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VVMac Hebdo 147
VVMac Hebdo 147
WWW.VVMAC.COM
Pratique
2 mars 2024 147 m=Une autre façon de signer un document avec Aperçu
m=Trouver la référence de vos matériels Apple
VVMac hebdo Des astuces, des solu ons pra ques et des tests chaque semaine
macOS
Utiliser des alias pour accéder aux fichiers
MacDroid 1.8
De votre smartphone Android à votre Mac…
Une publication Chayaram Productions • Pantip Plaza • Chiang Mai 50100 Thaïlande
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En bref…
Crossover passe en version 24
L’application Crossover est proposée par l’éditeur
CodeWeavers, le principal développeur et sponsor du
projet open source Wine, sur lequel Crossover s’appuie,
n’est ni un émulateur, ni un virtualiseur, mais un outil
qui, par rétro-ingénierie, regroupe les sous-ensembles
essentiels de Windows, indispensables pour faire
tourner des applications et, surtout, des jeux,
sans qu’on ait besoin d’installer Windows lui-même.
Crossover fonctionne sur macOS (au minimum 10.15
Catalina) et sur Linux. L’interface est localisée en
français.
Cette version 24 est importante pour ses utilisateurs
(qui peuvent l’obtenir gratuitement depuis n’importe
quelle licence valide de Crossover), car elle intègre
Wine 9 qui propose, comme principale nouveauté (sur quelque sept mille évolutions, modifications,
améliorations recensées par l’éditeur), de prendre en charge les applications 32 bits sur les Mac,
donc d’anciens jeux Windows qui n’ont pas eu de mise à jour (depuis macOS Catalina, plus aucun code
32 bits n’est officiellement support par les Mac).
Par ailleurs, Crossover 24 continue d’améliorer la compatibilité avec de nombreux jeux : Planet Zoo,
Warframe (le lanceur autonome), The Binding of Isaac: Rebirth, Mafia: Definitive Edition, Age of Empires
III: Definitive Édition multijoueurs, Anno 1800 ou encore Horizon Zero Dawn.
En dehors des jeux, toutes les applications Windows ne fonctionnent pas sur Crossover, il faut se référer
à une très longue liste disponible sur le site de CodeWeavers, ou bien tester soi-même. On note
toutefois, là aussi, des optimisations. Ainsi, certaines applications Windows ont des exécutables
autonomes qui peuvent être exécutés sans être installés, et elles peuvent maintenant être exécutées
de manière transparente dans Crossover en les glissant-déposant dans une « bouteille »
(environnements pseudo « Windows » créés pour faire tourner les jeux et les applications). Pour faciliter
l'exécution future de l’application ainsi « empaquetée », on peut enregistrer une sorte d’application
macOS double cliquable. On peut aussi désormais changer l’emplacement où sont enregistrées
les « bouteilles », ce qui permet de tout placer sur un SSD externe, par exemple.
La licence annuelle coûte 74 €. On peut opter pour une licence à vie (avec toutes les futures mises à jour
bien entendu) pour 480 €. Une version d’évaluation pleinement fonctionnelle vous laisse tester vos jeux
et applications durant 14 jours. Informations
que vos correspondants croiront bel et bien écrits par vous, alors que vous aurez confié cette tâche
parfois rébarbative, pour des e-mails récurrents, à l’IA.
Pour ce faire, Spark prend au hasard trois e-mails envoyés récents pour analyser le style d’écriture ;
le modèle qui en est tiré est appliqué dans les autres fonctions IA, qu'il s'agisse de traiter des e-mails ou
des réponses. Vous savez quels e-mails ont été utilisés, et pouvez demander une nouvelle analyse sur
trois autres courriels. On peut désactiver Mon style d'écriture à tout moment dans les réglages.
Readdle précise bien que Spark utilise Microsoft Azure OpenAI comme fournisseur de services d'IA
pour ses outils d'IA et il garantit des normes strictes en matière de protection de la vie privée ; Azure
Open AI ne conserve jamais les données plus d'un mois et ne les utilise jamais pour l'entraînement
de ses modèles, ce qui est évidemment une information très importante.
