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3 Mars 2017

Publié par Rene Dumonceau


Théorie polyvagale et psychologie énergétique

La théorie polyvagale de Stephen Porges, encore fort peu connue en France,


est en train de révolutionner le monde de la psychothérapie, notamment au
niveau du traitement des traumatismes.

Elle nous aide à comprendre l’interaction entre les branches sympathique et


le parasympathique du système nerveux, non seulement dans la création et
l’entretien de la douleur, mais dans, virtuellement, tous les symptômes de
corps-esprit de problèmes de santé qu’on puisse imaginer.

Elle couvre tout, des problèmes émotionnels aux problèmes spirituels. Tout
est compris et peut être expliqué dans une certaine mesure par cette théorie.

Cet article est extrait d’un entretien entre Maggie Philipps, une proche
collaboratrice de Porges et Robert Schwarz, directeur éxécutif de l’ACEP
(Association américaine de la Psychologie Énergétique Intégrative), dans le
cadre d’une formation complète en ligne sur la science des soins
énergétiques, traduite en français.

Robert Schwarz interviendra lors du prochain Congrès français de la


psychologie énergétique pour faire une synthèse de l’état de la science
actuellement et développer le nouveau paradigme de l’énergétique.
Renseignements sur le congrès de la psychologie énergétique,cliquez
ici.

Stephen Porges a identifié trois circuits dans le système polyvagal. Le tout


premier, le système vagal ventral d’engagement social, nous aide à
comprendre comment l’attachement et l’engagement fonctionnent dans le
système nerveux.

Avant lui, nous pensions avoir un système sympathique et un système


parasympathique; maintenant, nous savons que nous avons trois systèmes
nerveux, trois branches.

Le système vagal ventral


Le système vagal ventral de l’engagement social, qui est en action lorsque
nous sommes au repos, ou du moins, quand nous ne sommes pas menacés,
nous aide à nous engager avec l’environnement, les autres et nous-mêmes.
Il nous aide aussi à réguler le système sympathique-surrénal et nous
maintient dans une fenêtre de tolérance, ce qui est très important quand on
travaille sur le traumatisme.

Lorsque nous sommes menacés, pourtant, le système vagal ventral est


outrepassé par le système sympathique (Porges appelle cela le sympathique-
surrénal) qui mobilise les réactions de survie de combat et de fuite.
L’amygdale déclenche le signal d’alarme et l’hypothalamus déclenche une
cascade de substances qui comprennent le cortisol, l’épinéphrine, l’adrénaline
et d’autres, pour mobiliser notre énergie contre la menace.

L’activation du système sympathique a donc pour résultat un flux accru de


sang vers les muscles du corps, leur donnant plus d’énergie pour combattre
ou fuir. Le flux vers le cortex cérébral est alors diminué, nous ne pensons
donc pas aussi bien, comme une partie du cerveau est éteinte. Çela augmente
notre vigilance. Toutes ces réactions optimisent nos chances de survie.

Le système vagal dorsal


Souvent, pourtant, le système vagal ventral de l’engagement et la réaction
combat/fuite ne sont pas proportionnels à la menace. Dans ce cas, le système
vagal dorsal s’active automatiquement. C’est le système le plus primitif et il
est déclenché par un manque d’oxygène dans les tissus et les muscles.
Autrement dit, quand on est à cours de carburant pour le mouvement, pour
se défendre ou fuir, alors ça pousse le cerveau à se mettre en position
d’immobilité.

On voit cela dans le monde animal quand les mammifères simulent la mort.
L’exemple type est celui de s’immobiliser comme un opossum.

La réaction d’immobilité qui se déclenche lorsque le système vagal dorsal


bloque de nombreuses fonctions corporelles mène à une réduction du rythme
cardiaque et de la respiration et s’accompagne d’engourdissement.

Bien que cette immobilité protège notre survie, si elle est active pendant une
longue période, elle peut être absolument fatale, les gens peuvent en mourir
(menant à des problèmes cardiaques et respiratoires, parmi bien d’autres
troubles).

Le nerf du système vagal a deux branches principales qui se rejoignent là où


la branche cardiaque est connectée. Le cœur est très important en termes de
science polyvagale, et c’est aussi là que la psychologie énergétique rejoint la
science polyvagale.

Quasiment tous les systèmes d’organes dans le corps sont affectés par le nerf
vagal, appelé aussi nerf vague, qui le plus long nerf du corps. Il démarre au
dixième nerf crânien et se faufile à travers la moelle épinière et la colonne
vertébrale, puis il se connecte à tous ces différents systèmes d’organes : les
poumons, le cœur, l’estomac, la rate, le foie, le côlon, le rein, l’intestin grêle,
etc.

