d’Alençon par Marthe La Perrière, inspiré du point de Venise 1720: Utilisation du terme « point d’Alençon » 1775: Utilisation de crin de cheval blanc 1851: Présentation à l’exposition universelle de Londres 1855: Apparition de motifs ombrés, plus travaillés 2010: Inscription à l’UNESCO Histoire
Technique de dentelle à l’aiguille soutenue par
Colbert dans les années 1660 (manufacture royale) afin de concurrencer la dentelle italienne. Entre le XVIIIe et le XXe: dentelle la plus chère et en croissance continue jusqu’à son déclin dû à la concurrence de la mécanisation. Aujourd’hui subsiste l’Atelier national du point d’Alençon, fondé en 1976. Chiffres clés
350 ans de savoir faire
Entre 7 et 15h de travail par centimètre carré Jusqu’à 3000€ pour des pièces de quelques centimètres (pour environ 230h de travail) Entre 6000 et 7000 dentellières avant la Révolution, près de 10 000 au XVIIIe siècle, 9 aujourd’hui. Produits phares
Des chemins de table en dentelle d’Alençon ont été
remis à l’Elysée et revêtent les tables présidentielles
De nombreuses nappes et chemins de table utilisent
des motifs inspirés des techniques du point d’Alençon