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Sine Merl] |e ETN PLASTIQUES sort d'une didactique- Cola erel0[ 3 retard) ee Cire put PROBLEMATISER OU CONSTRUIRE DES QUESTIONS La situation de pratique se rapportant a l'étude d'un gnjen notionnel ou, plus largement, a tune question de l'ert, Suet proposé aux éleves (proposer : poser devant) est desting & «faire probléme> non pas sous Tangle du probleme a “ésoudre mais au sens of ce qui est demandé ne manquera pas de faire surgir de multiples difficultés ordre spéculautt co Plastique. C'est 3 la lumitre de la phuralité des réponses obte, nes (et non des « solutions ») qu'il sera pris conscience de ons interrogations pouvant donner eu a controverse, Dis lors que Von dénie «la vérité en peinture » ou tout impératif Worthodoxie du faire, il va de soi que tout usage dun moyen plastique déterminé, tout écart par rapport 4 ave Takrence, toute démarche artistique, ne Vaudront que per autorité de la présence de Varuvre ou, secondairement, er les arguments appelés pour la légitimer, serait-ee le renee meme argumentation. En ee sens, c'est la posture eritique Gu devient elle-méme horizon d'enscignement (garant dc la compétence ultime), entendue e omme faculté de mettre an Jour un certain nombre d’interrogations relatives 4 des choix que le plasticien (artiste, 1° Paliers de son effectuation lave) aura & soupeser & certains ant & des enjeux se rapportant re formel de sa propre pratique Y fet ingdit remet en cause Vidéologie plastique Rauelle il se référait jusqu’alors ?) que symbolque quent saqee tas dui accucillera le nouvel objet (en qua! ce qui Tenite fire percu de 'ceuvze pourra donner & penser, quien de Veffet suivant Iadoption de telle ou telle sure sans oublier ce qui reléve de la mise en vue, Sauf erreur de notre part, le mot « probleme» n’apparait pas dans les instructions’ officielles avant Tarte at 16 novembre 1978 portant sur les collages + 104 Quels objectifs de formation ? Les problémes qui seront de développer aptitudes créativ, sur la base de thémes (..) endront peu & pew Ala conceptualpannn’ Rotamment «T'interrogation oritiqu de 1985 (collage) puis de 1987 (Iyeée) inviten Partir d'un « probléme & résoudre» oud i i ‘une « question Pflevion " & développer wun processus dection et ge réflexion. t les professeurs & i Pratique » est le lieu démergence des suse, tions, le lew o& Yon cherche et réfléchit en ta er Au reeul critique). eh en Faisan, le support Sur le plan philosophique, probléma: ania tiser signifie mettre tensions qui s'y jouent ‘expérience ov 1a com- Avoir accés & la raison de Part 105 préhension antérieure de ce phénoméne au moyen dune pensée multipolaire, multidimensionnelle, apte 2 tisser un réseau fluide d'interrogations critiques. Tl s'agit done de mettre 4 jour un champ de questionnements, de remettre une question en question, i conduit & préférer, en AP, le mot « question » au mot «probléme (les instructions officielles ‘récentes parlent ailleurs de mise en question et de « notions & articuler sous forme de iée de rencontrer une question plutét que de roblime se trouve toute la différence entre la proposition d'une situation exploratoire et le simple exercice dinculcation. Exemple! : Objet d'éeude : te mouvement figuré — Exercice: «La béte qui senfuit; rendez compte de son mouvement en recherchant des effets avec ‘votre pin. — Question ouverte: « Le saut& éastique rendez compte de ce que vous avez vu en sautant. » — Ou encore : « Escargot supersonique. » Objet d'étude : Vapproche du tableau-relief. — Exércice: «Une fusée s'écrase sur la lune; représentez ion en incorporant divers matériaux afin de rendre les différentes textures du er — Question ouverte :« Une fuste H avec les moyens de votre choix "explosion la plus spectacn, laire, » Ici, il s'agit non seulement dune recherche de textu. ‘sussi de mettre en question les moyens de la suren- Nous retrouvons ici le repére essentiel & partir duquel S‘organise la formulation dun sujet : quelle(s) question(s) veut-on que les éléves se posent ? 