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Renan Luce Repenti - 2006

ré sim
des spaghettis,de la sauce tomate
sol
dans la banlieu nord de Dijon

j'ai choisis la voie diplomate
la ré
qui ma évité la prison

ré sim
ça fais 20 ans que je me cache
sol
et je pensais vivre bien moins

le FBI remplit sa tache
la ré
la protection d'un témoin

fa#m sim
repentiiiiiiiiiiiiiiiiii
sol ré
j'ai trahiiiiii

j'aurais bien pu casser des pierres


au pénitencier du texas
mais je me finis à la bière
dans un pmu bien moins classe

tout les soirs on remplit mon verre


et on rigole, on me salit
quand je raconte les tours de verre
ma vie à Little Italy

repentiiiiiiiiiiii
j'ai trahiiiiiiiii
Ref :
sol ré
mafiozo jusqu'aux bouts des ongles
sol
chui devenu le pochtron du coin

quand les hommes de main de mon oncle
sol ré
recherche Tony les deux poings

dans les premiers mois de ma planque


j'ai cru qu'ma vie serait la même
en recréant ce qui me manque
de ma Sicile américaine

Mi La Mi(2)
Sept cent millions de chinois
Ré La Mi(2)
Et moi, et moi, et moi
Mi La Mi(2)
Avec ma vie, mon petit chez-moi
Ré La Mi(2)
Mon mal de tête, mon point au foie

Ré La Mi(2)
J'y pense et puis j'oublie
Ré La Mi(2)
C'est la vie, c'est la vie

Quatre-vingt millions d'indonésiens


Et moi, et moi, et moi
Avec ma voiture et mon chien
Son Canigou quand il aboie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Trois ou quatre cent millions de noirs


Et moi, et moi, et moi
Qui vais au brunissoir
Au sauna pour perdre du poids
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Trois cent millions de soviétiques Cinq cent millions de sud-américains


Et moi, et moi, et moi Et moi, et moi, et moi
Avec mes manies et mes tics Je suis tout nu dans mon bain
Dans mon p'tit lit en plume d'oie Avec une fille qui me nettoie
J'y pense et puis j'oublie J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie C'est la vie, c'est la vie

Cinquante millions de gens imparfaits Cinquante millions de vietnamiens


Et moi, et moi, et moi Et moi, et moi, et moi
Qui regarde Catherine Langeais Le dimanche à la chasse au lapin
A la télévision chez moi Avec mon fusil, je suis le roi
J'y pense et puis j'oublie J'y pense et puis j'oublie

C'est la vie, c'est la vie C'est la vie, c'est la vie

Neuf cent millions de crève-la-faim Cinq cent milliards de petits martiens


Et moi, et moi, et moi Et moi, et moi, et moi
Avec mon régime végétarien Comme un con de parisien
Et tout le whisky que je m'envoie J'attends mon chèque de fin de mois
J'y pense et puis j'oublie J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie C'est la vie, c'est la vie

Encore un matin
Sim(2)
Encore un matin Un matin pour rien
Sol(1/2) La(1/2) Sim
Une argile au creux de mes mains
Sim(2)
Encore un matin Sans raison ni fin
Sol(1/2) La(1/2) Sim
Si rien ne trace son chemin

Mim(1/2) Fa#m(1/2) Sim


Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Mim(1/2) Fa#m(1/2) Sim
Pour oublier ou pour apprendre
Mim(1/2) Fa#m(1/2) Sim
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Sol La
Laisser tomber ou résister

Sim(2)
Encore un matin Qui cherche et qui doute
Sol(1/2) La(1/2) Sim
Matin perdu cherche une route
Sim(2)
Encore un matin Du pire ou du mieux
Sol La
A éteindre ou mettre le feu

Ref Sol La Sim


Un matin, ça ne sert à rien
Sol La Sim
Un matin Sans un coup de main
Sol La Sim
Ce matin C'est le mien, c'est le tien
Mim Fa#m Sol
Un matin de rien Pour en faire
La Sim
Un rêve plus loin

Encore un matin Ou juge ou coupable


Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
C'est toi qui décide du sens

