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TD DROIT ADMINISTRATIF

SÉANCE 1: arrêt CE,19 juillet 2011, Communauté urbaine du Mans, Le Mans métropole
.(n°309161).

-> une décision innovante


le CE prend une décision différente comparé aux juridictions différentes en y introduisant

-> Le principe de la loi du 9 décembre 1905 de la séparation de l’Etat et de l’Eglise et


l’exception édictée par le CE aux collectivités territoriales .
En effet, selon le CE , la loi de 1905 ne ferait pas obstacle à ce qu’une collectivité territoriale
, ou un groupement de collectivités territoriale, construit ou acquiert un équipement ou
autorise l'utilisation existant , afin de permettre l’exercice de pratiques à caractère rituel
relevant du libre exercice des culte.Cependant, il existe certaines conditions. Dont le CE
renvoie l’affaire afin d’examiner ces 2 conditions .

3) Comment utiliser les ressources électroniques ?

LOI n° 2011-525 du 17 mai 2011 :


-> simplification et d'amélioration de la qualité du droit .
-> Il y a 9 chapitres.
Article 188 de cette loi dispose: Le titre III du livre VII du code de justice administrative est ainsi
modifié :
1° Avant l'article L. 731-1, il est inséré une division chapitre Ier intitulée : « Dispositions
générales » ;

2° Il est ajouté un chapitre II ainsi rédigé :

« Chapitre II

« Dispositions applicables aux tribunaux

administratifs et aux cours administratives d'appel

« Art. L. 732-1.-Dans des matières énumérées par décret en Conseil d'Etat, le président de la
formation de jugement peut dispenser le rapporteur public, sur sa proposition, d'exposer à
l'audience ses conclusions sur une requête, eu égard à la nature des questions à juger. »

Le rapporteur public est un magistrat indépendant qui donne son avis sur la solution du
litige. Ce n'est pas le juge qui tranche l’affaire .Ce rapporteur public ne juge pas l’affaire il
donne seulement son avis .Puis les juges délibèrent .

En 2009,il y a eu une réforme où le commissaire du gouverneur devient rapporteur


public(RP) et le rapporteur public lorsqu'il donne son avis , l’on peut discuter ses arguments.
Avant 2009 ,dans les juridictions administratives, le rapporteur, parlait, les avocats des
parties n'avaient plus la parole . Désormais l’on peut "présenter des remrquation”a presque
le RP est parlé
Cependant, depuis 2009, Le RP ne participe plus aux délibérés . Il ne se retire pas avec les
juges, quand il se délibère .
Arrêt CEDH, 7 juin 2001, Kress. Dans cet arrêt, la CEDH a considéré que le RP pouvait,
en application de la théorie des apparences, être considéré comme un adversaire objectif
des parties .Il fallait permettre aux requérants de discuter ces propos .
La Convention EDH a obligé à de profonds changements dans le fonctionnement du juge
administratif : Aujourd’hui, très souvent, la Conv EDH est convoquée par les parties civiles
pour remettre en cause l'administration et le juge.

4) Comment rédiger un commentaire d’arrêt ?

Arrêt Conseil d'Etat, 19 juillet 2011 - Le libre exercice du culte

I/ L’existence d’un intérêt public local

A) Un principe novateur du CE dans la libre pratique de l’exercice des cultes .

B) Les conditions permettant la conformité aux impératifs de l’ordre public .


- la salubrité publique
- la santé publique

II/Le principe de laïcité encadré par la loi du 9 décembre 1905

A) Le principe de neutralité à l’égard des cultes

B) Le principe d’égalité excluant toute libéralité .


- Le droit d’utilisation d’équipement pour un
- les limites de financièrement d

Kim-khanh pham
tdupkkp@gmail.com

galop d’essai : 9 novembre : 15h


Sujet de commentaire d’arrêt ou peut être ajt un sujet de dissertation
au minimum un devoir maison à rendre et facultative un 2ème et 3ème exceptionnel .
Note de participation orale: coefficient 2 déjà 10/20 mais peut baisser

effectuer fiche d’arrêt ( résumé des faits et solutions , éventuellement si arrêt du GAJA la
problématique ) ficher chaque décision du fascicule .

Plan détaillé a minima sur sujet donné : résumé des faits , problématique, solution et plan
détaillé
si devoir maison: entièrement rédigé à la main. limité à 7 pages à peu près 6/7 pages et
demi

Méthodologie du commentaire d’arrêt

tribunal administratif , conseil constitutionnel , conseil d’etat

FICHE D'ARRÊT:

1) L’accroche : citation d’un grand penseur juriste, actualité qui permet d’illustrer de
captiver l’attention du correcteur : lien direct ak la décision à commenter mais
d'expliciter pk on l’a choisi
1.1) présentation de la décision : “ décision rendue par le CE le 18 nov 2018 …”
2) Le résumé des faits de l’espèce .
3) La procédure juridictionnelle : commence recours en excès de pouvoir contre un acte
administratif ( généralement procès fait contre un acte )
1er degré : jugement d'un TA 2ème degré : arrêt du second degré de juridiction :
cour d’arrêt administratif CAA et 3ème degré: CE ( parfois l’on passe directement
1er degré -> 3ème degré . ( devoir maison : dvlp les arguments des diff degrés)
4) thèse des prétentions des parties ( ds cas d'un recours d'excès de pv: prétention du
requérant: dmd l’annulation de l’acte administratif ou sa réformation et partie
défenderesse svt: ville/prefet … ( parfois justifié par le motif d’ordre public)
5) question de droit : question posée à la juridiction et va y répondre, problématiser le
développement
5.1 : problématique de notre commentaire ( dans l'affaire blanco : affaire du père
6) solution: paraphraser la solution du CE (généralement ) “ en l'espèce le CE a décidé
que …” essayer de reformuler la solutio
6.1 problématique du commentaire ( cf.arrêt Blanco : problème des juridictions)

