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Cours BDD

Avancées Oracle
CPS – ENSET - 2019

Enseignant Associé ENSET


Pierre PEP
Ing. Info

Pierre PEP, Ing Info 1


Objectifs du cours
Un étudiant en GPI5 doit être capable de :
oComprendre et administrer efficacement des BD
relationnelles
o Comprendre leur fonctionnement et maîtriser les paramètres
qui permettent d'améliorer leur exploitation: organisation
physique, optimisation, concurrence d'accès
o Pouvoir écrire des programmes qui exploitent les BD
relationnelles
oEtc ….
2
Plan du cours

 Partie 1 : Notion de Bases

 Partie 2 : Rappels de SQL

3
Partie 1 : Notion de Bases
 Définitions

 Historique SGBD

 Avantages et Inconvénients SGBD

 Taches SGBD

4
Définitions
BASE DE DONNÉES
 Grand ensemble de données structurées,
mémorisées sur un support permanent.

• Système de Gestion de Base de Données


(SGBD) : Logiciel qui permet de manipuler
ces données à un niveau d'abstraction élevé
(modèle logique de données)

5
HISTORIQUE SGBD
 Première génération (années 70) : modèle hiérarchique ou
modèle en réseau.

 Modèle hiérarchique : les données sont représentées sous


forme d’une hiérarchie arborescente à plusieurs niveaux.
Chaque niveau est constitué d’un ou de plusieurs groupes
de données pouvant se décomposer à leur tour.

 Modèle en réseau : extension du précédent, où les liens


entre objets peuvent exister sans restrictions,
indépendamment de la structure de l’arbre.

6
HISTORIQUE SGBD
 Deuxième génération (années 80) : modèle relationnel.
 Les données sont représentées sous forme tabulaire, avec

indépendance totale entre les logiciels et le support de


stockage.
 Langages spécifiques permettant d’accéder aux données

de manière assez naturelle : QBE, SQL.


 Quelques SGBD relationnels : ORACLE, INGRES,

SYBASE, DBASE2, ACCESS, mySQL.


 Troisième génération (fin des années 90) : modèle objets.
 SGBD objets : O2, ORACLE.

7
AVANTAGES/INCONVÉNIENTS
SGBD
 Avantages
 Contrôle de la redondance des données (et donc de

leur cohérence)
 Contrôle de l’intégrité des données

 Partage des données : accès sécurisés, contrôle de

la concurrence d’accès
 Inconvénients
 Complexité supplémentaire : langages SQL,

techniques d’administration, etc.


 Coût du logiciel (mise en œuvre, administration,

évolution) 8
LES TACHES D’UN SGBD
 Contrôler la redondance
 Contrôler l’intégrité des données
 Contrôler l’accès aux données
 Contrôler la concurrence d’accès
 Autres services
 Assurer la reprise après incident

 Sauvegarde/restauration

 Réplication

 Etc.

9
Partie 2: Rappel de SQL
 Commandes SQL

 Langage LDD

 Langage LMD

 Langage LCD

 Quelques Syntaxes SQL


10
Commande SQL
Plusieurs sortes de commandes SQL parmi
lesquelles :
LDD (langage de définition de données),

LMD (langage de manipulation des données)


c’est-`a-dire du LMJ (langage de mise `a jour) et du LID (langage
d’interrogation des données),

LCD (langage de contrôle des données).

11
Le Langage de Définition des
Données (LDD)

Ensemble de commandes qui définit une base


de données et les objets qui la composent

la définition d'un objet inclut:


sa création: CREATE
sa modification ALTER
sa suppression DROP

12
Le Langage de Manipulation des
Données (LMD)
Ensemble de commandes qui permet la
consultation et la mise à jour des objets crées par
le langage de définition de données

Consultation : SELECT

La mise à jour inclut :


l'insertion de nouvelles données : INSERT
la modification de données : UPDATE
la suppression de données : DELETE
13
Le Langage de Manipulation des
Données (LMD)
Exemple

SELECT < liste champ( s)> FROM < liste nom table (s)>
[ WHERE condition ( s ) ] [ options ] ;

INSERT INTO <nom table > [( < liste champ(s) >)]


VALUES (< liste valeurs >);

UPDATE <nom table > SET <champ> = <expression >


[ WHERE < liste condition (s)> ] ;

DELETE FROM <nom table > [ WHERE < liste condition (s)> ] ;

14
Le Langage de Contrôle des
Données (LCD)
Ensemble de commandes de contrôle d'accès aux données
Le contrôle d'accès inclut :

L'autorisation à réaliser une opération : GRANT

L'interdiction de réaliser une opération : DENY

Annulation d'une commande de contrôle précédente : REVOKE

L'autorisation à modifier des enregistrements : UPDATE

L'interdiction de modifier des enregistrements : READ


(consultation en lecture seulement)

L'autorisation à supprimer des enregistrements : DELETE


15
Autre Syntaxe : TRIGGER
 CREATE TRIGGER trigger_name
AFTER/BEFORE/INSTEAD OF ON { table | view }
[ WITH ENCRYPTION ]
{
{ { FOR | AFTER | INSTEAD OF } { [ INSERT ] [ , ]
[ UPDATE ] [ , ] DELETE ] }
[ WITH APPEND ]
[ NOT FOR REPLICATION ]
AS
sql_statement [ ...n ]
}
}
16
16
Autre Syntaxe : Procédures Stockées

