Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
T.P Onde Vibration 16 - 17
T.P Onde Vibration 16 - 17
T.P N° 1
I- BUT DU TRAVAIL :
Où ω 0=
√ mga
J
(3)
1
2π
T 0= (4)
ω0
2
Le Compte Rendu
TP fait le : Etudiant2
TP rendu le : Etudiant3
1- Mesure de la période T 0:
Dans ce cas le plan d’oscillation du pendule est vertical (α=0). Pour des angles θ0 faibles
déterminer la période moyenne d’oscillation à partir de 5 essais (pour chaque essai on mesure
le temps de 3 périodes)
T0
Période moyenne ¿ T 0> ± σ m
T (α )
Essai 1 Essai 2 Essai 3 Essai 4 Essai 5 ¿ T (α )>¿ σm
α =10
α =20
α =30
α =40
α =50
α =60
α =70
3
cos α −2
T (cos α )
α =10
α =20
α =30
α =40
α =50
α =60
α =70
4
Département De Physique
Domaine Science de la Matière, Filière Physique – Semestre 3
T.P N° 2
Le but de l’expérience est de mesurer les différentes périodes de deux pendules couplés par
une barre de torsion. Pour cela on étudiera leurs oscillations selon les deux modes propres
(oscillation en phase et oscillation en opposition de phase) et selon le mode de battement. A
travers les mesures effectuées on voudrait voir si la pratique coïncide avec la théorie.
Nous allons considérer ici un système de deux pendules pesant identiques (voir figure 1) de
moment d’inertie (J) couplés par une barre de constante de torsion C. G1 et G2 sont les
centres de gravité des deux pendules (situés à la distance l du point de fixation du pendule).
On suppose qu’à la position verticale des deux pendules la barre de torsion n’est pas tordue.
Les équations de mouvement des deux pendules s’écrivent :
5
Dans l’approximation des petites oscillations θ → 0 : sin θ ≅ θ et les équations du
mouvement deviennent :
θ̈1 + [ ( mgl+C )/J ] θ1−
C
θ =0
J 2 ( ) (1)
Le principe de la méthode est de mesurer les périodes T’ et T’’ en isolant successivement les
modes propres de vibration (c'est-à-dire quand l’amplitude de l’autre mode est nulle), puis
mesurer la valeur expérimentale Tb, exp de la période des battements du mouvement d’un des
deux pendules lorsque le mouvement du système est quelconque. Ensuite on vérifie si les
valeurs expérimentales de ces périodes satisfont à la relation(3), c’est à dire si la valeur
théorique de la période de battement, calculée à partir de la relation (3), est égale à la valeur
expérimentale déterminée par la mesure directe.
6
Le Compte Rendu
TP rendu le : Etudiant3
Pour isoler les deux modes, ainsi que pour obtenir le mouvement général avec des
battements on doit choisir, des conditions initiales particulières.
Les deux fonctions (2) oscillent avec une seule pulsation w’.
'
θ1=θ 0 sin(w t+ π /2)
'
θ2=θ 0 sin(w t+ π /2)
Tableau N°1
Pour ces conditions initiales mesurer le temps mis par le système pour réaliser 5 périodes.
Essai 5 T’ T’ d =T’-T ’ d2
1
2
3
4
5
T’
Valeur de la période T’ mesurée =T ’ ± σ m
7
2- Obtention du Mode 2 et Mesure de la période T’’:
Le mode 2 est obtenu en annulant la constante A avec les conditions initiales suivantes :
θ1 ( 0 )=θ 0
θ2 ( 0 )=−θ0
θ̇1 ( 0 )=θ̇ 2 ( 0 )=0
'
Alors : A=0 φ quelconque
'' π
B=θ 0 φ = +2 nπ
2
Et les fonctions (2) oscillent avec une seule pulsation w’’.
''
θ1=θ 0 sin(w t+ π /2)
''
θ2=−θ0 sin(w t+ π /2)
Donc elles représentent le deuxième mode propre. Les deux pendules oscillent maintenant en
opposition de phase.
Tableau N°2
Pour ces nouvelles conditions initiales mesurer le temps mis par le système pour réaliser 5
périodes.