7) l'annonce de plan “.....(I).....(II) “


bien apprendre son cours

DÉVELOPPEMENT : sens/valeur/portée
sens = concerne un peu le “passé”, le droit antérieur par rapport à la décision à commenter .
valeur = le droit positif , droit applicable où l’on commente . Comment la règle de droit a été
appliquée au cas d’espèce?
portée = le futur , droit à venir
doivent figurer à chacun de nos sous développement
10 questions à se poser:
- Par quel raisonnement le juge en est-il arrivé à cette solution? (valeur)
- Pk le juge a t-il utilisé “tel mot” ou “tel expression?” Est ce l a 1ère fois ? (sens et
valeur - connaitre JP antérieur ou elle a été rendu - dans l'arrêt : "intérêt local”
- Quelle règle de droit ont été utilisées et pourquoi? ( valeur)
2 éléments pour y répondre: visa “vu” : base légale : constitution ,traités
internationaux, règlement et loi
(Le CE sit un arrêt de la cour de justice européenne ou conv EDH : car antérieurement cet
arrêt condamne la fr d’un ptn de vue de ces droits européen donc le CE va citer ses arrêts
ou article de ces traités européens pour rendre sa solution
- PK avoir interprété ces règles de dr dans un sens plutôt qu'un autre ? (valeur)
- Le juge a t il utilisé des règles de droit qu’il lui lm dégager de manière prétoriel ?
- Pk a t il donné cette solution en l’espèce alors que dans une affaire similaire, il avait
précédemment abouti à une autre solution? ( sens, valeur, portée)
- Ou se situe la décision commentée par rapport à la JP et au droit antérieur ( sens
d’une décision?
- S'agit-il d’un arrêt de principe, revirent ou d’une décision d’espèce?
- S'agit-il d’une décision qui s'inscrit dans un mouvement JPel a long terme? Et si oui
quel est ce mouvement? ( sens, valeur, portée )
-

subventionné ..
principe de laicancite (avec loi de 1905) avt cette décision loi interdisait ce type de
financement .
Évolue droit positif pr permettre certaine CT de subventionner certains cultur pre exercer
certaines ds de bonne conditions
Ct le CEa reussi a attenuer

autre arrêt sur même idée 19 juillet 2011

I-
A) ….
Tjs commencé par copier collé la décision à commenter puis on ne va plus la commenter
max 3 lignes
Puis de connaissance de cours max/3.4 lignes
Puis explication , son propre commentaire 5 lignes minimum )

Sujet semaine pro : arrêt du CE 1889 arrêt CADOT .


Séance 2 : généralités sur le droit administratif et la juridiction
administrative .

Méthodologie de la dissertation

-> objectif : répondre à une problématique

INTRODUCTION :
DLACHAIT :

1) Définition
Ex: le president sous la Vè République : président et république .
critère organique à une notion juridique, critère matériel et critère fonctionnaire .
-> Qui peut devenir le président de la rép?
-> Responsabilité administrative
Qu’est ce que la RA? Elle sert à qui ? Qui est destiné
Sur quel fondement texte JP est fondé la notion en question ? ( pr l’ex: de la Vè rep : C° -
notion du Pr de la rep : art 5 de la C° )
sur l’ex de la responsabilité administrative: le fondement juridique est la décisison Blanco de
1973.
critère téléologique: par rapport à un objectif ( Quel est l’objectif de la Vè rep ? mener la
république .

2) Limite (que sur le brouillon)


Se dmd quels sont les blocs de connaissance, les numéros du cours qui vont me permettre
de répondre au sujet ?

3) Accroche / Attaque/ Actualité


L'expliquer formellement , il ne faut pas se contenter de balancer une citation d’un grand
auteur

4) Comparé:analyse de voie comparé ou de comparaison


= éviter un hors sujet. Cela doit souligner la notion de droit positif français.
(prend bcp de temps à faire en 3h)

5) Histoire/ point de vue historique .


6) Annonce de plan + problématique
pas hésiter à se concentrer sur le fond dans l’annonce de plan
“ Certes …(I) Mais …(II) prédomine, rôle rehausser
Problématique : ne pas hésiter à poser la questions sous la forme interrogative

7) Intérêt du sujet .
se mettre dans la tête de l’enseignant : Pk avoir choisi ce sujet ?

8) Théorie du droit/ sujet théorique .

Sur le responsabilité administrative: notion très enrichissante car ne va spa sde soi car avt
pdt lgt ct l'irresponsabilité de l’etat ( prince) : arrêt Blanco ..

= minimum une page .

-> problématique ; hyper importante

DÉVELOPPEMENT :

I/

A) …

-> Contenu : une ou 2 jurisprudence

➴sauter une ligne


+ d’une ligne ( pr devoir maison )

B) ..

(alinéa ) Transition générale : bien faire la transition générale , est la dernière chose
à rédiger
II/

A) A
B) + 3 lignes

doit être équilibré


Ds bcp décision du CE et CC une phrase revient svt:
“ la conception française de la séparation des pouvoirs” .
-> dualité juridictionnelle : entre ordre judiciaire et administratif CE. , lié à un ptn d’hisztique
important .: période révolutionnaire des lois du 16 et 24 aout 1790, réitérée par l’arrêt
Fructidor An III interdit les magistrats de l’ordre judicaire de connaitre de sordres
administratifs mais surtout de l’action administrative .
Sous l’AR , les Parlements étaient à la fois des cours judiciaires chargées de sliitges des
personnes privées mais aussi des fonctions administratives ,notamment des .; royaux.
Ds les années 80 le roi a essayé de réformer fiscalement les caisses du trésor . Cpdt bcp de
Parlement , notamment bcp de magistrats avaient refusé d'enregistrer des actes royaux

Création du conseil d’etat : Constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre


1799)essentielemnt crer dans pour hériter du conseil du roi .

lOI du 24 mai 1872 : jusrtice retenu -> jsutice délégué .


Le CE devient indépendant du exécutif, il devient le juge de droit commun , par défaut de
litiges des actes administratifs ,notamment pour les REP ( recours en excès de pouvoir )
contre les actes admisntratifs .
lORSQUE l’on a un litgie on reospentait notre rreuete devant les msintres, ils étaient juge et
partie au procès fait par un acte amdisntraitf ( jsutice retneue)

Avt ; un instre pouvait reformer ou annuler la décision prise par le CE.

Commentaire d’arrêt : CE,le 13/12/1889, arrêt CADOT .

"Partout où il existe une autorité ayant un pouvoir de décision propre , pouvant prendre des
décisions administratives exécutoires, un débat contentieux peut naître et le Conseil d’Etat
peut être directement saisi” Jagerschmidt . Le Conseil d’Etat qui sous Napoléon n’avait
qu’un rôle consultatif , va confirmer davantage son indépendance et dans cet arrêt va
confirmer sa compétence d’être juge en premier et dernier ressort .
Le Conseil d’Etat a rendu cet arrêt en date du 13 décembre 1889 relatif à sa saisine.

En l’espèce, un ingénieur directeur de la voirie et des eaux de la ville perd son emploi à la suite
de la suppression de ce poste par le maire de la ville de Marseille par un arrêté du 2 mars
1877. Celui-ci va alors demander des dommages et intérêts en réparation de son préjudice en
condamnant la ville de Marseille .

Celui-ci saisit alors l’autorité judiciaire d’une demande en dommage et intérêt pour le préjudice
subi . Cependant, la Cour d’appel par un arrêt du 8 août 1878 va considérer qu’elle n’était pas
compétente pour statuer . Le conseil de préfectrue du départmeent des Bouches-du-Rhône se
déclare également incompétent par un arrêt du 17 juillet 1880 pour connaitre l’action en
indemnité. L’intéressé se retourna alors vers le ministre de l’intérieur et celui-ci se considéra
incompétent aussi de donner suite à sa demande . Par la suite le requérant mena cette affaire
devant le Conseil d’Etat pour incompétence de la décision du Ministre de l’Intérieur en date du
17 octobre 1885.

