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SÉANCE 1: arrêt CE,19 juillet 2011, Communauté urbaine du Mans, Le Mans métropole
.(n°309161).
« Chapitre II
« Art. L. 732-1.-Dans des matières énumérées par décret en Conseil d'Etat, le président de la
formation de jugement peut dispenser le rapporteur public, sur sa proposition, d'exposer à
l'audience ses conclusions sur une requête, eu égard à la nature des questions à juger. »
Le rapporteur public est un magistrat indépendant qui donne son avis sur la solution du
litige. Ce n'est pas le juge qui tranche l’affaire .Ce rapporteur public ne juge pas l’affaire il
donne seulement son avis .Puis les juges délibèrent .
Kim-khanh pham
tdupkkp@gmail.com
effectuer fiche d’arrêt ( résumé des faits et solutions , éventuellement si arrêt du GAJA la
problématique ) ficher chaque décision du fascicule .
Plan détaillé a minima sur sujet donné : résumé des faits , problématique, solution et plan
détaillé
si devoir maison: entièrement rédigé à la main. limité à 7 pages à peu près 6/7 pages et
demi
FICHE D'ARRÊT:
1) L’accroche : citation d’un grand penseur juriste, actualité qui permet d’illustrer de
captiver l’attention du correcteur : lien direct ak la décision à commenter mais
d'expliciter pk on l’a choisi
1.1) présentation de la décision : “ décision rendue par le CE le 18 nov 2018 …”
2) Le résumé des faits de l’espèce .
3) La procédure juridictionnelle : commence recours en excès de pouvoir contre un acte
administratif ( généralement procès fait contre un acte )
1er degré : jugement d'un TA 2ème degré : arrêt du second degré de juridiction :
cour d’arrêt administratif CAA et 3ème degré: CE ( parfois l’on passe directement
1er degré -> 3ème degré . ( devoir maison : dvlp les arguments des diff degrés)
4) thèse des prétentions des parties ( ds cas d'un recours d'excès de pv: prétention du
requérant: dmd l’annulation de l’acte administratif ou sa réformation et partie
défenderesse svt: ville/prefet … ( parfois justifié par le motif d’ordre public)
5) question de droit : question posée à la juridiction et va y répondre, problématiser le
développement
5.1 : problématique de notre commentaire ( dans l'affaire blanco : affaire du père
6) solution: paraphraser la solution du CE (généralement ) “ en l'espèce le CE a décidé
que …” essayer de reformuler la solutio
6.1 problématique du commentaire ( cf.arrêt Blanco : problème des juridictions)
DÉVELOPPEMENT : sens/valeur/portée
sens = concerne un peu le “passé”, le droit antérieur par rapport à la décision à commenter .
valeur = le droit positif , droit applicable où l’on commente . Comment la règle de droit a été
appliquée au cas d’espèce?
portée = le futur , droit à venir
doivent figurer à chacun de nos sous développement
10 questions à se poser:
- Par quel raisonnement le juge en est-il arrivé à cette solution? (valeur)
- Pk le juge a t-il utilisé “tel mot” ou “tel expression?” Est ce l a 1ère fois ? (sens et
valeur - connaitre JP antérieur ou elle a été rendu - dans l'arrêt : "intérêt local”
- Quelle règle de droit ont été utilisées et pourquoi? ( valeur)
2 éléments pour y répondre: visa “vu” : base légale : constitution ,traités
internationaux, règlement et loi
(Le CE sit un arrêt de la cour de justice européenne ou conv EDH : car antérieurement cet
arrêt condamne la fr d’un ptn de vue de ces droits européen donc le CE va citer ses arrêts
ou article de ces traités européens pour rendre sa solution
- PK avoir interprété ces règles de dr dans un sens plutôt qu'un autre ? (valeur)
- Le juge a t il utilisé des règles de droit qu’il lui lm dégager de manière prétoriel ?
- Pk a t il donné cette solution en l’espèce alors que dans une affaire similaire, il avait
précédemment abouti à une autre solution? ( sens, valeur, portée)
- Ou se situe la décision commentée par rapport à la JP et au droit antérieur ( sens
d’une décision?
- S'agit-il d’un arrêt de principe, revirent ou d’une décision d’espèce?
