans l'après-midi visite
du Musée de Palazzo Lanfranchi et de la fameuse Cathédrale romane. Enfin,
déplacement en bus afin de rejoindre le village néolitique de Murgia Timone.
Su via Muro
Au début de via Ridola* les Case Nuove édifiées pour abriter les
employés du séminaire.
On trouve ensuite:
- église de Sainte-Claire, édifiée pendant la seconde moitié du XVII siècle
avec les salles contigues qui abritent le musée archéologique nationale
“Domenico Ridola”;
Extérieur
Le temple, terminé en 1270, est de style roman apulien. Le
campanile, haut plus de 50 mètres, est contemporain à l'église (le
sommet fut ajouté au XVIII). La façade principale se présente riche
en éléments symboliques.
Nel Medioevo il portale della chiesa era simbolo e luogo della
giustizia umana e divina; non è raro che i tribunali vi tenevano dei
processi- y tiennent des procès. La presenza di coppie di leoni
presso gli ingressi delle chiese poteva essere un’ulteriore
indicazione della loro funzione giudiziaria (è il caso della porta
laterale); in effetti il trono di Salomone, il mitico re d’Israele famoso
per la sua saggezza, era affiancato da 2 leoni. Forse non è un caso
che- ce n'est pas par hasard que accanto alla porta sud,
fiancheggiata da leoni, vi sia la tomba d’un giudice (saraceno). Il
portale era anche luogo dove si prestava giuramento, si firmavano
contratti (anche di matrimonio); ma erano anche un luogo di
salvezza- salut: era sufficiente toccarlo per avere diritto d’asilo- droit
d'asile. Le portail principal est décoré par deux frises (viroles) dont
celle à l'extérieur à entrelacs et celle à l'interieur à volutes: cette
répétition du module symbolique fait allusion aux concepts de
l'infini, de la vie éternelle, de la rotation perpétuelle du soleil et de
l'alternance des saisons. Sur le jambage droit du portail nouns
trouvons l'un des deux petroglifi de la cathédrale. De quoi s'agit-il?
C'est une gravure (en ce cas faite par un pélerin) avec laquelle
l'auteur voulait laisser une trace indélébile de son passage; les
pélerins gravaient surtout le bâton, la besace, le chapeau à large
bord et les chaussures: en se cas est représentée un sandal qui
constitue la pointe de la lance de Longino, le soldat romain qui
transperça Jésus Christ. Un autre sandal est représenté sur la
façade sud. Dans la lunette la statue de la Madonna (Vierge) de la
Bruna, sainte patronne de la ville avec S.Eustache; ai lati della
porta vi sono le statue dei santi Pietro e Paolo.
La rosace centrale est formée par 16 petites colonnes et présente
aux coins 4 personnages. Quelle est leur signification? Si tratta
della rappresentazione del motivo della “ruota della fortuna” molto
in voga nel Medioevo. Tipicamente, nella Rota Fortunae si
distinguono quattro fasi: un movimento ascendente (a partire da
sinistra); il culmine della gloria, spesso marcato da un re in trono; la
decadenza; la caduta. Molto simile il simbolo della ruota solare,
rispettivamente con l’alba, il mezzogiorno, il tramonto e la notte.
Una figura simile si trova ancora oggi nei tarocchi di Marsiglia- cartes
de tarot de Marseille. In questo caso alla sommità l’Arcangelo Michele,
in funzione di custode della chiesa, trafigge il drago. La tradizione
vuole che il santo apparve per la prima volta su un monte del
Gargano; è per questo che l’arcangelo si trova spesso nelle chiese
in posizione dominante; da ciò deriva anche il fatto che i più
importanti santuari a lui dedicati (Monte S. Angelo, Mont Saint
Michel) sono costruiti sulla sommità di colline o monti. Ai due lati
due personaggi maschili (quello a sinistra con una tunica corta è un
artigiano) mentre in basso, a mo’ di atlante, una figura in ricche
vesti. Esiste un secondo rosone nel transetto sud nascosto dal palazzo
vescovile. Les quatre colonnes et les douze petites colonnes au
sommet font probablement allusion au quatre évangélistes et aux
douze apôtres.
Au cours de II Guerre Mondiale, la partie centrale de la façade fut
protégée par un épais mur de tufs tandis que les parties laterales
restèrent découvertes; en septembre 1943 une bombe éclata sur le
parvis et endomagea [andommajà] quelques parties de la façade;
en effet en septembre 1943 M. fut la première ville italienne à se
revolter contre l'occupation allemande. A' gauche se trouve l'haut-
relief de S.Teopista (femme de Eustache, patron de M.) attribué à
Aurelio Persio; la corniche présente encore les dommages de cette
explosion meme si les récents travaux de restauration ont effacé
les signes les plus évidents de cet épisode de guerre.
