_, Uattaque du ciment par eau'de mer se manifeste, par un ramolissement des mortiers et
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Lt “ton ‘CHIMIQUE DE L'EAU DE MER SUR LES MATEIAUX DE CONSTUCTION
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1) Action sur le ciment
du béton avec perte de résistance, puis par leur gonflement accompagné d’éclatement
donc mise 4 nu des armatures qui sont alors rapidement oxydées.
Les meilleurs liants hydrauliques (ciments) pour les travaux maritimes seront ceux qui
contiennent le moins possible d’alumine et de chaux libre, caf’hydratation du chaux libre
et de I'alumine entraine le gonflement.
Pour garantir la bonne tenue d'un mortier ou d'un béton pour un ouvrage exposé 3 la
mer, il faut un cimer
de pénétrer dans le béton,
Dosages usuels (a titre indicatif):
Mortiers : 4003600kg de ciment par matre cube de sable sec
Granulométrie du sable : 2/3 d’éléments sup a 2,5 mm et 1/3 d’éléments entre 0,5 et
25mm,
Cest-d-dire qu’en général on évite utiliser le sable trop fin qui exige une trop
proportion de ciment et d'eau de gachage pouvant entrainer I'apparition des
gravillon peut atteindre 5 & 6 cm pour les bétons de masse. I faut remarquer avn A
dosage trop important en ciment exige un surdosage en eau de gachage et augmente le
retrait du béton aggravant ainsi la fissuration donc attaque du béton et corrosion des
armatures
Enrobage : placer les armatures & 5 cm au moins de la parol
Le béton coulé en grandes masses peut étre protégé par un parement dosé en 600 kg de
ciment ou par application d’un revétement de trois couches de goudron tes chaud.
utilisation de l'eau de mer pour le gachage est possible mais limiter a 28 @ 30g/I de sel
dissous . et i faut remarquer que la chlorure de sodium accélere la prise ; mais éviter
autant que possible l'utilisation de l'eau de mer surtout pour les bétons de facade il peut
se produire d’efflorescences salines Si eau de mer est chargée de matiéres organiques,
et hydrocarbures, cas fréquemment rencontré dans les ports i est déconseillé d'utiliser
se
Scanned with CamScannerUgaud| mer carce matéressuppriment toute adhérence du béton sux smatures
«Pour I Bétons coulés en eau courante ou agtée il convient dutliser des acc
+ de prise): le dosage doit étre limité en particulier pour le chlorure de calcium claca r
doit pas dépasse 1% du poids du ciment car il a une action corrosive sures armatures.
Eviter également les adjuvants comportant dions ch pour les bétons précontraints.
Action sur Vacier. Elle est due aux effets galvaniques (I'eau de mer constituant
Vélectrolyte).
La corrosion des aciers exposés a I'atmosphére saline est beaucoup plus rapide qu’a
Vintérieur des continents et augmente avec la température. Pour lutter contre la
corrosion, on peut utiliser la peinture antirouille & base d’huile de lin ou & base de
goudron ; on peut également utiliser la métallisation par zingage : recouvrir la surface
Par une pellicule de zinc fondu & 450° par projection de zinc fondu par chalumeau. Par
cimentage : recouvrir Vacier par un mortier de ciment en particulier pour une protection
Provisoire. Par protection cathodique (porter les surfaces a protéger a un potentiel
‘négatif par rapport a l'eau de mer ; c'est une électrolyse inverse de celle que constitue le
phénoméne d’oxydation).
Action sur le bois. L’action est surtout biologique (formation de champignons ou
attaque des animaux marins)
action est importante pour le bois soumis au marnage ou au batillage. Au contraire, les c
bois immergés constamment dans l'eau se comportent trés bien pendant plusieurs
années.
Les procédés de protection du bois :
~ Immersion prolongée dans eau saumatre
~ Carbonisation superficielle par flambage
- _ Doublage en cuivre ou en zinc (en particulier pour les coques des navires et pour les
pieux en bois).
