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The Polyvagal Theory
The Polyvagal Theory
Elle couvre tout, des problèmes émotionnels aux problèmes spirituels. Tout
est compris et peut être expliqué dans une certaine mesure par cette théorie.
Cet article est extrait d’un entretien entre Maggie Philipps, une proche
collaboratrice de Porges et Robert Schwarz, directeur éxécutif de l’ACEP
(Association américaine de la Psychologie Énergétique Intégrative), dans le
cadre d’une formation complète en ligne sur la science des soins
énergétiques, traduite en français.
On voit cela dans le monde animal quand les mammifères simulent la mort.
L’exemple type est celui de s’immobiliser comme un opossum.
Bien que cette immobilité protège notre survie, si elle est active pendant une
longue période, elle peut être absolument fatale, les gens peuvent en mourir
(menant à des problèmes cardiaques et respiratoires, parmi bien d’autres
troubles).
Quasiment tous les systèmes d’organes dans le corps sont affectés par le nerf
vagal, appelé aussi nerf vague, qui le plus long nerf du corps. Il démarre au
dixième nerf crânien et se faufile à travers la moelle épinière et la colonne
vertébrale, puis il se connecte à tous ces différents systèmes d’organes : les
poumons, le cœur, l’estomac, la rate, le foie, le côlon, le rein, l’intestin grêle,
etc.
Porges suggère que lorsqu’on se sent en sécurité avec les autres, nous
pouvons alors communiquer avec d’autres personnes. C’est là que nous
pouvons établir le contact visuel, sourire, écouter et que nous avons ce qu’il
appelle la prosodie, un certain rythme et intonation qui est très plaisant et un
ton plus aigu que grave dans la voix. La première étape d’une relation ou de
l’engagement est d’aider l’autre personne à se sentir en sécurité. Il faut bien
sûr qu’on s’aide soi-même à se sentir en sécurité. La sûreté est vraiment
fondamentale et elle provient du système vagal ventral.
Le système nerveux parasympathique sur le nerf vagal est différent dans les
états de danger et de menace : on distingue le parasympathique de
rétablissement et le parasympathique immobilisé, dissocié. Lorsque nous
sentons le danger, l’ancien système vagal (dorsal) augmente son activité.
Quand nous subissons un défi, nous essayons d’abord de parler, de négocier
si c’est possible; puis nous passons en combat/fuite, puis nous nous bloquons.
La seule exception à ceci est dans les situations où le vagal ventral est
complètement dépassé. Cela peut arriver pour diverses raisons, comme par
exemple avec les patients douloureux qui épuisent les gens qui les aident à
se prendre en charge. Comme les gens se retirent ou les jugent, ils ont appris
à ne pas communiquer. Ils vont encore plus alors dans cet état de blocage.
Souvent aussi quand on est en mode combat, si on ne peut pas répondre à
la menace, on va automatiquement passer en blocage vagal dorsal.
NDR
Le problème central avec ça, et avec leurs recherches, c’est que nous
manquons d’essais contrôlés randomisés. «Ce que je dirais, c’est qu’on sait
déjà en psychologie énergétique qu’on a besoin d’améliorer nos recherches,
la randomisation, les études contrôlées, etc. ; donc ce n’est pas nouveau.
Mais je pense qu’on ne peut pas ignorer certaines des données de Callahan»,
explique Maggie Philipps.
L’un de ses rapports porte sur 20 cas de personnes avec des diagnostics de
problèmes cardiaques (soit une variabilité cardiaque très faible, des rythmes
cardiaques très rigides ; et ce n’est pas bon pour la santé, ni le reste). Après
une brève intervention avec la TFT, qui consiste à stimuler une séquence
prescrite de points méridiens, il a trouvé une amélioration énorme, soit de
fortes augmentations de la variabilité cardiaque.
La VFC est une mesure de la santé du système polyvagal. Une des raisons
pour laquelle la psychologie énergétique est si efficace est qu’on travaille sur
ce système vagal non-verbal. Stephen Porges fut le premier à quantifier et à
utiliser la VFC dans des recherches psychophysiologiques. Ce qui a vraiment
intrigué Porges, c’est ce qu’on appelle le «paradoxe polyvagal». Il y a ces
mécanismes qui servent d’intermédiaire à certains aspects de notre réponse
au stress, etc., mais pouvons-nous expliquer comment ils servent
d’intermédiaire à l’arythmie sinusale respiratoire, qui est une mesure
protectrice, et à la bradycardie, qui est fatale ? La production vagale d’une
branche vers le cœur est liée au système vagal myélinisé, qui favorise le
calme, la relaxation et inhibe l’activation de la réponse combattre ou fuir et
de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS).
L’autre branche, ou l’autre type de système vagal, soit le nerf vague non-
myélinisé, qui est connecté à la fois au circuit sympathique-surrénal et au
circuit vagal dorsal, est manifeste dans la bradycardie ; c’est la réaction
cardiaque fatale. Les deux réunis forment en fait la respiration cardiaque.
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