Pour le mouvement général avec des battements on prend les conditions initiales suivantes :
θ1 ( 0 )=0
θ2 ( 0 )=θ 0
θ̇1 ( 0 )=θ̇ 2 ( 0 )=0 (6)
Alors d’après (2) :
' π
A=θ0 /2 φ = +2 nπ
2
'' −π
B=θ 0 /2 φ = +2 nπ
2
Les deux solutions deviennent
w - w '} over {2} t) cos ( {{w} ^ {' } +w
θ1=(θ¿¿ 0 /2)sin(w ' t+ π /2)−(θ¿¿ 0 /2)sin(w ' ' t−π /2)=θ 0 cos( t)
2
w - w '} over {2} t) sin ( {{w} ^ {' } +w
θ2=(θ¿¿ 0 /2)sin(w ' t+ π /2)+(θ ¿¿ 0/2)sin (w ' ' t−π /2)=θ0 sin( t)¿
2
8
Pour ces nouvelles conditions initiales mesurer le temps mis par le système pour réaliser 3
battements.
Tableau N°3 :
Nombre de
3Tb Tb d =Tb-T b d2
mesures
1
2
3
4
5
Valeur de la période Tb,exp mesurée Tb
= T b± σ m
Conclusion :
- Comparer les valeurs obtenues (théorique et expérimentale) de la période
de battement.
C
- Déterminer de l’expérience la valeur du rapport J .
9
DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
Domaine Science de la Matière – Filière Physique-Semestre 3
T.P N° 3
Etude de la propagation des ondes progressives à
la surface de l’Eau
ω
La vitesse v est donnée par : v= =λf . Dans un milieu non dispersif la vitesse de
k
propagation est la même pour toutes les ondes se propageant dans ce milieu. La vitesse ne
dépendera que des propriétés physiques du milieu propagateur.
L’image obtenue sur l’écran représente les maximas (traits sombres) et les minimas (traits
clairs). Grace à l’effet du stroboscope, ils apparaissent à l’arrêt et l’écart entre deux maximas
ou deux minimas correspond à la longueur d’onde.
11
Le Compte Rendu
TP rendu le : Etudiant3
Attention : Il faudra tenir compte de l’échelle d’affichage pour obtenir les longueurs
réelles.
Question : Au vu des valeurs du tableau, peut-on affirmer que la longueur d'onde λ et la
célérité V dépendent de la fréquence f ? Dans quel sens ? Conclusion.
Lorsque deux ondes ce croisent dans un même milieu de propagation leurs effets se
superposent, ce qui produit le phénomène d’interférence des ondes. On a des interférences
constructives en un certain point du milieu de propagation lorsque les effets des ondes
s’ajoutent, et on a des interférences destructives lorsque leurs effets s’annulent.
12
Pour le cas des ondes à la surface de l’eau ont peut obtenir des interférences en plaçant la
fourche à double tête sur le générateur de vibrations (la distance entre les deux tête est a ) ce
qui nous permet d’obtenir deux sources synchrones qui vibrent en phases et de même
amplitudes (fig. 1). Les raies lumineuses représentent des interférences destructives. Les
interférences constructives apparaissent au milieu entre deux raies lumineuses. La raie
d’interférence qui est normale au segment qui lie les deux têtes est la raie d’ordre zéro (fig. 2).
Le but de cette expérience est de vérifier l’équation qui décrit le phénomène d’interférence
k.λ
donné par :sin θk = pour les k entiers, où k est l’ordre de la ligne d’interférence, θ k est
a
l’angle entre la ligne d’ordre zéro et la ligne d’ordre k
Les lignes d’ordre k entier sont celles des interférences constructives et celle d’ordre ½ entier
celles des interférences destructives.
Placer la fourche à double tête sur le générateur de vibrations. Ajuster l’amplitude de
vibration pour obtenir une figure d’interférence bien visible puis tracer cette figure sur du
papier en indiquant les positions des deux têtes.
Pour différentes fréquences f déterminer l’angle θ k pour la raie d’ordre k. En remplissant le
k.λ
tableau suivant vérifier que sin θk est égale à la quantité .
a
13
Essai 1 Essai 2 Essai 3 Essai 4 Essai 5
f / Hz
λ /m
k
k . λ /a
sin θk
14
DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
Domaine Science de la Matière – Semestre 3
T.P N°4
LES ONDES STATIONNAIRES
LE LONG D’UNE CORDE
La superposition (l’addition) des deux ondes (incidente et réfléchie) crée un système d’ondes
stationnaires.