Le demandeur fonde son moyen sur le fondement que le Ministre de l’intérieur n’est pas
compétent pour juger l’affaire .Il va donc faire appel au Conseil d’Etat.

A qui appartient la compétence de juger dans un recours administratif ?

Le Conseil d’Etat par un arrêt du 13 décembre 1889 s’est rendu compétent de statuer lorsqu’il
existe un acte administratif . Dans cet arrêt, il explique qu’il n'appartient ni au ministre, ni à
aucune juridiction administrative d’en connaître, subsidiairement de faire droit à la réclamation du
requérant .

Ainsi, il appartenait aux ministres de pouvoir statuer dans un litige de l’ordre administratif. Mais
cette compétence leur a été supprimée (I) . Il appartient désormais au Conseil d’Etat d’être juge
de droit commun( II).

I- La suppression du principe “ministre juge”

Il est ainsi intéressant de s’intéresser à ce qu’est cette notion de “ ministre-juge” (a). Puis de voir
en quoi cette compétence n'appartient plus aux ministres (b).

A) La théorie du “ministre juge”

“ citation arrêt”

“cours” Malgré la loi de 1873 qui conférait au Conseil d’Etat

B) Un pouvoir qui n’appartient plus à la compétence des ministres .

Cette compétence n’étant plus attribuée aux ministres, elle revient de plein droit à la plus haute
juridiction dans le contentieux administratif : le Conseil d’Etat.

II-Le Conseil d’Etat en tant que juge de droit commun du contentieux administratif

Le Conseil d’état, qui était juge de dernier ressort confirme dorénavant sa position en tant que
juge de premier ressort sans recours administratif au préalable (a). Elle devient ainsi une
juridiction de plus en plus indépendante (b).
A) Le Conseil d’Etat en tant que juge de premier et dernier ressort sans recours
administratif au préalable

Le CE est normalement en dernier des ressorts, il se contente de

Cette loi va donner lieu à une divergence d'interprétation.


Le CE devient une juridiction à part entière . Mais les ministres considèrent que les
requérants ( auteur contre un recours administratif) devaient soumettre leur litige aux
autorités administratives avant de saisir un CE

- l’on bascule de la justice retenue à la justice délégué


Quand on a un litige avec l'administration , on commence par porter son litige devant
l’autorité administrative qui a adopté l’acte .C ‘est ce que l’on appelle un recours gracieux .
Exemple: un préfet prend les décisions. Lorsqu'un administré n’est pas content de la
décision, il conteste cette décision face au préfet . Cpdt après le recours gracieux, si le
préfet reste sur sa décision . Il existe alors le deuxième recours : le recours hiérarchique .
L’on va voir les supérieurs du préfet ( le ministre) et lui dmd d’examiner la décision.

Lorsque l’on fait un recours hiérarchique devant le supérieur, il est pris l’habitude de
consulter le conseil d'Etat . Puis progressivement, le CE ( même s'il n’est pas encore un
juge) va commencer à construire une JP . Le CE élabore un corps de règles .
Comme l’on est dans une justice retenue , c’est le ministre qui rend la décision.
Progressivement le CE va élaborer un certain nombre de règles qui vont constituer des
règles en tant que conseil .

B) Une juridiction de plus en plus indépendante au fil des jurisprudences .

- un arrêt de principe , fondateur dans la JP


( conseil d’état qui a la base n’était que

- chercher JP où le CE juge aussi


- l’arrêt Bougard (Cons. d’Etat, 24 juin 1881 S.1882.3.48 ; P. chr.) et de l’arrêt
Ville de Cannes (Cons. d’Etat, 28 avril 1882, S. 1884.3.27 ; P. chr.)
Séparer l’administration et la juridiction, distinguer soigneusement l’acte
d’administration et l’acte de juge, c’est faire progresser à la fois la théorie de l’acte
d’administration et celle du contentieux

a) le litige en question est de la compétence des juridictions administratives ; b)


parmi toutes les juridictions administratives, il est de la compétence du Conseil
d’Etat

Le litige qui est de compétence des juridictions administratives est de la


compétence seule du Conseil d’Etat. En effet, il existe des juridictions hiérarchiques.
En premier degré il y a les tribunaux administratifs, puis la Cour administrative
d'appel. Enfin, il y a le Conseil d’Etat.
Le Conseil d’Etat en tant que juridiction administrative

Document 1 : Conclusion David sur TC 8 février 1873, Blanco, Dalloz, 1873, 3 p.11 et
texte de l’arrêt .

Correction :

En l’espèce, la ville de Marseille avait supprimé l’eml ikc’ingenrieur de l alvoierie


ocucpé par M Cadot Ce dernier a dd a la ville des DI qui a reufse . Sais les tribuunaux
judiciaire mis ceci ont esitme que le contrat de trvaail qu lel alit a laville ‘avait pas ..
lpar csq il se delcar eicnompétent. porte le litige dvt le conseil de pref qui se declare
egalement incoméptent car la rupture .. d e son ontat ‘netia tpa lsié à l'exécution de
travaux publique Dès lors le requérant s retourna ver sle ministre de l'intérieur Mais
lceui repondit que l'exécution locale n’ayant pas sa dmd en dinemintie il ne pouvait
lui mm y donner suite . Ce dernier refus du ministre permet de porter l'affaire devant
le CE .

-> Le ministre de l'intérieur pouvait- il refuser de statuer sur des questions qui
n’étaient pas de sa compétence ?

Par ailleurs, quelle juridiction devait connaître de ce litige née entre la ville de
marseille et le sieur Cadot ?

Le ministre de l'intérieur pouvait à bon droit s'abstenir de statuer des questions qui
ne relevaient pas de sa compétence et ne relevait pas de ses litiges.

Comme le relevaient les commentateurs du gaja, d'importance anodine cet arrêt a


marqué durablement le droit français et le contentieux du droit administratif, qu'elle a
mis implicitement fin à la théorie du ministre juge .Par quel raisonnement a-t-il pu
avoir cette portée?

