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Introduction
Le cœur du système
Exemples pratiques
INTRODUCTION
Architecture matérielle
Processeurs
Mémoire
Carte mère Intel® STL2 Server pour processeurs Intel®
Pentium® III
2-architecture matérielle
Technologies désuètes
Bande magnétique
Disquette
Disque dur
Technologies désuètes
La carte perforée (parfois appelée carte Herman Hollerith) et le ruban perforé ont été
les premiers supports d'entrée-sortie et les premières mémoires de masse utilisés
dans les débuts de l'informatique. La carte perforée avait auparavant été utilisée en
mécanographie.
Elles sont apparues avant les Systèmes d'exploitation , et ont permis la création de
ceux-ci. Toutefois, il fallait des heures entières pour rédiger un programme de
quelques lignes de code.
Les bandes magnétiques ont été utilisées comme mémoires de masse dès les débuts
de l'informatique. Dès les années 1950 le format des bandes devient rapidement
standard : une bande mesurait au maximum 2400 pieds de long (732 mètres) pour
½ pouce (13 mm) de large; des bobines plus petites de 200, 300 ou 600 pieds ont
aussi été produites. À l'origine, l'enregistrement s'effectuait sur 7 pistes (6 de
données plus une pour la parité) à des densités de 556 ou 800 bpi mais avec le
développement des ordinateurs avec des jeux de caractères à huit bits (ex.
l'EBCDIC d'IBM), l'enregistrement est passé à 9 pistes (8 de données plus une pour
la parité) et la densité pouvait être de 800 (NRZI : Non-Return-to-Zero Inverted),
1650 (PE : Phase Encoded) ou 6250 (GCR : Group Coded) bpi.
Bande magnétique (Applications )
Le bon rapport prix/densité des bandes magnétiques en font toujours un support de choix
pour les sauvegardes informatiques. Malgré les progrès très importants réalisés en matière
de technologies de stockage sur disques magnétiques ou optiques à la fin du XXe siècle,
les bandes magnétiques restent un support privilégié de sauvegarde et d'archivage des
données en raison de leur très grande capacité et de leur caractère amovible qui permettent
de les délocaliser aisément. Elles sont ainsi utilisées dans les « fermes » de serveurs sur
PC qui sous-tendent les grands sites Web d'aujourd'hui. Ceux-ci gèrent des volumes de
données incomparablement plus importants que les plus grands des ordinateurs centraux
d'antan. Les technologies d'archivage sur bande ont suivi cette même approche
modulaire : chaque baie peut contenir une dizaine ou une vingtaine de bandes
magnétiques et les baies peuvent se regrouper, par exemple par 8 ou 10, pour une capacité
totale allant jusqu'à plusieurs dizaines de téraoctets. Les bibliothèques de bandes sont
donc le moyen le plus accessible d'assurer la sauvegarde et l'archivage de toutes ces
données.[
Disquette
Une disquette en informatique est une mémoire de masse amovible. La disquette est aussi appelée disque souple
(floppy disk en anglais) en raison de la souplesse de son support et par opposition au disque dur. Le nombre de
pouces associé au mot disquette (1" vaut 2,54 cm) correspond au diamètre du disque magnétique.
On distingue différents formats :
200 mm (8 pouces) : le plus ancien ; les deux encoches de part et d'autre de la fenêtre de lecture ont fait l'objet
d'un brevet, elles divisaient par deux les tensions du disque en cas de torsion involontaire pendant le transport et
sans elles, les disquettes devenaient rapidement inutilisables.
130 mm (5 pouces un quart), qui connu un grand succès suite à son adoption par l'Apple II, puis par le PC en
1981, mais se périma immédiatement en 1987 avec le lancement du PS/2, à cause de sa grande taille et
accessoirement de sa faible capacité (360 Ko). Le PC/AT lancé en 1983 avait des disquettes de même format
extérieur mais de capacité 1,2 Mo et de fabrication différente.
80 mm (3 pouces), lancé par Amstrad sur les ordinateurs CPC 664.