- S'agit-il d’une décision qui s'inscrit dans un mouvement JPel a long terme? Et si oui
quel est ce mouvement? ( sens, valeur, portée )
-
subventionné ..
principe de laicancite (avec loi de 1905) avt cette décision loi interdisait ce type de
financement .
Évolue droit positif pr permettre certaine CT de subventionner certains cultur pre exercer
certaines ds de bonne conditions
Ct le CEa reussi a attenuer
I-
A) ….
Tjs commencé par copier collé la décision à commenter puis on ne va plus la commenter
max 3 lignes
Puis de connaissance de cours max/3.4 lignes
Puis explication , son propre commentaire 5 lignes minimum )
Méthodologie de la dissertation
INTRODUCTION :
DLACHAIT :
1) Définition
Ex: le president sous la Vè République : président et république .
critère organique à une notion juridique, critère matériel et critère fonctionnaire .
-> Qui peut devenir le président de la rép?
-> Responsabilité administrative
Qu’est ce que la RA? Elle sert à qui ? Qui est destiné
Sur quel fondement texte JP est fondé la notion en question ? ( pr l’ex: de la Vè rep : C° -
notion du Pr de la rep : art 5 de la C° )
sur l’ex de la responsabilité administrative: le fondement juridique est la décisison Blanco de
1973.
critère téléologique: par rapport à un objectif ( Quel est l’objectif de la Vè rep ? mener la
république .
7) Intérêt du sujet .
se mettre dans la tête de l’enseignant : Pk avoir choisi ce sujet ?
Sur le responsabilité administrative: notion très enrichissante car ne va spa sde soi car avt
pdt lgt ct l'irresponsabilité de l’etat ( prince) : arrêt Blanco ..
DÉVELOPPEMENT :
I/
A) …
B) ..
(alinéa ) Transition générale : bien faire la transition générale , est la dernière chose
à rédiger
II/
A) A
B) + 3 lignes
"Partout où il existe une autorité ayant un pouvoir de décision propre , pouvant prendre des
décisions administratives exécutoires, un débat contentieux peut naître et le Conseil d’Etat
peut être directement saisi” Jagerschmidt . Le Conseil d’Etat qui sous Napoléon n’avait
qu’un rôle consultatif , va confirmer davantage son indépendance et dans cet arrêt va
confirmer sa compétence d’être juge en premier et dernier ressort .
Le Conseil d’Etat a rendu cet arrêt en date du 13 décembre 1889 relatif à sa saisine.
En l’espèce, un ingénieur directeur de la voirie et des eaux de la ville perd son emploi à la suite
de la suppression de ce poste par le maire de la ville de Marseille par un arrêté du 2 mars
1877. Celui-ci va alors demander des dommages et intérêts en réparation de son préjudice en
condamnant la ville de Marseille .
Celui-ci saisit alors l’autorité judiciaire d’une demande en dommage et intérêt pour le préjudice
subi . Cependant, la Cour d’appel par un arrêt du 8 août 1878 va considérer qu’elle n’était pas
compétente pour statuer . Le conseil de préfectrue du départmeent des Bouches-du-Rhône se
déclare également incompétent par un arrêt du 17 juillet 1880 pour connaitre l’action en
indemnité. L’intéressé se retourna alors vers le ministre de l’intérieur et celui-ci se considéra
incompétent aussi de donner suite à sa demande . Par la suite le requérant mena cette affaire
devant le Conseil d’Etat pour incompétence de la décision du Ministre de l’Intérieur en date du
17 octobre 1885.
Le demandeur fonde son moyen sur le fondement que le Ministre de l’intérieur n’est pas
compétent pour juger l’affaire .Il va donc faire appel au Conseil d’Etat.
Le Conseil d’Etat par un arrêt du 13 décembre 1889 s’est rendu compétent de statuer lorsqu’il
existe un acte administratif . Dans cet arrêt, il explique qu’il n'appartient ni au ministre, ni à
aucune juridiction administrative d’en connaître, subsidiairement de faire droit à la réclamation du
requérant .
Ainsi, il appartenait aux ministres de pouvoir statuer dans un litige de l’ordre administratif. Mais
cette compétence leur a été supprimée (I) . Il appartient désormais au Conseil d’Etat d’être juge
de droit commun( II).