106 Quels objectifs de formation ? ndait du candidat quill dégag, bk sage une problé. Permettre de proposer un dispositit péda_ ique favorisant la eréation et la réflexion di tour du theme ». es questions, celles qui renvoient 8 un enscy Pe es AP. Méme si aujourd'hui tn tite ment sous-jacent aux qruvres Pourtant, se mettre & ment de comprendre d tes implicites de son époque, en rap ques, Une proposition a des éleves de rement » til pas contradiction & travai iller Ia eo) dans I" « opac it6 » plasticienne ? Ajoutons quelques exemples Une formule eélare tel cme se ntoret net naa As cet confonation eesti saad) tals ot porte a i Sa iéc. De V'atelier de Rembrandt on de ‘art pai instructions éerites de Sol LeWite ( A neige » in advance tothe broken arm) Avoir accés & la raison de Mart 107 on prend com: le propos de Picasso « en pein- essayer & condition de ne jamais recommencer », as! » mais de faire eurgir la question, par exemple par un arti- ee de mise en seine jout anrecal imposé d’outil, de format, de support. situation de slinterroger ‘sur Fecommencer ou pas. De méme, le sujet « fragile » n'invite pas prioritairement & ilustrer ou rendre par un « solide » savoirfaire la fragilité, mais, inversement, & s'interroger sur la fascination quant au seuil de recevabilité de certains savoirfaire ou encore sir les démarches qui, obsessionnellement, interrogent la fragilité de leur statut, bref, la fragilité des certitudes eu art. gui mettra térét et les impli De la sorte, en AP, «ce qui est & travailler, la question, west pas donné plus ou moins directement par un sujet mais A inventer et & construire implicite de la proposition mest pas un pidge mais un de fonctionnement (expli- cite) propre aux AP »', Problématiser, c'est avoir vu o¥ il y question, c'est se donner les moyens d’en tenter la transposi- tion dans une aventure singuliére adaptée & des éléves déter. mings et en « improviser la gestion » en fonction des émergen- ces fortuites. Quelques exemples, encore 4 Tei et maintenant » pose In question de 'immédinteté de la perception, da caractdrecirconstanciel dela rencontre sescore A la phénoménclogie et au earactere hypnotique de tercien, rent, de la perte des repdres sous la coupole buroque 4 Tera ou du sublime de Kant a Newman, Ty aust le rapport la vie i nous concerne eur I ineddiar, Poatr eat tenant », est encore interroger le caractére universe deTunité de leu et do temps, Laster oe se transporte pas, il se rlinstalle autrement slons, 4 maine que ton éphémérté soit définitivement close, Inveronenn pour 'euvre,ce qui semble en jou, nest.ce pase pana eo Tew toujours » ? 1G. Pélsies,remanques da prsidens, Reppert du jury de Vagrégation exe ar, sesion 97, Paris, CNDE, 9H pen ee a Nears 108 Quels objectifs de formation ? Sur le terrain de la ela: de la réalisation problématique. 5, On ny voit que du blew C'est la couleur des réves de M; 8se, cest aussi le statut et le devenir i doivent etre appréhendés sous un angle er, celui qui mélancolie t encore la spiritualité immatérielle de Ith» Mais, par une certaine eohérence, le bleu est ausdi Leh le deuil, la perte, I Couleur du zetrait. Problématiscr la leu » sur le torrain de la ler les nuances, calouler les effets dy ce quill en est de la « taisie » dans: slasse n'est done pas travels ‘un fond bleu, Js question littéralement po: sée par Ryman (Unfinished | and >. Finished 3) ou acumde (Opalla, 1966, Daednet ome _gischevement peut provenir aussi de Texcwen dune Le lecteur s'interroge questions esthétiques ne Jeunes enfants, serait-ce questions précédentes sort éleves sous des formulations plus directes telles que: «Ca Peut-étre quant au fait que ces Paraissent pas abordables par de par la pratique. C’est faux. Lee ent spontanément de la bouche des Avoir accds & la raison de Vart 109 veut dire quoi, ca, monsieur ?» ou bien « madame, c'est pas fini! ». de_maternelle me livra un jour un int. Il s‘agissait de photographier son ombre portée sur le sol de la cour avee un appareil photo jetable lorsqu’un enfant demanda: « Mattres mettre, la téte et les jambes ? tout compris des enjeux, ceux - matique majeure de la photo), ceux se rapportant a la receva- bilité de Yceuvre (norme et jugement) ? Ainsi, traiter une problématique sur le terrain des AP ne consiste pas a résoudre des problémes mais & rencontrer, par Ja pratique, des questions. Crest étre confronté a une prise de risque et éprouver ainsi les enjeux liés aux choix que l'on ° A cet égard, suivant Damisch’, nous pourrions distinguer le jeu (générique) de la partie (spécifique) car ils'agit bien de tenter d’élever Phypothése d'une nouvelle partie Entre la régle du jeu ~ a « grammaire » ~ et sa mise en ceuvre dans une partie concréte, la relation n’est jamais simple, mais toujours marquée au scean d'une contradiction indépassable et constitutive de la peinture comme telle. Le principe qui guide V'enseignement des AP et qui s’appuie sur la pratique plastique des éleves a done pour fonc- tion de placer ceux-ci dans des conditions telles que des ques- tions plastiques, esthétiques puissent surgir comme événe- ment d’entre leurs ms Drune certaine maniére, Youverture & Ia raison dans la diégtse de la séquence pédagogique