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Jean-François FERRARIS
Anne MASSARDIER
Séverine RIVOLLIER
2 Corrections 5
2.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
2.4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.8 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1. www.cayrel.net/enseignement/maths-istp/article/matrices-cours
1
1 Énoncés
Première séance
1.1
Soit a ∈ R et A la matrice suivante
1 0 a
A = 0 a 1
a 1 0
1.2
Ecrire le système suivant sous la forme matricielle :
2x + y =z+1
−x + 2y = −3
−x + y = −2 − 2z
Le resoudre. Vérifier par le calcul matriciel (montrer le travail) que le vecteur X à coordonnées
{x, y, z} que vous avez trouvé est en effet une solution de l’équation AX = B correspondant.
1.3
GIN FA 2011 test 2
On donne les matrices suivantes :
1 −3 6 1 0 0
A = 6 −8 12 et I = 0 1 0
3 −3 4 0 0 1
1. Calculer A2 et montrer qu’il existe deux réels a et b que l’on déterminera, tels que :
A2 = aA + bI.
(1 pt)
2. En déduire que A est inversible et, sans effectuer le calcul direct d’inversion de matrice,
déterminer A−1 en fonction de A et de I. (2 pts)
1.4
GIN FA 2009 test 2
Trois bouteilles contiennent chacune une certaine quantité d’eau.
• Si l’on verse 37 cl d’eau de la bouteille A à la bouteille B, B a alors 2 fois plus d’eau que A.
• Si l’on verse 30 cl d’eau de la bouteille B à la bouteille C, C a alors 4 fois plus d’eau que B.
• Si l’on verse 144 cl d’eau de la bouteille C à la bouteille A, A a autant d’eau que C.
2
On cherche à calculer le volume d’eau initial dans chaque bouteille.
1. Mettre en équation les indications de l’énoncé sous forme d’un système de trois équations.
On notera VA , VB et VC les volumes d’eau initiaux respectifs dans les trois bouteilles, en
centilitres.
2. (a) Montrer que le système que vous avez écrit revient à l’expression matricielle suivante :
2 −1 0 VA 111
→
− →
− →
− →
−
A V = B où A = 0 −4 1 , V = VB et B = −150
1 0 −1 VC −288
Deuxième séance
1.5
1 2 0 0
0 1 2 0
Soit A =
0
. Expliquer sans calcul pourquoi la matrice A n’est pas diagonalisable.
0 1 2
0 0 0 1
1.6
Soit a ∈ R, notons A la matrice suivante
0 1
A= .
−a 1 + a
On définit une suite (un )n∈N , par la donnée de u0 et u1 et la relation de récurrence suivante,
pour n ∈ N
un+2 = (1 + a)un+1 − aun
1. Pour quelles valeurs de a la matrice A est-elle diagonalisable ?
2. Lorsque A est diagonalisable, calculer An pour n ∈ N.
un
3. On suppose A diagonalisable. On note Un le vecteur Un = , exprimer Un+1 en
un+1
fonction de Un et de A, puis Un en fonction de U0 et de A.
1.7
1 1 1
Soit l’endomorphisme f dont la matrice F est 1 2 0 .
1 0 0
Rechercher ses valeurs propres, considérant que le polynôme caractéristique de f admet une
racine évidente, puis une base de vecteurs propres associée.
3
1.8
GI FA 11 test 2
1 3 0
Soit la matrice A = 2 1 2 .
−1 −2 0
1. (a) Déterminer les valeurs propres de la matrice A (au moins une des racines du po-
lynôme de degré 3 posé lors de la recherche est considérée comme évidente).
(b) Déterminer les vecteurs propres associés à ces valeurs propres.
→
− → −
2. L’énoncé notera λ1 , λ2 etλ3 les valeurs propres citées dans l’ordre croissant et V1 , V2 et
→
−
V3 trois exemples de vecteurs propres qui leur sont associés, de coordonnées entières (que
vous choisirez, donc).
(a) Deux de ces vecteurs sont-ils colinéaires ?