90 mm (3 pouces et demi)
inventée par Sony,
présente le mérite de tenir dans une pochette de chemise (elle a été conçue pour cela)
utilisée en version 400 Ko pour le Macintosh en 1984,
introduite dans le monde PC en 1987 pour la série IBM PS/2 en versions 720 Ko et 1,44 Mo ; cette dernière
commence à être détrônée en 2004 par les clés USB, depuis que les BIOS permettent de booter sur ces clés.
sa version 2,88 Mo, utilisée sur certains PS/2 de haut de gamme et IBM RS/6000, ne rencontra jamais de succès.
Disque dur
Les interfaces des disques durs ont largement évolué avec le temps dans un souci de simplicité et d'augmentation des
performances. Voici quelques interfaces possibles :
SMD (Storage Module Device), très utilisée dans les années 1980, elle était principalement réservée pour les disques de
grande capacité installés sur des serveurs.
ST506, très utilisée au début de la micro-informatique dans les années 1980.
ESDI (Enhanced Small Device Interface), a succédé au ST506, qu'elle améliore.
L'interface IDE (ou PATA par opposition au SATA), la plus courante dans les machines personnelles jusqu'à récemment
(2005), appelée aussi ATA (AT ATACHMENT), à ne pas confondre avec S-ATA, cette dernière l'ayant remplacée.
SCSI (Small Computer System Interface), plus chère, mais offrant des performances supérieures. Toujours utilisée et
améliorée (passage de 8 à 16 bits notamment, et augmentation de la vitesse de transfert, normes SCSI-1, SCSI-2, SCSI-3).
SAS (Serial Attached SCSI), combine les avantages du SCSI avec ceux du Serial ATA (elle est compatible avec cette
dernière).
Serial ATA (ou S-ATA), est une interface série, peu coûteuse et plus rapide qu'ATA (normes SATA et SATA II), c'est la
plus courante désormais.
Fibre-Channel (FC-AL), est un successeur du SCSI. La liaison est série et peut utiliser une connectique fibre optique ou
cuivre. Principalement utilisée sur les serveurs.
Fabricants
Le nombre de fabricants de disques durs est assez limité de nos jours, en raison de divers rachats ou fusions d'entreprises,
voire l'abandon par certaines entreprises de cette activité.
Cornice
Hitachi GST
ExcelStor
Fujitsu
GS-Magic
Seagate
Western Digital
Samsung
Toshiba
Constructeurs historiques :
Bull périphériques
CDC (Imprimis)
Conner Peripherals
Hewlett-Packard
IBM
Maxtor
Micropolis
NEC
Quantum
Storage Technology
Tandem
Univac
Interface IDE
L' IDE, acronyme de Integrated Drive Electronics, est le plus répandu des standards commerciaux
d'interface de connexion pour mémoires de masses (disque dur, CDROM, DVD) en micro-
informatique. Cette connexion s'appuie sur les standards ATA et ATAPI.
La connexion IDE tire partie des protocoles ATA/ATAPI.
ATAPI (ATA with Packet Interface extension) est en fait une extension de ATA (AT Attachement).
Ce dernier est le protocole utilisé par les disques durs IDE tandis qu'ATAPI est plutôt utilisé par les
lecteurs et graveurs de CD-ROM et DVD-ROM ainsi que par quelques lecteurs de disquettes
spéciales de type ZIP par exemple.
La principale différence entre les deux protocoles réside dans l'existence, dans ATAPI, de
l'extension Packet Interface qui implémente le jeu d'instructions Packet. De plus, de nombreuses
commandes ATA sont interdites si ce jeu d'instructions est présent.
Dans les sections suivantes, les commandes réservées à ATA ou à ATAPI seront indiquée. Les
commandes communes aux deux protocoles ne porteront pas de mention spéciale.
Interface IDE
Interface SCSI
SCSI, Small computer System Interface en anglais, est un standard définissant un bus
informatique permettant de relier un ordinateur à des périphériques ou bien même à un autre
ordinateur.