En effet si la corde est soumise à une perturbation sinusoïdale, l’amplitude de la perturbation
u(x,t) est donnée par :
2π
u ( x , t )= A sin ( ωt−kx )= A sin( ( vt−x ))
λ
15
ω
La vitesse v est donnée par : v= =λf . Dans un milieu non dispersif la vitesse de
k
propagation est la même pour toutes les ondes se propageant dans ce milieu. La vitesse ne
dépendera que des propriétés physiques du milieu propagateur.
Expérimentalement on constate que la vitesse dépend de la tension F et de la masse linéique
μ.
Pour une longueur de corde L fixée, seules les ondes stationnaires ayant un nœud (amplitude
nulle) à chaque extrémité peuvent exister et ainsi la relation entre la longueur d’onde λ des
ondes stationnaires possibles et la longueur L est donnée par :
2π ⇒
2L
sin(¿ L)=0❑ λ= λn= ¿
λ n
Il y aura donc une onde stationnaire à chaque fois que les fréquences de vibrations f n vérifient
la relation :
v
f n=n
2L
Ces modes de vibrations son appelés : les modes normaux des vibrations transversales d’une
corde.
L’onde correspondant à n=1 s’appelle vibration fondamentale ou 1ère harmonique. Elle est
représentée par la figure ci-dessous :
16
Le trait continu représente la corde à l’instant t au moment où son amplitude est maximale, et
les traits pointillés représentent différentes positions de la corde à d’autres temps. La corde
oscille entre les deux positions d’amplitudes extrêmes avec la fréquence :
v
f 1=
2L
et on voit bien que dans ce cas la longueur d’onde est :
λ 1=2 L
Dans les autres modes, la vibration de la corde est représentée par :
II. Manipulation:
a) Le Matériel :
On dispose :
d’un vibreur alimenté par un Générateur de Basse Fréquence (GBF) auquel on attache
une corde
une poulie par laquelle on fait passer la corde
des masses (m) qu’on attache à l’autre extrémité de la corde pour la tendre
un ruban mètre pour mesurer la longueur de la corde
un stroboscope pour mesurer la fréquence du vibreur.
17
b) 1ère Etude : Vérifier que la corde est un milieu non dispersif, c'est-à-dire
que : λf =v=cste.
linéique.
√ F
μ
et détermination de la masse
18
Le Compte Rendu
TP fait le : Etudiant2
TP rendu le : Etudiant3
1ère Etude : Vérifier que la corde est un milieu non dispersif, c'est-à-dire
que : λf =v=cste.
n= 1 2 3 4 5 6
fn (Hz)
Varier L en prenant L=50cm, 60cm, 70cm et 80cm. Mesurer dans chaque cas
la fréquence f2 de la seconde harmonique (n=2) et en utilisant la relation
théorique calculer la vitesse de propagation de l’onde.
L (m) λ (m) 1/f v (m/s)
0,5 0
0,60
0,70
0,80
Valeur moyenne de la vitesse
Tracer sur un graphe λ en fonction de 1/f et vérifier qu’il s’agit bien d’une
droite. En déduire la valeur de la pente et comparer la valeur de la vitesse avec
la valeur moyenne obtenue dans le tableau ci-dessus.
19
m(kg) F(N) f (Hz) v (m/s) v2 (m2/s2) μ(kg/m)
0.2
0.3
0.4
0.5
0.6
Valeur moyenne de la masse linéique
Tracer sur un graphe v2 en fonction de la tension F de la corde. Calculer la
pente et en déduire la valeur de la masse linéique μ. Comparer le résultat
obtenu avec la valeur moyenne obtenue dans le tableau précédent.
20
DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
Domaine Science de la Matière – Semestre 3
T.P N°5
MESURE DE LA VITESSE DU SON
V. Matériel Utilisé:
Un oscilloscope ;
Un générateur de signaux (GBF) ;
Un microphone (récepteur) avec dispositif amplificateur ;
Un haut parleur (émetteur) ;
Une règle graduée ;
Des fils conducteurs
21
Si on considère que la position de l’émetteur est l’origine des abscisses,
l’amplitude de l’onde émise au niveau de l’émetteur est donnée par la relation :
Aemise ( 0 , t )= A sin(ωt)
Si le récepteur est à la distance d de la source, l’amplitude de l’onde reçu (si on
néglige l’atténuation de l’onde) est donnée par :
Areçu ( d ,t )= A sin (ω (t+ τ))
Où τ représente le temps mis par le son pour parcourir la distance d. soit vson la
vitesse du son on a alors,
τ =d /v son
Les deux signaux sonores seront en phase à condition que :
d
τ= =nT
v son
Ou bien
d=n v son T =nλ
Ou λ est la longueur d’onde du signal.
