professeure d’enfants qui est née dans l’Argentine et a étudié le processus d’alphabétisation sur la deuxième partie du XXème siècle. Elle a fait sa post-graduation sur l’Europe, étant coordonnée par Jean Piaget. Elle a élaboré une méthode de mensuration de l’alphabétisation, avec des stages (beaucoup piagétienne elle était). Les stages par lesquels une personne passe pour apprendre à lire et écrire son : pré-syllabique, syllabique et syllabique-alphabétique. Emilia a aussi créé un nouveau therme qui s’appelle « illettrisme », étant un mot qu’on utilise pour désigner les personnes qui sont alphabétisées, mais qui n’ont pas l’habitude de lire, ni la familiarité avec les moyens d’informations écrits. Elle argumente que seulement l’alphabétisation n’est pas suffisante pour constituer la capacité de lecture et, surtout, la citoyenneté. La personne illettrée reste ignorante au cours de la vie, n’en ayant pas la possibilité de s’engager dans la vie publique, politique et collective. Je pense que le Brésil a une épidémie d’illettrisme, au-delà de l’analphabétisme fonctionnel usuel. Les personnes ne sont pas habituées, après l’école, à lire chez eux, comme une activité récréative. La majorité de la population est éduquée en considérant la lecture comme une chose lourde, fatigante et ennuyante, désignée surtout pour les cons. Ce fait a créé une culture qui empêche le déroulement social et occasionne des problèmes comme l'élection de politiques anti- démocratiques et l’éparpillement de malades. les moules dans un marécage
marque = enseigne vous avez mal parlé les uns des autres