( question de droit : proche de la solution /problématique : proche des


connaissances. )
I-une décision mettant fin à la théorie du ministre juge/ june décision destructrice de
la théorie du MJ

A) des raison historiques expliquant la fin de cette théorie


Pk cette affaire est née ? et pk on l’a choisi (16 et 24 loi , role du CE ,avt décision elle
pouvait etr eréformé par les ministres - contexte QUI otn ammené à cette decion
B) Une condamnation définitive marquant la fin d’un processus .
la fin de la justice retenue et ce qu'apporte la ajustice dlegue , elCE devient l’ordre
juridiction suprême de l’ordre madnistrative

II- une décision consacrant la compétence du juge administratif / Une décision


fondatrice de la compétence du juge administratif

A) unE décision instituant une incompétence par défaut del a urudiction


administrative
Le CE dcd qu’en l'absence d’un texte précisant le juge compétent pour connaître du’n
litige, et bah la compétence lui reviendra . Une des parties au litige implique une
personne morale ,le Ce sera compétent .
Les ccl de la décisions commissaire Jacque Hdi "partout ou il existe une autorité
ayant un pv de décision propre, pouvant prendre des décisions sm distractives
exécutoire, un débat contentieux peut naître et le CE va en être directement saisi”

B) Une décision ayant survécu à la fin de sa lettre .


Lettre =ce que dit une décision de Jp , article d eloi =/= l’esprit :, cerne l’intention de
l'autorité ou législateur lorsqu’il écrit la règle de droit en question

DPs le CE a cessé d’être le juge de droit commun, dps la réforme du 3 sept 1943
décision continue à être considérée comme du droit positif .

____

commissaire du gouv dont la charge était de rendre des conclusions ,proposait des
solutions à la formation de jugement.

la théorie des apparences : le justiciable doit avoir le sentiment que la justice a été
rendu de manière impartiale

doc 2 : ce qui a permis de créer ; grâce au conclusion .. d u gouvernement et du


commissaire public .
voir les conclusions du rapporteur public ou commissaire du gouv quand on doit
faire un commentaire d’arrêt .

Conseil de la concurrence : AAI .


pour assurer cette mission dispose de pv de sanction administratives.

Avt 2008: le CE faisait l’objet d’une suppression le législateur pouvait bien supprimer
le CE et attribuer son pv à un autre organe.
L'existence de sa juridiction administrative n’a été que sanctuariser dans la C° que de
manière très récente .

1995 : le CE -> Arrêt Procola


dualité du CE pose problème de l’impartialité

Semaine prochaine
La construction de la juridiction administrative dissertation
Commentaire: doc 9 de la séance 3. décision d'assemblée du CE commune d’Annecy
. lire pls fois doc 5 de la séance 2 - l(admdniyé face au droit administratif

Document 5 :

relation entre admisnitration ( citoyen) et puissance publique ( Amdisntration)

3 périodes :
- AR -< souission totale , personne pouvait contester décision prit par un
ministre , contrster directement le souveraine
dynamique juridique: va du haut vers le bas , verticale
- etat de droit XIX ès : emergence des services publiques ( admisnitré -> usager
du service publique = derviticalisation des rapports entre usager et Pce
publique ) - dynmaque juridique va du bas vers le haut , les amdisnitrés
pouvaietn opoposé des droits à l’etat er nc as mauvaise a pplication, le
contester devant la juridiction admiinstratice, emergence socialisme
municipale , du service publique
juridiction administrative, comme juridiction de droit commun
- XIXè s début XIXfin XIXè s a nos jours ( contemporain jusqu’a de nos jours)
démocratisation de l 'action publique ou l'administration serait co construite
avec la participation de l'administré, du citoyen. + fin du culte du secret
Ajd , cette dernière étape n’est pas encore advenue . (ex: referendum, très
difficile, referendum initiative contre privation aéroport de paris ; pas assez de
vote du citoyen , 2 référendum dans le cadre de l’asac des lendres: fiasco
juridique , décision urbanistique: obligation de consultation préalable des
citoyens
-> principe de transparence des actes administratifs .

État droit: puissance publique qui se soumet au droit . cad que prérogative de
puissance publique ne pourra plus s'appliquer via des règles arbitraires mais devra
respecter des règles de droit bien spécifique alors l'administrateur sera jugé par le
CE .

- Administré = toutes les personnes concernées par les règles administratives, c’est
par les hommes qui créer ou utilisent la chose qu’elle devient règle de droit une
chose devient une règle de droit grâce à la pratique.
L’administré est complètement soumis, parle de la révolution très rapidement en
pensant que cette relation de soumission n’allait plus jamais exister.
- Interrogation sur ce qu’ont de commun au niveau des principes, l’ensemble des
rapports qui régit la relation administration française – ses soumis (la population)
Principes qui varient selon les époques, régimes politiques et l’évolution sociale.
- Parle du XIXème siècle (première moitié) et son évolution au niveau de l’administré,
+ de liberté mais la justice est encore retenue par le souverain. Néanmoins la
pratique de la justice est déléguée au Conseil d’Etat et l’administré à la juridification
du recours total, fin du XIXème siècle abandon par la jurisprudence du principe de
l’irresponsabilité de la puissance publique = subordination des administrés
largement atténuée.
- Seconde moitié du XIXème siècle lent avènement de l’Etat providence (se définit
par affranchissement du libéralisme au profit d’une intervention étatique visant à
assurer le bien-être des citoyens et réduire les inégalités sociales par le biais de la
solidarité).
- Profonde différence qui sépare les services destinés à assurer les activités de
souveraineté qui offrent que des avantages immédiats à l’administré imposent + de
contrainte / d’autres services qui proposent aux membres de la collectivité des
prestations personnelles relation qui change en fonction du service selon leur objet,
certains sont gratuits car aide les + pauvres ou gratuité imposée par l’Etat, mais
lorsqu’il n’est pas gratuit la question qui se pose = comme il y a une relation
contractuelle qui s’établit, l’utilisateur a-t-il encore le caractère de l’administré ? Celle
d’usager tend à la remplacer...
- Retour en force de l’idéologie libérale, qui a entraîné la privatisation récente de
nombre d’entreprise publiques, et aussi l’extension par les organes de la
Communauté européenne de l’économie de marché qui réintègre dans le droit
commercial des entreprises publiques
dont le statut laissait une place au droit administratif
- Changement du statut de l’administré avec le passage de l'État autoritaire à un Etat
de droit réduction du champ d’application de l’Etat providence, diminution des
prérogatives incontrôlée de l’administration et du nombre de personnes sur qui les
prérogatives s’exercent.
- L’Etat de droit ne coïncide pas forcément avec la démocratie, toutes les autorités
publiques sont soumises à la même règle dans l’Etat de droit mais pas forcément
l’élaboration de la règle de droit par les citoyens ou leurs représentants.
- C’est pour la décision administrative sanctionnant le comportement d’un administré
que la règle du secret a d’abord été levé la jurisprudence fait donc des droits de la
défense, un principe général permettant à tous de connaître ce qu’il lui est reproché
et de pouvoir se défendre en présentant des arguments en leur faveur.
- Le secret = la règle absolue régissant l’élaboration de la décision administrative,
règlementaire ou particulière règle pas dépourvue de justifications : cela exposait
l’autorité publique gardienne de l’intérêt général, à toutes les pressions perturbait sa
liberté compromettait l’exécution en ne permettant pas d’organiser en avance la
soumission à la mesure envisagée, mais pb en manque de contact avec ceux que la
mesure concernait, ils étaient privée d’informations permettant une meilleure
adaptation à la réalité.
- Prise de conscience du législateur de ces données plrs réformes qui vont dans le
sens d’une ouverture de l’action administrative aux intéressés, mais avec prudence.
Bcp de distinctions entre les décisions particulières et les distinctions règlementaire
mais aussi entre celles de l’Etat et celles des collectivités décentralisées.