→
− → −
(b) Calculer V1 ∧ V2 .
→
−
(c) Ce produit vectoriel est-il orthogonal à V3 ?
→
− → − →
−
(d) Conclure : les vecteurs V1 , V2 et V3 sont-ils coplanaires ?
→
− → − →−
3. La matrice A est celle d’un endomorphisme f, exprimée dans une base ( i , j , k ) de
→
− → − → −
l’espace à trois dimensions. Le système (V1 , V2 , V3 ) forme une nouvelle base de cet espace.
(a) Quelle est la matrice B de l’endomorphisme f dans cette nouvelle base ?
→
−
(b) En travaillant dans cette nouvelle base, déterminer l’image par f de V3 .
1.9
1 2
→
− →− →− →
− →
− −
→ → − → −
Soit, une base orthonormée ( i , j , k ), et U = 1 , V = −1 , W = U ∧ V .
1 −1
1. Définir la base orthonormée (→
−
u ,→−
v ,→−
w ) colinéaire aux trois vecteurs décrits ci-dessus.
→
− → − →
−
2. Établir les matrices de passage entre les bases ( i , j , k ) et (→
−
u ,→
−v ,→
−
w ).
1.10
1 −1 1
→
−
Soient trois vecteurs u = 0 , v =
→
− →
−
0 , w = 1 définis dans une base orthonormée
1 1 1
→
− → − → −
( i , j , k ). Un opérateur f réalise les transformations suivantes :
f (→
−
u ) = 2→
−
u , f (→
−
v ) = −2→
−
v , f (→
−
w) = →
−
w
4
2 Corrections
Première séance
2.1
Soit a ∈ R et A la matrice suivante
1 0 a
A = 0 a 1
a 1 0
1. Calculons le déterminant de A et déterminons pour quelles valeurs de a la matrice est
inversible.
1 0 a
a 1 0 a 3
det A = 0 a 1 = a 1 = −1 − a .
+ a
a 1 0
1 0
La matrice A est inversible si et seulement si son déterminant est non nul, c’est-à-dire si
et seulement si 1 + a3 6= 0, ce qui équivaut à a 6= −1 car a ∈ R.
2. Calculons A−1 lorsque A est inversible, c’est-à-dire a 6= −1. Pour cela nous allons déterminer
la comatrice à de A. On a
−1 a −a2
à = a −a2 −1 ,
−a2 −1 a
t
on remarque que à =tà et on a bien Aà =tÃA = (−1 − a3 )I3 d’où
−1 a −a2
1 1
A−1 = 3
à = a −a2 −1 .
(−1 − a ) −1 − a3
−a2 −1 a
2.2
2 1 −1 1
A = −1 2 0 et B = −3 .
−1 1 2 −2
x
On cherche X = y tel que AX = B par la méthode des pivots de Gauss. Cette méthode
z
est une élimination successive des coéfficients, qui permet amener la matrice des coéfficients à
une matrice identité. Pour cela nous alternons une normalization (i.e. divison de n−ème ligne
pour avoir 1 à la n−ème place dans cette ligne, avec la soustraction de toute autre ligne de
cette ligne normalisé pour obtenir 0 dans la colomne correspondant.
On a une suite des opérations :
2 1 −1 1 1 1/2 −1/2 1/2 1 1/2 −1/2 1/2
−1 2 0 −3 ⇒a −1 2 0 −3 ⇒b 0 5/2 −1/2 −5/2 ⇒c
−1 1 2 −2 −1 1 2 −2 0 3/2 3/2 −3/2
1 1/2 −1/2 1/2 1 0 −2/5 1 1 0 0 1
0 1 −1/5 −1 ⇒d 0 1 −1/5 −1 ⇒e 0 1 0 −1 .