serait, a V'image de la beauté nouvelle décrite par Breton, sinon « convul- sive », révélation « poignante », du moins irra taire et en débord : « magiqque-circonstanciell Lart n'est plus 0 Quels objectifs de formation ? favoriser une effectuation en lisitre de Ia « catastrophe » (C'est ainsi que Hélderlin nommait déj tion opéré dans la structure du vers a l'origine de l'effet tra. gique de P@dipe de Sophocle, nous a rappelé justement Le Bou}! qui doit permettre la mise en doute de ce savoir usuel ct sa résurgence sous forme de question. Par-delA les extrdmes gui balisent l'art du XX" sigcle, d’une part le modéle guerrier @an avant-gardisme subversif, d'autre part lindifférence sourdant des recyclages postmodernes, certains, tels Sear. gnent, cent ans apres Baudelaire, la permanence une esthétique du « trouble ». L'artistique est 4 saisir dane les légers glissements (déja d’ailleurs dans la pare de liberté que l'on prenait dans la réalisation des icdnes, des frises flora: les ornant les tapisseries dessinées par Le Brun...), la réacti, Yation décalée (la narration chez Favier, la contagion des codes chez Koons, le vocabulaire de Le Corbusier ches Port zamparc...), autrement dit encore ce qui fait « jeu », au sens cette fois d'introduire un espace pour le mouvoir, « infra. ‘mince » dirait Duchamp, dans la machine de nos reptres culturels. parée ? Cela fonctionne, mais autrement, confirmant la «dif, térence » dont parle Cohen’ ~ oule « trouble »~ en sollicitant de nous un penser différentiel qui ne peut plus se suffire de schéma avant-gardiste du pour ou contre ~ du bien on de mal -, du dedans ou du dehors, mais pose lexistence d'ee ail, leurs, d'un autre de la pensée qui porte en Iui sa Iépitimité Sins GoPposer & celle des autres) permet I'accts de plain-pied gox démarches artistiques situées sur des vectours voising, sur des vectorisations plus lointai- Sans cesse revisitées, traversent jesure et module conditionnent le nes. Les grandes questions, Vhistoire et les eatégories : au 3. Tn Les arts plastique &'Universi, op. cit, p27 Avoir accis @ la raison de Part a remple grec, les cathédrales, V'art classique y compris la litté- mh eu musique, resurgissent chez Seurat, Villon, Le Cor- busier, Barré, Sol LeWitt ; le « fa presto », c'est Fragonard, Mathieu, Alechinsky, le lent, c'est David, Léger, Rouan, Skoglund. ; Ce jeu de balayage du champ est particulitrement teur car il situe d’emblée Tacc’s aux ceuvres sui a des problématiques plastiques : qu’en es , des ques- tony de conttunises ex a pat dake et polyptyques de Van der Weyden, Bosch, Bume-Jones, Bacon, Rothko, Ber- trand ou Liipertz ? Qu’en est-il des questions de hiérarchisa- tion et d’hétérogénéité ou a contrario de nivellement chez smatisation peut s°a] jartir de la notion elle-méme (ex. la limite, effacement, Vendroit et Venvers...), ¢¢ que les concours livrent souvent par le canal des citations, ou 8 partir de documents (une analyse Peeuvre ou la confrontation plus ou moins préparée de plusieurs couvres). Par exemple — une auvre : Géricault, Le radeau de la Méduse, 1819. Lmuvee peut étre écudiée & propos: du cadrage, ds format, de Ja composition, de Ia lsmitxe, du exjet (rt quotdien) de Ia fonction du corps, de Pexpressionzismes, — mise en relation de trois ceuvres : Picasso, Mandoline et clari César, Ricard (compression 1962; A. et P. Poirier, Le mort d’Encelade (installation Salpétritre), 1983. ‘De nombreux axes peuvent relier ces sculptures Nature et usage des matériaux dits « nouveaux »,—Péchelle de leeuvre, ~ assemblage, accu destruction, construc- ‘ferent, ~ le titze et jon, précarité, fragi- du conceptuel, — 12 métonymie (le tout /Te frag- , ~ espace, vides et pleins dans la sculpture, — sens voulu, sens pergu (sémantique, sémiotique), ~ la couleur en sculpture, 2 Quels objectifs de formation ? Gear Lemps ot Veouvre, ~ strocture et présentation des eeuvres (mise en espace), — le prévu et Vimprévu (le séle de hasard), ~ modernité, postmodernité, Ja problématisation est @abord mise au jour de ipements au niveau du champ artistique, ee cere re une de ces questions en question cadre d'une situation d’apprentissage, Déployons encore quelques exemples concrets de problé- matisation + LE CORPS EN ACTION jatialement, la problématique du geste (qu’en estil de ea vish Dilté, de son ampleur, de son contrdle, de ses détermaants it ses finalités ?) mais ce n’est pas que cela. Déteille ‘Batonite d’Albers aux textiles non enduits appr Jos Painterly Abstraction et Support-Surface ou ates Hine, syne thétiques de Polke 27 Cest essentiellement le geste entendu comme facteur espressivité chez Michel-Ange, Hals, Rubens, Honea Rear Bane yaplacrots, Rodin, les Exprestionnistes, le Futusione, Bacon, Vélickovic... c'est aussi Buffet. 