Les + importantes (guettez la fin du paragraphe 4p20)


- D’autres réformes vont dans le sens de la démocratisation et donc de la
décentralisation (= délégation des pvr de l’Etat à des autorités administratives
compétentes comme préfectures)
Une démocratisation trop poussée risquerait de favoriser que les intérêts des
collectivités trop indépendantes agiraient comme des micros-états donc compromet
l’équilibre du développement du territoire mais décentralisation et déconcentration
servent à la démocratisation.
- L’administré n’est plus le coauteur de la décision qui le concerne, comme l'exigeait
une démocratie absolue, il est informé de sa préparation ce qui permet de faire
connaître son pdv principe droit de la défense.
Mais grandes prudences pour deux raisons :
- La mentalité administrative, ils ne voyaient pas comment continuer leur activité en
dehors du secret, alors que le dossier est désormais communicable et aiderait
grandement l’administré en révèlerait un certain nombre de choses concernant la
décision.
- La maîtrise par l’administration des moyens nouveaux qu’elles mettent au service
de son action a peu à peu confirmé la confiance des administrateurs dans le bien
fondé de leurs décisions.
2 sources

SÉANCE 3 :

Doc 1 : CE, sect., 6 novembre 1936, ARRIGHI, rec. 966


Arrêt dans lequel il y a affirmation de la loi écran. Théorie de la loi écran : théorie
selon laquelle le contrôle de constitutionnalité d’une loi ne peut pas être fait par le
conseil d'État.
Le CE refuse de faire un contrôle de constitutionnalité des lois.
Pas de recours possible devant le CE quand il y a un contrôle de constitutionnalité
des lois

Doc 2 : CE, 17 mai 1991, QUINTIN, RDP, 5, 1991, p. 1433


En l’espèce : Quintin demande au préfet du Finistère l‘obtention d’un certificat
d’urbanisme pour la construction de maisons sur terrain dans zone rurales. La
demande de certificat est rejetée sur fondement de l’ART R 111-14-1 d’un décret pris
en application de l’ART L 111-1 du code de l’urbanisme. Il saisit le tribunal
administratif et est débouté de sa demande. Il forme pourvoi et le CE rejette le
pourvoi en le jugeant non fondée. Le CE a jugé que le règlement ne violait pas le droit
de propriété prévu par la constitution.
Arrêt dans lequel il y a affirmation de la théorie de l’écran législatif transparent.
Arrêt important puisque depuis cet arrêt le CE peut contrôler la constitutionnalité
d’un acte administratif s’il est pris en application d’une loi de portée générale.

Arrêt qui vient poser un principe à la jurisprudence ARRIGHI


Élargissement de la compétence de la juridiction administrative au contrôle des
actes réglementaires

Doc 3 : CE, Ass., 18 (12) juillet 2013, Fédération nationale de la pêche en France,
req. N° 344522

En l’espèce : fédération nationale de la pêche saisi le CE pour l’annulation du décret


du 22 septembre 2010 relatif à gestion de la pêche de l’anguille.
Dans cet arrêt, la question qui se pose est de savoir s’il n’y a pas des hypothèses ou
la loi ne fiat pas écran et n’empêche pas que l’on puisse contrôler le règlement au
regard de la charte de l’environnement.
Problème : charte de l’environnement à valeur constitutionnelle : donc ici le juge
peut-il faire un contrôle d’un texte réglementaire par rapport à une norme
constitutionnelle alors que ce dernier est pris en application d’une loi ?
- 2 possibilités : soit le texte réglementaire ne fait que tiré des conséquences de la loi
: alors le CE ne peut pas opérer de contrôle de constitutionnalité il faut passer par
une QPC.
Soit le texte réglementaire prévoit des mesures réglementaires propre : alors le CE
peut faire contrôle de constitutionnalité. En l’espèce, le texte réglementaire vient
préciser la loi, CE a le pouvoir d’apprécier la conformité du texte : contrôle possible.

RÉSUMÉ DES ARRÊTS : soit le texte réglementaire se contente de tirer les


conséquences nécessaires de la loi : alors cette loi fait écran : contrôle de
constitutionnalité impossible. Soit, le texte réglementaire va au-delà de la simple
application de la loi et prévoit des mesures réglementaires propres : théorie de la loi
écran transparent : contrôle de constitutionnalité possible.

Doc 4 : CC, 28 novembre 1973, Mesures privatives de liberté, rec. 45


Détermination de contravention et leur peine : quand il n’y a pas de peines privatives
de liberté.
Amende : max 2 000 francs.
PAS COMPRIS DOC

Doc 5 : CE, 3 février 1978, Confédération française démocratique du travail et


confédération générale du travail, rec. 47, RDP 1979, p.585.

La loi prévoit délit et crime ; aucune mention relative les


infractions. C’est au gouvernement d’adopter, par voie réglementaire, des mesures
propres.

Doc 6 : Contrôle constitutionnel sur cette loi 25 janvier 1985 Loi faites car
incompétence du législateur pour établir l'État d’urgence en l’absence d’une
disposition expresse de la rec.43 permet au Conseil constitutionnel d&#39;examiner
la conformité à la Constitution d’une loi promulguée par voie d’exception à l’occasion
du contrôle a priori d’une loi qui la modifie, la complète ou en affecte le domaine.
C’est une loi faite pour combler les carences du législateur et du pv réglementaire
Loi conforme à la Constit

Doc 7 : Contrôle de constitutionnalité sur cette loi 21 avril 2005


Loi qui réforme le système scolaire, rappel des grands principes comme l’article 6 de
la DDHC (loi = expression de la volonté générale), l’article 34 de la Constitution
(concernant le législateur comme seul compétent à faire la loi) ou encore l’article 7
de la loi différée qui rappelle l’objectif de l’école.
Le II de l’article 7 et l’article 12 = contraire à la Constitution
Articles 19,22,33 et 34 = caractère règlementaire

Doc 8 : Contrôle de constitutionnalité sur cette loi 28 février 2012


Loi visant à réprimer la contestation de l’existence des génocides reconnus par la loi.
Beaucoup de référence à la DDHC de 1789 notamment l’article 6,8 (l’établissement
des peines par la loi) ou encore l’article 11 (liberté d’expression).
Loi contraire à la constitution car ne peut pas être dotée d’une portée normative qui
s’attache à la loi et loi qui porte une atteinte inconstitutionnelle à la liberté
d’expression.

