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Pre-Requis D'electricite Ltir GCV Esbtp 2021-2022
Pre-Requis D'electricite Ltir GCV Esbtp 2021-2022
Durée: 20 Heures
Présenté par: M. SOSSO Innocent
Pour: ESBTP LTIR GCV Année : 2021-2022
OBJECTIFS
Objectif général
Objectifs spécifiques
SOMMAIRE
Critères de rédaction :
ACTIVITES PEDAGOGIQUES
MOYENS DIDACTIQUES
o Présentation POWERPOINT
o Travaux dirigés : application du logiciel QElectrotech
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Figure 1.1. Répartition des différentes sources primaires dans la production mondiale d’électricité
(D’après International Energy Agency Statistics-Chiffres de production 2013)
o hydroélectriques ;
o éoliennes ;
o solaires ou photovoltaïques ;
o à combustibles fossiles (ou thermiques classiques) ;
o nucléaires.
o monophasé ;
o triphasé.
f = p ∙ n et ω = 2π ∙ f = p ∙ Ω
o f en Hz
o p : le nombre de paires de pôles du rotor
o n : la vitesse de rotation du rotor en tr/s
o ω en rad/s
o Ω : la vitesse de rotation du rotor en rad/s
Sa partie fixe, le stator (induit) crée le flux Φ. La valeur efficace de la tension alternative
sinusoïdale E(t) aux bornes de chaque enroulement du stator est :
E(t) = K ∙ N ∙ f ∙ Φ
o E(t) en V
o K : le coefficient de Kapp
o N : le nombre de conducteurs d'une phase
o f en Hz
o Φ : le flux maximal pour une spire en Wb
1.1.4. Le transformateur
Sert à modifier les amplitudes des grandeurs alternatives sans en modifier la fréquence.
o monophasé ;
o triphasé.
2 types de régimes :
Les relations autour des récepteurs électriques linéaires deviennent des équations
différentielles :
u(t) = R ∙ i(t)
di(t)
u(t) = L ∙
dt
du(t)
i(t) = C ∙
dt
Par ailleurs, la grande majorité des récepteurs électriques sous tension sinusoïdale sont
des récepteurs à tendance inductive.
Ainsi, dans la plupart des cas, le courant i(t) traversant un dipôle est en retard d’un
angle φ par rapport à la tension u(t) :
La puissance électrique représente une quantité d’énergie par unité de temps. Son
unité est le watt (1 W = 1 J/s).
P = V ∙ I ∙ cos φ
Q = V ∙ I ∙ sin φ
S=V∙I
o Autres relations :
Vmax Imax
S 2 = P 2 + Q2 ; V = Veff = ; I = Ieff =
√2 √2
Facteur de puissance
Pu = h ∙ U ∙ I ∙ cos φ
Ce réseau comporte 3 conducteurs de phase (1), (2), (3) et parfois un 4ème conducteur
dit neutre (N).
u12 (t) = v1 − v2
u23 (t) = v2 − v3
u31 (t) = v3 − v1
o Les courants en ligne (dans chaque conducteur de phase) : i1 (t), i2 (t) et i3 (t)
U = V√3
i1 = j1 V1 = Z ∙ I1
i2 = j2 V2 = Z ∙ I2
i3 = j3 V3 = Z ∙ I3
V1 = V2 = V3 = V et V1 + V2 + V3 = 0
I1 = I2 = I3 = I et I1 + I2 + I3 = 0
U
PY = 3VI cos φ = 3 I cos φ = UI√3 cos φ
√3
Puissance réactive :
Puissance apparente :
I1 = I2 = I3 = I et I1 + I2 + I3 = 0
J1 = J2 = J3 = J et J1 + J2 + J3 = 0
I = J√3
I
P∆ = 3UJ cos φ = 3U cos φ = UI√3 cos φ
√3
Puissance réactive :
Puissance apparente :
o une partie commande (PC) qui élabore les ordres et assure le traitement des
informations utiles à la partie opérative ;
o une liaison électrique entre les deux parties qui assure l'alimentation et les
protections: canalisation, sections des conducteurs et protection électrique des
machines et des personnes…
2.2.1. Le disjoncteur
C’est un appareil de protection qui comporte deux relais : un relais magnétique qui
protège contre les court-circuits et un relais thermique qui protège contre les
surcharges.
2.2.4. Le fusible
Comportant un fil conducteur dont la fusion interrompt le circuit électrique lorsqu’il est
soumis à une intensité du courant qui dépasse la valeur maximale supportée par le fil.
Les blocs auxiliaires temporisés servent à retarder l'action d'un contacteur (lors de sa
mise sous tension ou lors de son arrêt)
(a) (b)
Le champ magnétique tournant, produit par l’aimant en rotation, induit dans le disque
conducteur en cuivre des courants de Foucault. Ceux-ci d’après la loi de Lenz doivent
s’opposer à la cause qui leur a donné naissance. Comme les courants induits ne peuvent
empêcher la rotation de l’aimant, ils entraînent le disque en rotation, ce qui diminue le
déplacement relatif du champ, mais, en aucun cas, le disque ne peut atteindre la vitesse
du champ sinon il y aurait suppression du phénomène qui est à l’origine des courants
induits.
On utilise des barrettes pour assurer le couplage choisi des enroulements sur la plaque
à bornes du moteur.
1er temps : chaque enroulement du stator est alimenté sous une tension réduite en
utilisant le couplage étoile (Y). Il est le temps nécessaire pour que la vitesse du moteur
atteigne environ 80 % de sa vitesse nominale.