On utilise fréquemment le bois dérose (longue durée de vie) ou eucalyptus.
‘Action sues plastiques .D’une facon générale, les plastiques se comportent bien dans
eau de mer.
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OUVRAGES DES ACCES,
Les ouvrages des acca dea ports intéreurs on
our bat dare de stable ua shen hae ymeailamant
‘ante pour la navigation, moyennant hee
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41, AMENAGEMENT DES CHENAUX DEBOUCHANT
DANS UNE MER SANS MAREE
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4,44. coin sale.
1 modelé des fonds de Yembouchure du chena est t38 agement
Sonditionné parts forme et ln sable du eo aie qel te
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Fleurs dela vite dot ins cass doves (plu leges) fecolent
Ia partie upsiere, La forme du coin eae determine des eonae
secondaires(couants e Gens) ct variation dla sli Te og
de Yemboutbure motife la formation der depots toldea en path
Ctlier des depots de materincy vaseux,
St enn fale st stable, ce ql et le cas d'une svt buble
variation de Ge, ls sates tanaperte par I ive foment
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‘storlenté dans esos Ge cosent cu versa provenance dels Roe
Sie con al st cu conta instal il et dil rca wa
chenal daas ie delta qu we forme & Vembouchure ave de nombreux
bra sulvant des tracts idguler of changeants
412, Princlpes d’aménagement de l’embouchure.
Yremboochare conport pluses tras, on fie le chal de nave
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Talayéa par no conantsqu'e cia concave cnet sonvent actend
2 termer partslenent les sures bas pout concenter apart marie
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‘Comprometie 'évacation du Sit Suvi ex temps de crue
Mites ashe ms Gentes pect p ha
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PORTS MARITIMES
DES PORTS INTERIEURS
rrages ne pouvant étte précis eae
‘ne étude sur modle réduit, ra récid gue par
4123. Méthode miste. — On est conduit
Diner les deux mévSoder ot & trac
souel de eosstituer une zone a
4{2, AMENAGEMENTDES CHENAUXDEBOUCHANT
DANS UNE MER A MAREE
421, Propagation de In marée dans une riviée,
421, Phisomines hydrasigues, — La mart 6s lage peste
dans la rivtsg une onde progesive gui te propage vem Fament
avec une cfedié = Vfl U, H tant ln protondeas moveane
1 le courant/favia, dans Ia section considerce, Cette peoneemtion
‘vt sensiBleinent modiser la forme dela coatbe locale fh ees
(hsuter es fonction du temps) par sults de ln superposition beste
fondamentale, dondes harmosiques dont Vamplstade ot ly pes
‘pendent des caracteistiqns de la rivitre (eaiation daa sec,
yaleurs du costicieat de fortement, ..). Cost aiast quae mons
ans la pectic aval du fouve, Tamplitude de la mante pout ae
supéricure & calle du large: au fur et & mesure de In propagation
vers Tamont,Yarpltede dimiaue jusgu't crvenle mule, Somat
‘a8 sa prepagation dans la rvite ne sit anes at a
Les pros isfartants, qt sont len rote do a srlace Ie
sisitre aux divers instants, ont deus courbes-eaveloppe (fe:
Yeavsloppe supériare eat le lew gloméeigue der
LGPM, le courbe intéicure est le lieu. géométique’ der bomen:
mers LGEM, Le LGPM est en général sensblement erisentl,
‘3 contraze le LGBM accuse toujours une peate asses forte. dans
Js parte amoot et rattrage le niveau de In torace More de a ivibee
a un poins P qui constiuel limite indwence dela masse: pene
du LOBM dans la partic aval do Ta iidre tradeit la facie de ln
Propagation Ge la staré, une pete nulle ou mime devendant vers
Vamont étant ceractéstique dune bonne propagation ds la mares,
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