L’IDOLE DES JEUNES JOHNNY HALLYDAY INTRO G–Gm-A7

A7 Re Sim
Les gens m'appellent l'idole des jeunes
Re G A7
Il en est même qui m'envient
Re Fa#m Sim
Mais ils ne savent pas dans la vie
G A7
Que parfois je m'ennuie

D Sim
Je cherche celle qui serait mienne
D G A7
Mais comment faire pour la trouver
D Fa#m Sim
Le temps s'en va, le temps m'entraîne
G D
Je ne fais que passer
G Gm D
Dans la nuit je file tout seul de ville en ville
Sim Fa#m A7
Je ne suis qu'une pierre qui roule toujours
G Gm D
J'ai bien la fortune et plus et mon nom partout dans les rues
E7 A A7
Pourtant je cherche tout simplement l'amour

D Sim
Plus d'une fille souvent me guettent
Re G A7
Quand s'éteignent les projecteurs
Re Fa#m Sim
Soudain sur moi elles se jettent
G D
Mais pas une dans mon cœur

G Gm D
Mais dans la nuit je file tout seul de ville en ville
Sim Fa#m A7
Je ne suis qu'une pierre qui roule toujours
G Gm D
I1 me faut rire et danser et le spectacle terminé
E7 A A7
S'en aller ailleurs au lever du jour

A Re Sim
Les gens m'appellent l'idole des jeunes
D G A
Il en est même qui m'envient
RE Sim
Mais s'ils pouvaient savoir dans la vie
G D
Combien tout seul je suis
G Gm D
Combien tout seul je suis

Les champs Elysées de Joe DASSIN

INTRO: Em A7 D SIm Em A D

D F#7 SIm D7
Je m'baladais sur l'avenue, le coeur ouvert à l'inconnu.
G D E7 A7
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui
D F#7 SIm D7
N'imorte qui et ce fut toi, je t'ai dit n'importe quoi,
G D Em A7 D
Il suffisait de te parler, pour t'apprivoiser.

REFRAIN
D F#7 SIm D7 G D E7 A7
Aux Champs-Élysées, aux Champs-Élysées
D F#7 SIm D7
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit,
G D Em A7 (D)
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Élysées

D F#7 SIm D7
Tu m'as dit "J'ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous,
G D E7 A7
Qui vivent la guitare à la main, du soir au matin".
D F#7 SIm D7
A lors je t'ai accompagnée, on a chanté, on a dansé
G D Em A7 D
Et l'on n'a même pas pensé à s'embrasser

REFRAIN
D F#7 SIm D7 G D E7 A7
Aux Champs-Êlysées, aux Champs-Élysées
D F#7 SIm D7
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit,
G D Em A7 (D)
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs Élysées
D F#7 SIm D7
Hier soir deux inconnus et ce matin sur l'avenue,
G D E7 A7
Deux amoureux tout étourdis par la longue nuit.
D F#7 SIm D7
Et de l'Étoile à la Concorde, un orchestre à mille cordes,
G D Em A7 D
Tous les oiseaux du point du jour, chantent l'armour

REFRAIN

Des que le vent soufflera

Em
C'est pas l'homme qui prend la mer
D Em
C'est la mer qui prend l'homme (tintintin)
Em D
Moi la mer elle m'a pris
D Em
J'me souviens un mardi

Em Em
J'ai troqué mes santiags
D Em
et mon cuir un peu zone
Em D
Contre une paire de dockside
D Em
Et un vieux cire jaune
Em Em
J'ai déserté les crasses
D Em
qui m'disaient soit prudent
Em D
La mer c'est dégueulasse
D Em
Les poissons baisent dedans

Em D
Dès que le vent soufflera,
D Em
Je repartira
Em G D
Dès que les vents tourneront
B Em
Nous nous en allarons

tututiti...
-----------------------------------------------
--8-10-12-12-10-8-10---------------------------
----------------------11-11-11-8-10-------------
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-----------------------------------------------
-----------------------------------------------

C'est pas l'homme qui prend la mer


C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu, tant pis
J'ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
J'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J'me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté des sous
C'est d'la plaisance, c'est l'pied
Dès que le vent soufflera,

Intro :

