Paragrahe 2-Le Maroc face à la dynamisation du commerce
Electronique. La plupart des purs développés ont bien saisi l’importance que revêt le commerce électronique dans le développement économique, c’est à partir de ce constat que la plupart de ceux-ci ont mis an œuvre des straatégies ainsi que des politiques pour la préparation d’un environnement favorable à l’encouragement et à la stimulation de ce phénomène. Notre pays lui aussi n’est pas hésité à agir dans le domaine. En effet, le Maroc a accordé dernièrement une importance considérable au développement du commerce électronique, toutefois il est nécesaire de signaler aux diffrent débat et conférences qui ont été pris et assisté par plusieurs acteurs et promoteurs qui ont pour préoccupation d’amener ce processus dans la bonne voie. C’est ainsi qu’a travers la journée sur «le commerce électronique » qui s’est déroulée à RABAT, le 03 juin 2002, on s’accorde sur le début d’apparition des premiers signes qui traduisent aussi bien le réveil du Maroc que la prise de conscience de l’importance que revêt le commerce électronique dans le nouvel ordre du commerce mondiale, mais aussi la nécessité pour que le Maroc se joigne au club restreint des pays leaders dans ce domaine eu égard à l’ouverture de son éconoimie et à l’importance du commerce internatinal dans son développement socio-économique en effet cette journée d’étude était co-organiser par le ministre de l’industrie du commerce et de l’artisanat (MICA) et le secrétariat d’état changé de la poste et des technologies de l’information (SEPTI) en collaboration avec l’association des professionnels des technologies de l’information (APEBI). Cette manifestation à également bénéfice du soutien du groupement pofessionnel des banques du Maroc (AUSIM), du Morrocan Internet society (MISOC) et du centre marocain de promotion des exportations. Cette journée d’étude a connu aussi la participation d’éminents intervenants relevan du secteur privé et public, elle s’est distinguée par la présence d’expert internationaux, dont plus particulièrtement Messieurs Bernard Stoven, secrétaire général de SIMPRO France, le shlenker de l’école supérieur de commerce à Grenoble, serafino MARCHEESE, de l’OMC. D’après ces considérations, on conclu donc qu’à l’instar des pays développés, le Maroc lui aussi a pris conscience du poids du commerce électronique dans le développement économique. Pour cet effet il convient donc d’amener le lecteur à envisager les efforts accomplis par le Maroc dans le but d’élever son niveau et d’améliorer son rang dans le classement au commerce mondial. Dans ce qui suit l’accent sera mis les ntreprises Marocaine en s’intéresant à ce qu’ils ont réalisés dans le domaine du e-commerce puis nous amènerons le lecteur à envisager ce qu’à réelisé notre pays aussi dans le domaine juridique du e-commerce en citant à titre d’exemple : La réglemntation juridique/sécurité/paiement. Chapitre 2 – Les nouvelles technologies du marché marocain à la lumière du web . comme beaucoup de pays, le Maro aussi prnd de plus en plus conscience de l’importance des enjeux de commerce électronique (C.E) et de la nécessité de se joindre aux pays leaders dans ce domaine,de ce fait un intérêt croissant est de plus porté sur ce secteur. En effet, à l’instar de ces pays, le Maroc présente, certes des écarts par comparaison aux pays pays développés, cependant et fort heureusement, cet écart n’est pas incomprssible et peut être comblé de manière relativement plus rapide que dans plusieurs autres domaines, ceci est d’autant plus à notre porté que le Maroc dispose d’un riche potentiel de compétences, principal facteur de développement de ces technologies ceci est aussi plus aisé dans la mesure où les investissements physiquers et financiers que requièrement le développement du C.Erestent reletivement peu capitalises. Il est donc nécesaire de maître en place des conditions favorables à la maîtrise au développemnt de cett technique d’échange et à l’élaboration d’une vision stratégique pouvant à terme, hisser le Maroc au rang de pourvoyeur à l’échelle continentale voire mondiale, en produits et services échangeés par le biais du C.E dans ce qui suit, nous allons voir quelques initiatioves juridiques en matières du C.E au Maroc ainsi que son aspect réglementaire, sécurité et paiement, enfin nous allons analyser les conditions mise en place dans dans un environnement financières pour ce secteur. Section 1– Le C.E une nouvelle réalité pour les les entreprises Marocaines. Il est unanimement reconnu que la taille d’une entreprise n’est désormais plus un obstacle, les facteurs clés de compétitivité sont aujourd’hui la