Doc 10 : articles 61 et 62 de la constitution du 4 octobre 1958


Articles 61/ 61-1/ 62 relatifs au contrôle à posteriori de la constitutionnalité des
textes.

ART 61 : Contre a posteriori obligatoire pour les lois organiques, les propositions de
loi (ART11) et règlements des assemblées parlementaires. Délais prévus pour rendre
décisions (1 mois ou 8 jours si urgences), contrôle de constitutionnalité : par rapport
au bloc constitutionnel

ART 61-1 : contrôle de constitutionnalité d’une loi déjà promulguée peut-être


possible.
Pendant une instance en cours, le CC peut être saisi pour contrôle de
constitutionnalité d’une loi.
Contre à posteriori.

ART 62 : Si inconstitutionnalité : pas de promulgation. Décision du conseil


susceptible d’aucun recourt.
Conclu sur 3 articles : volonté profonde de respecter la constitutionnalité.

2 sources dadmsitratif:
- loi
- constitution

Loi -> Parlement


I
Jurisprudence -> CE + juridiction antérieur
I
Règlements/ acte administratif unilatéral -> les pouvoirs exécutif ( nottament
national : le gouv + local )
nottament application de la loi : il y a des décrets d’paplication de la loi

théorie normativisme : une règle jruduqie tire sa leigitmité de clele qui lui est
supérieur dans sa règle de snormes
Ce a aucune legitimite a controle les lois du Parlement

Arridy -> le CE pouvait-il cpntroelr le legalité d ela ldecision dinividuel concernant le


suaur Arridhy a l’ho.; d edisposition consituttionnel
Sol : le CE rejette en considérant que “ copier colle solution : “

Loi dud roit francais es inerve

legicentrisme .nonemphile (pr avant)


probmtq 1 : Enq uoi cette decsio nest elel fondatrice de la théorie dite d el’ecnran
législative ?

Arrêt CE , 6 novembre 1936, ARRIGHI correction :


problmtq 2; 80ans arpès sa publicaiton les fondmeents de cette ecision et s aportée
sont elles tjs d’actualité?

+ JPest ancienne et fondamentale = a de l’importance donc accès bcp du plan


sur la portée
+ JP est récente + décision d’espèce ou jalon = + avoir un commentaire proche
de la solution = accès développement sur son sens, droit positif

I-Consécration de la théorie de l'écran législative: une conséquence de l’etat légale


français

A) Une décision cristallisante , un processus JPiel


décision ne dit pas la théorie de la loi écran dans sa lettre, production doctrinal mais
sera seuelent écrit seulement dans la décision CE , 10 nov 1950 .. clairage et force
motrice . En réalité ; ce qu’qpplique la théorie de la loi écran ( 23 mai 1901, Delare ou
a été apliqué loi ecran où le requerant invoquait la decharge d’une texe prévu par une
loi car considérait qu’etait contraire à l’art 13 de la cedh. CE n’est pas fonde a juge sa
demande de ladite taxe
B) Une décision justifiée par la culture du légicentrisme

II- Les affaiblissements de l’écran législatif: la progression de l’etat de droit à la


française

A) l’atténuation par l'instauration du mécanisme de la QPC


QPC: condition
- loi dont le justiciable conteste le litige
- question n’est jms été posé
- caractère sérieux (est ce qu’il y a une chance que la loi soit constitutionnelle
?) ou nouveau ( le fait de contrôler la constitutionnalité de la loi va clarifier
l'état de droit ? )
condition formelle
- cc ne peut pas s'auto saisir = double filtre : va etre filtrer par juridiciton du fond
ou 2nd degre ( CA, CAA ) et le second filtre : juridiction supreme (CC ou CE) ->
vont de nouveau verifier condition.
( a partir de 2008 que le CE a été consitututionnlalisé , considéré comme cour
supreme , on ne peut plus supprimer le CE)

bloc de constitutionnalité;: crée par décision du CC 1971 liberté d'association

décision du 3 octobre 2008 Commune d’Annecy

solution Annecy

art 7 de la charte de l’environnement vient préciser que le modalités d'implication


devait être défini par la loi loi Or la le décret avait empiété par la loi.
ici décret d’application d’une loi qui a jms été publié .

-> La Commune d’Annecy pouvait-elle invoquer les dispositions de l chart d el’nevir


poir soutenir l'illégalité des décrets de l'environnement délimitant le secteur ou la loi
littoral s’appliquera?
(voir identifiant étudiant : base donne lgdj daloz et retrouver les conclusion du gouv
ou rapporteur public)

solution : ( commissaire yann aguila solution :)l eCE a suivi les cocl de osn
commissaire du gouv Yann Aguila en faisant droit au moyen tiré de l’incompétence
du povuoir reglementaire au profit du pouvoir législatif en se fondant sur la charte de
l'environnement inclu dans le préambule de la constitution

En quoi la décision commente parachève t elle le mouvement JPel d'extension du


bloc de constitutionnalité et dans quelle mesure cette décision contribue à la
consolidation de l'état de droit francais?

I/Une solution prolongeant la jurisprudence extensive du bloc de constitutionnalité


A) .La juridicité de la charte de l’environnement
B) . La réaffirmation de l’invocabilité de l’ensemble du bloc de constitutionnalité

II/Une solution obligeant le législateur a appliqué la charte de l’environnement

A) .Le rôle fondamentale du législateur dans la garantie des dispositions de la


charte
B) Une décision fondatrice de la valorisation de la charte de l’environnement .

B) l'atténuation par l’effectivité de la primauté des normes internationales et


européennes .

Pour l smeiane por:


commentaire : doc 13 de la séance 4 decision CEa ss 2006 KPMG
dissertation : droit subjectifs et droit administratif .

document 12 : parofi slefislateurdefaillant e toublie de ratfier ses législations


otdonannce par ratifié par le gouc: auront directement valeur législative
l:

pourke sdssoptions legisalteive, un controe via QPC sera admisisblemaisp : ca sera


un Recours pour excès de pouvoir

base légale :ensemble des normes à partir duquel e le juge amdisntraitf controle la
légalité

méthodologie quand il s’agit de commentaire de décision :

1- commencer par citer la solution à commenter ou paraphraser


2- développement
-> pour éviter la dissertation

PGD

défini première fois dans la Préambule de 1946 : va lui donner une valeur juridique ,
CE souverainement vont ajouter une valeur, principe . “Il réaffirme solennellement les
droits et libertés de l'homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et
les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République.”
lié à l'état de droit : ce qui caractérise l etat de droit est les droits et libertés citoyens. IL existe
des droits que le juge peut reconnaître ou adopter décision prise par l'administration ou par la
loi .