2ème temps : chaque enroulement du stator est alimenté par sa tension nominale
changeant le couplage au triangle (∆).
Domaines d’application
3ème zone : liaison entre les deux zones précédentes. On peut trouver dans cette zone :
Une centrale hydraulique doit contenir aussi d’autres composants (filtre, limiteur de
pression, manomètre, …).
o son débit ;
o sa cylindrée ;
o son rendement ;
o Son sens de rotation ;
o Sa vitesse de rotation.
1°) Débit théorique Q th (en l/min) : C’est le volume d’huile théorique que la pompe
peut fournir pendant l’unité de temps pour une vitesse de rotation établie.
2°) Cylindrée Cyl (en l/tr ou cm3 /tr) : Elle correspond au volume d’huile théorique
débitée par tour en cm3 ou en litre.
Q th = Cyl ∙ N
3°) La puissance hydraulique à la sortie d’une pompe, traitant le débit volumique Q th est
:
PH = ΔP ∙ Q th
4°) La puissance donnée à la pompe par le moteur électrique dont l’axe tourne à la
vitesse ω et transmet un couple C s’écrit :
Pa = C ∙ ω
5°) Les deux relations précédentes permettent d’exprimer le rendement global d’une
pompe :
PH ΔP ∙ Q th
ηp = = = ηvp ∙ ηmp
Pa C∙ω
6°) Le rendement volumétrique ηvp (qui permettra de connaître les fuites) est le
rapport du débit réel Q au débit théorique Q th et le rendement mécanique ηmp est le
rapport du couple théorique au couple réel (qui permettra de connaître les pertes
mécaniques : frottements entre autres), d’où le rendement global de la pompe :
Le tapis roulant sur lequel on envisage de transporter jusqu’à 2000 kg est incliné d’un
angle α par rapport à l’horizontale. L’objectif de la motorisation est d’entraîner le tapis
chargé à la vitesse v = 1 m/s. Le système considéré est représenté, avec les valeurs de
certains paramètres, sur la figure ci-dessous.
3) Représenter sur un dessin clair les projections du vecteur poids dans l’axe du tapis et
à la perpendiculaire de cet axe. Noter l’expression littérale et la valeur de ces
projections. On prendra : g = 9,81 N/m.
4) Calculer alors le couple développé par la machine pour entraîner le tapis chargé, on
négligera dans cette question les frottements du tapis et l’effet de la partie inférieure
du tapis.
o Electrisation et Electrocution ;
o Brûlures ;
o Troubles visuels et oculaires … ;
Pour le matériel
Causes humaines :
o Ignorance ;
o Faute de comportement ;
o Mauvais entretien ;
o Mauvaise utilisation … ;
Causes matérielles :
o Installations vétustes ;
o Equipements non normalisés … ;
Directes :
o Brûlures internes ;
o Fibrillation ;
o Tétanisation des muscles … ;
Indirectes :
o Chutes ;
3.1.5. Surintensités
Les causes et les valeurs des surintensités sont multiples. On distingue habituellement
dans les surintensités :
Ce sont des perturbations qui se superposent à la tension nominale d’un circuit. Elles
peuvent apparaître :
Une surtension est une impulsion ou une onde de tension qui se superpose à la tension
nominale du réseau. Elle perturbe les équipements et produit un rayonnement
électromagnétique.
En plus, la durée de la surtension (T) cause un pic énergétique dans les circuits
électriques qui est susceptible de détruire des équipements.
La mise à la terre permet de relier à une prise de terre, par un fil conducteur, les masses
métalliques qui risquent d'être mises accidentellement en contact avec le courant
électrique par suite d'un défaut d'isolement dans un appareil électrique.
La mise à la terre permet donc d'écouler sans danger les courants de fuite et, par
association avec un dispositif de coupure automatique, d’assurer la mise hors tension
de l'installation électrique.
o Le piquet de terre ;
o La boucle en fond de fouille.
Il est interdit d’utiliser comme prise de terre les canalisations de gaz, d’eau, de vidange,
de chauffage central, mais il est obligatoire de les raccorder au circuit de terre du local.
G : Générateur
Avant de réaliser une mesure de terre, il faut connaître la valeur maximale admissible.
Pour garantir la sécurité des personnes, il faut que les dispositifs de protection se
déclenchent dès qu’une « tension de défaut » circulant dans l’installation dépasse la
tension limite acceptée par le corps humain.
Valeur maximale de la
Courant différentiel résiduel maximal
résistance de la prise de
assigné du DDR (∆𝐈𝐧 )
terre des masses (en 𝛀)
20 A 2,5
10 A 5
Basse sensibilité
5A 10
3A 17
1A 50
500 mA 100
Moyenne sensibilité
300 mA 167
100 mA 500
Haute sensibilité ≤ 30 mA > 500
1°) Le DDR détecte les courants de fuite vers la terre et coupe l’alimentation du circuit
dès que la valeur du courant de défaut atteint la sensibilité assignée.
On distingue:
o le relais différentiel ;
o l’interrupteur différentiel ;
o le disjoncteur différentiel.
Les dispositifs de protection doivent déclencher dès qu’un courant de défaut entraine
une tension de défaut supérieure à la tension limite supportée par le corps humain.
UL 50
RE = = = 100 Ω
Ir 0,5
Pour garantir la sécurité des personnes, la résistance de la prise de terre doit être
inférieure à 100 Ω.
o I : isolé de la terre
o T : relié a la terre
o T : reliées à la terre ;
o N : reliées au conducteur neutre (N).
Figure 2
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