3/ Crest placer aussi Pact Sey Fauls, Devade, chez Titien et Courbet, De Kooning ot Kline {aut Gomme inversement chez Malévitch, Mondrian ou Lick tenstein, ‘opposé, la marque de l'artiste dont on v1 cte singulier, par bumilité eu égard au sujet religio nz des Tednes, chez Fra Angelico, Champaigne, par sétestion cours dans la peinture lisse des Po: ‘op Art ou la Figuration Narrative, i qui se mesure & Teuvre dans les formats de Stalonnées de Barré, dans le tracé au bambou le lyrisme wallabéen d'un Mathieu ou dane Ja désignation de Pacte & ing pollockien. C” le « process » chez Serra st aussi sa projection plus ou moins directe sur la Vétat pu 6/ Ce Avoir accés dla raison de Part 113 setne : aprés la main rupestre aurignaco-périgordienne de Pech: Merle quelque 40 000 ans av. J.C, celles de Pellock et celles dc Long, les anthropométries de Klein, la présence de Beuys om ae Gilbert & George, la brutalité de Agtamise, Pane, Lygia Clark et Orlaa, Burden, Acconci, Kelley, MeCarthy.. La FLUIDITiE Opposée a toute solidité ow rigidité, aux espaces clos et a la ‘matérialité des limites. De Palladio au Bernin, de Mies van des Rohe Foster, Rogers ou Gehry, lesréférences ne manquent pas, Cette fluidité peut s'ancrer dans la pense de Watfin (forme ¢ donne i voir dans le Modulateur ‘Nagy, la Colonne sans fin de Brancusi dre, grand admi espace-lumiare de Mohol ules alignements de C, tier. Cest aussi la colorfi ‘Nauman ou de Viola, les La Mluidité, c'est aussi, au-dela du décloisonnement des gen (pas seulement Vaffranchissement du eadre ou du sacl), ion du concept d’art (de V'art éphémére aux Immaté. fluctuation des xéférences (Trans-avant-garde) et des Crest enfin Vadaptabilité et la malléabilité de nos projets pédagogiques. ‘«TROMPE-L'GIL, TROMPE L'ESPRIT » Reavoie & Vexpression de Picasso voulant souligner le caractire non littéral des collages cubistes. Derrtre, ee psofla toute la question de limitation depuis Platon. Pourrerent ene Evoqués & cet égard les statuettes de substitution tnésopeta riennes, Arcimboldo, le passage de la représentation 4 la pres fgntation début du xx" sidele, La trahison des images (1929) de Magritte, la Fresh Widow (1920) de Duchamp, de Spoerr, les découpages récents de Rosenquist, Oldenbourg, Rousse, Dan Graham, Lavier, Artschwager, Gober, lore Some, lationnistes ... Inversement, ce serait Deux sércs (1913) de Malévitch ou Five Words in Orange Neon (1965) de Kosuth, LE FIASCO C'est pire qu'un simple échee, c'est le rid tionnel (sexuel). C'est Les bonbons de Brel cho al fiasco de 800 pages, lee f @'Homire de M. Ingres ou du Radeau de Céri le d'un raté rela- us Quels objectifs de formation ? Téchec de Van Gogh nile manque de notoriét davantage la fusée grandiloquente qui s'abime, soire, dans lindifféren iteuse et déri- ime un fruit trop mur séerase dis- prés le fameux « quart d’heure de te d'art avec deLizine, lazy, photographiques de Mouline ou encore ler « Enfina ein Touysrd (1992), baudruches de caoutehoue gui cotormens yell ln 2Y la sthouette vacée Dan Matisur ct caller eioahe ae Pout manager Le fiasco, et ce qui permes d'interroger Part comme come ‘nication la pertinence commie permanence et comes wn versal c'est aussi, quand il et sedaive, assumes es lente ae notre métier, Le fiasco, Ini, ne se fabrique méme pas didactiquement. I fombe sur Macte artistique ou sur le peste pedagegin a froid humide dans le so hiveral. On ot cee {ant nen reste-tl pas moins une belle occasion chances toy ce qu'il peat en étre des ertdresesthétiquen om tasreantn $ LE FORMAT. Pear clove ces exemples de problématisations, voici le sque- sre dime étude réalisée il y quelques années’ en vue de 1) Approcke historique eqtmergence dune question aépendant de Pusage ; non pensé, format tables de cheval éonomiques et form proportions ‘armon spécifiques (format oval Gree, Byzance, le format ‘au Moyen Age). Format Ja double filiation du décor vénitien ; mod Format et nombre (fo es, module et nombre 2) Format et pouvoir ; pouvoir du format : Te « grand genre » au xvir sitcle (Le Bran, Poussin). Lee grands formats au xix" sitcle (Gros, Gérieault, Delacroix. Vex ‘ets Courber, Couture, Bouguereau, Cormen). Caractere hype, 2 P. Bonsiel et BA. Gai et, Ars plstiqus eu te, Le ferme, projet pour le ‘CNDP, 1990, resté eans suite. Pleas ‘yet lef Preis pour Avoir accis @ la raison de Vart us tigue du grand format (Vart totalitaire, Schnabel, Wesselmann, 4} inversement : Favier et 3) Le format, une composante plastique de Veuore : Matisse, qualité/quamtité (La danse, 1909-1910, L'atelier rouge, 1911, La danse-Barnes, 1931-1932). L’agrandiscement ou catreau, refus de Matisse dessinant Paide d'un bambou : Bar. pelle de Vence ; Hartung ; Steel Drawings de Wessel. mann ; le Pouce de César. Cinéma et télévision, deux eens différents, 4) Format et mise en cuvre : Picasso et le Train bleu, Dufy et la Fée électricité, es Delau- RaY au pavillon des transports en 1937. Debré face au grand format avec des stratégies spécifiques. Les différents Peotbal- ‘quéte du sublime (Strzeminski, Kelly, Newman, Brancusi. 