flexibilité, la réactivité t la capacité à innover. C’est pour cela que plus vite les entreprises prendront conscience de l’importance de s’inscrire dans la nouvelle économie, «il est de plus en plus difficile de fonctionner au 21ème siècle avec une entreprise conçue au 19ème siècle ». exipliquait Daniel long, formateur Web au cntre de formation français Négocia. En effet, l’évolution technologique s’accélère, la mondialisation des marchés accroît les échanges et de nouvelles pratiques de travail apparaissent. Les secteurs marocaines du secteur des technologies de l’information assument non seulementleurs fonctions d’entreprises de services, mais ont aussi pour le moment un rôle «d’éducateurs ». « Nous avons un démarche pédagogique par rapport à l’offre » confirme Karim ZAZ, directur générale de Maroc connecte. L’entreprise a un besoin certain d’accompagnement puisqu’elle ne peut faire du commerce électronique d’emblée. Elle se doit d’aller très progressivement dans la mise en place de sa « net stratégie » en termes de sensibilisation interne du bpersonnel et d’étude des besoins de l’entreprise. 1-L’entreprise Marocaine face à la nouvelle économie : Les marocaines sont preneurs de technologie lorsqu’ils ont des produits à prix compétitive et des services adaptés par ce qu’ils veulent appartenir à cette nouvelle économie déclare NASSER Hajji, secritaire d’Etat aux postes et technologies de l’information. Internet présent d’ailleurs de nombreuses opportunités pour le royaume et ses entreprises qui peuvent devoir plus compétitive grâce au net. A partir du mois de janvier 2001 de nombreuses entreprises ont mis en place leur site Web et depuis juin 2001 , ce sont trois licences V-Sat qui ont été attribuées à des opérateurs d’étrangers malgré le nombre encore faible des internautes. Les cybers providers ont permis à un grand nombre de marocains de se familiariser avec les nouvelles technologies, il existe au maroc près de 1600 cybers prividers selon Samira Khalouk, responsable de département communication au sein de l’ARNT, mais cette floraison ne reflète pas la réalité de cette nouvelle activité qui n’a pas pu résister à une concurrence acharnée de grands opérateurs, notamment Maroc Télécom. Le prix d’une heure de connexion à baissé de 50 Dh en 96 à 5 voire 4.5 dh actuellement ; de plus les offres de connexion à domicile ont fléchi pour que Maroc Télécom accroître son nombre d’abonnés. La société Maroc télé-commerce, jeune start-up vient de lancer, sur le marché national le e-commerce, sa mission est d’intervenir dans la création et l’exploitation de stes Marchands allant de la crédition du magasin commercial sur le réseau et son hébergement à l’identification des commerçants. Les sites des clients seront référencés dans les principaux moteurs de recherches. Maroc télé-commerce va plus loin, elle se charge, aussi de la gestion des transactions allant de la valorisation du bon de commande électronique par l’acheteur jusqu’au traitement du paiement. Le processus ne s’arrête pas là puisque la société se charge de confirmer la vente en délivrant un nécessité électronique au client virtuel. La supervision du paiement est également assurée par Maroc Télé-commerce et ce à travers des cartes bancaires notamment Visa et Master card,ou bien à travers un paiement off-lien ou par porte-monnaie électronique. 2-Des sites marchands au Maroc : Le e-commerce fait ses premiers pas dans notre pays, c’est un domaine fort promoteur mais qui est caractérisé par une cocurrence extrêmement rude, en tout cas au niveau mondial. Les préparatifs vont bon train pour le lancement de la 1er expérience concrète du e-commerce au Maroc les 3 opérateurs privé sélectonnés par le gouvernement pour la mise en place une plate-forme de commerce électronique au profit des coopératives, peuvent passer à l’acte 3 conventions ont été signées à Rabat par leurs représentants d’une part et des affaires générales du gouvernement. En vertu de ces conventions, les 3 opérateurs signataires (Agro Marché Maroc Omnidata et Maroc Télé-commerce) s’engagent à assurer la réalisation et la maintenance de la plate-forme et garantir une qualité de service conforme aux normes internationales. Ils s’engagent également à domicilier, au Maroc les transactions et paiements traités par l’intermédiaire de la plate-forme, ce sera d’ailleurs la 1er fois que des systèmes de paiement électronique sécurisés seront expérimentés à partir du Maroc. Les 3entreprises ont investit essentiellement pour obtenir des parts de marché que le gouvernement promet d’apporter en incitant les coopératives et PME à concevoir des stites marchands sur le Net. Aujourd’hui