Mon style d'écriture fait partie de l'ensemble des outils de Spark + AI inclus dans l’abonnement
Spark Premium (dans les 60 €/an ou au mois pour 8 €).
Readdle annonce par ailleurs le retour – enfin ! –, dans Spark Mac, de fonctions qui avaient disparu lors
du passage à la version 3, notamment les Boîtes aux lettres partagées et la fonction Calendrier.
Informations
L’IA n’est pas un effet de mode, c’est une révolution globale majeure de notre civilisation. Bien plus
importante que ne le fut Internet, il y a quelques décennies. Au niveau de notre tout petit monde Mac,
tout va en être bouleversé. Se voiler la face ou se contenter de moquer les hallucinations de GPT ou
de Gemini, ce n’est pas à notre avis une bonne approche d’avenir.
Donc, oui, les informations que nous relaierons, nos tests d’applications et nos analyses
« éducatives » ou pratiques que nous publieront dans les semaines et mois à venir prendront
forcément et largement en compte l’IA, car c’est de notre rôle de vous aider à comprendre ces
nouveautés, à en faire bon usage, à les maîtriser. Bref, à vous les accaparer.
LA RÉDACTION DE VVMAC HEBDO
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Après avoir rempli le formulaire au
format PDF, affichez la page qui doit
être signée. Cliquez droit sur sa
vignette dans la barre latérale et
demandez Exporter sous… [1]
Choisissez le format JPEG, un dossier
de destination et validez.
Rouvrez cette page dans Aperçu, puis
le fichier bitmap de la signature que
vous copiez et collez dans
la foulée dans la page de formulaire
enregistrée en JPEG. Ajustez sa
taille et sa position [2] et exporter au
format PDF.
Renommez la page Page signature et validez. Il suffit ensuite de réintégrer la page signée au formulaire PDF.
Dans Aperçu, ouvrez dans deux fenêtres indépendantes le formulaire d’origine et la page PDF contenant la
signature. Demandez Présentation > Vignettes, pour afficher les vignettes des pages dans la barre latérale.
Cliquez sur la vignette de la page contenant la signature et glissez-la dans la barre latérale du formulaire PDF
[3] à côté de la page d’origine sans signature que vous supprimez ensuite. ML
Vous avez égaré la boîte d'origine de votre MacBook Air ou de votre iPad ? Ou bien, le dos de l’appareil
est rayé, sali ce qui rend difficile , voire impossible, la lecture des références ? Pas de souci, si vous
avez besoin de dénicher cette information, il est tout à fait possible de la trouver simplement dans
les Réglages Système. HDR
Sur le Mac
Sur un Mac, cliquez l'icône Apple (la pomme) dans le coin supérieur gauche de l’écran, puis cliquez À propos de
ce Mac. Dans l’écran qui s’affiche, vous devriez voir des informations générales sur votre Mac, dont le nom du
modèle, généralement indiqué sous le logo Apple et le système d'exploitation macOS [1]. Cliquez En savoir
plus… puis Général > Rapport Système… (en bas de l’écran) pour obtenir des informations plus détaillées sur
votre Mac. C’est à la section Matériel, que vous pouvez obtenir les informations sur le modèle spécifique de votre
Mac, y compris son nom, son numéro de modèle (N° du Modèle) et d'autres spécifications matérielles [2].
Le numéro de modèle se présente sous la forme [produit] X,X, où les X correspondent au modèle précis.
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Sur iOS/iPadOS
Ouvrez Réglages > Général > Information et consultez la section N° du Modèle [3].
Référez-vous ensuite à la page of cielle d'Apple sur l'identi cation des modèles
pour obtenir des informations détaillées sur votre appareil spéci que.
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À quoi ça peut servir ?