0 3/2 3/2 −3/2 0 0 9/5 0 0 0 1 0
5
Les opérations effectuées sont
→ L1 /2;
a) L1
→ L2 + L1 et L3 → L3 + L1 ;
b) L2
→ L2 · 2/5;
c) L2
→ L1 − L2 · 1/2 et L3 → L3 − L2 · 3/2;
d) L1
→ L3 · 5/9 et L1 → L1 + L3 · 2/5, L2 → L2 + L3 · 1/5.
e) L3
1 2 1 −1 1 2 · 1 + 1 · (−1) 1
Donc X = −1 ⇒ AX = −1 2 0 −1 = (−1) · 1 + 2 · (−1) = −3 .
0 −1 1 2 0 (−1) · 1 + 1 · (−1) −2
2.3
GIN FA 2011 test 2
1. Calcul de A2 :
1 −3 6 1 −3 6 1 − 18 + 18 −3 + 24 − 18 6 − 36 + 24
A2 = 6 −8 12 6 −8 12 = 6 − 48 + 36 −18 + 64 − 36 36 − 96 + 48
3 −3 4 3 −3 4 3 − 18 + 12 −9 + 24 − 12 18 − 36 + 16
1 3 −6
= −6 10 −12 .
−3 3 −2
Cherchons des réels a et b tels que A2 = aA + bI. Cela revient à identifier :
1 3 −6 a −3a 6a b 0 0
2
A = −6 10 −12 = aA + bI = 6a −8a 12a + 0 b
0
−3 3 −2 3a −3a 4a 0 0 b
a+b −3a 6a
= 6a −8a + b 12a
3a −3a 4a + b
L’identification des termes autres que la diagonale conduit à : a = −1
Par ailleurs, l’identification des termes de la diagonale conduit à : b = 2
On a donc mis en évidence la relation :
A2 = −A + 2I.
6
2.4
1.
VB + 37 = 2 × (VA − 37)
VC + 30 = 4 × (VB − 30)
VA + 144 = VC − 144
D’où le système :
2VA − VB = 111
−4VB + VC = −150
VA − VC = −288
2. (a) L’objectif de cette question est d’harmoniser l’écriture du système, que l’on pouvait
avoir écrit de différentes manières. Par exemple, vous avez pu écrire l’équation 2 sous
la forme 4VB − VC = 150, et à ce moment-là il faut remarquer qu’elle est équivalente
à celle écrite dans le corrigé.
(b) det(A) = 8 − 1 + 0 − 0 − 0 − 0 = 7, non nul, donc le système admet une unique
solution. Inversons A :
T 2 −1 0 T 4 1 4 4 −1 −1
1 1 1
A−1 = Cof 0 −4 1 = −1 −2 −1 = 1 −2 −2
7 7 7
1 0 −1 −1 −2 −8 4 −1 −8
4 −1 −1 111 882 126
→
− →
− 1 1
V = A−1 B = 1 −2 −2 −150 = 987 = 141
7 7
4 −1 −8 −288 2898 414
La bouteille A contient 126 cL, la bouteille B : 141 cL et la bouteille C : 414 cL.
Deuxième séance
2.5
1 2 0 0
0 1 2 0
Soit A = 0 0 1 2. Expliquons sans calcul pourquoi la matrice A n’est pas diagonalisable.
0 0 0 1
On remarque que le polynôme caractéristique de A est égal à (1−X)4 . Ainsi la matrice A admet-
elle une unique valeur propre : λ = 1, si elle était diagonalisable, il existerait une matrice P
inversible telle que A = P I4 P −1 alors A = I4 , or ce n’est pas le cas, par conséquent la matrice
A n’est pas diagonalisable.
2.6
Soit a ∈ R, notons A la matrice suivante
0 1
A= .
−a 1 + a
On définit une suite (un )n∈N , par la donnée de u0 et u1 et la relation de récurrence suivante,
pour n ∈ N
un+2 = (1 + a)un+1 − aun
7
1. Pour quelles valeurs de a la matrice A est-elle diagonalisable ?
Calculons le polynôme caractéristique PA (X) :
−X 1
PA (X) = = −X(1 + a − X) + a = X 2 − (1 + a)X + a.
