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Suivi de La Veille Réglementaire TANGER
Suivi de La Veille Réglementaire TANGER
Suivi de La Veille Réglementaire TANGER
S49 20 42 651 15
S50 40 85 651 23
S2 60 136 651 36
S13 280 174 651 52
S14 300 238 651 74
S15 320 302 651 92
S16 340 362 651 106
S17 360 443 651 136
S18 380 498 651 159
S19 400 574 651 182
S20 420
440
460
480
500
520
540
560
580
600
620
640
660
680
700
720
Mise en place de la veille réglementai
Moulage Morocco par le biais de la société Red On Line, composée de juristes et ingénieurs.
t le réferentiel réglementaire estimé par Red On Line), il a été décidé au jj/mm/aaaa que l'évaluation de xx articles en moyenne doit êt
pléter le tableau suivant en fonction des avancées hebdomadaires de façon à suivre l'avancé de l'évalutaion des articles.
42 6% 73% 11 7
43 7% 61% 3 14
51 8% 67% 10 8
38 6% 69% 12 2
64 10% 72% 17 8
64 10% 70% 11 9
60 9% 68% 8 10
81 12% 68% 21 13
55 8% 68% 15 12
76 12% 68% 16 19
eille réglementaire.
4 20 0 11 7
5 20 1 14 21
3 30 0 24 29
4 20 0 36 31
5 30 4 53 39
7 31 6 64 48
6 30 6 72 58
9 36 2 93 71
8 20 0 108 83
7 30 4 124 102
férentiel final Exclus du référentiel final
4 20 0
9 40 1
12 0 0
16 0 0
21 0 0
28 31 6
34 61 12
43 97 14
51 117 14
58 147 18
Chart Title
1200%
1000%
800%
600%
400%
200%
0%
S49 S50 S2 S13 S14 S15
12
Cumul d'articles évalués réel
700 10
600
8
500
400 6
300
4
200
100 2
0
9 0 2 3 4 5 6 7 8 9 0 0
S4 S5 S S1 S1 S1 S1 S1 S1 S1 S 2 S49 S50 S2 S13
12% 70%
60%
10%
50%
8%
40%
6%
30%
4%
20%
2% 10%
0% 0%
9 0 2 3 4 5 6 7 8 9 0 9 0 2 3 4 5 6 7 8 9 0
S4 S5 S S1 S1 S1 S1 S1 S1 S1 S2 S4 S5 S S1 S1 S1 S1 S1 S1 S1 S 2
2% 10%
0% 0%
9 0 2 3 4 5 6 7 8 9 0 9 0 2 3 4 5 6 7 8 9 0
S4 S5 S S1 S1 S1 S1 S1 S1 S1 S2 S4 S5 S S1 S1 S1 S1 S1 S1 S1 S 2
S14 S15 S16 S17 S18
30/3/23
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion
des déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015) Section 2 :
Modalités de collecte et de transport des déchets dangereux
Article 13
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 11
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 14
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 15
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 16
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 20
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 25
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)ARTICLE 26
Décret n°2-12-431 du 25 novembre 2013 (21 moharrem 1435) fixant les 18/4/23
conditions d'utilisation des substances ou préparations susceptibles de
porter atteinte à la santé des salariés ou de compromettre leur sécurité
(tel que publie le 19 Decembre 2013)Sous section 2
Arrêté n°93-08 du 6 Joumada I 1429 (12 mai 2008) fixant les mesures
d’application générales et particulières relatives aux principes énoncés par
5/24/2023
les articles de 281 à 291 du code du travail — Extrait: Art. 14 (tel que
publie le 12 mai 2008)Article 14
Manque d'aération
les locaux de travail où sont utilisés des agents chimiques dangereux non
pas limité aux personnes dont la mission l'exige
les mesures utiles pour éviter les chutes d'objets du haut des appareils
ou voies de roulement, ainsi que pour soustraire le personnel aux
dangers résultant de ces chutes ne sont pas disponibles
Etiquetage des conteneurs et des fûts des huiles usagées n'est pas
disponible
_____________________
__________________
Système d'alarme
Système d'alarme
Les bouteilles contenant des gaz comprimés ou dissous, doivent être soit
placées sur chariot, soit immobilisées au poste d’utilisation ou en parc.
Les bouteilles vides doivent être posées horizontalement si elles ne sont
pas immobilisées.
Les salariés travaillant à la soudure ainsi que leurs aides, doivent,
pendant l’exécution de ces travaux, être munis de lunettes ou d’écrans
spéciaux pour la vue, à verres teintés mis à leur disposition par
l’employeur.
Un avis, rédigé en français et en arabe, rappelant aux salariés et leurs
aides l’obligation d’utiliser les lunettes ou les écrans protecteurs pendant
les travaux de soudure, doit être affiché de manière apparente dans le
local où sont effectués ces travaux.
___________
Chauffage et éclairage des locaux du travail
Action à mettre en place pour mise en conformité Responsable
Réaliser des formation sur les risques et les danger des agent
HA
chimique dangereux pour les délégués des salariés
Mettre des affiches pour les perssonne qui ont l'accés d'utiliser
HA/AMB
les machines
Mettre des affiche pour les perssonne qui ont l'accés a ces salles HA/AMB
les locaux ou sont utilisé les agents chimique doivent étre limité HA/AMB
Mise en place des mesures utiles pour éviter les chutes d'objets
du haut des appareils ou voies de roulement, ainsi que pour HA
soustraire le personnel aux dangers résultant de ces chutes
Etablir
étiqueter suretlamarquer
base du registre et des rapports
les contenants des déchets annuels, un plan
dangereux par MA/AMB
interne de gestion des déchets dangereux.
leur code de classification/ Chaque contenant doit être pourvu
d'une inscription permettant d'identifier l'origine et le type des
déchets dangereux/ assurer que le destinataire exploite une
décharge contrôlée de classe 3 ou une installation de stockage
des déchets dangereux ou une installation ou une installation
spécialisée de traitement de ces déchets en vue de leur
élimination ou de leur valorisation dûment autorisée pour la ou
les opérations prévues/ assurer que le destinataire accepte de
recevoir les déchets dangereux / communiquer au destinataire MA/HA
une description des déchets dangereux comportant les
renseignements figurant dans le bordereau de suivi, en indiquant
le code desdits déchets correspondant au code inscrit dans le
"catalogue marocain des déchets/ remplir le volet A du certificat
d'acceptation
1) s'assurer que préalable
le code de dont le modèle est
classification desfixé à l'annexe
déchets 1 au
dangereux
présent décret et le communiquer au destinataire
marqué sur le contenant des déchets correspond à celui indiqué / assurer que
le collecteur-transporteur
dans le bordereau de suivi ; est muni de la fiche de sécurité prévue
à2)l'article
disposer 19dedelalafiche
loi n°de30-05 relative
sécurité au transport
mentionnée au 6)par
de route de
l'article
marchandises
18 ci-dessus ; dangereuses.
3) s'assurer que le destinataire a accepté de recevoir les déchets
dangereux ;
4) compléter et signer, lors du chargement des déchets
dangereux, le bordereau de suivi et le conserver pendant MA
l'opération de transport.
Au moment de la livraison des déchets dangereux, le collecteur
transporteur doit remettre le bordereau de suivi au destinataire,
accompagné de la copie du certificat d'acceptation préalable, et
conserver une copie signée dudit bordereau.
En cas de retard de livraison des déchets dangereux, le
collecteur-transporteur doit informer immédiatement le
destinataire.
disposer d'un registre coté et paraphé lorsqu'il n'est par établi
par voie électronique/ Le registre contient une page de garde
réservée à l'identification des personnes concernées et du lieu de
génération et de traitement des déchets et autant de pages que
nécessaire selon les types de déchets.
Lorsqu'il n'est pas établi par voie électronique, ce registre doit
MA
être coté et paraphé par les personnes concernées.