Il est ainsi intéressant de s’intéresser à ce qu’est cette notion de “ ministre-juge” (a). Puis de voir
en quoi cette compétence n'appartient plus aux ministres (b).
“ citation arrêt”
Cette compétence n’étant plus attribuée aux ministres, elle revient de plein droit à la plus haute
juridiction dans le contentieux administratif : le Conseil d’Etat.
II-Le Conseil d’Etat en tant que juge de droit commun du contentieux administratif
Le Conseil d’état, qui était juge de dernier ressort confirme dorénavant sa position en tant que
juge de premier ressort sans recours administratif au préalable (a). Elle devient ainsi une
juridiction de plus en plus indépendante (b).
A) Le Conseil d’Etat en tant que juge de premier et dernier ressort sans recours
administratif au préalable
Lorsque l’on fait un recours hiérarchique devant le supérieur, il est pris l’habitude de
consulter le conseil d'Etat . Puis progressivement, le CE ( même s'il n’est pas encore un
juge) va commencer à construire une JP . Le CE élabore un corps de règles .
Comme l’on est dans une justice retenue , c’est le ministre qui rend la décision.
Progressivement le CE va élaborer un certain nombre de règles qui vont constituer des
règles en tant que conseil .
Document 1 : Conclusion David sur TC 8 février 1873, Blanco, Dalloz, 1873, 3 p.11 et
texte de l’arrêt .
Correction :
-> Le ministre de l'intérieur pouvait- il refuser de statuer sur des questions qui
n’étaient pas de sa compétence ?
Par ailleurs, quelle juridiction devait connaître de ce litige née entre la ville de
marseille et le sieur Cadot ?
Le ministre de l'intérieur pouvait à bon droit s'abstenir de statuer des questions qui
ne relevaient pas de sa compétence et ne relevait pas de ses litiges.
DPs le CE a cessé d’être le juge de droit commun, dps la réforme du 3 sept 1943
décision continue à être considérée comme du droit positif .
____
commissaire du gouv dont la charge était de rendre des conclusions ,proposait des
solutions à la formation de jugement.
la théorie des apparences : le justiciable doit avoir le sentiment que la justice a été
rendu de manière impartiale
Avt 2008: le CE faisait l’objet d’une suppression le législateur pouvait bien supprimer
le CE et attribuer son pv à un autre organe.
L'existence de sa juridiction administrative n’a été que sanctuariser dans la C° que de
manière très récente .
Semaine prochaine
La construction de la juridiction administrative dissertation
Commentaire: doc 9 de la séance 3. décision d'assemblée du CE commune d’Annecy
. lire pls fois doc 5 de la séance 2 - l(admdniyé face au droit administratif
Document 5 :
3 périodes :
- AR -< souission totale , personne pouvait contester décision prit par un
ministre , contrster directement le souveraine
dynamique juridique: va du haut vers le bas , verticale
- etat de droit XIX ès : emergence des services publiques ( admisnitré -> usager
du service publique = derviticalisation des rapports entre usager et Pce
publique ) - dynmaque juridique va du bas vers le haut , les amdisnitrés
pouvaietn opoposé des droits à l’etat er nc as mauvaise a pplication, le
contester devant la juridiction admiinstratice, emergence socialisme
municipale , du service publique
juridiction administrative, comme juridiction de droit commun
- XIXè s début XIXfin XIXè s a nos jours ( contemporain jusqu’a de nos jours)
démocratisation de l 'action publique ou l'administration serait co construite
avec la participation de l'administré, du citoyen. + fin du culte du secret
Ajd , cette dernière étape n’est pas encore advenue . (ex: referendum, très
difficile, referendum initiative contre privation aéroport de paris ; pas assez de
vote du citoyen , 2 référendum dans le cadre de l’asac des lendres: fiasco
juridique , décision urbanistique: obligation de consultation préalable des
citoyens
-> principe de transparence des actes administratifs .
État droit: puissance publique qui se soumet au droit . cad que prérogative de
puissance publique ne pourra plus s'appliquer via des règles arbitraires mais devra
respecter des règles de droit bien spécifique alors l'administrateur sera jugé par le
CE .
- Administré = toutes les personnes concernées par les règles administratives, c’est
par les hommes qui créer ou utilisent la chose qu’elle devient règle de droit une
chose devient une règle de droit grâce à la pratique.