Connecteurs SCSI 25-50 broches
Ce qui différencie ce bus des autres est qu'il déporte l'intelligence vers le périphérique lui-même. De ce fait les commandes
envoyées au périphérique peuvent être complexes, c'est sous le contrôle du périphérique qu'elles seront (éventuellement)
décomposées en sous-tâches plus simples, ce qui est extrêmement avantageux si l'on travaille avec des systèmes d'exploitation
multi-tâche.
Cette interface est donc plus rapide, plus universelle et plus complexe que l'interface E-IDE dont le principal inconvénient est
d'accaparer un pourcentage non négligeable du processeur, ce qui constitue un handicap quand de nombreux flux de données
sont simultanément ouverts.
Plus « intelligente » et moins dépendante vis-à-vis de l'unité centrale, l'interface SCSI peut gérer des périphériques internes et
externes très variés, tels que disques durs, scanners, graveurs, unités de sauvegardes, etc.
Périphériques concernées :
La norme SCSI-2 précise que le bus peut relier entre eux :
des ordinateurs
avec des périphériques tels que :disques durs ,lecteurs de disquettes ,lecteurs de bandes magnétiques ,imprimantes ,lecteurs de
disque optique (WORM) ,lecteurs de disque optique (CD-ROM) ,scanners ,changeur de média ,périphériques de
communication .
On note que la norme ne restreint pas l'utilisation du bus à l'interconnexion d'un ordinateur avec des périphériques, mais qu'il
peut être utilisé entre des ordinateurs, ou pour partager des périphériques entre ordinateurs.
Interface SCSI (Modes de transfert)
Interface SCSI
SAS signifie Serial Attached SCSI. C'est une nouvelle technologie (2004) d'interface pour disques durs, elle
constitue une évolution des bus SCSI en termes de performances, et apporte le mode de transmission en série de
l'interface SATA.
Les interfaces disques sont divisées en deux grandes catégories, fonctionnant sur un mode de communication
parallèle :
Les disques ATA, pour les stations de travail en général,
Les disques SCSI, plus présents dans les configurations serveur vu leurs performances plus élevées, leurs
adaptabilité en mode multi-utilisateurs et la possibilité de faire du RAID sur les disques.
La constante augmentation des besoins des entreprises et des particuliers en terme de capacités de stockage et de
vitesses de transfert a conduit à la - plus ou moins - limitation des modèles existants. En effet, l'utilisation du
mode de transmission parallèle concède certains problèmes, parmi lesquels, la restriction sur les longueurs de
câbles ou encore en matière de fiabilité de transmission (parasites et interférences).
C'est pour pallier ce genre de problèmes que les constructeurs (Hitachi, Seagate, Adaptec, Fujitsu, LSI,
Maxtor…) ont fait émerger le SAS, car ce concept n'est pas totalement novateur, il allie simplement deux
technologies existantes : La transmission en série des données et SCSI. Cette nouvelle norme a été fixée par la
SCSI Trade Association
Interface SAS
Principe:
Utilisation du SCSI et du SATA pour améliorer les performances de stockage, surtout en terme de vitesse de
transmission et opérabilité en mode multi-utilisateurs.
Avantages du SAS:
Un taux de transfert de 3 Gbits/s (supérieur à l'Ultra SCSI).
Des débits exclusifs : chaque disque offre un débit de 3 Gbits/s pour chaque péripherique, contrairement au
SCSI qui partage la bande passante de 2,56 Gbits/s entre tous les périphériques du contrôleur.
Rétro-compatibilté des équipements SAS avec les équipements SCSI et SATA.
Le SCSI parallèle limite les connexions à 15 disques par contrôleurs contre 128 disques par connexion pour
le SAS.
Utilisation des connecteurs SATA.
Interface SATA
Le Serial ATA (ou S-ATA ou SATA) est un bus informatique principalement conçu pour le transfert de connecteur
données entre un ordinateur et un disque dur. C'est l'évolution du standard Advanced Technology d'alimentation
Attachment (ATA ou IDE). Le Serial ATA a de multiples avantages par rapport à son prédécesseur,
les trois principaux étant sa vitesse, la gestion des câbles et le branchement à chaud (Hot-Plug).