Lorsqu'il est établi par voie électronique, il doit être élaboré
conformément à la réglementation en vigueur en la matière, et
doit comporter toutes les mentions figurant sur les modèles fixés
à l'annexe I sus indiquée/ registre doit être accessible à tout
moment aux agents de contrôle
6/30/2023 60%
6/30/2023 60%
6/30/2023 60%
6/30/2023
Conforme ( examen
7/20/2023 100% médical annuel fait par le
médecin de travail)
7/21/2023
30% planning formation à
7/20/2023
suivre
Support OK sensibilisation à
6/10/2023
réaliser
2024
2024
2024
2024
9/30/2023
9/30/2023
12/12/2023
12/12/2023
7/28/2023 Action en cours de préparation
9/30/2023
9/30/2023
Action en cours de préparation
2024
10/30/2023
9/30/2023
7/28/2023 Conforme
9/30/2023
Conforme selon
procédure traitement de
non-conformité
7/28/2023
9/30/2023
9/30/2023
9/30/2023
12/30/2023
12/30/2023
12/30/2023
9/30/2023
9/30/2023
Conforme
Conforme
9/30/2023
7/17/2023
9/30/2023
9/30/2023
9/30/2023
9/30/2023
9/30/2023
non concernée
12/12/2023
7/28/2023
Conforme
Domaine Sous-domaine
Déchets dangereux
Environnement
Installations électriques -
Protection des travailleurs
Hygiène et sécurité
Hygiène et sécurité
Prévention - Incendies et
Hygiène et sécurité
explosions
Hygiène et sécurité
Equipements de travail - Travail
en hauteur
Hygiène et sécurité
Hygiène et sécurité
Equipements de travail - Travail
en hauteur
Hygiène et sécurité
Equipements de travail - Travail
en hauteur
Hygiène et sécurité
Hygiène et sécurité
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Hygiène et sécurité Equipements de travail -
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail -
Hygiène et sécurité
Appareils de levage
Equipements de travail - Sécurité
Hygiène et sécurité
des équipements
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Environnement Energie
Date de la
Articles de loi concernés
détection
Dahir n°1-03-194 du 11 septembre 2003 portant promulgation de la loi
n°65-99 relative au Code du Travail — Extrait : Art. 430 - 463 (tel que publie 12/15/2022
le 6 Mai 2004)Article 455
Arrêté n°2625-12 du 16 juillet 2012 (26 chaabane 1433) fixant les modalités
d'application des dispositions de l'article 327 de la loi n° 65-99 relative au 1/3/2023
Code du travail (tel que publie le 18 octobre 2012)ARTICLE 2
Arrêté n°2625-12 du 16 juillet 2012 (26 chaabane 1433) fixant les modalités
d'application des dispositions de l'article 327 de la loi n° 65-99 relative au 1/3/2023
Code du travail (tel que publie le 18 octobre 2012)ARTICLE 4
Arrêté n°2625-12 du 16 juillet 2012 (26 chaabane 1433) fixant les modalités
d'application des dispositions de l'article 327 de la loi n° 65-99 relative au 1/3/2023
Code du travail (tel que publie le 18 octobre 2012)ARTICLE 5
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des
27/03/23
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015) Article 19
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
04/04/23
électriques — Extrait: Art. 1-10, 12-14, 20-22, 25-29, 31-36, 40-47 (tel que
publie le 28 juin 1938) article 7
04-13-25
04-13-25
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des 4/26/2023
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015)Article 5
4/26/2023
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015)Article 6
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des 4/26/2023
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015)Article 7
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des
4/26/2023
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015)Article 16
Décret n°2-14-85 du 28 rabii 11436 (20 janvier 2015) relatif à la gestion des
4/26/2023
déchets dangereux (tel que publie le 20 janvier 2015)Article 18
Arrêté n°2850-15 du 24 chaoual 1436 (10 août 2015) fixant les prescriptions
particulières relatives à la collecte et à la valorisation des batteries usagées 4/26/2023
(tel que publie le 10 Aout 2015)ARTICLE 4
Arrêté n°2850-15 du 24 chaoual 1436 (10 août 2015) fixant les prescriptions
particulières relatives à la collecte et à la valorisation des batteries usagées 4/26/2023
(tel que publie le 10 Aout 2015)ARTICLE 6
Arrêté n°2850-15 du 24 chaoual 1436 (10 août 2015) fixant les prescriptions
particulières relatives à la collecte et à la valorisation des batteries usagées 4/26/2023
(tel que publie le 10 Aout 2015)ARTICLE 7
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 7
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les 5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 8
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 9
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 10
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les 5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 11
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 17
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 19
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 20
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les 5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 21
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 22
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 23
Arrêté viziriel du 9 septembre 1953 (29 hija 1372) déterminant les mesures
particulières de sécurité relatives aux appareils de levage autres que les
5/9/2023
ascenseurs et monte-charge (derniere modification le 28 Septembre
1955)Article 36
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
électriques — Ext. 15-19, 23-24: Machines, Transformateurs, Tableaux, 5/9/2023
Appareils, Lampes Electriques (derniere modification par Arrêté viziriel du
28 décembre 1951)Article 16
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
électriques — Ext. 15-19, 23-24: Machines, Transformateurs, Tableaux, 5/9/2023
Appareils, Lampes Electriques (derniere modification par Arrêté viziriel du
28 décembre 1951)Article 17
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
électriques — Ext. 15-19, 23-24: Machines, Transformateurs, Tableaux, 5/9/2023
Appareils, Lampes Electriques (derniere modification par Arrêté viziriel du
28 décembre 1951)Article 18
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
électriques — Ext. 15-19, 23-24: Machines, Transformateurs, Tableaux, 5/9/2023
Appareils, Lampes Electriques (derniere modification par Arrêté viziriel du
28 décembre 1951)Article 19
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
électriques — Ext. 15-19, 23-24: Machines, Transformateurs, Tableaux, 5/9/2023
Appareils, Lampes Electriques (derniere modification par Arrêté viziriel du
28 décembre 1951)Article 24
قرار لوزير الشغل واإلدماج المني رقم 1281.18ههادرف ي 15مارس ) 2018بتحديد األجهزة )
26 5/9/2023من جمادى األخرة 1439أواألالت وأههتافها التي يجب على المغفل أن يقوم أوأن يكلف من
Article 2يقوم يإجراء مراقبة عامة دوية عبها وبتحديد دورية هذ ه المراقبة وطبيعها ومحتواها
قرار لوزير الشغل واإلدماج المني رقم 1281.18ههادرف ي 15مارس ) 2018بتحديد األجهزة )
26 5/9/2023من جمادى األخرة 1439أواألالت وأههتافها التي يجب على المغفل أن يقوم أوأن يكلف من
Article 4يقوم يإجراء مراقبة عامة دوية عبها وبتحديد دورية هذ ه المراقبة وطبيعها ومحتواها
قرار لوزير الشغل واإلدماج المني رقم 1281.18ههادرف ي 15مارس ) 2018بتحديد األجهزة )
26 5/9/2023من جمادى األخرة 1439أواألالت وأههتافها التي يجب على المغفل أن يقوم أوأن يكلف من
Article 5يقوم يإجراء مراقبة عامة دوية عبها وبتحديد دورية هذ ه المراقبة وطبيعها ومحتواها
Arrêté viziriel du 28 juin 1938 (29 rebia II 1357) concernant la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre des courants
5/16/2023
électriques — Extrait: Art. 30, 37, 37 bis (tel que publie le 28 juin
1938)Article 37 - Un ordre de service doit imposer l'obligation Aide en ligne
7/14/2023
L'employeur est tenu de laisser aux délégués des salariés, dans les limites d'une durée qui, sauf
circonstances exceptionnelles, ne peut excéder quinze heures par mois et par délégué, à l'intérieur et à
l'extérieur de l'établissement, le temps nécessaire à l'exercice de leurs fonctions ; ce temps leur est payé
comme temps de travail effectif.
Les délégués des salariés peuvent, en accord avec l'employeur, organiser l'emploi du temps qui leur est
imparti pour s'acquitter de leurs missions.
Les représentants des travailleurs dans l'entreprise doivent bénéficier d'une protection efficace contre
toutes mesures qui pourraient leur porter préjudice, y compris le licenciement, et qui seraient motivées
par leur qualité ou leurs activités de représentants des travailleurs, leur affiliation syndicale, ou leur
participation à des activités syndicales, pour autant qu'ils agissent conformément aux lois, conventions
collectives ou autres arrangements conventionnels en vigueur.
1. Des facilités doivent être accordées, dans l'entreprise, aux représentants des travailleurs, de manière à
leur permettre de remplir rapidement et efficacement leurs fonctions.
2. A cet égard, il doit être tenu compte des caractéristiques du système de relations professionnelles
prévalant dans le pays ainsi que des besoins, de l'importance et des possibilités de l'entreprise intéressée.
3. L'octroi de telles facilités ne doit pas entraver le fonctionnement efficace de l'entreprise intéressée.
Examen médical avant l'embauche ainsi qu'à d'autres examens ultérieurs dont le médecin du travail fixe la
périodicité
Sauf dans le cas où le maintien du salarié à son poste de travail entraîne un danger immédiat pour sa
santé ou sa sécurité ou celles des tiers, le médecin du travail ne peut constater l'inaptitude médicale du
salarié à son poste de travail qu'après avoir réalisé :
1° Une étude de ce poste ;
2° Une étude des conditions de travail dans l'entreprise ;
3° Deux examens médicaux de l'intéressé espacés de quatre semaines accompagnés le cas échéant
d'examens complémentaires.
Le médecin du travail doit, lors de l'examen médical effectué avant l'embauche ou au plus tard avant l'expiration de
la période d'essai, constituer un dossier médical qu'il complétera après chaque examen médical ultérieur.
Ce dossier doit contenir, dans le respect du secret médical, les informations relatives à l'état de santé du salarié, aux
expositions auxquelles il a été soumis ainsi que les avis et propositions du médecin du travail.
Il ne peut être communiqué qu'au médecin chargé de l'inspection du travail, à un autre médecin du travail dans la
continuité de la prise en charge médicale ou, à la demande de l'intéressé, au médecin de son choix.
Il doit être conforme au modèle fixé à l'annexe II du présent arrêté. En outre, le médecin du travail doit établir, en
double exemplaire, une fiche d'aptitude après chaque visite médicale. Il délivrera une copie au salarié et transmettra
la seconde à l'employeur qui la conservera pour la présenter à tout moment, à sa demande, à l'agent chargé de
l'inspection du travail.
La fiche d'aptitude, qui ne doit comporter aucune information soumise au secret médical, devra être conforme au
modèle fixé à l'annexe III du présent arrêté.
Fiches d'exposition: 1° la nature du travail réalisé, les caractéristiques des produits, les périodes
d'exposition et les autres risques ou nuisances d'origine chimique, physique ou biologique du poste de
travail ;
2° les dates et les résultats des contrôles de l'exposition au poste de travail ainsi que la durée et
l'importance des expositions accidentelles.
Chaque salarié intéressé est informé de l'existence de la fiche d'exposition et a accès aux informations
l'intéressant.
Un exemplaire de cette fiche est transmis au médecin du travail.
Fiches d'exposition:Les informations mentionnées à la présente section doivent être classées par poste de
travail
La forme de la fiche médicale d'aptitude doit être conforme au modèle fixé par arrêté conjoint du ministre
chargé de l'emploi et le ministre chargé de la santé.
La fiche médicale d'aptitude indique la date de l'étude du poste de travail et celle de la dernière mise à
jour de la fiche d'entreprise, et ne doit contenir aucun renseignement sur la nature des affections dont
l'agent serait ou aurait été atteint. Elle mentionne uniquement les contre-indications ou les
recommandations concernant l'affectation éventuelle à certains postes de travail.
L'examen médical pratiqué comprend un examen clinique général et, selon la nature de l'exposition
Chaque salarié est informé par le médecin du travail des résultats et de l'interprétation des examens
médicaux généraux et complémentaires dont il a bénéficié.
En dehors des visites périodiques, l'employeur fait examiner par le médecin du travail tout salarié exposé
à des agents chimiques dangereux qui se déclare incommodé par des travaux qu’il exécute. Cet examen
peut être réalisé à la demande du salarié.
Le médecin du travail est informé par l’employeur des absences, pour cause de maladie d’une durée
supérieure à dix jours, des salariés exposés à ces agents chimiques.