Modèle, numéro de série… sont des informations utiles pour la maintenance,
la recherche de composants, ou pour accéder à des informations pertinentes
sur votre modèle précis, trouver des pièces de rechange ou véri er si votre
appareil est éligible à un support technique d'Apple en cas de problèmes
reconnus pour un modèle spéci que. Cela permet aussi de repérer facilement
des vidéos sur des sites comme iFixit et de savoir si votre appareil est
compatible avec les dernières mises à jour Système [4]. Muni du modèle,
une simple recherche dans Google donne toutes les informations, ainsi
que la compatibilité de votre modèle avec telle ou telle version de macOS.
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Si vous avez déclaré un compte iCloud, les Profils de Safari et leurs paramètres sont synchronisés ce qui permet
d’avoir les mêmes sur un autre Mac mais aussi sur iPhone et iPad (sur ces derniers, le gestionnaire des Profils
est accessible depuis la vue des onglets). Il n'est pas possible d'associer des Profils distincts à des comptes
iCloud distincts. Donc, même si vous disposez de Profils Safari distincts pour votre domicile et votre lieu de
travail, c'est toujours votre compte iCloud personnel (ou professionnel) que vous utilisez pour la synchronisation
des Profils entre les appareils.
Ouvrez les Réglages > Sites web. Dans la liste des réglages de site web, dans la barre latérale gauche, on trouve
l’option Ouvrir les liens avec ce Profil qui forcera Safari à ouvrir un lien cliqué dans une application
(e-mail, messages…) ou un fichier de connexion toujours dans le même Profil ; s’il n’est pas actif, Safari
basculera vers lui. Il n’est pas possible d'ouvrir un lien trouvé dans la page web ouverte affichée le Profil X vers
le Profil Y, on reste dans le Profil actif.
Dans Safari > Réglages > Extensions, on trouve un bouton Gérer les Profils… pour chaque extension installée ;
il ne sert qu'à renvoyer vers le panneau de Réglages des Profils.
Allez dans Safari > Réglages > Extensions. Toutes les extensions que vous installez y sont répertoriées, et vous
pouvez les activer en cochant la case correspondante dans la barre latérale. Choisissez-en une pour afficher
ses paramètres [5] dans le cadre à droite. Vous pouvez activer/désactiver les extensions (tout en les conservant
à disposition sur le Mac) ou cliquer Désinstaller pour les supprimer complètement. Cochez la case Partager sur
tous les appareils pour les synchroniser, au cas où vous utilisez aussi Safari sur vos mobiles.
Pour rechercher d'autres extensions disponibles et les installer, cliquez le bouton Plus d'extensions en bas de
la fenêtre. Vous accédez à la page spéciale du Mac App Store [6].
Apple impose aux développeurs d’extensions de livrer leurs réalisations sous la forme d’une application macOS
« complète », dont le rôle est en fait que « transporter » l’extension, c’est une sorte d’enveloppe.
Le petit nombre d’extensions est largement expliqué par cette obligation de créer une application macOS et donc
d’avoir un compte développeur pour accéder à la Mac App Store, ce qui coûte presque 100 €/an.
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Ouvrir le mode Image dans l'image
Grâce à cette fonction, vous pouvez visionner des
contenus vidéo en ligne dans une fenêtre flottante
autonome, et travailler ou faire autre chose dans
d’autres applications. Pratique pour suivre une vidéo de
formation à une nouvelle application installée sur
votre Mac.
Alors qu’un contenu vidéo est affiché dans une fenêtre
de Safari, faites un clic droit dessus. Un premier menu
d'options (anthracite) apparaît, mais il ne nous intéresse
pas. Ne le fermez pas, mais cliquez droit encore une
fois pour qu’un autre menu contextuel (gris) surgisse à
sa place [7] qui propose Activer le mode Image dans
l'image. Le bloc vidéo dans la page web passe au noir,
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Les sites web utilisent trop souvent des traqueurs dans les liens, mais quand on est en mode de navigation
privée, les traqueurs sont automatiquement supprimés. Enfin, il est possible de régler l’option Utiliser
la protection avancée contre le suivi et le vol des empreintes digitales [9] pour qu’elle soit automatiquement
activée en navigation privée ou en permanence (Safari > Réglages > Avancés, rubrique Confidentialité).