L'ancienne norme ATA est communément désignée sous le nom « Parallel ATA » (P-ATA) afin que
les deux ne soient pas confondues.
connecteur de
Les premiers modèles de Serial ATA, apparus en 2003 permettent un débit théorique de 150 Mo par données
seconde mais il a été conçu pour aller bien plus vite. Le Serial ATA II double sa vitesse à 300 Mo/s
puis les 600 Mo/s sont prévus pour 2008. Cependant à 150 Mo/s ce n'est que 17 Mo/s de plus que le
plus rapide des Parallel ATA : l'ATA/133. Les bus parallèles ont maintenant des difficultés pour
augmenter leurs vitesses à cause d'un problème de synchronisation des lignes de données.
Interface SATA
Physiquement les câbles utilisés sont le plus grand changement. Les données sont transmises par un
fil flexible de sept conducteurs avec des connecteurs de 8 mm à chaque extrémité. Il peut faire
n'importe quelle longueur jusqu'à 1 mètre. Comparé au court (45cm) câble de 40 ou 80 fils du
Parallel ATA, c'est un soulagement pour les constructeurs. De plus, le flux d'air et donc le
refroidissement des équipements est amélioré. Le concept de rapport maître/esclave entre les
dispositifs a été abandonné. Le Serial ATA n'a qu'un périphérique par câble. Les connecteurs ont des
détrompeurs, il n'est donc pas possible de mettre des connecteurs de câble à l'envers, le seul défaut
étant l'absence de "clip" : les câbles se déconnectent parfois inopinément.
Les disques durs natifs en Serial ATA exigent également un connecteur électrique différent qui fait
partie de la norme. C'est le même type de connecteur mais en plus large que celui utilisé pour les
données, ainsi il ne devrait pas être possible de confondre les deux. 15 broches sont utilisées pour
assurer trois tensions d'alimentation différentes si nécessaire (3.3 V, 5 V et 12 V). Les mêmes
connecteurs physiques sont utilisés pour les disques durs de 3,5 et 2,5 pouces.
Le Serial ATA utilise l'Encodage 8b/10b pour effectuer des transferts, permettant de travailler sur des
meilleures fréquences.
Interface SATA
Version 2.6 du Serial ATA
Le SATA-IO (Serial ATA International Organization) a énoncé (début 2007) les spécifications 2.6:
Câble et connecteur internes minces afin d'utiliser les unités optiques SATA dans des unités centrales
plus compactes.
Connecteur micro SATA pour les disques 1,8 pouce pour faciliter l'intégration de ces disques dans les
UMPC.
Mini câble/connecteur SATA interne et externe « multilane » (possibilité de coupler plusieurs canaux
SATA) afin d'améliorer la bande passante avec les périphériques et de proposer des connecteurs plus
petits.
Optimisations NCQ afin d'offrir une meilleure gestion des données prioritaires.
Optimisations NCQ Unload autorise l'utilisation de technologie pour protéger les disques sur les PC
portables en cas de chute accidentelle.
Interface SATA
Serveur FTP
Serveur mail
Jusqu’à 2 Go de Ram
ECC
4- Internet appliance
Eye-Box MAX®
Fonctions:
Serveur Web
(Apache) , serveur mail,
serveur de partage de fichiers
Modem RNIS/ADSL
Routeur NAT
Serveur DHCP
Firewall
Architecture matérielle et
logicielle:
Processeur Celeron 667Mhz
64 Mo RAM
20 Go de Disque
Hub 4 ports
OS : Linux
5- Les serveurs Professionnels
de MICROMANIA
5.1.Serveur Professionnel pour petites
entreprises.
5.2.Serveur Professionnel pour PME en
format rack 19"
5.3.Serveur Professionnel pour PME en
format rack 19" - version SCSI
5.1.Serveur Professionnel pour petites
entreprises.