Si, au vu des examens médicaux pratiqués, le médecin du travail estime qu’une valeur limite biologique
est susceptible d’être dépassée, eu égard à la nature des travaux confiés à un salarié, il en informe
l’intéressé.
En cas de dépassement, le médecin du travail, s’il considère que ce dépassement résulte de l’exposition
professionnelle, en informe l’employeur, sous une forme non nominative.
Si un salarié est atteint d’une maladie professionnelle, d’une maladie ou d’une anomalie susceptible de
résulter d’une exposition à des agents chimiques dangereux, à l’exception des agents cancérogènes et
mutagènes, le médecin du travail détermine la pertinence et la nature des examens éventuellement
nécessaires pour les autres salariés ayant subi une exposition comparable.
Si un salarié est atteint soit d’une maladie professionnelle, soit d’une anomalie susceptible de résulter
d’une exposition à des agents cancérogènes ou mutagènes, tous les salariés ayant subi une exposition
comparable sur le même lieu de travail font l’objet d'un examen médical, et en cas de besoin des examens
complémentaires.
Dans les cas de maladie ou d’anomalie prévus à l’Article 49 ci-dessus, une nouvelle évaluation des risques
est réalisée en vue d’assurer une meilleure protection de la santé et de la sécurité des salariés.
Le médecin du travail constitue et tient, pour chaque salarié exposé aux agents chimiques dangereux, un
dossier individuel contenant:
1° une copie de la fiche d’exposition prévue à l’Article 38 ci-dessus ;
2° les dates et les résultats des examens médicaux pratiqués.
Le dossier médical est conservé pendant au moins cinquante ans après la fin de la période d’exposition.
L'employeur doit informer de manière appropriée les salariés chargés de l'utilisation ou de la maintenance
des appareils ou des machines :
- de leurs conditions d'utilisation ou de maintenance ;
— des instructions et consignes les concernant ;
- de la conduite à tenir face aux situations anormales prévisibles ;
- des conclusions tirées de l'expérience acquise permettant d'éviter certains risques.
formation au profit des salariés chargés de l'utilisation ou de la maintenance des appareils ou des
machines.
les salariés affectés à la maintenance et à la modification des appareils ou des machines reçoivent une
formation spécifique relative aux prescriptions à respecter, aux conditions d'exécution des travaux et aux
matériels et outillages à utiliser.
documentation sur la réglementation applicable aux appareils ou machines utilisés.(voir avec abdemoghit)
L'employeur doit établir une notice, dénommée notice de poste, pour chaque poste de travail ou situation
de travail exposant les salariés à des agents chimiques dangereux. Cette notice, actualisée en tant que de
besoin, est destinée à informer les salariés des risques auxquels leur travail peut les exposer et des
dispositions prises pour les éviter.
La notice rappelle les règles d'hygiène applicables ainsi que, le cas échéant, les consignes relatives à
l'emploi des équipements de protection collective ou individuelle.
l'obligation de créer un service médical du travail indépendant: disposer d'un médecin du travail durant
toutes les heures du travail.
Lorsque le service médical est suffisamment important pour occuper deux médecins à temps complet, il
doit y avoir un second cabinet médical.
Tout employeur dont les procédés de travail comportent l'usage de substances susceptibles de provoquer les
maladies professionnelles désignées comme il est dit à l'article 2 du présent dahir est tenu, avant le commencement
des travaux, d'en faire la déclaration à l'inspecteur du travail dans la circonscription duquel est située son
exploitation.
Tout employeur qui cesse d'employer des procédés de travail comportant l'usage des substances susceptibles de
provoquer les mêmes maladies, doit également en faire la déclaration à l'inspecteur du travail dans la
circonscription duquel est située son exploitation.
Il demeure toutefois responsable, durant le délai de responsabilité fixé pour son exploitation dans les conditions
indiquées au premier alinéa de l'article 3 du présent dahir, des maladies professionnelles pouvant atteindre les
ouvriers qu'il employait avant le dépôt de cette déclaration.
Est puni d'une amende de quinze à deux cents francs (15 à 200 F) tout employeur qui a omis d'effectuer la
déclaration prévue au premier alinéa du présent article, l'amende pouvant être élevée de deux cents à mille francs
(200 à 1 000 F) en cas de récidive dans les trois cent soixante cinq jours qui suivent une condamnation devenue
définitive, pour une infraction identique. Toute déclaration reconnue sciemment fausse, entraînera à la charge de
l'employeur une condamnation à une amende de mille à cinq mille francs (1 000 à 5 000 F) et un emprisonnement
de trois jours à un mois.
Alinéa modifié, D. 29 septembre 1952 - 8 moharrem 1372 : BO 31 octobre 1952) L'arrêté du directeur du travail et
des questions sociales, prévu à l'article premier déterminera les formes et modalités des déclarations visées au
présent article.
Par dérogation aux prescriptions des deux premiers alinéas du présent article, les entrepreneurs du bâtiment et des
travaux publics qui utilisent du ciment pour l'exécution de leurs travaux ne sont pas tenus d'effectuer les
déclarations prévues par ces alinéas.
Mesure de bruit
1. Le système de mise en sécurité incendie est constitué de l’ensemble des équipements qui assurent les
fonctions nécessaires à la mise en sécurité d’un établissement en cas d’incendie soit à partir des
informations transmises par le système de détection incendie (lorsque celui-ci existe), soit à partir
d’ordres en provenance de commandes manuelles, il comprend:
- Des dispositifs actionnés de sécurité, répartis éventuellement par zones de mise en sécurité;
- Les équipements nécessaires pour assurer la commande des dispositifs actionnés de sécurité.
2. Les dispositifs et équipements constituant le système de mise en sécurité incendie doivent être
conformes
Un poste deaux normes
sécurité enêtre
doit vigueur.
mis à la disposition exclusive des personnels chargés de la sécurité
incendie.
Ce poste, d’accès aisé et si possible au niveau d’arrivée des secours extérieurs, doit être, sauf cas
particulier, relié au centre de secours des sapeurs-pompiers par un moyen de transmission rapide et sûr.
Lorsque le service est assuré par des agents de sécurité incendie, le poste doit être occupé en
permanence par une personne au moins.
Le poste de sécurité doit notamment recevoir les alarmes restreintes transmises par postes
téléphoniques, avertisseurs manuels, installations de détection et/ou d’extinction automatique. De plus,
des commandes manuelles des dispositifs d’alarme, de désenfumage mécanique, de conditionnement,
etc., doivent être installées à l’intérieur de celui-ci.
Le poste de sécurité et ses accès doivent être convenablement protégés contre un feu survenant dans
l’établissement.
Des exercices d’instruction du personnel doivent être organisés sous la responsabilité de l’exploitant. La
date de ceux-ci doit être portée sur le registre de sécurité de l’établissement.
1. Une zone de diffusion d’alarme doit englober une ou plusieurs zone(s) de mise en sécurité. Chaque
zone de mise en sécurité doit englober une ou plusieurs zone(s) de détection.
3. Dans un même bâtiment, on distingue éventuellement plusieurs zones de détection. Dans ce cas,
l’implantation des zones de détection doit être étudiée en fonction de la configuration interne du
bâtiment et des dégagements ainsi que de la division éventuelle en zones de mise en sécurité. Chaque
zone de détection doit pouvoir être rapidement inspectée par la personne alertée.
1. Les dispositifs de désenfumage doivent être commandés par la détection automatique d’incendie,
lorsque les dispositions particulières l’imposent. Cette disposition ne s’applique pas au désenfumage des
cages d’escaliers dont la commande doit être uniquement manuelle.
Dans les cas où les présentes règles prévoient que le fonctionnement de la détection automatique
entraîne le déclenchement des dispositifs actionnés de sécurité (système de sécurité Incendie de
catégorie A), ce déclenchement doit s’effectuer sans temporisation.
2. Le déverrouillage automatique des issues de secours doit être obtenu dès le déclenchement du
processus de l’alarme générale. Cependant s’il existe un équipement d’alarme de type 1, ce
déverrouillage doit être obtenu automatiquement et sans temporisation en cas de détection incendie.
3. Les seuls dispositifs actionnés de sécurité pouvant être télécommandés par l’alarme d’un système de
sécurité incendie de catégorie D ou E sont les portes résistant au feu à fermeture automatique et le
déverrouillage des portes d’issue de secours.
Les déclencheurs manuels doivent être disposés dans les circulations, à chaque niveau, à proximité
immédiate de chaque escalier, au rez-de-chaussée à proximité des sorties. Ils doivent être placés à une
hauteur d’environ 1,30 m au-dessus du niveau du sol et ne pas être dissimulés par le vantail d’une porte
lorsque celui-ci est maintenu ouvert. De plus, ils ne doivent pas présenter une saillie supérieure à 0,10 m.
Les canalisations électriques alimentant les diffuseurs sonores non autonomes doivent être conformes
normes en vigueur.
Les diffuseurs d’alarme sonore, notamment les blocs autonomes d’alarme sonore (BAAS) des types Ma et
Sa, doivent être mis hors de portée du public par éloignement (hauteur minimum de 2,25 m) ou par
interposition d’un obstacle.
Dans le cas du type 3, lorsqu’un bâtiment est équipé de plusieurs blocs autonomes d’alarme sonore (BAAS
de type Ma, au sens de la norme en vigueur), l’action sur un seul déclencheur manuel doit provoquer le
fonctionnement de tous les BAAS du bâtiment. La mise à l’état d’arrêt de l’équipement d’alarme doit être
effectuée à partir d’un seul point. Le dispositif de télécommande doit être accessible seulement au
personnel qui en a la charge.
Pendant la présence du public, l’équipement d’alarme doit être à l’état de veille général.
En dehors de la présence du public et du personnel, si l’établissement dispose d’un moyen d’exploiter
l’alarme restreinte, l’équipement d’alarme peut être mis à l’état de veille limité à l’alarme restreinte.
Aucun autre signal sonore susceptible d’être émis dans l’établissement ne doit entraîner une confusion
avec le signal sonore d’alarme générale.
Le personnel de l’établissement doit être informé de la signification du signal sonore d’alarme générale et
du signal sonore d’alarme générale sélective, si ce dernier existe. Cette information doit être complétée
éventuellement par des exercices périodiques d’évacuation.