(B-C-D) C (B) G

Am F
Toi plus moi, plus eux plus tous ceux qui le veulent,
C
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seul
G
allez venez et entrez dans la danse
Am
allez venez, laissez faire l'insouciance

F
A deux a mille je sais qu'on est capable
C
tout est possible tout est réalisable
G
on peut s'enfuir bien plus haut que nos rêves
Am
on peut partir bien plus loin que la grêve

F
Toi plus moi, plus ceux plus tous ceux qui le veulent,
C
Plus lui plus elle plus tout ceux qui sont seul
G
allez venez et entrez dans la danse
Am
allez venez c'est notre jour de chance

F
Avec l'envie la force et le courage
C
le froid la peur ne sont que des mirages
G
laissez tomber les malheurs pour une fois
Am
allez venez , reprenez avec moi.

F
Toi plus moi, plus plus tous ceux qui le veulent,
C
Plus lui plus elle et tous ceux qui sont seul
G
allez venez et entrez dans la danse
Am
allez venez laissez faire l'insouciance
F
Je sais c'est vrai ma chanson est naïve
C
même un peu bête , mais bien inoffensive
G

Dm
Je ne sais pourquoi elle allait danser
Gm Dm
A St Jean aux musettes
Gm
Mais quand ce gars lui a pris un baiser
A Dm
Elle frissonnait était chipée

Dm Gm Dm
Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
A Dm Gm Gm7 A
Car on croit toujours aux doux mots d'amour, quand ils sont dits avec les
yeux
Dm Gm Dm
Elle qui l'aimait tant, elle le trouvait le plus beau de St Jean
Gm Dm A Dm
Elle restait grisée sans volonté sous ses baisers

Sans plus y réfléchir elle lui donnait


Le meilleur de son être
Beau parleur à chaque fois qu'il mentait
Elle le savait mais elle l'aimait

Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?


Car on croit toujours aux doux mots d'amour, quand ils sont dits avec les
yeux
Elle qui l'aimait tant, elle le trouvait le plus beau de St Jean
Elle restait grisée sans volonté sous ses baisers

Mais hélas à St Jean comme ailleurs


Un serment n'est qu'un leurre
Elle était folle de croire au bonheur
Et de vouloir garder son coeur

Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?


Car on croit toujours aux doux mots d'amour, quand ils sont dits avec les
yeux
Elle qui l'aimait tant, elle le trouvait le plus beau de St Jean
Il ne l'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus
Il ne l'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus.
SOCIETE TU M'AURAS PAS Renaud Séchan

Y'a eu [Am]Antoine avant moi,

y'a eu [G]Dylan avant lui,

après [F]moi qui viendra ?

après [E]moi c'est pas fini.

On les [Am]a récupérés.

oui mais [G]moi on m'aura pas,

je ti[F]rerai le premier,

et j'vise[E]rai au bon endroit.

J'ai [Am]chanté 10 fois, 100 fois,

j'ai hur[G]lé pendant des mois,

j'ai cri[F]é sur tous les toits,

ce que [E]je pensais de toi,

socié[Am]té, socié[G]té,

tu m'auras [F]pas. [E] [Am]

J'ai marché sur bien des routes,

j'ai connu bien des pat'lins,

partout on vit dans le doute,

partout on attend la fin.

J'ai vu occuper ma ville

par des cons en uniformes

qu'étaient pas vraiment virils,

mais qui s'prenaient pour des hommes.


J'ai vu pousser des barricades,

j'ai vu pleurer mes copains,

j'ai entendu les grenades

tonner au petit matin.

J'ai vu ce que tu faisais

du peuple qui vit pour toi,

j'ai connu l'absurdité

de ta morale et de tes lois.

Demain, prends garde à ta peau,

à ton fric, à ton boulot,

car la vérité vaincra,

la Commune refleurira.

Mais en attendant, je chante,

et je te crache à la gueule

cette petite chanson méchante

Que t'écoutes dans ton fauteuil.

SOCIETE TU M'AURAS PAS

Renaud Séchan

Y'a eu [Am]Antoine avant moi,

y'a eu [G]Dylan avant lui,

après [F]moi qui viendra ?

après [E]moi c'est pas fini.

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