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CORRECTION SERIE2 Correction exercice 1: 1. 1 = [0,1] etJ = [-1,1]. 2. P= [-Lljet/ = [0,1]. 3. P=[-1,1]J et/ = [-1,1]. 4. T= (0,1) et] = [0,1]. Correction exercice 2 : fiRoR xx? « f(C1) = f(A) done f n'est pas injective. —4nn'a pas d’antécédent, car f (x) = 4 & x? = ~4 n'a pas de solution dans R. f n'est pas surjective. Une fonction est bijective si et seulement si elle est injective et surjective done cette fonction n'est pas bijective. f:Rt Rt xh x? Fa) = f(a) 3 at = 3 » fa [es bal = bel 31 = Car x, > 0 et x2 2 0. f est injective. Pour tout y € R’, (celui de lensemble d’arrivée), il existe x = J/y € R’, (celui de l'ensemble de départ) tel que :y = f(x), enelfet f(x) = (V9) = y done f est surjective. f est bijective. me J [0.2] xe x? Fly) = fq) 3 xf = 29 > fx? = fF > bel = baal oy = x2 Car x 2 O et x2 2 0. f est injective. 2n‘a pas d’antécédent, car f(x) = 2. x? oe solution dans [0,1]. f n'est pas surjective. g:R> rex tat 4g est une fonction dérivable, g'(x) = 1 + 3x7 > O done g est strictement croissante sur R, La contraposée de g(x) = g(t2) > X14 = X2 est X1 # Xz > G(%1) # gle) Supposons que 4 * Xp, alors Xy < Xp (001.12 < Xp. Ge que revient au mém), on en déduit que 9(x;) < g(x) car g est strictement croissante, par conséquent 9(X,) * 9(X,), 9 est injective. Mm g@)=—o et lim g(x) = +00 g est une bijection strictement croissante de R sur R, par consequent pour tout y € R. il existe un unique x € B tel que y = 9(X). 9 est surjective, Mais Iunicité du w x » fait que g est bijective done il Giait inutile de montres linjectivité de g. hRoR vate a? On va érudier (sommairement) cette fonction et dresser son tableau de variation. est une fonetion dérivable sur R. h'(x) x + 3x? = x(2 + 3x) lim hx) =—e et lim h(x) = +00 Le « x* » Vemporte sur le « x? », 2 nyo) =0 et h(-3) x Wa) + 0 - 0 + A(x) +00 as a ~ ' 4 Exercice 3: 1, Supposons que g existe. fog =Idy > vn EN, f(g(n)j =n NEN, (gin) =n Sin n'est pas un camé cela ne marche pas. par exemple si n = 2. (g(2))° = 2 done g(2) = +v2 €N In’existe pas de fonction g:N ~ Nitelle que sf © 9 = Id. Supposons que h existe, ho f = Idy @ Vn EN, h(f(n)) =n © Yn EN,h(n2) =n Les valeurs i(p) prennent les valeurs qu’elles veulent sauf lorsque p est un carré auquel cas h(p) = YP. dounons une fonction h qui répond a la question : Sip #n? alors h(p) = 0 etsip =n? alors h(p) = /p=n. Exercice 4: 1. La relation n'est pas réflexive, car 1 n'est pas en relation avec lul-méme. En effet, 1/1 La relation est symétrique, carz = —y <=> y= —Z. Elle n’est pas antisymétrique, car 1R—1et -1R1. alors que 1 / —1 Elle n'est pas transitive. En effet, on a 1R—1, -1R1 et 1 et 1 ne sont pas en relation. Cette relation n’est ni une relation d’équivalence, ni une relation d'ordre 2. De la formule cos? x + sin? x — 1, on dédult que la relation est réflexive. Elle est aussi symétrique. En effet, si rRy, ie cos*z + sin?y — 1, alors ona sin?x 4 cos? + cos?y +sin? y= (cos?z + sin? y) + (cos?y + sin?) = 14 (cos?y + sin? x) d'une part, et sin?z + cos? x +cos?y+sin?y=14+1=2 d'autre part, ce qui entraine bien cos? y+ sin?z = 1 et donc Ia relation est symétrique Elle n'est pas antisymétrique, car OR2n et 2xRO alors que 0 7 2z. Elle est transitive. Si zRy et yR2, on a cos? 4 sin? y— Let cos*y + sin? — 1 soit en sommant cos? z+ (cos? y + sin? y) + sin? 2 = 2 ce qui implique cos’ + sin” z On a donc affaire a une relation d’équivalence. 3. La relation est réflexive (prendre p — q ~ I), elle n'est pas symétrique car si aRy, on a forcement x < y. Ainsi, ona 2R4 (prendre p = 2, q= 1), alors qu'on n'a pas 4R2. La relation est antisymétrique : si zRy et yRz, alors onaz < yet y 1 tels que y=petet z=ay’. On en déduit z= a(pri)’ = (ap>)rt et donc #Rz. La relation est une relation d'ordre.

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