Il peut être admis, selon les dispositions particulières, que la diffusion du signal sonore d’alarme générale
conforme à la norme visant les équipements d’alarme soit entrecoupée ou interrompue par des messages
préenregistrés prescrivant clairement l’évacuation du public.
Les dispositifs d’alarme asservis à la détection automatique d’incendie doivent être judicieusement
répartisaction
Alerte: dans chaque niveau,l’intervention
de demander de façon à être
du audible tout
service de la point ducivile.
protection bâtiment.
Les sapeurs-pompiers doivent pouvoir être alertés immédiatement.
Les liaisons nécessaires doivent être assurées:
- soit par ligne téléphonique reliée à un centre de secours de la protection civile;
- soit par avertisseur d’incendie privé;
- soit par téléphone urbain fixe;
- soit par tout autre dispositif.
Toutes dispositions doivent être prises pour que ces appareils, efficacement signalés, puissent être utilisés
sans retard (par exemple affichage indiquant l’emplacement des appareils, le numéro d’appel à composer
sur le réseau intérieur, etc.).
Les modalités d’appel des sapeurs -pompiers doivent être affichées de façon apparente, permanente et
L'employeur doit assurer l'entretien des équipements de protection individuelle et des vêtements de
travail.
Lorsque l'entretien est réalisé à l'extérieur de l'établissement, le chef de l'entreprise chargée du transport
et de l'entretien doit être informé de l'éventualité et de la nature de la contamination ainsi que de ses
dangers.
Le transport des vêtements contaminés est réalisé dans des récipients sûrs et identifiables.
Les échafaudages doivent être munis de garde- corps rigides d'au moins 90 cm de haut.
Les empilements de caisses, sacs, planches, balles de crin végétal, briques et autres matériaux ou objets,
doivent être conditionnés de manière à éviter leur chute ou effondrement.
Les salariés ne doivent pas passer directement d’une pile à l’autre, sauf si les piles se touchent entre elles.
Cette prescription leur sera rappelée par un avis apparent rédigé en arabe et en français et affiché dans
les locaux où sont effectués les empilements.
L’accès au sommet des empilements doit se faire par le biais d’un plat penchant constitué par deux
madriers au moins soigneusement entretoisés.
Indépendamment des mesures auxquelles ils sont astreint en vertu de la réglementation en vigueur sur la
protection, l’hygiène et la salubrité des travailleurs, les chefs des établissement dans lesquels est exercée
une profession commerciale, industrielle ou libérale et dont le personnel effectue, même à titre
occasionnel, des travaux visés par les titres III à VI du présent arrêté, sont tenus de prendre les mesures
particulières de protection et de salubrité énoncées aux articles suivants.
Les-crochets de suspension seront conçus de manière telle qu'un décrochement accidentel des fardeaux
soit impossible.
Les paliers extérieurs, ainsi que les diverses passerelles, plans inclinés ou ponts de service doivent être
installés solidement et munis de garde-corps rigides avec plinthes sur les deux côtés.
Leur largeur doit être de 60 centimètres au moins.
Les encorbellements, auvents et balcons ne peuvent être utilisés pour l'exécution de travaux que s'ils sont
munis de garde-corps rigides de 90 centimètres de hauteur.
Dans les travaux exécutés sur les toits et autres travaux exposant les ouvriers à (les chutes graves, il sera
installé, à défaut d'échafaudage, des garde-corps, crochets, plinthes ou autres dispositifs protecteurs
s'opposant efficacement à la chute de l'ouvrier sur le sol.
Lorsqu'il y aura impossibilité d'utiliser ces dispositifs protecteurs, et pour l'exécution des travaux de
charpente des ceintures de 'sûreté avec cordages permettant de s'attacher à un point fixe seront mises à
la disposition des ouvriers.
Les ouvriers occupés sur des toits constitués en matériaux fragiles ou peu résistants, tels que vitres ou
plaques de fibrociment, doivent travailler sur des échafaudages, plates-formes, planches ou échelles leur
permettant de ne pas avoir à prendre appui directement sur ces matériaux.
Les dispositifs ainsi interposés entre les ouvriers et la toiture devront porter sur une étendue de toiture
comprenant plusieurs éléments de charpente, dont un à chaque extrémité des dispositifs. Les dispositifs
seront agencés de manière à prévenir tout effet de bascule.
Dans les travaux de vitrage importants, il y a lieu soit de munir les ouvriers de ceintures et cordages de
sûreté, soit d'installer à faible distance au-dessous du vitrage une plate-forme destinée à retenir les
ouvriers en cas de chute.
Les débris de verre doivent être immédiatement enlevés.
Lorsque les ouvriers sont appelés, au cours de l'exécution de leurs travaux, à être occupés il moins de 3
mètres de conducteurs ou de supports de lignes de distribution ou de transport d'énergie électrique,
l'entrepreneur doit, avant de commencer les travaux, et après s'être concerté avec l'exploitant de la, ligne
électrique, prendre les mesures nécessaires pour sauvegarder la sécurité des ouvriers occupés sur son
chantier pendant la durée des travaux.
Le transport des déchets dangereux à partir du site de production ne peut être effectué que si les
emballages et les conteneurs nécessaires à leur transport portent des étiquettes identifiant clairement et
visiblement ces déchets, et ce, conformément aux normes en vigueur.
Le transport des déchets dangereux doit être accompagné d'un bordereau de suivi comportant les
informations concernant l'expéditeur, le transporteur, le destinataire, la nature et la quantité des déchets,
le mode de transport et les modalités de leur élimination.
Toute personne physique ou morale qui dépose ou fait déposer des déchets dangereux, auprès d'une
personne physique ou morale non autorisée, est solidairement responsable avec elle de tout dommage
causé par ces déchets.
Toute personne physique ou morale qui produit, collecte, transporte, stocke ou élimine les déchets
dangereux doit disposer d'un contrat d'assurance couvrant sa responsabilité professionnelle.
Les générateurs des déchets dangereux et les personnes détenant les autorisations prévues aux articles
30 et 35 ci-dessus tiennent un registre dans lequel ils consignent les quantités, le type, la nature et
l'origine des déchets dangereux qu'ils ont produits, collectés, stockés, transportés, récupérés ou éliminés,
et communiquent chaque année à l'administration les renseignements de ce type correspondant à
l'année écoulée.
PI Ce registre est soumis à l'inspection de l'administration.
Les déchets médicaux et pharmaceutiques doivent faire l'objet d'une gestion spécifique visant à éviter
toute atteinte à la santé de l'homme et à l'environnement.
PI Toutefois, certains types des déchets générés par les établissements de soin peuvent être assimilés aux
déchets ménagers sur la base d'un rapport d'analyse, exigé par la commune et établi par un laboratoire
agréé, à condition que ces déchets soient triés au préalable et ne soient pas contaminés par les déchets
dangereux.
PI Les modalités de gestion des déchets médicaux et pharmaceutiques sont fixées par voie réglementaire.
Les générateurs des déchets et les exploitants des décharges contrôlées et des installations de traitement,
de valorisation, d'incinération, de stockage ou d'élimination des déchets ainsi que les transporteurs
tiennent un inventaire retraçant les types et les quantités des déchets qu'ils produisent, stockent, traitent,
valorisent, incinèrent, transportent ou éliminent.
Les contenants et fûts utilisés pour le transport des polychlorobiphényles (PCB) doivent comporter, de
manière apparente, le sigle international de danger, ainsi que :
- une étiquette de mise en garde imperméable portant la mention indélébile « déchets de
polychlorobiphényles (PCB) » et les codes cités au Catalogue marocain des déchets mentionnés à l’article
premier ci-dessus ;
- une étiquette indiquant en détail le contenu desdits contenants et fûts, le volume du liquide, le type des
déchets et le nom du site de leur provenance.
Les emballages détériorés ou en cours de détérioration sont vidés ou placés dans un autre emballage
extérieur sécurisé. Le contenu desdits emballages est placé dans des contenants neufs et appropriés
munis d’une étiquette apparente indiquant clairement leur contenu.
Les transformateurs sont vidés dans des fûts en acier à deux bondes ou autres contenants utilisés à cet
effet. Les fûts sont déposés dans des caissons métalliques destinés au transport ultérieur. Pour les petits
appareils, vidés ou non, ils sont déposés dans des fûts contenant une matière absorbante.
un registre contenant la quantité, le type, la nature, l'origine et la destination des déchets dangereux qu'il
produit, collecte, stocke, transporte ou traite pour pouvoir éliminer ou valoriser les déchets dangereux.
Un rapport contenant des informations (quantités, types, l’origine et la destination des déchets produites,
collectés, stockés, transportés ou traités) de l’année dernière doit être délivré avant le 1 er avril de
chaque année auprès de l'autorité gouvernementale chargée de l'environnement
établir sur la base du registre et des rapports annuels, un plan interne de gestion des déchets dangereux
Dans le cas où les déchets dangereux sont expédiés dans des contenants à usage unique, l'expéditeur doit
utiliser exclusivement des contenants dont les caractéristiques et les spécificités techniques répondent
aux normes en vigueur compte tenu de la nature des déchets dangereux et de leurs caractéristiques de
danger.
Tout contenant à usage unique doit, immédiatement après son utilisation, être incinéré ou nettoyé avant
sa valorisation
étiqueter ou sa mise
et marquer en décharge
les contenants dans
des une décharge
déchets dangereuxcontrôlée
par leur de classe
code 3 telles que réglementées
de classification/ Chaque
par le décret n° 2-09-284 précité.
contenant doit être pourvu d'une inscription permettant d'identifier l'origine et le type des déchets
dangereux/ assurer que le destinataire exploite une décharge contrôlée de classe 3 ou une installation de
stockage des déchets dangereux ou une installation ou une installation spécialisée de traitement de ces
déchets en vue de leur élimination ou de leur valorisation dûment autorisée pour la ou les opérations
prévues/ assurer que le destinataire accepte de recevoir les déchets dangereux / communiquer au
destinataire une description des déchets dangereux comportant les renseignements figurant dans le
bordereau de suivi, en indiquant le code desdits déchets correspondant au code inscrit dans le "catalogue
marocain des déchets/ remplir le volet A du certificat d'acceptation préalable dont le modèle est fixé à
l'annexe 1 au présent décret et le communiquer au destinataire / assurer que le collecteur-transporteur
est muni de la fiche de sécurité prévue à l'article 19 de la loi n° 30-05 relative au transport par route de
marchandises dangereuses.
disposer d'un registre coté et paraphé lorsqu'il n'est par établi par voie électronique/ Le registre contient
une page de garde réservée à l'identification des personnes concernées et du lieu de génération et de
traitement des déchets et autant de pages que nécessaire selon les types de déchets.