6) Le format, contribution & Veffet de champ : Greenberg et Ia colorfield (Tamer ; Mone Romphéas de VOrangerie ; la chapelle Rothko ; Newman) Tied et Vopticalité (Pollock, Olitski). Newman (Cathedia 15s ing Forth, 1961). Critiques du greeabergisme (Wollheim, erg, Krauss, Guilbaut). 1) Format et limite de auore : Ambiguité du format moyen (Wafilin quant 3 ouverture Ruegue: Mondriaa, carzés posts sur la pointe: chapelle ut out et all over chez Pollock). Petit format et du mur (Wandestaltung, 1921, de L. Péri ; accrochages de Favier ot Messager ; The Wild, 1950, de Newman). Le format Slant ot déductivité (Soulages, Newman et le « zip >). 16 Quels objectifs de formation ? 8) Format et configuratio La configuration résultant de contraintes externes (art yoman et adhérence au cadre, Blais, art mural et arts appl qués). La configuration comme déterminant de Yaune, structure déductive (Matisse, Demoiselles & la rividre, 191 Fenéires de R. Delaunay, Stella, Noland, Fried). La configura’ tion externe comme résultante de louvre (Forbera, 1686 ; Dali, aus thes pleines de nuages, 1934 ; Magritte, La représen. on, 1937 ; Stella, shaped canvases) ) Limites du format : soumission et transgression La limite ignoxée (Shapiro, la préhistoire ; Villard De Hon- necourt, Haring). La limite respectée (dllégorie de Brouzina, 1546 ; Won, forme ouverte, forme fermée ; Klimt). La limite transgressée (Catin, Cadres de peinires, 1991; Severini). Le polyptyque comme lieu de continuités et ruptures (Van der Weyden, Bosch, Griinewald, Le Christ @ la paille de Rubens, Bacon), la Chapelle Bacci & Arezzo par P. Della Francesca, la Chapelle Cornaro & Rome par Le Bernin. 10) Des limites du format au format Lopposition Giscomerti/Serra (Krauss). Merleau-Ponty, Phénoménologie de In perception, 1945. Serra, 1970-1972, Buren, Toroni, Long, site et non-site (Smithson). Brancusi, Colonne sans fin, 1918-1930 et C. Andre. Ll) Extension = le format et la musique : La densité: le choix dun certain potentiel sonore. Le genre : cuvre instrumentale ou vocale, religieuse ou profane, dramatique ou non. La forme : concerto, symphonic, fugue, sonate, motet, opéra, oratorio, cantate, lied... La durée dans la ique tonale, 12) Pistes pour Venseignement des AP : — «donne: (Matisee) ; — miroir, fragment, éclat, reporter, agrandir, recadver... ; — tavailler sur le dépliant, sur intérieur-extérieur, sur un eylindre. — «donner une autre envergure & votre trav: — photo on vidéo : un corps et un cadre carré — le nombre, moyen de construction ; — les mesures de votre corps. dans un espace fe @'immensité » Avoir accés & la raison de art ut Problématiser (si 'on garde le mot) consiste done & rechercher en quoi il y a probléme aujourd’bui sur le plan de ‘instauration ou de la perception des ceuvres. Les probléma- iques peuvent avoir une coloration plastique, sémantique ou esthétique. Cette mise en question n'est pas automatique ; de plus, elle est fluctuante. Ainsi, « le portrait » n'est pas une problématique mais un genre répertorié. Il existe cependant une « problématique du portrait » qui peut stinterroger sur la mise en sctne de la figure, sur le rapport fidélité/idéalisation, sur les moyens du rendu psychologique... La problématique du portrait est aujourd’hui différente : c'est s'interroger sur la possibilité de persister dans un genre apparemment obsoléte. On pense alors aux options de Giacometti, Lafont, Cadieux, Sherman, Coplans, Convert et, plus avant, a 'abandon de la représentation mis en avant (par ex.) par une excellente exposition a Lyon en 1993! Les questionnements les plus riches quant & l'approche des enjeux disciplinaires se rapportent probablement aux sujets « traversants », c’est-a-dire qui entrent simultanément en résonanee sur le terrain artistique, plastique et pédago- gique. Ainsi, par exemple, dn risque et du hasard déja cités vis-A-vis desquels V'enseignant est souvent confronté, du modele (la dépendance de l’éleve & son égard mais également les mod#les pédagogiques), de I’écart entre projeter et réaliser (des tableaux-esquisses de Delacroix aux programmations conceptuelles, du recours & la gomme combattu par l'ex- pression directe a... 