Porges considère le système nerveux autonome du point de vue de la sécurité,


un sujet important quand on travaille avec les traumatismes. Quand on est
en lieu sûr, on a une activation optimale, on est au repos et on digère, on est
connecté au système vagal ventral - le système d’engagement - et on
remarque et participe au contact visuel, à l’expression faciale, la vocalisation
et d’autres comportements sociaux. Lorsque le danger apparaît, on
commence à passer en mode hyperactivation. Notre rythme cardiaque
s’accélère, le système sympathique, le système surrénal s’enclenchent, on
mobilise l’énergie de la réponse combattre/fuir et survivre. On peut aussi
subir la rage et la panique dissociées.

Lorsqu’on passe au niveau de menace sur la vie (quand notre organisme


perçoit que l’on va mourir), on change. Au lieu d’une hyperactivation, nous
sommes en hypoactivation. On descend dans la branche vagale dorsale du
système parasympathique, et on a un rythme cardiaque très faible. Avec
certaines personnes, le cœur s’arrête pendant ce changement. On passe en
immobilité au lieu de la mobilité, c’est le blocage. On subit un effondrement
dissocié.

La psychologie énergétique et la théorie polyvagale


Quand on visualise le système polyvagal en regardant du haut vers le bas de
l’organisme, on voit une échelle de fibres nerveuses qui va du cerveau au
cœur. Il n’y a pas que le flux sanguin, mais une énergie électromagnétique
qui est très importante pour comprendre la psychologie énergétique.

Porges suggère que lorsqu’on se sent en sécurité avec les autres, nous
pouvons alors communiquer avec d’autres personnes. C’est là que nous
pouvons établir le contact visuel, sourire, écouter et que nous avons ce qu’il
appelle la prosodie, un certain rythme et intonation qui est très plaisant et un
ton plus aigu que grave dans la voix. La première étape d’une relation ou de
l’engagement est d’aider l’autre personne à se sentir en sécurité. Il faut bien
sûr qu’on s’aide soi-même à se sentir en sécurité. La sûreté est vraiment
fondamentale et elle provient du système vagal ventral.

Le système nerveux parasympathique sur le nerf vagal est différent dans les
états de danger et de menace : on distingue le parasympathique de
rétablissement et le parasympathique immobilisé, dissocié. Lorsque nous
sentons le danger, l’ancien système vagal (dorsal) augmente son activité.
Quand nous subissons un défi, nous essayons d’abord de parler, de négocier
si c’est possible; puis nous passons en combat/fuite, puis nous nous bloquons.
La seule exception à ceci est dans les situations où le vagal ventral est
complètement dépassé. Cela peut arriver pour diverses raisons, comme par
exemple avec les patients douloureux qui épuisent les gens qui les aident à
se prendre en charge. Comme les gens se retirent ou les jugent, ils ont appris
à ne pas communiquer. Ils vont encore plus alors dans cet état de blocage.
Souvent aussi quand on est en mode combat, si on ne peut pas répondre à
la menace, on va automatiquement passer en blocage vagal dorsal.

La psychologie énergétique s’articule avec le système polyvagal de plusieurs


manières intéressantes qui ont des implications sur les soins pour nous tous.
La psychologie énergétique regroupe une famille d’approches intégratives du
soin qui s’organise sur trois éléments majeurs du système énergétique : le
champ bioénergétique autour du corps, les chakras en tant que centres
d’énergie et le système des méridiens sous forme de trajectoires énergétiques
qui parcourent tout le corps avec des acupoints qui peuvent être stimulés
pour créer diverses réactions.

Par exemple, certaines personnes travaillent sur les points tranquillisants et


d'autres sur les points énergisants. Pour faire le lien avec le système
polyvagal, si vous avez un client très activé, vous chercherez à en savoir plus
sur les points tranquillisants comme le montre le travail de Donna Eden sur
la médecine énergétique (elle sera également présente au Congrès de Lyon
les 18 et 19 mars). Ensuite, bien sûr, vous trouvez les points qui sont les plus
stimulants pour le gens qui sont déprimés, plus fermés, plus bloqués.

La psychologie énergétique rejoint également le système polyvagal au niveau


du cœur. Le cœur a son propre système nerveux que nous pouvons considérer
comme une sorte de cerveau. Ce que nous savons d’après les recherches de
l’institutHeartMath, c’est que le champ énergétique du cœur est plus puissant
que le champ énergétique du cerveau (environ 100 000 fois plus puissant que
le champ électrique du cerveau et jusqu’à 5 000 fois plus puissant que le
champ magnétique du cerveau).