Lorsqu'il n'est pas établi par voie électronique, ce registre doit être coté et paraphé par les personnes
concernées.
Lorsqu'il est établi par voie électronique, il doit être élaboré conformément à la réglementation en
vigueur en la matière, et doit comporter toutes les mentions figurant sur les modèles fixés à l'annexe I sus
indiquée/ registre doit être accessible à tout moment aux agents de contrôle
ne pas enfuir, jeter, stocker ou déposer les batteries dans des lieux autres que les installations spécialisées
de traitement des déchets dangereux autorisés
livrer les batteries usagées récupérées aux collecteurs-transporteurs ou aux installations spécialisées de
traitement ?
Les générateurs des déchets médicaux et pharmaceutiques sont tenus de mettre en place un système de
gestion interne qui comprend notamment :
la désignation d'une unité responsable de la gestion de ces déchets ;
la disposition d'un personnel qualifié et formé à l'exercice des activités de gestion de ces déchets ;
la tenue d'un registre pour inscrire les quantités, la catégorie, l'origine des déchets produits, collectés,
stockés et éliminés.
A leur poste de travail ou sur le chemin qu'ils sont autorisés à prendre pour s'y rendre, les travailleurs
doivent être à l'abri de tout contact avec les fils des lignes de prise de Courant.
Les dispositifs matériels utilisés à cette fin doivent être capables de résister aux efforts auxquels ils
peuvent être soumis, compte tenu du travail des manutentions et des transports usuels.
Toutes mesures seront prises et toutes consignes données afin qu'à aucun moment, les organes des
appareils de levage et les charges suspendues ne puissent entrer en contact direct avec les conducteurs
nus sous tension ou détériorer les conducteurs isolés.
Il sera placé entre le branchement et le trolley général un interrupteur ou un disjoncteur permettant de
couper toutes les phases ou tous les pôles. Cet appareil sera muni d'un dispositif permettant de le fixer
dans la position d'ouverture. Sa manoeuvre, si elle est effectuée à distance, devra faire l'objet de
consignes spéciales et être effectuée par un personnel désigné à cet effet.
Un interrupteur ou un contacteur général permettant d'isoler tout l'appareil de la source d'énergie sera
installé à l'arrivée de l'alimentation. Sa commande devra être parfaitement accessible.
Dans les cabines d'appareils de levage, les pièces nues sous tension mettant en oeuvre d'autres courants
que ceux dits à très basse tension, doivent être soustraites à tout contact fortuit.
L'accès des ouvriers non qualifiés aux pièces sous tension et aux organes dont le réglage intéresse la
sécurité doit être interdit par des dispositifs matériels dont la solidité doit être en rapport avec les
contraintes auxquelles ils sont exposés.
Si ces dispositifs sont métalliques, ils doivent être reliés électriquement à l'ossature de la cabine et de
l'appareil de levage.
Les masses métalliques fixes ou mobiles devront être mises à la terre, quelle que soit la tension
d'alimentation.
Cette mise à la terre ne devra pas se faire Uniquement par contact coulant ou glissant sur une ligne
spéciale.
Les cabines qui ne sont pas, en toutes circonstances, accessibles du sol, doivent être construites en
matériaux résistant au feu.
Elles seront disposées de telle manière que, de son poste de travail, le machiniste puisse voir toutes les
manoeuvres et que, même s'il doit se pencher au dehors pour les diriger, il ne soit pas obligé de se
trouver dans une position dangereuse.
Dans les ateliers où peuvent se produire des projections de matières brûlantes ou corrosives, les cabines
devront présenter toutes dispositions de sécurité nécessaires contre les dangers qui peuvent en résulter
pour les travailleurs.
Les conducteurs devront être à l'abri des rayonnements, fumées, gaz, vapeurs toxiques et autres
émanations nuisibles.
Toutes mesures utiles seront prises pour que la vapeur d'échappement provenant des engins de levage ne
gêne pas la visibilité en tout lieu de travail occupé par le personnel en service dans la cabine ou aux
abords de l'appareil de levage.
Sur les appareils neufs, mis en service postérieurement à la date d'entrée en vigueur du présent arrêté, le
plancher de service et les passerelles devront être en matériaux résistant au feu. Les appareils en service à
la même date et sur lesquels cette prescription ne serait pas observée devront être modifiés en
conséquence dans les six mois de ladite date.
Si les planchers et passerelles sont constitués par des tôles perforées, caillebotis ou tous autres matériaux
ne formant pas une surface continue, les dimensions des perforations ou des interstices ne devront pas
dépasser 2 centimètres en tous sens.
Toutes les pièces mobiles énumérées à l'article 30 du dahir précité du 2 juillet 1947 (13 chaabane 1366)
doivent être munies de protecteurs partout où leurs mouvements pourraient constituer un danger. Cette
prescription est applicable même dans les cas exclus par ledit article.
Les galets de roulement doivent être munis de garde-roues, à moins que leur, agencement n'assure une
sécurité équivalente.
Tous les organes mobiles des moteurs ou des commandes du pont, montés on porte-à-faux, doivent être
munis d'un carter ou d'une enveloppe métallique capable de les retenir en cas de chute.
Les crochets de suspension doivent être d'un modèle empêchant le décrochage accidentel des fardeaux.
Les élingues seront calculées, choisies, disposées et entretenues de façon telle qu'elles ne puissent pas se
rompre, glisser ou être coupées. Elles ne devront pas être en contact direct avec les angles vifs des
fardeaux qu'elles soutiennent. Les brins des élingues reliés aux crochets devront former un angle tel qu'il
ne puisse y avoir de risque de rupture.
Il est interdit de raccourcir les chaînes au moyen de noeuds. Toutes précautions seront prisés pour
qu'elles ne soient pas endommagées par frottement contre les arêtes vives.
Les oeillets et épissures des câbles métalliques devront comporter au moins trois tours avec un toron
entier du câble et deux tours avec la moitié des fils coupés dans chaque toron. Toutefois, toute autre
forme d'épissure d'une efficacité équivalente pourra être utilisée.
Tous les appareils de levage mus mécaniquement seront pourvus de freins ou de tout dispositif
équivalent, capable d'arrêter la charge ou l'appareil en toute position et susceptible de fonctionner même
en cas d'interruption de l'alimentation de l'appareil en énergie motrice.
Cette dernière prescription ne sera toutefois pas applicable en ce qui concerne les mouvements de
direction lorsque, toute action du vent exclue, et la source d'alimentation étant brusquement coupée,
l'organe intéresse s'arrêtera de lui-même sur 50 centimètres.
Les dispositifs prévus au premier alinéa seront installés de façon à pouvoir fonctionner automatiquement
ou à être actionnés immédiatement et directement de son poste de travail par la personne préposée à la
manoeuvre de l'appareil.
La descente des charges sous le seul contrôle d'un frein n'est autorisée que si le mécanisme comporte un
limiteur de vitesse et si, quelle que soit la position des charges, le frein se trouve automatiquement serré
dès que le machiniste cesse de le contrôler.
L'adjonction du limiteur de vitesse au mécanisme de descente n'est exigée ni pour la montée des charges,
ni pour les grues à destination spéciale, telles que les pelles de terrassement. La présence d'un frein
normalement serré n'est pas obligatoire sur ces grues.
Tous les appareils de levage doivent être munis de tous les dispositifs de sécurité qui s'avèrent nécessaires
tels que limiteurs de course, limiteurs de relevage et, éventuellement, limiteurs d'orientation.
Ces dispositifs seront de construction robuste et, s'il y a lieu, réenclenchables de la cabine ou du poste de
manoeuvre.
Les limiteurs de course seront réglés pour éviter la rupture des chaînes ou des câbles.
Les poulies de mouflage devront être munies de dispositifs permettant de les déplacer au moment de
l'accrochage des charges sans que les ouvriers soient obligés de toucher les câbles ou les chaînes.
Des consignes seront établies par le chef d'établissement après accord de l'inspecteur divisionnaire du
travail.
Ces consignes prévoieront notamment :
1° Les mesures de sécurité à appliquer à l'occasion du service normal de l'appareil et notamment
l'interruption de l'alimentation en énergie lorsque le conducteur quitte son poste de travail ;
2° Les précautions à prendre pour éviter les chutes d'objets transportés par l'appareil de levage ou
heurtés par celui-ci ou par sa charge au cours de ses déplacements ;
3° Les mesures de sécurité destinées à assurer la sauvegarde du personnel participant aux opérations de
visite, de graissage, de nettoyage, d'entretien ou de réparation.
Les consignes seront affichées en français et en arabe dans les locaux ou emplacements où chacune
d'elles s'applique et dans la cabine de manoeuvre des appareils de levage.
Sur les tableaux de distribution, les conducteurs doivent présenter les résistances d'isolement et les écartements
propres à. éviter tout danger.
Le plancher de service sur la face avant des tableaux (celle où se trouvent les poignées de manoeuvre et les
instruments de lecture) doit être isolé électriquement et établi dans les conditions prescrites par l'article 7, dernier
alinéa.
Quand des pièces métalliques sous tension sont établies à découvert sur la face arrière du tableau, un passage
entièrement libre de 1 mètre de largeur et de 2 mètres de hauteur au moins est réservé derrière lesdites pièces
métalliques.
L'accès de ce passage est défendu par une porte fermant à clé, laquelle ne peut être ouverte que par ordre du chef
de service ou par ses préposés à ce désignés ; l'entrée en est interdite à toute autre personne.
Si l'on a installé, sur la face arrière du tableau, des garde-corps, des grillages ou des écrans pour protéger le
personnel contre tout contact accidentel avec des pièces métalliques sous tension placées à découvert, les
dispositions de l'article 13 sont applicables aux distances entre ces garde-corps, grillages on écrans et lesdites pièces
métalliques ainsi qu'à la largeur du passage libre.