quelques providers sous le poids et la force de la concurrence ont été à l’origine de l’apparitionde ce nouveau concept au Maroc ; l’e_commerce peut être assimiler à ces jounaux de petites annonces à la différence près que les propositions se font sur des pages Web. Les pionniers dans ce domaine sont I-Bazar, Dlala Souketo. Voici donc des exemples de sites marchands qui existe au Maroc ; * I-Bazar (WWW.Ibzar.com.ma) pouvait depuis le mois juillet 2001 est une plate – forme accueillant toute personne désirieuse d’acheter ou vendre un article donné, abstraction faite de sa nature concrètment, après avoir rempli une première page de renseignment, le vendeur propose son produit et un prix de départ, un délai est alors fixé pour la surenchère. *Dlala.com a été lancé le 15 septembre 2001, il est le 1 er site de vente aux enchères entièrement gratuit au Maroc, ainsi un véritable marchévirtuel accueille tout type de vendeur et d’acheteus cofrontant chacun leurs meilleur offres actuellement il compte plus de 4300 membres (dalalaux). *SouKeto.com a été lancé le 13 juillet 2001, ce site a été conçu par connecte com un provider Internet spécialisé dans les PME-PMI qui a également choisi de se consacrer aux activités génératrices de plus-value. Le site est basé sur le même principe que celui des 2 autres sites précités. *Tomobiles .Net est le le premier portait marocain cosacré 100% à l’automobile sur Internet. Ill arrive à un moment ou le secteur automobile est en pleine effervescence et où l’automobilste marocain à besoin d’une assistance professionnelle pour faire leur meilleur choix . c’est grace à un moteur de recherche qui permet de consultre selon plusieurs critères (marque, modele , catégorie budgets, prix …) qu’il facilite la décision d’achat d’un véhicule neuf ou d’occasion. 3-De nouveaux métiers pour le net-économie : La nouvelle économie est répartie en quatre touches différentes et autour de chacune de ces touches , un grand nombre de nouveaux métiers s’est développé. Au niveau de son département Marketing, Biotherm s’est par exemple dotée d’une responsable de la veille concurrentielle que de New York à Tokyo, prend le poule mondial de l’innovation dans son secteur. L’entreprise marocaine n’en est pas encore là puisque ce n’est qu’à un niveau élevé de maturité des marchés qu’il y a une segmentation de plus en plus fine des postes créant de plus en plus de nouveaux métiers . La mise en place de leurs sites, leur développement et leurs hébergements sont donc, pour le moment les besoins les plus importants des entreprises marocaines. Trouver les ressources humaines adéquates dans ces domaines s’avèrent encore fastidieux dans un « net-environnement » en développement. Donc pour chacun de ces métiers, l’entreprise externatise ses services. Elle a le choix de se faire accompagnée par un « Web-consultant » par une SSII ou encore par un provider spécialisé, il s’agit généralement des métiers de configuration et de l’installation et du paramétrage du réseau local, puis de l’hébergement des sites ou encore la gestion et la vente des noms de domaines . Parallèlement , d’autres métiers propres aux développement des sites émergent et sont généralement des déclinaisons de métiers prés existants, il s’agit d’activités tels le désigne du site, on parlera de web désigner, web journaliste,de web documentaliste, de web marketeur, ou de web master (personne qui anime le site),bref, toutes les déclina son web possibles. 4-Le recutement virtuel au Maroc : L’internet s’impose de plus en plus comme un outil privilégié dans la recherche d’emploi. En europe et aux étas unis, le concept du e-recrutement est vulgarisé. En France par exemple plus de 13% des PME recrutement via Internet. Freelance. Com une start-up spécialisée dans le recrutement virtuel, s’est donc aventurée en ouvrant une filiale au Maroc, où beaucoup de choses restent à faire dans le domaine des nouvelles technologies. On ne dispose pas de chiffres concernant l’e-recrutement, mais une chose et sûre, Internet est aujourd’huit très peu utilisé à ce sujet. La raison est simple, le nombre des internautes est encore très peu utilisé à ce sujet, la raison est simple, le nombre de internautes est encore très faible au Maroc, avec un coût d’accès et des prix de matériel informatique très élevés. La strat-up vise les indépendants (free-lance). Elle reçoit leurs demandes et se charge de les traiter et les classer. Elle dispose d’une base de données diversifiée et dotée d’un systéme de Scoring qui permet de placer la bonne personne au bon poste. Mohamed Benbobker directeur général de Freelance. Com se charge lui-même d’interviewer les