'improvisation didactique) ou encore de Vopportunité de s'exposer ou pas lorsque l'art (ou la classe) glisse du spectacle an spectaculaire. Lrenseignement des AP se fonde sur l'expérience de tels questionnements alors que par le passé il privilégiait la réali- sation d'une production. I] reste ensuite a transposer ccs questions en direction des éleves dont on a la charge. 1. Autoportraitscontemper Lyon, ELAC, 1993, commissaire B. P. Brunos, Houston, Texas pron gdition AD. Aidion wie & pur LOId, ou J ber ge Te aa et ote ARTS PLASTIQUES STS d'une didactique- LE NOTIONNEL EN ARTS PLASTIQUES ‘Une notion ne s’enseigne pas si l'on cons: Pas en soi « connaissance ». Le e: re qu’elle n'est jotére & la fois sensible et unique des objets dont nous avons & traiter enraye d’entrée de eu Ventreprise du « connaitre ». Souvenons-nous que pour Kant, par exemple, seule une perception objective est commais. sance. Mais cette connaissance est au mieux intuition si elle j elle n’acctde au rang de nest qu'immédiate ot singuliére concept que si l'on peut dépasser lexpérience ordinaire de objet au profit d'une idée plus indirecte (médiate), d'un signe qui xéunit les traits communs & plusieurs objets. Sragissant des ar, usage s'est largement répandu de par- ler d’apprentissages « notioy 1s » par écho lointain a la lin- guistique of ce mot désigne ensemble des termes propres & exprimer un concept. Pour des raisons pratiques et hors de Quels objectifis de formation ? ici différencier la on n’atilise guére snvoie a des idées permettant d’avoir bonheur, durée, espace...) mais t6t celui de « notion » mnt de maniére trés extensive Tensemble des termes aptes & désigner la perception des objets dont nous avons & traiter prise sur les perception: L’enscignement des AP fonde sa réflexion sur un certain nombre de notions, autrement dit sur le questionnement jamais clos qui s’y rapporte : 1/ Au niveau du collége, une notion se découvre, elle appa- ‘it comme registre pertinent (vocabulaire) permettant a'analyser les démarches, les dispositifs, les évenements plastiques. Didactiquement, cela implique que soient éla- hborées des situations, des « aventures », oft la notion en question émergera avec naturel du dispositif lors de Veffectuation ou de la réflexion comparative qui sera menée avec les éléves : la notion (comme question) appa- rait alors comme un paramétre actif, partenaire d'un choix en matitre de stratégie plastique. 2/ Au niveau du lycée, la notion est généralement connue. Eprouver Pactualité dune catégorie notionnelle, son envergure et sa fluidité, guide alors vers une construction .ctique plus ambitieuse. Il ne s’agit plus de découvrir un outil théorique mais d’interroger les limites de la caté. gorisation qu'il impose. La seule méthode possible est lo quement celle de ouverture et de interrogation, elle doit, susciter des scénarios nouveaux et c'est alors de réexamen et de dépassement dans un contexte inédit qu'il est ques- tion. On remet la question en question. De fait, il serait plus exact de dire qu’il s'agit IA de deux ulation du couple action/zéflexion (c'est moins lave qui est en cause que son éducation & penser Page de plastiquement). ‘Toute recherche doit se concevoir non comme une simple démarche hypothético-déductive (qui renvoie aux opérations énoncées par Piaget) mais suivant le principe d’une « spirale inductivo-hypothético-déductive », selon la formule un peu Avoir aceds & la raison de Part aL curieuse de Cattell? mais dont la légitimité se trouve dans la volonté de souligner une différence d’approche fondamen. tale : tandis que le raisonnement hypothético-déductif n'est souvent que la vérification qhypothéses déja la, la concep. tion spiralaire de Cattell repose sur une phase exploratone dont examen des événements parfois inattendus suseitera @abord un raisonnement induetif duquel seront ensuite tirées des hypothises conduisant & la dé pour l'expérience ou de nouvelles e: duction de conséquences xplorations. (Liinduction tire des hypothéses générales a partir d'évé- ements particuliers, la déduction exploite des hypothéves pend. n direction du particulier expérience —> induction — hypothise > déduetion rience -> induction —> ete.) > expe Ce principe spiralaire (qui renvoie aussi & Bruner)? sur Tequel nous avons déja beaucoup insisté est, selon nous, le modéle heuristique caractérisant de la manitre la plus appropriée les processus d’inférence (les processus porteurs de sens) en ceuvre dans la