Que permet les PGD et PFRLR au CE :


-> robinocratie (= gouvernement des juges) (+ une critique, permet une certaine
indépendance) : craintes des robins à empiéter sur les pouvoirs exécutifs et
législatifs.
-> droit et liberté des citoyens face à l'Administration
- le législateur peut être défaillant ( =/= Rousseau ou l'expression de la volonté
générale prévoit tout) le juge va pallier la faillance du législateur en créant des
normes juridiques.
Notion de droit naturel : ont tjs existé sans qu'il y est une reconnaissance formelle
par le législateur .

Condtition de ces PFLFR:


- continu
- fonder sur un texte
- que la loi ait été voté avant 1946 + régime républicain
- caractère fondamental

critère matériel : fondé sur un texte, et + précisément sur une loi (généralement ceux
de la 3è rep ) d’un régime républicain avant 1946 ( avt 4è rep: 4 octobre 1946)

critère temporel: principe appliqué sans discontinuité ( de manière continue) et sans


exception .

critère substantiel : caractère fondamental ( cmt savoir si un principe pressenti est


fondamental : doit se rapporter l’exercice de la souveraineté nationale, à
l’organisation des pouvoirs publics et qu’il se rattache à des droits et libertés
fondamentales.

= Ces critères sont cumulatifs .

décision n°2013 -619 DC du 17 mai 2013 portant sur la loi “mariage pour tous”
en l’espèce 60 deputzes, 60 senateurs ont invoqué l’inconsittuionnalité de cette loi
en se fondant sur la prétendu ecistance d’un PLFRFR ou le mariage serait
necessairement l’union d’un homme et d’une femme.
e CC va a ppliquer ces critères , il va contaster que la lgislation republicaine
anti&rieur à 1946 ert judqu’à mtn ont tjs regardé le mariage d’un homme et d’une
femme ( les 2 premiers critères sont donc repectes). Cpdt le 3è critère: ce principe là
,n'intéresse ni l'organisation des PP no souv nationale et n’atteint aucun droit des
libertés fondamentales des citoyens .Comme ce 3è critère n’est pas reconnu.
=Alors le CC écarte ce moyen. Il n’en est pas un PFRLR.

PFRLR reconnu par le CC: sont de valeur supra législative .

Documetn 1:
reconnaissance d PFRLR de la liberté d’association , annule arrêté du ministre de
l'intérieur
Rappel du préambule de ladite constitution . Cette décision est prise sous la 4è rep .
Le CE va tirer du préambule de la C°applicable ( 1946) : la liberté d’association
Quand on lit le préambule, aucun critère ne montre liberté d'association est un
PFRLR c’est le CE qui le dit de manière souveraine

Le CE annule le décret . La Jp du CE a une valeur infra législative


Les PFRLR n’ont pas valeur législative mais réglementaire .

Document 2 : CC, 16 juillet 1971 , liberté d'association


-> coup d’etat juridique
Le CC estime que mtn les pv publics seront soumis à des règles de droit et mm le
parlement ne pourront être violés .

consacre le bloc de constitutionnalité , composé de ce préambule de 58 ,


A la base P de 1958 renvoie au préambule de 1946 qui , permet de reconnaître les
PFRLR
Le rôle du CC l'origine n'était que de contrôler le s mécanismes liée au
parlementarisme rationalisé ( que la Parl n'empiète plus sur l’exécutif, art 34,36 et 37
de l aC° soit respecté)
et non pas de contrôler la constitutionnalité des lois par rapport à la C°
Le citoyen n'était évoqué que dans son rôle qui sera le souverain par les modalités de
souverain .
Exception : art 66 C° : “juge judiciaire a des libertés individuelles”
-> reconnaître un pouvoir et une compétence au juge judiciaire
C’est pour cela que cette décision est importante.
Ajd la juridiction qui a ce rôle est la CJUE .

Document 5 : Koné
CE invente un PLFR tire du fait que le rpe refuse d’extrader des etrangers lorsqu’elle
est dmd dans un but politique .
reconnaît l'admission d’un PFRLR > Traité ( accord franco-malien )

Docuent 4 : Dame Veuve Trompier 5 MAI 1944


1ère decision qui reconnait un PGD mm si ne l'exprime pas vraiment

Document 5 :
C’est seulement en 1945 qu’est mentionnée expressément la notion de PGD (CE,
Ass., 26 octobre 1954, Aramu) : « Il résulte de ces prescriptions, ainsi d’ailleurs que
des principes généraux du droit applicables
même en absence de texte ».

Peut les appliquer même en l'absence de texte , le CE et la juridiction administrative


reconnaître ses droits de la défense

Document 7
un pgdr ou tout justiciable a le droit de contester une décision administrative . le CE
dit que cet existence d e pgd permet d’assurer la légalité. En l’espèce, la loi en
question qui permettait , volonté du législateur était très claire “l’octroi de la
concession ne peut .;” la décision amdsitrztiv unilatérale qui permet a une personne
publique d'octroyer une concession = pas de contestation dvt Administration
Ici , le CE dit que chaque justiciable peut contester une décision administrative . Sur
cette décision d’octroie de concession , utilise un PGD pour écarter l'application de
cette loi . C’est un principe contra legem

Document 12 : CE, 8 juillet 2005


le CE reconnaît que le droit administratif est “bcp moins mature “ que le droit civil ,
bcp + récente . “ que les principes dont s’inspire l’art …”témoigne que le DE est un
droit fragile et récent, il y a des règles de droit appliqués en droit civil et dont le
législateur n’est pas encore intervenu.
Il applique directement le code civil , mais malheureusement le droit civil est bcp +
riche que le droit administratif.

KPMG :

question de droit : A partir de quelle date et selon quel modalité le gouv pouvait
imposer un code de déontologie à la profession des commissaires aux comptes?
Le CE après avoir appelé la règle interdisant l’application de nouvelles normes
rétroactivement à de sisutation contractuelles déja établies . IL consacre, le pricnipe
de sécurité juridique .

problématique l: En quoi la consécration du principe général du droit de sécurité


juridique par le CE démontre sa volonté d’adopter une JP + favorable aux activités
économiques .

I/ la reconnaissance de la sécurité juridique en droit administratif

A) Une consécration indispensable au renforcement de l’etat de droit


B) Une consécration à la portée limitée .

II/ Une décision faisant la balance entre l'intérêt général et les prévisions
contractuelles .

A) L'imposition de mesure transitoire sur le fondement de la SJ


B) L’annulation partielle à cause de l’absence de mesure transitoire .

Pour les décision de commentaire:


- ccl des commissaire du gouv
- ljdj et daloz

SÉANCE 5 :

commentaire d’arrêt CE,ass, 9 juillet 2010, Mme Cheriet Benseghir .