La façade laterale (sud) de l'église possède deux portes.
La première est la “Porta di piazza” et presente des éléments
décoratifs très intéressants: dans la lunette un petit panneau en
bas-relief représente le prophète Abraham, père des trois réligions
monothéistes Christianisme, Islamisme et Judaïsme; cela semble
suggérer un message de fratellance adressé aux communautés
présentes dans la ville au XIIle siècle. La porte suivante est la
"porte des lions" évidemment ainsi appelée pour les deux statues
qui la décorent, deux lions couchés symboliquement en défense de
la justice : come detto, la presenza di coppie di leoni presso gli
ingressi delle chiese poteva essere un’indicazione della loro
funzione giudiziaria (il trono di Salomone, il mitico re d’Israele
famoso per la sua saggezza, era affiancato da 2 leoni); forse non è
un caso che- ce n'est pas par hasard que accanto alla porta vi è la
tomba d’un giudice (saraceno). La décoration de l'architrave
presente (comme en Sain-Jean-Baptiste) des grenades/ pommes,
six petites tetes et trois fleurons: ici la signification religeuse se
mêle avec contenus apotropaïques (visent à éloigner les influences
maléfiques). Entre les deux portes, une fenêtre finement sculptée
(gravée); il s'agit du sépulcre d'un juge sarrasin, ce qui est
témoigné par une iscription en latin située au-dessous.
Gli stemmi della facciata sud.
I due blasoni maggiormente visibili sono presenti a sinistra della
cosiddetta “porta di piazza”.
Ci occupiamo prima dello stemma immediatamente di fianco alla
porta, di cui ormai rimane solo il profilo, avendo totalmente perso la
parte interna. Grazie soprattutto ad una foto scattata nel 1987, esso
è statto attribuito a Ferdinando I d’Aragona Re di Napoli;
probabilmente fu dipinto nel 1464, in occasione della visita del re in
città.
Il secondo si è meglio conservato perchè coperto da uno strato di
intonaco che avevavo lo scopo di nasconderlo. Si tratta dello
stemma di Louis d’Armagnac, Duca di Nemours e Vicere di Napoli.
Si tratta di uno stemma inquartato, con il primo e ultimo quarto
presentano quattro leoni rampanti di rosso su campo bianco, nel
secondo quarto gigli di Francia su campo blu, che probabilmente si
ripeteva nel terzo quarto. Di grande aiuto per l’attribuzione l’epigrafe
al di sotto; essa era composta da quattro righi di cui i primi due
sono quasi svaniti. Siamo nel quadro delle complesse vicende
storiche che interessarono il sud Italia fra XV e XVI secolo, quando
Angioini e Aragonesi si contesero il Regno di Napoli, con la decisiva
vittoria di questi ultimi nel 1503 con la battaglia di Cerignola. Louis
d’Armagnac, Duca di Nemours, era stato investito dal re di Francia
del titolo di Vicere di Napoli, con lo scopo di strappare l’intero
meridione alla corona aragonese. Dopo alcune iniziali vittorie
militari, il Nemours attuò una tattica di attesa, mentre l’esercito
spagnolo si asserragliò presso Barletta (sono i giorni della famosa
disfida). Luigi d’Armagnac entrò a Matera nel settembre del 1502 e
in questa circostanza il Conte di Matera Tramontano fu preso
prigioniero dalle truppe francesi entrate in città. Il tentativo del Duca
di Nemours non ebbe successo: nell’Aprile 1503, durante la
battaglia di Cerignola, morì sul campo lasciando il Regno di Napoli
agli Aragonesi.
Interieur http://www.basileusonline.it/cattedrale-di-s-maria-della-bruna
Le plan de l'église est en croix latine et à trois nefs. Dès que l'on
entre dans la cathédrale, il apparaît évident le contraste avec le
style de l'extérieur; rien est resté à l'état original, à l'exception des
beaux chapitaux médiévaux (dix, l'un différent de l'autre) et de
quelques importants morceaux de fresques. Au XVII on a ajouté un
peu partout stucs et décorations qui ensuite ont été recouverts
d'une dorure. Le plafond, au début en chevrons, est costitué par un
plan en bois du XVIII et présente trois toiles du XIX réalisées par le
peintre calabre G.B. Santoro.