−a 1 + a − X
∆ = (1 + a)2 − 4a = 1 + a2 + 2a − 4a = 1 + a2 − 2a = (1 − a)2 .
et
0 1 x x
=a ⇐⇒ y = ax
−a 1 + a y y
ainsi on peut choisir →
−
e 1 = (1, 1) et →
−
e 2 = (1, a). On a alors
1 1 1 0 −1 1 a −1
P = , D= , P = .
1 a 0 a a − 1 −1 1
8
suppose Un = An U0 , on a alors U n+1 = AUn = A.An U0 = An+1 U0 , le résultat est donc
vrai pour tout entier naturel n.
La matrice A étant supposée diagonalisable, on a donc, pour n ∈ N,
n n −1 1 a − an an − 1 u0
Un = A U0 = P D P U0 = n+1 n+1 ,
a−1 a−a a −1 u1
ainsi on peut exprimer pour n ∈ N, le terme général de la suite un en fonction des premiers
termes u0 et u1 , on a
1
un = ((a − an )u0 + (an − 1)u1 ) .
a−1
2.7
• Valeurs propres :
Polynôme caractéristique :
P (λ) = (1 − λ)(2 − λ)(−λ) − (2 − λ) − (−λ) = −λ3 + 3λ2 − 2
On remarque tout de suite que 1 en est une racine évidente.
9
√
• Vecteurs propres associés à 1 + 3 :
√
1 1 1 x √ x x + y + z = 1 + √3 x
1 2 0 y = 1 + 3 y ⇔ x + 2y = 1 + √3 y
1 0 0 z z x = 1+ 3 z
√ √
x+y+z = 1+
√
3 x
√ x = 1 + √3 z
1+ √3
⇔ y = −1+ z = 2 + 3 z ⇔ y = 2 + √3 z
√
3
x = 1+ 3 z
x
= 1+ 3 z
√
1 + √3
Ces vecteurs propres sont les vecteurs colinéaires à 2 + 3 .
1
2.8
1. (a)
1 − λ 3 0
det(A − λI) = 2 1 − λ 2 = −λ3 + 2λ2 + λ − 2.
−1 −2 −λ
1 est une racine évidente de ce polynôme.
Le quotient de celui-ci par λ − 1 est −λ2 + λ + 2, dont les racines sont −1 et 2.
La matrice A admet trois valeurs propres réelles distinctes : −1, 1 et 2.
x
→
−
(b) Pour chaque valeur propre λ, on recherche les vecteurs V = y tels que
z
→
− →
−
AV = λV .
10
(c)
→
− → − → −
(V1 ∧ V2 ).V3 = −2 × 6 − 2 × 2 − 2 × (−5) = −6.
Leur produit scalaire étant différent de zéro, ces deux vecteurs ne sont pas orthogo-
naux.
(d) On a vu, entre autres, que les deux premiers vecteurs ne sont pas colinéaires et que
le troisième n’est pas dans le plan formé par les deux premiers (car non orthogonal
à leur produit vectoriel qui, lui, est orthogonal à ce plan). Ces vecteurs ne sont
donc pas coplanaires (ils peuvent donc former une base de l’espace vectoriel à trois
dimensions auquel ils appartiennent).
3. (a)
−1 0 0
B = 0 1 0
0 0 2
→
− →
− → − → −
(b) V3 est
le troisième
vecteur de la base (V1 , V2 , V3 ). Ses coordonnées dans cette base
sont
0 0
→
− →
− →
−
donc 0 . Par définition d’une valeur propre, f (V3 ) = 2V3 . Ainsi : f (V3 ) = 0 .