A défaut de l'un de ces dispositifs de protection, un plancher de service isolant et non glissant doit être établi sur la
face arrière du tableau.
Lorsque les tableaux comportent des cellules, il doit être apposé sur les grillages ou écrans de fermeture de ces
cellules, des inscriptions très visibles mentionnant l'interdiction d'ouvrir tant que les conducteurs que contiennent
lesdites cellules sont sous tension ; à défaut de ce procédé, on doit faire emploi d'un autre procédé donnant une
sécurité équivalente.
Les dispositions des alinéas 3 et 4 du présent article sont applicables aux tableaux de distribution des installations de
1re catégorie B2.
Sur les tableaux de distribution. les conducteurs et appareils de 1re catégorie B2, de 2e et de 3e catégorie, doivent
être nettement différenciés entre eux et des antres conducteurs et appareils par une marque très apparente, une
couche de peinture par exemple.
Les parties sous tension des douilles et lampes à incandescence doivent être protégées contre tout
contact accidentel avec les personnes, lorsque ces lampes sont en place.
Dans les installations de la 1re catégorie B2, les douilles à interrupteur sont interdites.
Dans les douilles à vis, la pièce de contact centrale doit être raccordée au conducteur présentant
normalement la plus grande différence de potentiel par rapport au sol.
Lorsque les lampes suspendues comportent des réglages en hauteur, il doit être utilisé à cet effet un
système à contrepoids ou équivalent.
Quand elles sont placées au-dessus de machines-outils et ne sont pas alimentées par du courant à très
basse tension, elles doivent être munies de douilles en porcelaine ou autres matières isolantes.
A titre transitoire, dans les installations existant à la date de promulgation du présent arrêté, les
conducteurs nus des lignes alimentant les lampes suspendues à réglage horizontal doivent être placés à
trois mètres au moins de hauteur. Les conducteurs alimentant chaque lampe doivent être isolés et, en
outre, réunis dans une gaine isolante rigide. Ces installations peuvent toujours être interdites par
l'inspecteur du travail s'il ne les juge pas indispensables.
Toute installation de même nature que celle visée à l'alinéa précédent est interdite dans les
établissements créés ou transférés après la date de promulgation du présent arrêté.
Les salles des machines génératrices d'électricité et les sous-stations doivent être munies d'un éclairage
de secours continuant à fonctionner en cas d'arrêt du courant.
Les locaux spécialement destinés aux accumulateurs doivent être suffisamment ventilés pour assurer
l'évacuation continue des gaz dégagés pendant la charge. Les éléments d'accumulateurs doivent être
isolés du bâti qui les supporte et celui-ci doit être isolé de la terre par des isolants ne retenant pas
l'humidité. Les batteries d'accumulateurs donnant plus de 150 volts doivent être entourées d'un plancher
de service isolant, établi dans les conditions prescrites par l'article 7, dernier alinéa.
Dans les locaux visés l'alinéa précédent, les lampes à incandescence doivent être munies d'une double
enveloppe étanche et être raccordées d'une façon étanche aux conducteurs. Aucun appareil susceptible
de produire des étincelles ne doit y être établi, au moins qu'il ne réponde aux conditions du premier
alinéa du présent article. Toutefois, cette dernière disposition ne s'applique pas aux bancs de charge
d'accumulateurs portatifs se trouvant dans lesdits locaux.
Des dispositions doivent être prises pour prévenir les effets d'échauffement anormal des conducteurs au
moyen de coupe-circuit du calibre convenable ou d'autres dispositifs équivalents.
Les appareils, tels que générateur, moteur et transformateur, qui ne font pas l'objet d'une surveillance
continuelle, doivent être suffisamment protégés par des dispositifs convenables contre les effets d'une
surcharge éventuelle:
Les coupe-circuit et disjoncteurs doivent pouvoir couper, sans projection de matière en fusion, ni
formation d'arc durable, une intensité au moins égale à celle qui serait mise en jeu par un court-circuit
franc au point même où ces appareils sont placés.
Lorsqu'il est fait usage d'appareils électriques dans l'huile ou tout autre liquide combustible, toutes
dispositions doivent être prises si une quantité importante de liquide combustible est susceptible de se
répandre accidentellement pour que, éventuellement, le liquide répandu soit évacué ou recueilli de façon
qu'il ne puisse s'enflammer ultérieurement ou que, s'il a déjà pris feu, l'extinction soit assurée d'une façon
automatique.
Cette prescription ne s'applique pas aux rhéostats de démarrage et aux self-inductances équipés avec un
relais thermique provoquant, en cas d'échauffement dangereux, soit le débranchement de l'appareil, soit
une signalisation acoustique à portée du personnel.
تحددكماياي االجهزة أو اآلالت وأتتهنافها التي يجب عند استعماله ا أن تكون ق د خفب ع ت للم راقبة المنصوص علتها في المادة
:األولى أعاله؛ منذ أقل من ثالثة أشهر
مغبا غ ط ميكانـيكية ،وـمـفهـاغط هيدروـلـيكية ت ســتعم ل لـــمعـاــلجة اــلمعـادـندوـناستعماــلاــلحرارة ؛ -
مغبا غط لــولـبية ؛ -
مفهـا غ ط لـــلقوـلـبة عنطـريـقحقن أو كــبس اــلمواد اــلبالستيكية أواــلمطاط؛ -
مغبا غ ط ق وـية اــلمعـادـن؛ -
مجوب- ؛ مغبا غ ط ت شــكيل رـقائـقاــلجلود أواــلفروأواــلورـقأواــلورـقاــلمقو ى أواــلمواد اــلبالستيكية بـــواسطة
مفهـا غ ط ذاتصــفائـح معـدنـية مثلمفهـا غ ط اــلتذهيبأواــلنشش أواــلتقطيعـ ؛ -
مفهـا غ ط اــلحزم ؛ -
قــاطعـاتلـــتقحليعـ اــلورـقأو اــلورـقاــلمقوىأو اــلخشبأو اــلموا د اــلبالستيكية علىشــكلرـقائـق؛ -
آــالتذاتأسطواناتخاصة بـــاــلههناعاتاــلمربـطة بـــاــلمطاط؛ -
ـنفايات و ق ـتم ه راــلمراقبة اــلعـامة اــلدورـية فـــيهذهـ اــلحاــلة عاىجهـازاــلر ص - ، أنـظمة اــلرصاــلموجودة عاىمتنشــاحـناتجمعـ اــلقمامة وـل
تـعلىأجـهـزناــلوقاية وآــلياتاــلتح كــم اــلمربـطة بــــهـا ،دوـنأنتــــشملاــلشــا حتة بــــعيههـا ؛ ورافعـ اــلحاوـيا و
نفايات
- .آــالترـصاــل
ال تخفهع للم راقبة العامة الدورية سوى األجهزة أو اآلالت التي يتم تحريكها بواسطة ممهدر طاقة ،ماعدا الطاقة الناجمة عن الق و ة
.البدنية ،يستعمل مباشرة ويتم ش حته أو تف ريف ه يدويا في مرحلة اإلنتاج
.ت حدد تعاريف األجهزة أواآلالت وأصنافها المذكورة أعاله في الملحق رقم 1تهذا القرار
يجب أن تشمل المراقبة العامة الدورية المنصوص عبها في المادتين 2و 4أءاله،كل األجزاء التي ق د يؤدي تدهور حالها إلى إحداث
.خطر
ت حددكمايل ي األجهزة أواآلالت وأصنافها التي يجب عتد استعماله ا أن تكون ق د خفهعت لل م راقب ة المنصوص عبها في
ياي
علي )ماشهرا الواقية12 ( ،
اثني عشو األغطية
أقكل من منذكي بتف األولىإلهها،
أعاله، الوصول يسهل
المادة وتشتمل هذه المراقبة ،التي تقت صر عل األجزاء الظاهرة واألجزا ء التي :
ســيقا ن ذاتمفاصلمـوصلة لـــلقوة ،قــابـلة لـــلنقل مـا بــــينآــلة ذاتية اــلحركة وأــلة م ســتقبلة ،وـكذا أجـهـزة وـقاية هذهـ اــلســيقا ن ؛ :-
مايلي
بمراقبةتربة ؛ - لـــتقليب اـأل الخصوص تدوارة األم رأدواعل لألجهزة ،ويتعلق
أنتـــركـبعبهـا ية يـــمكن العامة
للحالةوـلآــل
ثمـعـا المجردةيـ وـ
:أ) المراقبة بالعين محارـ
ف؛ -- ـيةل اــلسنوية أجـهـزة اــلحنياــلمركزياــلصغيرة اــلتييـــقل قــطرسكهـا أوـيـسـاوـي400
قذ اــل أو ط ـقو ـ لـــلس ـلة ب ـا
ـ تــــكونق ي ت اــل ـا
ه استقررأجزإق ى ـد م ـكبــــمراقبة دوروذـ
ـتجهيزإتاـهـلـا، استقراراعـــآللة و
لـــلم رـقبة مركزي وـالـ تــــخض
، أجـهـزة اــلطرد اــل
جول؛- وقاية ؛ ـل
ـ ا أجزاء ـدىثــــبات م
ميليمتر ،إذا كـانـتاــلطاقة اــلحركـية اــلمستعملة تــــقل أوـتسـاوـي1500
عليمتآهاي؛؛ --
محموـدالـغيراــلعـادـ
شكلواـــالتأك سـ تفـــياــل
يـــكونســائـقه تغيبرإ ،
ـي اــلعمود تفرواــل ـققاــلح
ـرشـأو ا
اــلشت بــــكشأوف
اــلح لـــالستخرإجمـاأو اــلردـم
متنقلةـزة ،الــ ســي ت اــألجـه
آــالــلة
حا
عمة؛؛-- واــلداشظايا ا
ي بقال واــ خبار
آــالتلـــطرقاــأللواح اــل اــل ـم ك يـــتعلقبــــترا ـا مفـــي خاصة ـزة، ه ـ
ج ـأل
ـ ا نــظافة ةـل
ـ حا
ـربعـ--
ســلرف ؛ ـيباــلت
ـزة ا حاــلة اــلمعبقاتوأنا.أبجـه
القرار-
ـليواــلهـوائـي
رقموـي 2تهذا الملحقهيدر
كبرباــليواــلاــل ي
أعاله،لف
المذكورةواــلتوص
وأصنافهاجرء اــلربـط
.ت حدد تعاريف األجهزة أواآلالت .حاــلة أ
ب) مراقبة األجزاء ال و ظيفية التي ت سا ه م ني عملية ت شغي ل اآلالت واألجهزة ،وذلك بإجراء اختبارات االشتغال ،وتشمل هذه
:المراقبة ،عاى الخمبوص ،ما يلي
ـل -فنـما ط اــالشتغـاـ ؛ مـدىتـــوفر أجـهـزياــلوقاية وـصالحـيتهـا حسبمختل أ
ت- مـدىتـــوفرخاصياتتـــد ل علىوـجود خللفـــياــالشتغـاــلاــلعـادـيلـــلجهـاز أواــآللة ،وـالـ ســيما اــلضجيج واــالههـزإرـتواــلحرارة واــالصطداما ؛
فــألوـتوماتيكىأوـتلكاــلتييـــتم ت شــفيله ا بــــفعلإردـي؛ - ـلجـهـزة اــلتوق ا مـدىاشتغـاـ أ
فــلوقائـية - ـلجـهـزياــلتوقفاــلمرتبطة بـــاــلوظائـ ا .مـدىاشتغـاـ أ
:ويتعلق األمرعل الخمهوص بما يلى " ،"Jeuxوالمجال بين القعلع " "Reglagesج) مراقبة الف ه واب ط
مستوىاــلسـوائـل؛ -