Dès que l'on entre, dans le coin sud-ouest, voilà la fameuse fresque
du "Jugement dernier", unique exemplaire survivant de la
décoration picturale médiévale, exécuté par Rinaldo da Taranto
(peintre actif à la fin du XIII); il fut découvert pendant les travaux de
restauration des années '80. Dans la partie centrale de la fresque,
l'archange Michel transperce les pécheurs dans l'enfer; entre eux il
ya aussi un roi, un pape, des bénédictins. Dans le Purgatoire (partie
supérieure) sont représentés des bassins de purification. Dans la
zone inférieure de la fresque est présente une théorie (succession)
de saints: St.Pierre, Julien l'hopitalier, la Vierge, St.Luc: sur cettes
icones on peut noter plusieurs graffiti (XV-XVI) qui reportent des
dates de naissances, baptêmes et morts.
La maître-autel, en marbre blanc, provient de l'abbaye de
Montescaglioso (ravissant pays à environ 15 km de Matera): il est
surmonté par une toile du peintre maniériste napolitain Fabrizio
Santafede (1580), une vierge à l'enfant avec saints (entre autres
Jean Baptiste, Pierre, Paul) appelée par les matéranais "la cona
grande". Au bout du transept gauche le retable sculpté par Altobello
Persio en 1539; il présente la Vierge dans la niche centrale et dans
les latelales quatre saints; sur le marchepied, en bas-relief, la
(dernière) Cène, entre délicates frises de style renaissance.
En poursuivant à gauche, il est possible d'admirer dans une
chapelle la crèche sculptée à la moité du XVI par Altobello Persio et
Sannazzaro da Alessano en pierre calcaire polychrome (les cornes
du boeuf sont authéntiques). La deuxième chapelle à gauche abrite
les restes de S.Jean de M. Un discours à part mérite le premier
autel de la nef gauche qui abrite la fresque du XIII de la “Madonna
della Bruna” patronne de la ville ; la tempera faceva parte della
decorazione originaria delle pareti. A propos du nom, pour certains
il fait simplement référence au couleur de sa peau (vierge brune)
pour le fait qu'elle était moyen-orientale, ma c'est plus probable qu'il
dérive du lombard brùnja (=armure, donc protetion contre les
dangers). Elle est très vénérée par les habitants de M., qui la
honorent avec la grande fête du 2 Juillet. Les touristes ne doivent
pas rater cette fête très ancienne qui est célébrée tous les ans sans
interruption depuis que le pape Urbain VI, ancien archevêque de
Matera, a décrété l'événement en 1380. La fête commence par la
procession “dei pastori” (des bergers) qui accompagne la peinture
de la Vierge à travers les rues principales de la ville. Après la
célébration de la Sainte Messe dans la Cathédrale, la statue de la
Madonne de la Bruna (du XVIIIe siècle) est hissée sur un char
triomphal, réalisé chaque année par un artiste local, et escortée par
des chevaliers en costume d'époque. Le char est ensuite pris
d'assault et démonté (détruit) en un instant par une grande foule qui
essaie par tous les moyens de s'acaparer une pièce qui portera
chance à son propriétaire pendant une année entière. La fête se
termine par des feux d'artifice qui illuminent les quartiers des Sassi
et les grottes aux alentours.
Via Riscatto (rue du Rachat)
http://www.sassiweb.it/matera/la-citta-di-matera/storia-del-conte/
https://museoridola.wordpress.com/le-scoperte-archeologiche/i-villaggi-tricerati/
http://www.pangea-project.org/arcaiche-strutture/
http://www.arkeos.fr/musee/exposition-permanente/le-neolithique/
Jazzo Gattini (dal latino iăcĕo, iăcēre giacere, stare disteso, essere sdraiato-
s'allonger): era in origine un recinto-une clôture per il bestiame-le bétail; oggi
è stato ristrutturato-rénové e adibito a centro visite.
Davanti allo Jazzo Gattini vi è una "cisterna a tetto"; essa sembra una casa
semisepolta-enterrée, ma in realtà è un ingegnoso sistema per raccogliere-
collecter le infiltrazioni del sottosuolo e la condensa-la condensation naturale
dovuta alle differenze di temperatura. Sul tetto è presente il pozzo, da cui
l'acqua viene fatta fluire in vasche per abbeverare- faire boire il bestiame.
Nell’ambito di Murgia Timone insistono i resti di altri manufatti lapidei di
origine preistorica o protostorica. Presso il muro SE di Parco Radogna, a 80
m dallo spigolo E, si trova un mezzo circolo di grosse pietre, all’interno del
quale Ridola rinvenne alcuni pozzetti sepolcrali dell’Eta del Bronzo (coord.
satellitari: 40.671375, 16.636069)
A 250 mt a WNW di Iazzo Gattini, e ubicato parte di un muro a doppio
paramento di cui sopravvive la sola assise di base.
http://www.pangea-project.org/arcaiche-strutture/
https://blogcamminarenellastoria.wordpress.com/2014/10/23/matera-il-mondo-rupestre-della-murgia-timone/