La navigation privée n’est pas un moyen d‘être anonyme ! Pour cela il faut un VPN, ou mieux encore lancer
Le navigateur Tor Browser. Cependant, les fenêtres « privées » permettent de ne pas laisser de traces locales
de votre activité dans Safari une fois que vous les avez refermées – ce qu’il faut évidemment penser à faire !
Dans une fenêtre privée, rien de vos actions et infos privées n’est mémorisé.
Bon, si vous travaillez sur votre propre Mac, ce n’est pas non plus une option à prendre systématiquement ! Reste
que cela peut être pratique et sûr, si vous « partagez » ce Mac sans avoir créé différents comptes d’utilisateurs ou
si vous laissez la machine accessible sans imposer immédiatement un économiseur d’écran protégé. C’est
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Le second menu caché s’appelle Debug [11], mais il est, lui, vraiment
destiné aux développeurs web car il n’offre
que des options très techniques. Si cela vous intéresse, sachez que
vous pouvez l’installer. C’est un peu plus compliqué. Demandez
Réglages Système > Confidentialité et sécurité et passez dans l’écran
Accès complet au disque. Si ce n’est déjà fait, activez-y Terminal
(confirmez avec le mot de passe Administrateur). Ceci fait, lancez
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Quand on conserve beaucoup d’onglets ouverts, il peut être intéressant de créer des groupes d’onglets.
On peut lui donner un nom. Il est listé dans la barre latérale de Safari. Un clic réaffiche d’un coup tous les onglets
du groupe. Il faut toutefois remarquer qu’un groupe d’onglets dans Safari n’a rien de « figé ». Chaque onglet du
groupe a sa croix de fermeture facile à cliquer involontairement. Il est à tout moment possible d’ajouter au
groupe d’autres onglets, et d’en retirer en les fermant. Ce n’est, pour moi, pas aussi efficace et sûr qu’un dossier
de favoris dont l’intégrité n’est pas menacée par des actions involontaires, ou bien le système que propose Arc.
Un groupe d’onglets peut être partagé [16] sous la forme d’une simple liste d’URL, ou en mode collaboratif.
Dans ce dernier cas, le groupe apparaîtra dans la barre latérale de l’application Safari de chacun des invités au
partage (qui sera mis à jour si nécessaire, en ajout ou suppression, selon la règle d’accès choisie). Pour partager,
survolez un groupe d'onglets, cliquez la puce « 3 points » qui apparaît, puis choisissez Partager le groupe
d'onglets. Utilisez ensuite l'application Messages pour proposer à des gens de collaborer au groupe d'onglets.
Une fois configurée, une nouvelle icône dans la barre d'outils de Safari vous permet de gérer le groupe partagé.
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Quand vous ouvrez une application autonome, Safari ne se lance pas en tâche de fond. Et même s'il est déjà ouvert
par ailleurs, l'application web ne fait pas appel à lui car elle s'appuie, comme d'autres applications macOS
conçues par des développeurs tiers, sur des ressources système dont le WebKit et d'autres API, technologies
livrées au cœur de macOS. Toutefois, il se peut qu’une application web impose l'ouverture de pages dans Safari ou
dans votre navigateur par défaut.
Si lors de sa création l’application web intègre des informations provenant de Safari, nécessaires à son utilisation
(par exemple, l'identifiant et le mot de passe d'un login), elle ne partage avec Safari ni son historique de navigation,
ni les cookies et autres données du site ou du service intégré. Elle vit sa vie. C'est aussi ce qui les différencie des
profils qui n'existent que dans le cadre de Safari. Dommage, par contre, que ces applications ne prennent pas en
charge les extensions. Si on a besoin d’extension sur un site donné, rien ne sert de créer une web app, il faut l’ouvrir
dans Safari directement.
En termes d'interface utilisateur, une application web ressemble à une application macOS standard, mais
minimaliste. Elle a un nom, un système de menus réduit, une barre de titre/outils simplifiée, une icône… Certains
éléments dépendent du site/service d’origine intégré à l'application. Si c'est un service où tout se passe dans une
seule page, sans liens internes, on peut faire disparaître la barre d'outils, mais si le site propose des liens internes,
l'affichage des commandes est recommandé pour pouvoir interagir correctement.