ـت -ف ه ف ط اــلهـواء واــلزي ؛
ح
Il estالكب commeداخل أجهزة
déterminé ) suitخاصة ""Ressorts
les appareils النوابض ؛ -حالة oumachines""Embrayage >> "Freinageوالواصل
et les catégories d’appareils ou de machines qui
ل داخ eux "anormaux - ؛ الميكانيكية
doivent avoir fait l’objet, depuis moins de trois (3) mois au moment حكم الت أجهزة القطع بين غيرالعادي تقديرالمجال
de leur utilisation, de la vérification
واصل ؛ -
prévueـح àواــل ) حكاكاتاــلكواب
l’article premier ci-dessusخاصة
معـرضة لـــلتأكـل( حاــلة اــلقعلعـ اــل :
-. Rglage
pressesdes à vis fins ضــبط نــهـاية اــلجولة : de course" -
يلي الخصوص بما
- presses à mouler األمرعلى ويتعلق par
injection المؤشرات،
ou compression )desمراقبة حالة ; : matières plastiques ou du caoutchoucد
-Neدورات؛
)sont, ـعداد اــل و حرارة ـقياساــل م ـو ة ـخر
toutefois, soumis à une vérification généraleب
أل ـ وا ت ر ـفالـو
ـل ئ ـواساــل س périodiqueمقيا
queقيا س (خاصة lesـزة اــل
appareilsجـه
حاــلة أ ou les machines mus
uneـية) -
par sourceاــلكتاب
ـتعليما ت autreاــلمنبهـة وـل
d’énergie queاــألضواء
ـوير(laخاصة humaine,ياــلتش
force .employée directement, et dont le chargement ou leحاــلة أجـهـز
déchargement est effectué manuellement en phase de production.
Les définitions des appareils ou machines et les catégories d’appareils ou de machines mentionnés ci-
dessus sont fixées dans l’annexe 1 du présent arrêté.
II est déterminé comme suit les appareils ou machines et les catégories d’appareils ou de machines qui
doivent avoir fait l’objet, depuis moins de douze (12) mois au moment de leur utilisation, de la vérification
prévue à l’article premier ci-dessus :
- appareils de levage.
Les définitions des appareils ou machines et les catégories d’appareils ou de machines susmentionnés
sont fixées dans l’annexe 2 du présent arrêté.
Les locaux fermés affectés au travail doivent être chauffés lorsqu'il y a une baisse de la température de
façon à maintenir une température convenable et ne donner lieu à aucune émanation délétère.
Les locaux du travail doivent disposer d'une lumière naturelle suffisante. A défaut les locaux fermés
affectés au travail, leurs dépendances notamment les passages et escaliers, doivent être suffisamment
éclairés pour assurer la sécurité du travail, la sécurité de la circulation des salariés et éviter la fatigue
visuelle, ainsi que les affections de la vue.
Dans les locaux fermés et affectés au travail, et pendant l'existence des salariés, les niveaux d'éclairage
mesurés aux niveaux de travail ou au niveau du sol, doivent être au moins égaux à la valeur minimale
d'éclairement indiquée dans les tableaux suivants : Voir le document ci-joint :
Amenagement_lieux_travail_Eclairage_Arrete_12_Mai_2008_Article_14_i6.pdf
Dans les zones de travail, le niveau d'éclairement doit en outre être adapté à la nature de la précision des
travaux à exécuter.
En cas d'éclairage artificiel, le rapport des niveaux d'éclairement, dans un même local, entre celui de la
zone de travail et l'éclairement général doit être compris entre 1 et 5 ; il en est de même pour le rapport
a)
desAux préposés
niveaux à la conduite
d'éclairement entredesles
machines et appareils
locaux contigus électriques de procéder fréquemment à l'examen
en communication.
des connexions
Les postes des conducteurs
de travail de terre
situés à l'intérieur desdes bâtisde
locaux et travail
pièces doivent
conductrices des machines
être protégés et à l'examen des
du rayonnement
conducteurs souples des appareils amovibles et de leurs fiches de prise de courant ;
solaire gênant soit par la conception des ouvertures soit par des protections, fixes ou mobiles,
b) A un préposé expressément désigné à cet effet, dans les installations de 1er catégorie où le neutre n'est
appropriées.
pas à la terre et qui comportent des moteurs d'une puissance totale de 5 kilowatts au moins, de vérifier
journellement aux tableaux de distribution qu'il n'existe pas d'écart anormal de tension entre chaque pôle
ou phase et la terre, les appareils destinés à ce contrôle ne devant être branchés que le temps strictement
nécessaire.
La continuité des conducteurs de terre doit être contrôlée aussi souvent qu'il sera utile.
La vérification de la résistance des terres doit être faite au moins tous les ans par une personne qualifiée.
Pour les installations électriques n'appartenant pas à la très basse tension, établies dans des locaux où,
par suite de l'humidité, de l'imprégnation par des liquides conducteurs ou du dégagement de vapeurs
corrosives, il est douteux qu'un isolement suffisant puisse être maintenu, si ces installations présentent
des conducteurs ou appareils accessibles, leurs isolements par rapport à la terre sont vérifiés au moins
tous les six mois par une personne qualifiée. Les mesures d’isolement de la gaine protégeant le câble
d’alimentation des moteurs des grus dont il est fait mention à l’article26 seront prises à chaque visite
d’entretien ou de nettoyage des machines et au minimum une fois par mois.
Les résultats, tant des vérifications de la résistance des terres que des vérifications d'isolement effectuées
en vertu des deux précédents alinéas, ainsi que la date de chaque vérification et les nom et qualité de la
personne qui l'a effectuée, doivent être consignés sur un registre spécial. En tête de ce registre doit être
indiquée, avec croquis à l'appui, la façon dont sont constituées les prises de terre et leur résistance
initiale.
Les bouteilles contenant des gaz comprimés ou dissous, doivent être soit placées sur chariot, soit
immobilisées au poste d'utilisation ou en parc. Les bouteilles vides doivent être posées horizontalement si
elles ne sont pas immobilisées.
Les salariés travaillant à la soudure ainsi que leurs aides, doivent, pendant l'exécution de ces travaux, être
munis de lunettes ou d'écrans spéciaux pour la vue, à verres teintés mis à leur disposition par l'employeur.
Un avis, rédigé en français et en arabe, rappelant aux salariés et leurs aides l'obligation d'utiliser les
lunettes ou les écrans protecteurs pendant les travaux de soudure, doit être affiché de manière apparente
dans
Lorsque le local où sont
le projet est effectués
égalementces travaux.
soumis à une étude d'impact sur l'environnement en vertu des
dispositions de la loi n° 12-03 relative aux études d'impact sur l'environnement, cette étude est complétée
par l'étude d'impact énergétique visée à l'article 8.
La décision d'acceptabilité environnementale visée par ladite loi concerne dans ce cas à la fois les aspects
Sous réserve des dispositions
environnemental des accords de libre échange conclus et dûment ratifiés par le Royaume,
et énergétique.
l'agrément visé à l'alinéa précédent est délivré par l'administration aux organismes d'audit qui remplissent
notamment
Par complément les conditions suivantes
à la législation : à l'urbanisme, tout plan d'aménagement définit les zones dans
relative
-lesquelles
être constitué
serontsous forme de
implantés dessociété
projetsdequidroit marocainselon
nécessitent, ; leur taille ou leur nature, la réalisation d'une
-étude
ne pas être en énergétique
d'impact état de redressement
préalable.ou de liquidation judiciaire ;
- disposer de références techniques ainsi que des moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la
réalisation de l'audit énergétique obligatoire ;
-Sont
disposer
chargésd'undemanuel
réaliserde procédures
l'audit pour la
énergétique réalisationlesdes
obligatoire audits énergétiques
organismes homologué
d'audit agréés parpar
à cet effet
l'administration
l'administration.;
- offrir toutes les garanties d'impartialité et d'indépendance.
Par complément à la législation relative à l'urbanisme, les " règlements généraux de construction "
doivent également fixer les règles de performance énergétique des constructions afin de garantir un
meilleur bilan énergétique des bâtiments par zones climatiques en traitant, notamment, de l'orientation,
de l'éclairage, de l'isolation et des flux thermiques, ainsi que des apports en énergie renouvelable afin de
renforcer
Les les niveauxetde
administrations lesperformance despublics
établissements constructions à édifier
ainsi que ou à modifier.
les collectivités territoriales dont la liste est
fixée par voie réglementaire, sont tenues de rationaliser la consommation d'énergie de leurs services, en
intégrant dans le plan de développement communal prévu par la loi portant charte communale telle que
modifiée et complétée, les mesures et les mécanismes tendant à rationaliser la consommation d'énergie,
notamment en matière de distribution d'énergie électrique, d'éclairage public et de transport public
urbain.