condidats potentiels. Ce processus est moins cher qu’un recrutement classique. Le rôle de cette start-up est d’aider les entreprises à minimiser leurs charges et réduire les démarches des demandeurs d’emploi. Ainsi Initiative groupe (Cabinet de conseil, formation et recrutement par Internet) vient de lancer à l’occasion de son premier anniversaire, un forum virtuel de l’emploi intitulé « initiative e-emploi ». cette manifestation qui a démarré du 15 janvier au 31 du même mois sur le site : WWW.Initiative.Co.ma. M. Reda Yahyaoui directeur général du cabinet à précisé que ce forum. Vise à mettre en relation les condidats en quête d’emploi ou d’une évolution de carrière avec des entreprises. Le forum est également un espace d’information de conseil et de discussion la participation est gratuite et la procédure à suivre est très simple, il suffit d’introduire son C.V dans la banque de données en line. 5- les débuts balbutiments de e-banking au Maroc. e-banking est un terme anglicique qui désigne les services bancaires électroniques via Internet , elle gagne mondialement du terrain et profitant de l’Internet naissant pour les nouvelles technologies, commerce de même à faire de l’ombre aux banques classiques. Mondialement oui, mais au Maroc , le chemin est encore long. Rares sont en effet les banques qui ont sauté la pas pour proposer de réels services de Home Banking. Mais on trouve des établissements financiers à taille un peu plus réduite que y ont vu bon levier de compétivité : Crédit du Maroc, CIH et la BMCI. Dernière en date, la filiale de la BNP (banque nationale de paris) vient d’enrichir son site Web, lancé en avril 2000, d’un volet dédié aux entreprises, BMCI entreprises. Cette partie du site de la BMCI permet aux entreprises d’abonnées d’accéder à des informations détaillées sur leur compte via Internet et de consulter toutes leurs transactions bancaires ou boursières, à peu de détails près, ce que propose tous les services d’E-banking, de la place. Pour CIH on-line va, lui jusqu'à offrir un outil de simulation des crédits bancaires et de leurs intérêts, mais sans plus. La même chose pour crédit du Maroc.Net. Les raisons de cette timidité sont pour les analystes, toutes simples. D’une part le taux de pénétration d’Internet dans les entreprises à plus forte raison chez les particuliers, reste très faible au Maroc et rend les perspectives d’e-Banking très étroites et limitées à une niche réduite de clients. Autre raison particulièrement citée, le vide juridique qui caractérise cette activité plus grave encore les banques doivent garantir une stricte sécurisation informatique c’est en effet l’un des points épineux de l’e-bankingt. Sans échanges à 100% fiables aucune banque ne peut s’aventurer sur la toile. Les solutions existent mais leur fiabilisation est complexe à mettre en œuvre faute de temps et de moyen. Certes les banques qui offrent ces services exigent une identification et un mot de passe pour accéder à la partie e-banking de leur site, mais s’abstiennent de permettre toutes les transactions bancaires via Internet pourtant elles s’accordent toutes avoir dans le Net, un passage incontournable de leurs activités. Toutes les banques de la place planchent d’ailleurs sur des projets similaires . Pour Upline securities comme il à explique Omar Qualine responsable informatique à upline : la banque dispose d’un Site (WWW.Upline.co.ma.) depuis 99 qui permet d’offrir des services à leur clients et d’être à jour ce qui concerne l’information boursière. Le site est aussi un canal publicitaire pour la banque. L’e-banking peut largement profiter aux entreprises, dans un environnement marqué par la concurrence et la mise à niveau constitue l’une de ses priorités majeure c’est l’un des avantages principaux de l’E-banking concrétement il permet de visualiser en temps réel les opérations rapatrier les extraites et prendre connaissance des avis d’impayés ou des cours de devises. De plus elle facilite la gestion de trésorerie notamment, en limitant les risques de dépassement et en plaçant les excédents de trésorerie. 