Connaissant la période (ou la fréquence) du signal, il sera expérimentalement
possible de mesurer la vitesse du son si on mesure sa longueur d’onde.
22
Le Compte Rendu
TP : Mesure de la vitesse du son dans Etudiant 1
l’air
TP fait le : Etudiant2
TP rendu le : Etudiant3
Déterminer la période, la fréquence et la longueur d’onde du son émis sachant que sa vitesse
est : v son =331m/ s
T= f= λ=
Un second signal sonore de même intensité mais de fréquence deux fois plus grande
est émis.
Représenter (avec un stylo rouge) dans le graphique précédent l’oscillogramme de
cette onde. Le son obtenu est-il plus grave ou plus aigu que le premier ?
Demander à l’enseignant de régler le GBF a une certaine fréquence f que vous devez ensuite
mesurer avec l’Oscilloscope.
Résultat de la mesure :
f=
Important :
faite
vérifier le
montage
par
d1=
24
n 10 20 30
d2 (mm)
d=d2-d1
d/n
d/n représente :
λ=moyenne ( dn )=¿
En déduire la vitesse du Son par la formule : v son =λf
v son =¿
v=331
√ T + 273
273
=¿
25
DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
Domaine Science de la Matière – Filière Physique-Semestre 3
T.P N° 6
26
Où j représente le moment d’inertie du pendule, β le coefficient de frottement et C la
constante de rappel du ressort. En divisant par j, l’équation s’écrit :
2
ϕ̈ +2 λ ϕ̇ +ω 0 ϕ=0
β
Où on a introduit le coefficient d’amortissement λ= et la pulsation des oscillations libre
2J
2π
ω 0= =
T0 √C
J
.
On sait que les solutions de cette équation dépendent de la valeur de λ.
2 2
Cas ou λ < ω0 (oscillations peudo-périodiques), la solution de l’équation du
mouvement s’écrit :
−λt
ϕ ( t )=ϕ 0 e cos ( ωt )=ϕ 0 ( t ) cos ( ωt)
2π
=√ ω 0−λ la pulsation du mouvement amorti. Le
2 2
Où ϕ 0représente l’amplitude à t=o et ω=
T
décrément logarithmique est défini par :
δ=ln
( ϕ ( t+ nT )
ϕ ( t + ( n+1 ) T )
= λT
)
2 2
Pour les cas λ ≥ ω0 , le mouvement n’est plus périodique (mouvement apériodique et
mouvement critique). Dans ce cas le système rejoint sa position d’équilibre
directement sans oscillations
Et
2λ Ω
tg ( φ )= 2 2
ω 0−Ω
27
Le Compte Rendu
TP : Le Pendule de Pohl Etudiant 1
TP fait le : Etudiant2
TP rendu le : Etudiant3
5 périodes période
Essai 1
Essai 2
Essai 3
Essai 4
Essai 5
Valeur moyenne = T0=
28
fixer la valeur du courant
ensuite mesurer le temps de dix oscillations pour en déduire la période T du
mouvement.
Pour la détermination du décrément logarithmiqueδ , mesurer l’amplitude ϕ 0 ( t )du
pendule à des temps t n=nT pour n=1, 2, 3, 4,5. On prendra l’amplitude initiale (à t=0)
égale à +15 et on fera la mesure 3 fois dans les même conditions. On donnera à la fin
la valeur moyenne des mesures du décrément pour chacune des valeurs de I.
En utilisant la relation théorique reliant , T et λ , obtenir pour chacun des cas la valeur
du coefficient d’amortissement.
Pour I=0.2 A :
Valeur de λ :………………..
Pour I=0.4 A :
Valeur de λ :………………..
Pour I=0.6 A :
29
n ϕ 0 ( nT ) ϕ 0 ( nT ) ϕ 0 ( nT ) ϕ 0 ( nT )
Essai 1 Essai 2 Essai 3 ( la Moyenne des δ
mesures)
0 +15 +15 +15 +15 //
1
2
3
4
5
Valeur Moyenne de δ
Valeur de λ :………………..
30
12.5
Ω R=……
CONCLUSION
31