Le Conseil d’Etat rend un arrêt de rejet le 9 juillet 2010 portant sur la question de
réciprocité d’accords internationaux entre les États.

I/La notion du respect de réciprocité .

A) respect et maintien réciproque des devoirs dans les traités internationaux par
chacun des états
B) Le devoir de la question préjudicielle appartenant à l'origine au ministre des
affaires étrangères.

II/L’abandon par le juge de la question préjudicielle dorénavant souveraine de cet


acte.

A) Un juge administratif dorénavant autonome


Le CE revient sur ses pas en effet

écarté l'application de stipulation d’un traité international, de vérifier si la condition de


réciprocité est ou non remplie".
Autrement dit, le juge décide de faire lui mm la vérification du respect de cette condition. Il
ne pose plus de question préjudicielle au ministre des affaires étrangères.

B) Un revirement de JP

permet gain de temps


arrêt CEDH sanctionné la france car la durée pour savoir si l’etat respectait ses
devoirs, était trop longue .

ARTICLE 55.
Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une

autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son

application par l'autre partie.

● traités> lois

CONDITIONS :
- régulièrement ratifiées ou approuvées ( procédure)
- réciprocité ( les traités > lois : valeur contingente , relative à cette condition qui
dépend de la conduite des relations internationales et par nature instable)

ARTICLE 62. al 3

Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles


s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et
juridictionnelles

= les décisions du CC ont une autorité absolue de la chose jugée , sont


insusceptibles de recours, ont un caractère presque inaliénable . Les décision que
prennent le CC auront un problème vis-à-vis du contrôle de conventionnalité .

QPC: une des conditions : que le cc n’est pas rendu une de ces décisions

document 1 :

-> loi postéiruer à la ccl d'un traité inter, loi qui étai tocntraire à des dispsotions de loi
internationale.
Normalement avec l’art 55 ( on est 10 ans après la C°)
Le CE neutralise l’art 55 de la C° et fait appel à la théorie de la loi écran
ici il s’agit d’un déchet et le requérant invoque le traite internationale
Mais la loi fait écran . La loi fait écran à la supériorité des Traités itnernationaux sur
la loi .
CE très critiqué pour cette décision .
(cf. Arrighi)

doc 2 :
- le CC , son seul rôle est de contrôler la constitutionnalité des lois .
refuse d’élargir son contrôle
- Ne peut être compatible avec un contrôle de conventionnalité car i lest par
essence instable ,lié au relation internationale. Car du jour au lendemain , un traité
international peut ne plus être appliqué .ur la nature même de ces décisions, qui
sont immuables .
Si le CC controlat =:= art 61,la fr aurait dû appliquer TI alors que la question de
réciprocité ne serait plus admise .
-> vide juridique . Car le CC se trouve incompétent pour controle de conventionalité.
Alors aucun juge ne se trouve à ce moment compétent .
A une époque ou les traités interatioanux montent en puissance qualittiativement
quantitativeme,t

- manque de fiabilité de la France par rapport aux traités internationaux.

● Cour de Cass, 24 mai 1975, café jacque Vabre .

La Cour de Cass accepte de contrôler la conventionnalité des lois vis-à-vis des traités
internationaux et même postérieure .
L’art 55 retrouve son effectivité juridique

renversement =/=
théorie de la loi écran est écarté

Doc 5 arrêt Nicolo


Le CE accepte le contrôle de conventionnalité .
En 1989 le droit des communautés européennes revenait de l’art 55 de la C0 (ajd
relève de l’art 88-1 de la C°)
(explicite dans les visa : art 55 C° -> on comprend qu’il primera les traités sur les lois

= Ajd 2 rôle de conventionnalité : juge judiciaire (CC) et juge administratif (CE) .

Le Monde “ le dernier verrou de la souveraineté a sauté” en parlant du CE.

Doc 6 Sarran
“ … ne s’applique pas aux dispositions de nature constitutionnelles”

Doc 7
ple CE reconnaît la possibilité d’invoquer une CI devant la gestion administrative pour
contester la légalité d’un décret .

Doc 9 : 11 avril 2012

1ère condition : effet direct avec faisceau d'indice


question de l’effet direct des stipulations internationales .
Le ce dit que la possibilité pour jle justiciable d'invoquer de stipulations contr un acte
reglementaire deend des effeits directs de ces stipualtions.
Pr determiner le CE va faire appelle à la technique du faisceau d’indice: va recercher
l’effet direct au CI
Dans ce faisceau d’indice:
- intention expirmé par les parties ( les etats)
- les philisophies generales de la CI ( a tlel le pour but d’octryer des droits au
citoyens dsla philosphie au ays signataires
L’effet direct va se decouvrir notamemnt si la CI n’a pas comme simple but de regir
les relations entre les états .

2ème codntions: pas besoin d’acte complementaire porur rendre effectif ces CI

Le ce va rechercher si’l est possible que cesc odnitons d’applique aux citoyens .

Ce va dégager 2 conditions
- ne doit pas regir

Doc 8; Aqurhone

voir P de 1946

14. La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public
international. Elle n'entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n'emploiera
jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple”

A partir du P de 1946 : le CE va en déduire une forme normative à ces règles


coutumières en .. interne

Doc 10 gisti 29 juin 1990

question préjudicielle devient facultative et le juge A ne sera plus lié que lui renvoie
le ministre des affaires étrangère sur la manière d'interpréter les CI sur sa décision
Le juge A prend de la hauteur sur l'exécutif .

Doc 11 AJDA 2002 (renvoi un art de doctrine écrit par qlq qui a fait un commentaire
d’arrêt “ parfait “ selon la communauté administrative) - RJ dederatio nntionale de la
libre pensée
lecture doctrine ou cll de rapporteur/commissaire du gouv et le style juridique.

le contenu des traités internationaux: sont des actes de gouvernement cad que ce
contenu qui ont valeur > loi et < à la C° , sont insusceptible de recours dv tle juge A (
il contrôle pas la conventionnalité, constitutionnalité.. du contenu des juges
internationaux )

Il n’y a pas de contrôle de conventionnalité croisé : cad que le juge A va refuser de


contrôler la conv d’un traité A par rapport à un traité B cela reviendrait de contrôler la
.. gouvernementale et les stipulations de conduites

= le CE dit que le contenu mm mdes traités sont des actes de gouv, refusera de
traiter le contenu et de faire contrôle de conventionnalité croisé.

= angle mort du contrôle de constitutionnalité: aucune juridiction contrôle le contenu mm de


ces conv internationaux en théorie .
+ cette décision semblait créer un vide juridique .

doc 12 :
revirement de JP avt 1998 , le juge A s refusait de controle de .. procédure (mm le CC )
CE se déclare compétent pour contrôler la régularité de la procédure d'introduction dans
l’ordre interne des traités internationaux .

ratification d’un traité

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