6-les transactions boursiéres en ligne : Bientôt les petits épargnants en bourse auront la possibilité de passer leurs ordres d’achats ou de vente on-line à travers Internet grâce a Net access, la filiale Internet de finances. « Cette structure, dédiées au développement des solutions métiers sur Internet est une combinaison d’infomation financier-technologie » souligne M.Mohamed Khalid Ayouch directeur général de finances. Ce nouveau produit, qui vise selon le responsables de finances, la démocratisation de l’information financière, compte une plate-forme de passation d’ordre on-line. Ainsi permet à tout patit porteur, lers informations dont-il à besoin pour prendr une décision et la concrétiser, ce produit à leur clients et à leur permettra un un gain en temps et en productivité quantifiable, car ils ne perdront plus de temps à passer des ordres pour les petits porteurs, puisque ces dernières le feront eux-mêmes. Netaccess permettra à ses utilisateurs une totale transparence étant donné que toutes les opérations se feront on-line. La filiale du groupe de cette forme de commerce électroniquen au niveau du marché marocaine est aujourd’hui possible. Elle fait intervenir un grand nombre d’opérations, ce qui rend cette technologie assez complexe (société et bourse, bourse de casa, back office de la société de bourse, flux d’information financier…). En dehors de netaccess, la filiale du premiers groupe d’information financière aux Etats-Unis fournit aux professionnels du secteur des logiciels d’aide à la décision destinés aux intervenants front-office des marchés financiers et de logiciels de diffusion d’informations nécessaires au traitement administratif des valeurs mobilier pour les back-offices ainsi que les outils de valorisation et de suivi de portefeuilles. Il faut signaler aussi l’offre du Wap qui est encore à ses débuts au maroc mais qui se propage de plus en plus. Le célèbre système Wap (Wireless application protocole) est au cœur d’une mini-révolution, pour l’heure seule la BMCI offre un service Waapas à ses clients, le crédit du Maroc était donné pour le second établissement à vouloir pénétrer ce créneau alors que la banque commerciale du Maroc affiche ses ambitions pour une offre Wap et ce au courant de l’année 2002. L’objectifs est de consulter les différentes informations boursières : (valeur de l’IGB volume global des transactions, cours des valeurs cotées, les plus fortes hautes et baisses…) parallèlement d’autres sites dédiés à l’information ont mis en place leurs propres Wap. Ainsi New.central, un portail général d’information à lancer le sein où les différentes rubriques de ce portail sont consultables , la stratgie de ce dernière, est de mettre tous les atouts de son côté pour unéventuel rachat par un opérateur. De son côté, Maroc Télécom à également introduit son produit Wap via le portail Menara. Particularité de ce service : une information abondante (des cours de changes aux prix des légumes en passant par la pharmacie de garde dans les différents grands villes du Maroc). Tout, ou presque devrait pouvoir se faire se réserver ou se consulter à terme à partir d’un écran de téléphone portable. Cosmmer des technologies de l’infomation est tout à fait salutaire pour les entreprises qui « courent » après la compétitivité puisque par l’intermédiaire du Net, celles-ci peuvent facilement améliorer leurs ventes et faire des économies à tous les stades de leur activité. Le Web devrait notamment mettre fin à la paperasse. Il reste à savoir si les textes de lois qui vont suivre seront aussi réactifs à l’image de la dynamique d’un tel secteur des technologies de l’information. Section 2–Le cadre juridique et réglemetaire, sécurité et paiement : A partir de la date à quelle le gouvernement marocain à ouvert son premier site Web, en juillet 96, il a commencé à reconnaître les effets profonds que les technologies de l’information ont eus et cntinueront d’avoir sur le monde. Le gouvernement s’est également rendu compte que les technologies de l’information affecteront tous les aspects importans de la société comme la culture, l’éducation, les services services, l’emploi de l’économie, par conséquent il a crée en août 97 l’Agence Nationale de réglementation des Télécommunications (ANRT) et lui a conféré le pouvoir d’élaborer des lois sur les télécommunications et le cryptage. Cette agence est placée sous l’autorité du 1er ministre et se considérée comme un organisme de réflexion sur tous les aspects relevant des technologies de l’information (TI) et du C.E.Y compris cux non inclus dans ces statuts. En outre les secrétaires d’Etat chargé de la poste et des TI (SEPTI) a mis sur pied une commission placée directement sous la tutelle du premier ministre de guider et conseiller le gouvernement sur les réformes légales et réglementataires nécessaires au Maroc pour intégrer pleinement le C.E et les TI. Cette commission à élborer un plan des TI qui comprend : -La préparation d’un cadre réglementaire relatif au C.E, aux noms de domaine et au cryptage. -Le développement d’un sytème national pour l’allocatio de noms de domaine. -Le lancement en collaboration avec l’UNESCO, UNITU (union internationae du télécommunication des nations unies) ety