Les chercheurs de HeartMath ont aussi démontré que le cerveau du cœur


existe. Autrement dit, le cœur a son propre système nerveux, que nous
pouvons considérer comme une sorte de cerveau. Il s’avère que le cœur initie
davantage de messages vers le cerveau que ne le fait le cerveau vers le cœur.
Ce que cela signifie, c’est que c’est notre engagement avec nous-même et
avec les autres d’une manière aimante et sécurisante, qui nous donne envie
que ces signaux soient envoyés vers le cerveau. Nous voulons que cela
informe notre pensée, nos projets et nos décisions dans la vie, et maintenant
nous savons que l’anatomie appuie cette idée.

L'importance de la variabilité cardiaque


Le système nerveux autonome est très important parce qu’il régule tout
automatiquement, et on a besoin de savoir comment l’organisme fait cela.
Il y a plusieurs façons de le savoir, mais un moyen s’appelle la variabilité
cardiaque. Elle est mesurée dans l’intervalle entre les battements de cœur.

Le système nerveux autonome joue un rôle immense dans la variabilité


cardiaque. Si une personne est déprimée, ou a une faible variabilité, cela veut
dire que son cœur bat de manière trop régulière. Cela traduit une aptitude
réduite du système nerveux autonome à tout réguler pour pouvoir rester en
bonne santé : l’homéostasie, la capacité à gérer des facteurs agressifs
internes et externes, les menaces, etc. Chaque jour, nous subissons des
menaces d'une nature ou l’autre (des menaces relationnelles, des menaces
de notre propre corps, parce que nous avons une maladie, une pathologie
auto-immune ou ce que vous voulez). La variabilité cardiaque mesure la
capacité à réguler et récupérer face aux facteurs agressifs internes et
externes.

En plus de mesurer le fonctionnement régulateur du système nerveux


autonome, la variabilité cardiaque est aussi un indice des réactions
émotionnelles régulées. On cherche la cohérence et en psychologie
énergétique, on parle beaucoup de cohérence. Lorsque les gens utilisent des
méthodes de soins énergétiques, que ce soit la Psychologie Énergétique ou la
Médecine Énergétique, ce qui nous intéresse vraiment, c’est cette idée de
cohérence – les états intégratifs, cognitifs et émotionnels où on se sent calme
et centré. C’est une cohérence de tous ces différents systèmes. Quand on se
trouve dans cette position où les systèmes sont synchronisés entre eux et
qu’il y a une harmonie entre tous ces processus : la pensée, l’émotionnel, le
physiologique, etc. alors nous avons la santé. Vous êtes centré, dans une
position où vous pouvez penser plus clairement.

De simples outils comme la respiration cardiaque (où vous imaginez ressentir


que vous inspirez dans le cœur et expirez par le cœur) aident les gens à créer
le calme et l’équilibre intérieur. La recherche a pu mesurer toutes sortes de
résultats formidables avec cette pratique. L’augmentation de la variabilité
cardiaque en fait partie, ce qui veut dire une grande flexibilité, ainsi que
l’espoir, l'estime de soi, l’auto-efficacité et certainement la santé mentale,
émotionnelle et physiologique. C’est donc une approche très importante.

NDR

En matière de gestion de stress et des conséquences de traumatismes,


les soins énergétiques transmis à distance, donc sans contact direct
avec un thérapeute, sont particulièrement efficaces car ils
travaillent à votre rythme afin de vous permettre de retrouver un
mieux-être certain dans votre quotidien.
Dans ce site vous pourrez lire divers témoignages et choisir la formule
d'aide énergétique qui vous conviendra.
http://www.lesenergiesdevie.com/

Roger Callahan et la variabilité de la fréquence cardiaque


Roger Callahan, qui a développé la thérapie du champ mental (TFT – le
précurseur de l’EFT), a réalisé un grand nombre d’expériences où il a montré
que la variabilité cardiaque était améliorée après le traitement de TFT.

Le problème central avec ça, et avec leurs recherches, c’est que nous
manquons d’essais contrôlés randomisés. «Ce que je dirais, c’est qu’on sait
déjà en psychologie énergétique qu’on a besoin d’améliorer nos recherches,
la randomisation, les études contrôlées, etc. ; donc ce n’est pas nouveau.
Mais je pense qu’on ne peut pas ignorer certaines des données de Callahan»,
explique Maggie Philipps.

L’un de ses rapports porte sur 20 cas de personnes avec des diagnostics de
problèmes cardiaques (soit une variabilité cardiaque très faible, des rythmes
cardiaques très rigides ; et ce n’est pas bon pour la santé, ni le reste). Après
une brève intervention avec la TFT, qui consiste à stimuler une séquence
prescrite de points méridiens, il a trouvé une amélioration énorme, soit de
fortes augmentations de la variabilité cardiaque.