1 2
2.9
1 2 0
−
→ −
→ → − → −
1. Le vecteur W est le suivant : W = U ∧ V = 1 ∧ −1 = 3 .
1 −1 −3
→
− →
− →
− →
− → − − →
Pour obtenir la définition des vecteurs u , v , w il suffit de diviser les vecteurs U , V , W
par leur module comme suit :
→
−
1
→
− U 1
u = → − =√ 1 ,
kU k 1 + 1 + 1 1
→
−
2
→
− V 1
v = → − = √ −1 ,
kV k 4 + 1 + 1 −1
−
→
0
→
− W 1
w = − → =√ 3 .
kW k 0 + 9 + 9 −3
Ainsi la base orthonormée (→
−
u ,→−v ,→
−
w ) est défini comme par :
1 2
√ √ 0
3 6
→
−
u = √13 , →
−
v = − √16 , →
− 1
w = √2 .
√1
3
− √16 − √12
→
− → − → −
2. La matrice de passage de (→
−
u ,→
−
v ,→
−
w ) vers ( i , j , k ) est
1 2
√
3
√
6
0
P = [→
−
u ,→
−
v ,→
− 1 − √1
→ = √ √1 .
w ]− →−
→−
i ,j ,k 3 6 2
√1 − √16 − √12
3
11
→
− → − → −
La matrice de passage de ( i , j , k ) vers (→−u ,→
−
v ,→
−w ) est obtenue en inversant P.
1
√1 √1
√
3 3 3
− →−i √
h→− →
P −1 = i , j , k − = √2 − √1 − √1 .
→ −
→ −
→
u v w
3 6 6
0 √1 − √12
2
2.10
1.
f11 f12 f13 1 f11 2 f11 = 2
f (→
−u ) = 2→
−u ⇔ f21 f22 f23 0 = f21 = 0 ⇒ f21 = 0
f31 f32 f33 0 f31 0 f31 = 0
f11 f12 f13 0 f12 0 f12 = 0
→
− →
−
f ( v ) = −2 v ⇔ f21
f22 f23 1 = f22 = −2 ⇒ f22 = −2
f31 f32 f33 0 f32 0 f32 = 0
f11 f12 f13 0 f13 0 f13 = 0
f (→
−
w) = → −
w ⇔ f21 f22 f23 0 = f23 = 0 ⇒ f23 = 0
f31 f32 f33 1 f33 1 f33 = 1
2 0 0
F = 0 −2 0
0 0 1
2.
~u~v w
~ Chang. de rep. ~i, ~j, ~k Commentaires
~ ~ ~u~vw~
OB ~u~vw~ = F OA ~ ~~~ = H OA
OB ~ ~~~ Définition de l’opérateur
ij k ij k
dans les deux repères
~ ~u~vw~
OB → M = [~u~v w]
~ ~i~j~k → ~ ~~~ = M OB
OB ij k
~ ~u~vw~ ~ vers ~i~j~k
Passage de ~u, ~v , w
~
du vecteur OB.
~ ~~~ = M F OA
OB ~ ~u~vw~ Puis, substitution de OB. ~
ij k
~ ~u~vw~
OA ← M −1 = [~i~j~k]~u~vw~ ← ~ ~~~
OA ij k Expression de OA ~ dans ~u~v w ~
en fonction de celle dans ~i~j~k.
On en déduit finalement par substitution :
−−→ −→
OB −→−→−→ = M F M −1 OA−→−→−→ ⇔ H = M F M −1 .
i j k i j k
1 −1 1 1 −1 1
M = [→
−
u ,→
−
v ,→
−
w ]−
→− →− →
i ,j ,k
= 0 0 1 ⇒ det(M ) = 0 0 1 = −2, cette matrice est
1 1 1 1 1 1
bien inversible.
−1 1 0 −1 2 −1
T
Cof (M ) = 2 0 −2 Cof (M ) = 1 0 −1
−1 −1 0 0 −2 0
12
1
−1 12
T
Cof (M ) 12
M −1 = = − 2 0 12 .
det(M )
0 1 0
1 1
1 −1 1 2 0 0 2
−1 2
H = M F M −1 = 0 0 1 0 −2 0 − 12 0 12
1 1 1 0 0 1 0 1 0
1
−1 21
2 2 1 2
H = 0 0 1 − 12 0 12
2 −2 1 0 1 0
0 −1 2
H = 0 1 0
2 −1 0
13