d’autres se parlements ministriels d’un projet de télé-enseignement. -La participation du Maroc au programme de C.E pour les pays en voie de développement mise en place par l’UNITU. - La participation du Maroc au comit é consultatif gouvernemental sur les noms de domaine Internet. -L’organisation en septembre 94 d’un atelier sir les obstacles au C.E pour les représentants gouvernementaux et du secteur privé. Le département des relations économiques internationaes du ministère de l’industrie du commerce et l’artisanat a aussi crée un comité des TI comprenait des représetants des secteurs privé et public dans le but d’évaluer les changements requis pour que le Maroc profite pleinement du C.E. Le diagnostic sur l’aspect juridique permettra de cerner le vide juridique en la matière et le combler soit par le recours expériences d’autres pays qui ont réglementé le problème de la valeur juridique des documents électronique notamment par l’élaboration d’accords-types, soit par l’incorporation des dispositions de la loi-type de la commission des Nations Unies pour le droit commercial iternational. Puisque le C.E est d’abord une dématérialisation des documents de commerce il faut à l’aide d’une loi-type faire en sorte que le droit de la preuve ne soit plus l’écrit dans les transactions commerciales effectuées par voie électronique, par conséuent un modification des différents articles de loi des codes (civil, commerce, douanes, la marine marchande) exigent l’écrit comme preuve est nécessaire en vue d’y apporter des modifications. Les textes de loi prescrivent de conserver les documents originaux pendant un certain nombre d’années selon le document en question. Là aussi il faut qu’il ait la reconnaissance de la valeur probante de l’archivage électronique, une autre possibilité serait d’avoir un « tiers archiveur » à l’instar du « dépositaire unique » pour les tiers immobiliers , le problème pouvant se poser est la nécessité de conserver le matériel durant la période d’archivage exigée par la loi. Le principe de cryptage doit être confier à une autorité gouvernementale (en France ministre de la défense) qui enregestre les systémes de chiffrement (cryptage) et tient la liste de société agrés en la matiére toute fois les responsables gouvernementaux traitent la question des réformes légales avec beaucoup de précaution. Dans certain cas cette prudence est requise par le centre des nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) et d’autres organismes, sont entrains d’élaborer des standards des internationaux de cryptage. Pour la propriété intellectuelle, il apparu clairement que la loi actuelle sur la protection des droits d’auteur en vigueur au Maroc ne fournit pas assez de protection au secteur privé et ne traite pas de la protection des logiciels, malgré le succés des actions en justice entreprises par des sociétés comme Microsoft afin de garantir leur droits à la propriété a travers les lois marocaines sur les marques déposées. Les sanctions stipulées dans le cadre actuel de la propriété intellectuelle ne garantissent pas une dissuasion efficace et à long terme contre le vole de la propriété intellectuelle. Le Maroc a besoin de considérer la protection qu’il offre à la propriété intellectuelle et de l’adopter aux standards internationaux afin d’etre considéré favorablement par le secteur de la haute-technologie, comme un pays apte à mener des affaires. Toutes fois, la loi Marocaine ne reconnait pas la signature électronique par consequent, la validité d’un contrat signé par voie électronique est remise en question, en outre le paiement par voie électronique est actuellementimpossible au Maroc, avant qu’un fournisseur ne percoive son paiement pour une transaction par carte de crédit il doit demander au client de seing une facture et fournir à la banque une copie papier de cette facture avant d’encaisser le paiement. Tous ceci malgré que les opérateurs informatiques nationaux semblent vouloir accélerer le développement du e-Business et proposent déjà des solutions pour les entreprises qui cherchent à se positionner sur ce marché. IBM-Maroc a lancé récemment un Pack-e-business PME qui comprend : +la messagerie/Internet /Internet permettant à toute entreprise de mettre en œuvre sa messageire électronique et ses première applications en C.E. +Le pack C/E formé du logiciel IBM net commerce start et d’un serveur Net finity. Ce pack est livré avec tout l’environnement nécessaire pour créer un site commercial, la mise en place d’un catalogue, le paiement en ligne, l’administration commerciale du site et la fourniture de stastiques, de fréquences de ventes. Par ailleurs les opérateurs