démarche plasticienne. De Ketele et Roegiers, & qui nous nous r lignent ailleurs « Gooi ext les études sur ‘rons également, sou- Ceci est conforme a ce que nous rapportent s voire des découvertes scientifiques et sur la eréativité : les hypothéses pertinentes surgissent soit lors dune observation prolongée en si naturelle, soit d'une obser vation occasionnelle, soit par I'intermédiaire @une observation ive des régularités non attendues ou des erreurs lors de Est-il besoin de dire qu’en aP la spéculation centrifuge est a cultiver, le travail d'une question étant précisément fondé sur le principe de la reprise et de 'approfondissement par approches successives ? Si la mise en place d'une intention repose le plus souvent sur une hypothése de pertinence fondée sur une expérience Experimenial Poycalogy, Chicago, i, 1983, ‘be recua informations, 82 Quels objectifs de formation ? émisme intégral les. moyens employés ; elle permettrait une analyse critique de la pra- fiqhe Ze Facets’ Ia conscience plasicieane” Une soeene boucle (puis une suivante...) viserait alors & dépasser la perti- nence pour les frontitres de Pimpertinence, viserait & appro- cher la disjonction et la transgression dans la quéte de cet écart que Merleau-Ponty! disait conduire & la « sur réflexion ». Maniére de penser la notion non pas comme dési- gnation définitive mais comme angle de vue précaire et ci constanciel. ESQUISSE D'APPROCHE DES CONTENUS NOTIONNELS. La pratique plastique conduit généralement a la réalisa- fou d'un objet vieuel. La forme constitue Mpparence, une configuration, lisible ou non, résultant d'une intention Sorganicaton et done, d'une certaine maniére, de la projec- tion d'un auteur. En ce sens, elle figure ou est figure. Si, par le passé, le matériau offrait les qualités propres a sa substance comme potenticl en attente d'information, méme dans la littéralité d'un Mo: leau ou encore du on n'ignore pas «la perte de visualité ga affects ube part ds Tart comtemporan sod il s'abstienne «de ligne ow d'image »*, qu'il courtise ‘immatérialité ou qu'il entende plus ou moins valoriser Tidée, le concept ou attitude’. 1. M. Meneaw-Ponty, Le visite o Minis, 2. Se reporter 8 L'art conceptuch une persp su MAMVP, 1969, p14 3. Ad Reiaksrde, Ar as Ary, Souvient de H. Su het de JF. Lyotard Bern Avoir accés & la raison de Vart 83, On partira néanmoins du principe que Ia pratique plas- tique implique forme et mise en forme, cette mise en forme fo mant figure. Tout objet visuel (notamment celui désigné comme artistique) sera considéré par postulat comme le résul tat d'une action sur un matériau (devenu informé) on bien le résidu d'une intention. Le terme d'action conduit & rencontrer le geste et l'outil ; leterme de matériau renvoie aux constituants plastiques et & leur organisation, serait-ce & un degré « zéro ». “acte plasticien (voire artistique) est volontaire, spéci- "homme, il ne se rapporte A aucune nécessité biophy- siologique. Il a done un sens lié a des déterminations d'ordre esthétique et psychosociologique. Ge préambule est fragile et contestable, il sera seulement posé quelques instants afin de permettre d'avancer non un type de compartimentage des savoirs mais plutot quelques voies d’approche, ce qui autorise certains chevauchements, @tant entendu que tout objet visuel ou conceptuel n'est per. ceptible qu’en sa globalité. On songera aussi a Passeron qui, dans un schéma exposé & l'Université de Paris I en 1971. séparait tout naturellement les « sciences de l'art qui se fait» (dont la poiétique), les « sciences internes des ceuvres » et lee «sciences de l'art qui est regu » (dont lesthétique). En référence & cette partition, nous proposerons d’envi- sager successivement plusieurs axes d’accés : = Ja forme (constituants et organisation de l'eeuvre) ; — les modalités d’instauration de Poruvre ; — ce qui se rapporte au sens. Le déploiement non exhaustif qui suit a uniquement pour but de donner conscience de l'nfinitude des parametres qui, du point de vue des aP, peuvent donner liew & questionne: ment. Travailler une question (ex.: la hiérarchisation) consiste & confronter une notion-noyau aux notions-satellites qui s'y rapportent (valeur, composition, é 1 Paseon, Par un philoaplia de a erton, Pai, Kies BAN modi dens La nine dere Va a pe P 84 Quels objectifs de formation ? NOTIONS SE RAPPORTANT A LA FORME ET AU DISPOSITIF PLASTIQUE/VISUEL CONSTITUANTS plastiques (point, ligne, plan, volume, com- sant...) monochrome, ‘modulation, LUMIERE (éclairage, contr modelé, ombre propre, ombre port ESPACE propre, figs clair-obseur, dre et hors cadre, champ et hors