Les administrations et les établissements publics ainsi que les collectivités territoriales doivent respecter
les normes de l'efficacité énergétique prévues par la présente loi lors des marchés publics dont la liste
sera fixée par voie réglementaire
A
Les cet effet, cesouentreprises
véhicules ensemble de sont autorisées
véhicules sontpar l'administration
soumis en matièrelorsqu'elles
d'efficacité répondent
énergétique aux
auxconditions
dispositions
suivantes,
de l'article sous
45 deréserve
la loi n°des dispositions
52-05 relative des
au accords
code de lade libre
route. échange conclus et dûment ratifiés par le
L'étude
Royaume d'impact
: énergétique comporte :
-- une être description
constitué sous desforme
principales composantes
de société de droit du projet, ;ses caractéristiques et les étapes de sa
marocain
réalisation
-Les neentreprises
pas être etenlesvisées
ressources
état d'énergie4utilisées
deauredressement
paragraphe oudede ; premier
l'article
liquidation ci-dessus
judiciaire ; (Entreprises de services énergétiques)
-sont
- une évaluation
seules
disposer des besoins
dehabilitées
références énergétiques
à effectuer
techniques lesen
études durant
matièrevisant les phasesénergétique
à réaliser
d'efficacité de réalisation,
des économiesainsid'exploitation
dans
que la ou de
consommation
des moyens de
humains,
développement
l'énergie et la du
mise projet
à niveau,
matériels et financiers nécessaires ; ; sur la base des résultats desdites études, des équipements et installations
-énergétiques
- les mesures
s'engager envisagées
étudiés. lespour
à respecter réduire
clauses d'unlacahier
consommation
des charges d'énergie,
dont les par les mécanismes
dispositions visant
sont fixées paràvoie
mettre en
valeur et à
réglementaire ; améliorer l'efficacité énergétique, ainsi que par la valorisation des potentiels des énergies
renouvelables
- disposer d'unréalisables
manuel deconformément à la législation
procédures, notamment pouren vigueur
la mise ;
à niveau des équipements et installations
-énergétiques
un programme étudiés, conforme aux dispositions du cahier des charges viséenvisagées
de surveillance et de suivi du projet ainsi que les mesures ci-dessus. en matière de
formation, de communication et de gestion en vue d'assurer son exécution, son exploitation et son
développement ;
- une note de synthèse récapitulant le contenu et les conclusions de l'étude ;
- un résumé simplifié des informations et des principales données contenues dans l'étude destiné au
public.
Sans préjudice des dispositions de la législation relative à la normalisation, les appareils et équipements
fonctionnant à l'électricité, au gaz naturel, aux produits pétroliers liquides ou gazeux, au charbon et aux
énergies renouvelables, proposés à la vente sur le territoire national doivent respecter des performances
énergétiques minimales fixées par voie réglementaire.
L'étude d'impact énergétique
Les consommations doit notamment
et/ou performances :
énergétiques des appareils et équipements visés à l'alinéa
-précédent
évaluer dedoivent
manière méthodique et préalable, lessur
être indiquées de façon lisible consommations
les appareils eténergétiques
équipementsprévisionnelles du
et sur leurs emballages
projet ;
conformément aux normes d'étiquetage fixées en application de la législation et de la réglementation
-relative
évalueràles potentiels d'efficacité énergétique que présente le projet ;
la normalisation.
- identifier les ressources énergétiques locales mobilisables pour le projet et leur potentiel ;
- atténuer les niveaux de consommation prévisionnelle d'énergie en développant l'efficacité énergétique
du projet et en valorisant dans une approche intégrée les potentiels des énergies renouvelables
réalisables conformément à la législation en vigueur.
Les consommateurs visés à l'article 12 soumis à l'audit énergétique obligatoire sont tenus de transmettre
à l'administration les résumés des résultats dudit audit et les recommandations pour la mise à niveau du
système énergétique audité.
Les consommateurs visés à l'article 12 sont également tenus de transmettre à l'administration un plan
d'efficacité énergétique indiquant les mesures à prendre pour tenir compte des principales
recommandations du rapport d'audit, ainsi qu'un rapport annuel de mise en œuvre dudit plan.
Il est institué un contrôle technique qui a pour objet de constater et d'attester du respect des
performances énergétiques visées au chapitre II de la présente loi et des dispositions de l'audit
énergétique obligatoire.
L'organisme d'audit est tenu de disposer d'au moins deux auditeurs énergétiques ou un auditeur
énergétique et deux agents, sous sa supervision, titulaires de l'un des certificats ou diplômes visés au
premier point du troisième alinéa du présent article.
Les audits énergétiques sont réalisés par des auditeurs énergétiques qui disposent de la formation, des
aptitudes et de l'expérience dans le secteur concerné par l'audit, conformément aux normes marocaines
en vigueur.
L'activité d'auditeur énergétique est exercée par les personnes remplissant les conditions suivantes :
- être titulaire d'un certificat ou d'un diplôme d'ingénieur d'état, de master, des études supérieures
approfondies ou de doctorat dans l'un des domaines suivants : ingénierie mécanique, énergétique,
thermique, électrique, chimique, des procédés industriels, électrotechnique et électromécanique ;
- avoir au moins trois ans d'expérience dans le domaine de l'audit énergétique.
Les personnes ne remplissant pas la condition mentionnée au deuxième point du troisième alinéa du
présent article peuvent exercer l'activité d'audit énergétique à condition qu'elles soient titulaires de l'un
des certificats ou diplômes visés au troisième paragraphe ci-dessus et d'un diplôme en audit énergétique.
Les consommateurs, qui exercent des activités couvertes par un système de management de l'énergie
certifié selon les normes marocaines en vigueur et conformément aux dispositions de la loi précitée n° 12-
06, sont exemptés de l'obligation de l'audit énergétique pendant toute la durée de validité de la
certification.
Toutefois, les activités précitées restent régies par les dispositions du troisième alinéa de l'article 4 ci-
après.
Les consommateurs mentionnés sont soumis aux dispositions du présent décret dès l'expiration de la
durée de la validité de la certification.
L'audit énergétique obligatoire est réalisé conformément aux normes marocaines en vigueur dans le
secteur concerné par l'audit conformément aux dispositions de la loi précitée n° 12-06.
Pour l'application des dispositions de l'article 13 de la loi précitée n° 47-09, le consommateur envoie par
lettre recommandée avec accusé de réception à l'autorité gouvernementale chargée de l'énergie deux (2)
copies du rapport d'audit énergétique accompagnés des résumés des résultats dudit audit et du plan
d'efficacité énergétique, dans un délai de trente (30) jours à compter de la réception desdits documents
de l'organisme d'audit par le consommateur.
Lorsque l'étude des documents transmis par le consommateur révèle des insuffisances, l'Agence
marocaine pour l'efficacité énergétique demande à ce dernier, par lettre recommandée avec accusé de
réception dans un délai ne dépassant pas trente (30) jours à compter de la date de réception des
documents visés au premier alinéa de l'article 7 ci-dessus, d'inviter l'organisme d'audit à procéder à des
investigations ou à des études et mesures complémentaires. L'agence adresse une copie de cette lettre à
l'autorité gouvernementale chargée de l'énergie.
Le consommateur assujetti dispose d'un délai de trois (3) mois à compter de la date de son information
pour transmettre à l'Agence marocaine pour l'efficacité énergétique les résultats des investigations,
études ou mesures complémentaires demandées.
Sont soumis à l'audit énergétique obligatoire, prévu à l'article 12 de la loi précitée n° 47-09, les
consommateurs visés au même article, dont la consommation finale totale d'énergie exprimée en tonne
équivalent pétrole (tep) est supérieure à :
- 1500 tep par an pour les entreprises et les établissements relevant du secteur de l'industrie y compris
les entreprises et les établissements de production d'énergie ;
- 500 tep par an pour le secteur tertiaire, les entreprises et les établissements de transport et de
distribution d'énergie et pour les personnes physiques.
Le seuil de la consommation énergétique finale à partir duquel la réalisation de l'audit énergétique est
obligatoire pour les autres secteurs sera définit par arrêté conjoint du ministre chargé de l'énergie et du
ministre chargé du secteur concerné.
Les personnes morales et physiques exerçant dans les secteurs cités à l'article 2 ci-dessus, et dont la
consommation finale totale d'énergie dépasse les seuils définis au même article, sont tenues de le
déclarer à l'Agence marocaine pour l'efficacité énergétique et d'entamer immédiatement la réalisation de
l'audit énergétique obligatoire.
L'audit énergétique obligatoire porte sur l'ensemble des activités, procédés industriels, bâtiments ou
groupes de bâtiments et parcs de véhicules exploités par l'établissement ou l'entreprise auditée, ainsi que
sur la totalité de la consommation énergétique de l'établissement ou de l'entreprise audité.
Les consommateurs assujettis à l'audit énergétique obligatoire font réaliser un audit énergétique dans un
délai n'excédant pas cinq (5) ans à compter de la date de transmission du dernier rapport de l'audit
énergétique obligatoire à l'autorité gouvernementale chargée de l'énergie.
La demande d'agrément est déposée par l'organisme d'audit énergétique auprès de l'autorité
gouvernementale chargée de l'énergie en trois exemplaires contre récépissé revêtu du numéro
d'enregistrement. Les demandes envoyées par poste ne sont pas admises.
Le dossier de la demande d'agrément comporte les pièces et les données suivantes :
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Conforme
Conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
Manque instruction pour quelques éléments Non conforme
Non concérné
Conforme
Non conforme
Conforme
Conforme
Conforme
conforme Conforme
conforme Conforme
Conforme
Non conforme
Non conforme
Non conforme
pas désenfumage automatique ,présence
Conforme
désenfumage manuel
Non conforme
Non conforme
changement freq des vetments de travail et EPI Conforme
Non concérné
Non concérné
Non concérné
Non concérné
Pour information
Pour information
Pour information
Conforme
dechets pharmaceutique gére par le médcin de
travail
Pour information
Pour information
Pour information