L’administré est complètement soumis, parle de la révolution très rapidement en
pensant que cette relation de soumission n’allait plus jamais exister.
- Interrogation sur ce qu’ont de commun au niveau des principes, l’ensemble des
rapports qui régit la relation administration française – ses soumis (la population)
Principes qui varient selon les époques, régimes politiques et l’évolution sociale.
- Parle du XIXème siècle (première moitié) et son évolution au niveau de l’administré,
+ de liberté mais la justice est encore retenue par le souverain. Néanmoins la
pratique de la justice est déléguée au Conseil d’Etat et l’administré à la juridification
du recours total, fin du XIXème siècle abandon par la jurisprudence du principe de
l’irresponsabilité de la puissance publique = subordination des administrés
largement atténuée.
- Seconde moitié du XIXème siècle lent avènement de l’Etat providence (se définit
par affranchissement du libéralisme au profit d’une intervention étatique visant à
assurer le bien-être des citoyens et réduire les inégalités sociales par le biais de la
solidarité).
- Profonde différence qui sépare les services destinés à assurer les activités de
souveraineté qui offrent que des avantages immédiats à l’administré imposent + de
contrainte / d’autres services qui proposent aux membres de la collectivité des
prestations personnelles relation qui change en fonction du service selon leur objet,
certains sont gratuits car aide les + pauvres ou gratuité imposée par l’Etat, mais
lorsqu’il n’est pas gratuit la question qui se pose = comme il y a une relation
contractuelle qui s’établit, l’utilisateur a-t-il encore le caractère de l’administré ? Celle
d’usager tend à la remplacer...
- Retour en force de l’idéologie libérale, qui a entraîné la privatisation récente de
nombre d’entreprise publiques, et aussi l’extension par les organes de la
Communauté européenne de l’économie de marché qui réintègre dans le droit
commercial des entreprises publiques
dont le statut laissait une place au droit administratif
- Changement du statut de l’administré avec le passage de l'État autoritaire à un Etat
de droit réduction du champ d’application de l’Etat providence, diminution des
prérogatives incontrôlée de l’administration et du nombre de personnes sur qui les
prérogatives s’exercent.
- L’Etat de droit ne coïncide pas forcément avec la démocratie, toutes les autorités
publiques sont soumises à la même règle dans l’Etat de droit mais pas forcément
l’élaboration de la règle de droit par les citoyens ou leurs représentants.
- C’est pour la décision administrative sanctionnant le comportement d’un administré
que la règle du secret a d’abord été levé la jurisprudence fait donc des droits de la
défense, un principe général permettant à tous de connaître ce qu’il lui est reproché
et de pouvoir se défendre en présentant des arguments en leur faveur.
- Le secret = la règle absolue régissant l’élaboration de la décision administrative,
règlementaire ou particulière règle pas dépourvue de justifications : cela exposait
l’autorité publique gardienne de l’intérêt général, à toutes les pressions perturbait sa
liberté compromettait l’exécution en ne permettant pas d’organiser en avance la
soumission à la mesure envisagée, mais pb en manque de contact avec ceux que la
mesure concernait, ils étaient privée d’informations permettant une meilleure
adaptation à la réalité.
- Prise de conscience du législateur de ces données plrs réformes qui vont dans le
sens d’une ouverture de l’action administrative aux intéressés, mais avec prudence.
Bcp de distinctions entre les décisions particulières et les distinctions règlementaire
mais aussi entre celles de l’Etat et celles des collectivités décentralisées.
SÉANCE 3 :
Doc 3 : CE, Ass., 18 (12) juillet 2013, Fédération nationale de la pêche en France,
req. N° 344522
Doc 6 : Contrôle constitutionnel sur cette loi 25 janvier 1985 Loi faites car
incompétence du législateur pour établir l'État d’urgence en l’absence d’une
disposition expresse de la rec.43 permet au Conseil constitutionnel d'examiner
la conformité à la Constitution d’une loi promulguée par voie d’exception à l’occasion
du contrôle a priori d’une loi qui la modifie, la complète ou en affecte le domaine.