Nous avons aujourd’hui besoin de plus d’études contrôlées randomisées qui


relient les résultats à la variabilité de la fréquence cardiaque. Le comité de
recherche à l’ACEP est activement impliqué dans ce domaine et qu’il y a de
plus en plus de bonnes études qui sortent. Il faut aussi qu’on enseigne plus
largement la variabilité de la fréquence cardiaque afin de fournir des
protocoles et développer des instruments qui soient simples et abordables, et
puis bien sûr relier cela à la recherche qui en prouve réellement l’efficacité.

La VFC est une mesure de la santé du système polyvagal. Une des raisons
pour laquelle la psychologie énergétique est si efficace est qu’on travaille sur
ce système vagal non-verbal. Stephen Porges fut le premier à quantifier et à
utiliser la VFC dans des recherches psychophysiologiques. Ce qui a vraiment
intrigué Porges, c’est ce qu’on appelle le «paradoxe polyvagal». Il y a ces
mécanismes qui servent d’intermédiaire à certains aspects de notre réponse
au stress, etc., mais pouvons-nous expliquer comment ils servent
d’intermédiaire à l’arythmie sinusale respiratoire, qui est une mesure
protectrice, et à la bradycardie, qui est fatale ? La production vagale d’une
branche vers le cœur est liée au système vagal myélinisé, qui favorise le
calme, la relaxation et inhibe l’activation de la réponse combattre ou fuir et
de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS).
L’autre branche, ou l’autre type de système vagal, soit le nerf vague non-
myélinisé, qui est connecté à la fois au circuit sympathique-surrénal et au
circuit vagal dorsal, est manifeste dans la bradycardie ; c’est la réaction
cardiaque fatale. Les deux réunis forment en fait la respiration cardiaque.

Porges travaille maintenant à développer des manières d’identifier et de


mesurer les rythmes cardiaques spécifiquement liés à ces deux différents
types de circuits vagaux, parce que nous avons besoin de les comprendre
tous les deux. Nous devons comprendre ce qui cause le changement de ce
merveilleux état positif de calme et de détente en enfer.

L’étude ACE (Adverse Childhood Experiences) a montré que les expériences


négatives de l’enfance mènent à toutes sortes de problèmes médicaux.

Donc les traumatismes inhibent le système de freinage vagal et


compromettent la capacité à réguler les affectations et les émotions. Une des
manières fondamentales dont nous utilisons la médecine énergétique, les
soins énergétiques, la psychologie énergétique, du moins sur le plan
émotionnel, c’est quand les gens sont contrariés. Là encore, plus on travaille
avec, plus on soigne ce système de frein vagal, plus la personne peut
récupérer rapidement et se calmer émotionnellement, ce qui bien sûr mène
à toutes sortes de questions de santé.

Renseignements sur le congrès de la psychologie énergétique, cliquez ici.


Stephen W. Porges est un «scientifique universitaire distingué» au Kinsey Institute
de l'Indiana University Bloomington et professeur au département de psychiatrie
de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill en Caroline du Nord. Le professeur
Porges a dirigé le Brain-Body Center au département de psychiatrie de l'Université
de l'Illinois à Chicago, où il a également occupé des postes dans les départements de
psychologie, bioingénierie et a travaillé comme adjoint au département de
Neurosociences. Avant de rejoindre le corps professoral de l'Université de l'Illinois
à Chicago, M. Porges a été président du département de développement humain et
directeur de l'institut pour l'étude des enfants. Il est un ancien président de la
Society for Psychophysiological Research et a été président de la Fédération des
sciences comportementales, psychologiques et cognitives. Il a été récipiendaire d'un
prix du National Institute of Mental Health. Il a présidé l'Institut national de santé
infantile et développement humain, le comité de recherche sur la santé maternelle
et infantile et a été chercheur invité au Laboratoire d'éthologie comparée de
l'Institut national de la santé infantile et du développement humain. En 1994, il a
proposé la théorie polyvagale donnant un aperçu du mécanisme de médiation des
symptômes observés dans le cerveau. Cette théorie a stimulé la recherche et les
traitements mettant l'accent sur l'importance de l'état physiologique et la
régulation du comportement. Voir aussi cette vidéo (en anglais), ci-dessous.

Publié le 24 février 2017 sur Linkedin par Jean-Michel Gurret,


Psychothérapeute, formateur EFT certifié, auteur et conférencier sur la
psychologie énergétique.

Pour une formation complète à la psychologie énergétique :www.ifpec.org

Relayé par un blog de René Dumonceau


Vous pouvez partager cet article à condition d’en respecter l’intégralité et d'en citer la source.
Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces écrits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors
utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul détient votre vérité, laissez-le
vous guider.

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