dans le domaine du paiement électronique, apportent des systèmes de signature électronique , assurent la confidentiabilité du message. L’authentifications de l’émetteur et l’intégrité des messages envoyés. A ce stade high technologie payement système offre les trois normes de cryptage : SSL (secure socket layer ) cette (secure électronique transaction et C-SET (chip secure électronique transaction) pour assurer la sécurité des donnés échangés. Ainsi AIM (aotoroutes de l’information et multimédia) à lancer dernièrement la possibilité de créer et gérer son compte en ligne grâce aux cartes prépayées Internet . elles sont simples d’utilisation, facilitent la procédure d’abonnement et permettent une plus grande indépendance aux utilisateurs d’Internet. Dans la journée d’étude sur le C.E à rabat le 3 juin 2002 un atelier à fait une recommandation très important qui porte sur la formation au profit des juges et magistrats dans le domaine de l’informatique pour qu’ils puissent intervenir en cas de litiges. Donc il est perfectible au grès de l’évolution très rapide de la technologie, le Maroc s’emploie actuellement à revoir et à proposer des réformes relatives au C.E, il étudie les lois en vigueur dans d’autres pays et dans et dans des organisations internationales et s’en inspirer pour ses propres textes législatifs que le C.E facilite non seulement le développement du C.E nationa mais aussi à l’échelle mondiale toutefois, d’autres aspects de la loi marocaine constitue un véritable obstacle comme la convertibilité du Dirham. Internet est l’un des piliers majeurs de la nouvelle économie, certes on ne peut pas comparer aux Etats-Unis, mais la révolution du Net reste une opportunité sur les pays en voie de développement, cas du Maroc, pour rattraper le train de développement. Malheuresement, celui-ci accuse du retard à ce niveau malgré les efforts déployés par quelques opérateurs privés. Plusieurs facteurs freinent le développement de l’informatique en général et dInternet en particulier. Les internautes marocaines ne sont pa nombreux dans un pays qui compte plus de 28 millions d’habitants. Maroc Télécom estime leur nombre à près de 250.000 personnes, à cela s’ajoute un parc informatique très faible , selon saâd regragui responsables marketing à IEC Marketing, le parc informatique national varie entre 450…et 500.000 Pc dont 50.000 seulement sont connectés soit 10% du total des PC. La part de marché des particuliers est très faible malgré les facilités de crédit et le nombre des Pc reste insuffisant pour accompagner le développement numérique mondial. Au Maroc les multinationales sont les premiers à utiliser ce nouveau média. Pour ce qui est des entreprises marocaines plus de la moitié ont accès à l’Internet et dispoent d’un site Web . mais le fait d’être connecté ne signifie pas obligatoirement qu’on ait intégré cette technologie au niveau de sa gestion. D’ailleurs jusqu’au quel point l’entreprise marocaine profite d’Internet ? la réponse est décevants du faites que dans 50% des entreprises marocaine, le réseau des réseaux est réservé la direction généralee et parfois aux hauts cadres, de plus pour plusieurs entreprises marocaines . Internet reste univers ludique est non un facteur de développement économique, le problème avec les NII est qu’il n’est plus toujours facile de s’y trouver, mais ce que nos entreprise et administrations doivent savoir, c’est que les atouts du net se limitent pas à la messagerie et les recherches à but informatif. Pour les nouveaux métiers utilisant l’outil Internet tels que le e-publicité ou le e- commerce sont en-cours de construction au Maroc. Pour la publicité en ligne son succès dépend beaucoup du nombre d’internautes qui consultent les sites Internet. En ce qui concerne le C.E plusieurs entreprises marocaines sondées par TEC marketing sont prêtes à rechercher des produits ou services via Internet dans le cadre de leur activité : « pour que l’Internet devienne un secteur porteur de richesse il faut qu’il y ait plus d’internaute et que Maroc Télécom baisse les prix de facilit é d’accès à l’Internet » explique Mohamed Ben boobker, directeur général de frlance.com.Maroc.pour ce dernier il existe une prédisposition chez les marocaines pour accompagner le développement de l’Internet mais les prix ne sont pas encore compétitifs. Selon plusieurs organisations internationales dont la banque mondiale, le Maroc dispose d’un fort potentiel de développement, il peut être un dragon en la matière de NT si tous les Marocaines s’accrochent au train de la nouvelle économie. La balle est dans le champ des responsables marocaines pour s’ouvrir plus sur le monde du Net.