C’est une loi faite pour combler les carences du législateur et du pv réglementaire
Loi conforme à la Constit
ART 61 : Contre a posteriori obligatoire pour les lois organiques, les propositions de
loi (ART11) et règlements des assemblées parlementaires. Délais prévus pour rendre
décisions (1 mois ou 8 jours si urgences), contrôle de constitutionnalité : par rapport
au bloc constitutionnel
2 sources dadmsitratif:
- loi
- constitution
théorie normativisme : une règle jruduqie tire sa leigitmité de clele qui lui est
supérieur dans sa règle de snormes
Ce a aucune legitimite a controle les lois du Parlement
solution Annecy
solution : ( commissaire yann aguila solution :)l eCE a suivi les cocl de osn
commissaire du gouv Yann Aguila en faisant droit au moyen tiré de l’incompétence
du povuoir reglementaire au profit du pouvoir législatif en se fondant sur la charte de
l'environnement inclu dans le préambule de la constitution
base légale :ensemble des normes à partir duquel e le juge amdisntraitf controle la
légalité
PGD
défini première fois dans la Préambule de 1946 : va lui donner une valeur juridique ,
CE souverainement vont ajouter une valeur, principe . “Il réaffirme solennellement les
droits et libertés de l'homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et
les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République.”
lié à l'état de droit : ce qui caractérise l etat de droit est les droits et libertés citoyens. IL existe
des droits que le juge peut reconnaître ou adopter décision prise par l'administration ou par la
loi .
critère matériel : fondé sur un texte, et + précisément sur une loi (généralement ceux
de la 3è rep ) d’un régime républicain avant 1946 ( avt 4è rep: 4 octobre 1946)
décision n°2013 -619 DC du 17 mai 2013 portant sur la loi “mariage pour tous”
en l’espèce 60 deputzes, 60 senateurs ont invoqué l’inconsittuionnalité de cette loi
en se fondant sur la prétendu ecistance d’un PLFRFR ou le mariage serait
necessairement l’union d’un homme et d’une femme.
e CC va a ppliquer ces critères , il va contaster que la lgislation republicaine
anti&rieur à 1946 ert judqu’à mtn ont tjs regardé le mariage d’un homme et d’une
femme ( les 2 premiers critères sont donc repectes). Cpdt le 3è critère: ce principe là
,n'intéresse ni l'organisation des PP no souv nationale et n’atteint aucun droit des
libertés fondamentales des citoyens .Comme ce 3è critère n’est pas reconnu.
=Alors le CC écarte ce moyen. Il n’en est pas un PFRLR.
Documetn 1:
reconnaissance d PFRLR de la liberté d’association , annule arrêté du ministre de
l'intérieur
Rappel du préambule de ladite constitution . Cette décision est prise sous la 4è rep .
Le CE va tirer du préambule de la C°applicable ( 1946) : la liberté d’association
Quand on lit le préambule, aucun critère ne montre liberté d'association est un
PFRLR c’est le CE qui le dit de manière souveraine
Document 5 : Koné
CE invente un PLFR tire du fait que le rpe refuse d’extrader des etrangers lorsqu’elle
est dmd dans un but politique .
reconnaît l'admission d’un PFRLR > Traité ( accord franco-malien )
Document 5 :
C’est seulement en 1945 qu’est mentionnée expressément la notion de PGD (CE,
Ass., 26 octobre 1954, Aramu) : « Il résulte de ces prescriptions, ainsi d’ailleurs que
des principes généraux du droit applicables
même en absence de texte ».
Document 7
un pgdr ou tout justiciable a le droit de contester une décision administrative . le CE
dit que cet existence d e pgd permet d’assurer la légalité. En l’espèce, la loi en
question qui permettait , volonté du législateur était très claire “l’octroi de la
concession ne peut .;” la décision amdsitrztiv unilatérale qui permet a une personne
publique d'octroyer une concession = pas de contestation dvt Administration
Ici , le CE dit que chaque justiciable peut contester une décision administrative . Sur
cette décision d’octroie de concession , utilise un PGD pour écarter l'application de
cette loi . C’est un principe contra legem
KPMG :
question de droit : A partir de quelle date et selon quel modalité le gouv pouvait
imposer un code de déontologie à la profession des commissaires aux comptes?