champ, recadrage, profondeur de champ, frontalité, étendue, étage. ment, détaiVensemble, contexte . ‘Traduction de Vespace : perspective albertienne, atmosphé- rique, isométrique, axono1 ‘vauchement, rabattement scansion, rupture dégiad, régulant, progres: sion, ponctuation, abeence | Statnneldymamniome, équilbre/Aétquilbre, symétrelais symétre,ordreldésordre Contrast, opposition, contour, aualté, forme/fond, pleinvvide, neil passage Format, échelle alle, dimension, proportion, ari sn, raccord, imbrication, autres » foc déploiement, prolifération, débordement, glissement, ment, oscillation Avvir accés & la raison de Vart 85 Dissociation, éparpi illement, all over, semis, accumulation, couche, u saturation, alignement, entassement Pragil its, éphes NOTIONS RENVOYANT A L’acrs © INSTAURATEUR (aux opérations plastiques du corps agissant) instruments (CESTE de mise en euvre, rité, envergure, puissance, fluidité, précision, impulsion, geste ai wolontaire, impersonnalité, délégation du faire Geatuelle & dominante GRAPuIQUE : tracé ouvert ou fermé, tage ceguvontina, détourage, hachure, grffure, frottage, grat, ecrrrone & dominante PICTURALE : tow dégradé, coulure, giclure, brossage, fro dilution, réserve, projection, tache,’ ma coloriage ee “ che, facture, aplat, is, glacis, dripping, culage, badigeonnage, per, filmer, multiplier, dealguen, edzer recede eee "porter au carreau,rehnusse, envio Figneaton : dite déformation, transfortaton, anamor- howe, allongement, raccomercomprociog stsaction: styiation, simplification, géométsation, Codification, schématisation, pixalination "© axctinitoment dela surface rise en compte du suppor x de Véxendues end collage, manghage, face yn, débordement, recou- stratification, pochage, que, tramage Foisage, motlage, empftement, incrustation, reeyelage, corpora, portation ation, transparence, impression, entrelacs, tressage, arabes ‘Traitement de la mati 86 Quels objectifs de formation ? hasazd, a a an omg Seen ee ein pace Sahm em arr “tn ei soe cen oer, ets 2a ee eee en mee ie op coriy ega een pag Hema exemple nd, cosapion, ape spec em, corm, pera, heen filiation, parodie, variat autologic son, ete tee Sen cin somos Sa cing Se Sinha ioe en Saat nto, wit pina Gl,“ contemporanéité, banalité, obsolescence, monumental Per neces. ene ante st ln ian ee tenn pn ee Bidet deme ca oa sare mone a arenes oll, mein maine ve it, hétérodoxie, EE, sty Mens gag Samet, camara, Miler apt nie nen has eee etic ape eee eh ae condensation, délire.. Avoir accés dla raison de Vart 87 Ainsi en est-il du répertoire infiniment extensible des ‘uestions susceptibles d’étre rencontrées en AP. Lapproche du visible est globale. Dis 1994, les pro- Support » et préconisaient « une papstetsion par approfondissement permanent » (confirma, college 2008). Au lyoée, les programmes sont gensralennt “eférés & des entrées par grandes notions transversales ele, ane s forme, figuration, envre » (eyele terminal 2010) Pour notre part aussi, 4 deux conceptions didac- Hagues, contrairement a option dun savoir linéwire hic, rarehisé, nous défendrons plutot le principe du reve constellaire, de la méme facon qua i Cun nie yeas 2OUs référerons approche systémique @un développement spiralaire. Toutefois, ces deux principes ne dispensent pas de Porganisation du eurriculum de ce voyage. « Par oleae cer #'» est la premidre question posée aux formateun, par Profesceurs staginires confrontés notamment de jeunes dl Fendt Comsoivent leurs réponses en termes de narration og anecdote alors qu’ils souhaitent placer lear enseignement irs Zens de la couleur), il importe de cerner assev clairernose les principales questions qui seront & réactives constamment de gauze de la formation par le fait qu’elles sont fondatinns de toute expression plastique. Nous nommerene, ui se rapportent au choix des constituants de Vauvre + ner, expérimenter supports, meédiums, matériaux...) celles qui se rapportent & Vorganisation du dispositif plas- omposition, traitement de homogéne ou discontinu, systames d'interrelatines goo compo- Santes, mode d'énonciation référencé ou non, — elles qui se rapporient au geste instauratew 2 (trace, graphie, touche, quant le corps & V'acte...) space propre ou figuré, Vexpressiv ‘mises en ceuvres plastiques impli. 88 Quels objectifs de formation ? — calles gui se rapportent au traitement dela figure ot 2 la repré- sentation : (affranchissement des archétypes et stéxéotypes, degré de réalisme, déformation, transf fragmentation, associa tion ot autres opérations plat (Gnalyse des ceuvres et de sa propre démarche....

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