Les applications web sont prises en charge par Mission Control, Stage Manager, et le système des modes
Concentration. Les web apps sont présentes dans les Réglages Système > Notifications. Les notifications push
des sites sont gérées : l'application web les relaie au niveau système vers le Centre de notifications (selon vos
préférences), et dans le Dock, l'icône de l'application web s'orne d'une puce indiquant le nombre de notifications
pendantes s'il y a lieu.
Si les applications web sont créées dans le Dock, rien ne vous oblige à les conserver là. Elles sont enregistrées dans
le dossier Applications de votre compte d'utilisateur. Ne les déplacez pas, créez des alias si vous voulez y avoir
accès en d'autres endroits, par exemple sur le Bureau. Les web apps sont aussi affichées dans le Launchpad et
peuvent être lancées par Spotlight (ou un utilitaire équivalent).
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Pour automatiser le comportement sur certains sites que vous appréciez et venez lire souvent, ouvrez une page
d’un de vos sites d’information, et demandez Safari > Réglages > Sites web. Activez Lecteur. Vous pouvez
ensuite le configurer pour qu'il se lance automatiquement sur le site web actuellement ouvert lorsque vous
les visiterez à l'avenir.
En mode Lecteur, cliquez sur l'icône AA, à droite de la barre d’adressage/recherche [25], afin d’accéder à certaines
options : la taille de la police, la teinte de l’arrière-plan et le choix d’une autre police de caractères. m
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Depuis que Superlist est sortie, mi-février, on a pu lire sur Internet aussi bien des avis
enthousiastes que d’autres, plus dépités. Il est vrai que le projet avait été annoncé il y a bien deux
ans déjà, et que les rumeurs autour ont toujours été excitantes… Peut-être un peu trop.
Cette première version ne manque certainement pas d’intérêt, je trouve cependant qu’elle
n’apporte rien de vraiment différent de ce qu’on a déjà sur le marché, un domaine particulièrement encombré.
L’éventail des fonctions n’offre rien que de très classique. Superlist me semble avoir la même approche et plus
ou moins (en fait moins) les mêmes fonctions que Twos, que j’ai adoptée à plein temps depuis plus d’un an.
C’est justement ce cocktail tâches/notes qui est intéressant.
Sans aucun doute, Superlist est-elle plus joliment mise en scène. C’est une superbe réalisation, en termes de
design et d’ergonomie (quoique certains ne soient pas du tout d’accord sur ce point précis). Pour faire simple,
je dirai que Superlist fusionne la gestion des listes et un outil de prise de notes.
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La rubrique Options pour les développeurs n’apparaît pas ? Demandez Paramètres > À propos du
téléphone et tapez sept fois sur la rubrique Numéro de build. Une noti cation signale l’activation.
Maintenant, branchez votre appareil Android au Mac par un câble USB, et allumez-le. Sur le Mac, cliquez
le menulet MacDroid [2] et sélectionnez Dispositifs > Mode ADB. Le smartphone doit s’af cher dans
la liste des appareils ; un petit point vert indique que la connexion est effective et l’appareil « monté ». Il est
à dénicher dans la section Favoris de la barre latérale d’une fenêtre du Finder.
Pour la suite des opérations, mieux vaut avoir quelques notions de l’organisation des chiers dans Android.
MacDroid vous laisse vous débrouiller avec le Finder, alors que d’autres outils sont dotés d’une interface de
navigation pour accéder directement aux ressources de l’appareil connecté.
Vous retrouvez facilement le dossier des photos à sdcard > DCIM > Camera [3]. Pour les autres chiers, tout
dépend de l’application Android qui les a créés et du modèle de l’appareil.
MacDroid est pratique pour récupérer rapidement et sans rien débourser des photos. Si j’ai besoin de
transférer des chiers vers mon smartphone, je préfère utiliser PairDrop plutôt que de m’abonner à
MacDroid. ML Informations
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C’est bien sûr gratuit.
EN PRATIQUE…
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