Le CE après avoir appelé la règle interdisant l’application de nouvelles normes
rétroactivement à de sisutation contractuelles déja établies . IL consacre, le pricnipe
de sécurité juridique .
II/ Une décision faisant la balance entre l'intérêt général et les prévisions
contractuelles .
SÉANCE 5 :
Le Conseil d’Etat rend un arrêt de rejet le 9 juillet 2010 portant sur la question de
réciprocité d’accords internationaux entre les États.
A) respect et maintien réciproque des devoirs dans les traités internationaux par
chacun des états
B) Le devoir de la question préjudicielle appartenant à l'origine au ministre des
affaires étrangères.
B) Un revirement de JP
ARTICLE 55.
Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une
autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son
● traités> lois
CONDITIONS :
- régulièrement ratifiées ou approuvées ( procédure)
- réciprocité ( les traités > lois : valeur contingente , relative à cette condition qui
dépend de la conduite des relations internationales et par nature instable)
ARTICLE 62. al 3
QPC: une des conditions : que le cc n’est pas rendu une de ces décisions
document 1 :
-> loi postéiruer à la ccl d'un traité inter, loi qui étai tocntraire à des dispsotions de loi
internationale.
Normalement avec l’art 55 ( on est 10 ans après la C°)
Le CE neutralise l’art 55 de la C° et fait appel à la théorie de la loi écran
ici il s’agit d’un déchet et le requérant invoque le traite internationale
Mais la loi fait écran . La loi fait écran à la supériorité des Traités itnernationaux sur
la loi .
CE très critiqué pour cette décision .
(cf. Arrighi)
doc 2 :
- le CC , son seul rôle est de contrôler la constitutionnalité des lois .
refuse d’élargir son contrôle
- Ne peut être compatible avec un contrôle de conventionnalité car i lest par
essence instable ,lié au relation internationale. Car du jour au lendemain , un traité
international peut ne plus être appliqué .ur la nature même de ces décisions, qui
sont immuables .
Si le CC controlat =:= art 61,la fr aurait dû appliquer TI alors que la question de
réciprocité ne serait plus admise .
-> vide juridique . Car le CC se trouve incompétent pour controle de conventionalité.
Alors aucun juge ne se trouve à ce moment compétent .
A une époque ou les traités interatioanux montent en puissance qualittiativement
quantitativeme,t
La Cour de Cass accepte de contrôler la conventionnalité des lois vis-à-vis des traités
internationaux et même postérieure .
L’art 55 retrouve son effectivité juridique
renversement =/=
théorie de la loi écran est écarté
Doc 6 Sarran
“ … ne s’applique pas aux dispositions de nature constitutionnelles”
Doc 7
ple CE reconnaît la possibilité d’invoquer une CI devant la gestion administrative pour
contester la légalité d’un décret .
2ème codntions: pas besoin d’acte complementaire porur rendre effectif ces CI
Le ce va rechercher si’l est possible que cesc odnitons d’applique aux citoyens .
Ce va dégager 2 conditions
- ne doit pas regir
Doc 8; Aqurhone
voir P de 1946
14. La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public
international. Elle n'entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n'emploiera
jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple”
question préjudicielle devient facultative et le juge A ne sera plus lié que lui renvoie
le ministre des affaires étrangère sur la manière d'interpréter les CI sur sa décision
Le juge A prend de la hauteur sur l'exécutif .
Doc 11 AJDA 2002 (renvoi un art de doctrine écrit par qlq qui a fait un commentaire
d’arrêt “ parfait “ selon la communauté administrative) - RJ dederatio nntionale de la
libre pensée
lecture doctrine ou cll de rapporteur/commissaire du gouv et le style juridique.
le contenu des traités internationaux: sont des actes de gouvernement cad que ce
contenu qui ont valeur > loi et < à la C° , sont insusceptible de recours dv tle juge A (
il contrôle pas la conventionnalité, constitutionnalité.. du contenu des juges
internationaux )
= le CE dit que le contenu mm mdes traités sont des actes de gouv, refusera de
traiter le contenu et de faire contrôle de conventionnalité croisé.
doc 12 :
revirement de JP avt 1998 , le juge A s refusait de controle de .. procédure (mm le CC )
CE se déclare compétent pour contrôler la régularité de la procédure d'introduction dans
l’ordre interne des traités internationaux .