 CREATE { PROC | PROCEDURE } [schema_name.]


procedure_name [ ; number ] [ { @parameter [
type_schema_name. ] data_type } [ VARYING ] [
= default ] [ OUT | OUTPUT | [READONLY] ] [
,...n ] [ WITH <procedure_option> [ ,...n ] ] [ FOR
REPLICATION ] AS { [ BEGIN ] sql_statement [;] [
...n ] [ END ] } [;]

<procedure_option> ::= [ ENCRYPTION ] [


RECOMPILE ] [ EXECUTE AS Clause ]
17
17
Autre Syntaxe : FUNCTION

 CREATE FUNCTION [ schema_name. ]


function_name ( [ { @parameter_name [ AS ][
type_schema_name. ] parameter_data_type [
= default ] [ READONLY ] } [ ,...n ] ] ) RETURNS
return_data_type [ WITH <function_option> [ ,...n
] ] [ AS
] BEGIN function_body RETURN
scalar_expression END [ ; ]

18
Pause-réflexion
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19
PLAN DU COURS

GÉNÉRALITÉS SUR LE
SGBD ORACLE 11g

20
Généralités sur le SGBD Oracle 11g
 Définition

 Historique ORACLE

 Produits ORACLE

 Composants ORACLE pour le « GRID COMPUTING»

 Notion de Grid Computing

 Notion d’ASM

 Outils de développement

 Architecture ORACLE

 Notion de Schéma

 Le Dictionnaire de Données

 Outils d’Administration

 Rôle Administrateur Bases de Données ORACLE 21


DÉFINITION

• Oracle est un Système de


gestion de bases de données
relationnelle orientée objet
offrant une méthode de gestion
complète et intégrée des
informations.
22
HISTORIQUE ORACLE
 Software Development Laboratories a été créé en 1977. En
1979, SDL change de nom en devenant Relational Software,
Inc. (RSI) et introduit son produit Oracle V2 comme base de
données relationnelle.
 En 1983, RSI devient Oracle Corporation. Naissance de la
version 3 d'Oracle.
 En 1984, la version 4 d'Oracle apparaît, supportant la
cohérence en lecture (read consistency).
 Début 1985, Oracle commence à intégrer le modèle client-
serveur, avec l'arrivée des réseaux au milieu des années 1980.
La version 5 d'Oracle supporte donc les requêtes distribuées.
 En 1988, Oracle met sur le marché son ERP - Oracle
Financials basé sur la base de données relationnelle Oracle.
Oracle version 6 supporte le PL/SQL
23
HISTORIQUE ORACLE
 En 1992, la version 7 d'Oracle supporte les contraintes
d'intégrité, les procédures stockées et les déclencheurs
 En 1995, acquisition d’un puissant moteur
multidimensionnel, commercialisé sous le nom d’Oracle
Express.
 En 1997, la version 8 introduit le développement orienté
objet et les applications multimédia.
 En 1999, la version 8i est publiée dans le but d'affiner ses
applications avec Internet.
 En 2001, Oracle 9i ajoute 400 nouvelles fonctionnalités et
permet de lire et d'écrire des documents XML.

24
HISTORIQUE ORACLE

 En 2003, la version 10g est publiée, version qui


supporte les expressions rationnelles. Le g
signifie « grid ».

 En juillet 2007, sortie de la version 11 : Oracle


Database 11g, pour Linux et Windows.

 1er juillet 2013, sortie de Oracle Database 12c.

25
LES PRODUITS ORACLE

 Enterprise Edition - La gamme pour les grosses


applications critiques de l’entreprise.
 Standard Edition - La gamme pour les
applications des groupes de travail ou des
départements de l’entreprise, elle est destinée à
des serveurs possédant 4 processeurs.
 Personal Edition - La gamme pour l’utilisateur
indépendant (développeur, consultant, …), elle
utilise un noyau Enterprise Edition.

26
COMPOSANTS ORACLE POUR LE GRID
COMPUTING

 Real Application cluster (RAC);

 Automatic Storage Management (ASM);


 Oracle Ressource Manager;
 Oracle Scheduler;
 Oracle Streams.

27
Notion de Grid Computing

 Lebut du Grid est de créer des pools de


ressources:
 de stockage
 de serveurs
 Oracle11g permet à ces machines d’intéropérer;
l’ensemble étant considéré comme une seule
ressource unifiée.
- Chaque ressource est vue comme un service.

28
Exemple d’application en Grid Computing
 Les deux applications présentées ci-dessous, Facturation et
Comptabilité se partagent des ressources de deux serveurs.

29
NOTION D’ASM

 Automatic Storage Management (ASM)


permet à la base de données de gérer directement
les disques bruts.
 L’ASM répartit automatiquement toutes les
données de bases de données entre tous les
disques.
 Au fur et à mesure de l’ajout et de l’abandon de
disques, l’ASM actualise automatiquement la
répartition des données.
30
NOTION D’ASM

31
OUTILS DE DÉVELOPPEMENT
 Oracle offre l'accès à un choix d'outils et
processus de développement comme:
 Client Side Caching, Binary XML, un nouveau
compilateur Java, l'intégration native avec
Microsoft Visual Studio 2005, 2008 pour les
applications .NET,
 Oracle Application Express pour les outils de
migration.
 SQL Developer pour coder rapidement les
routines SQL et PL/SQL.
32
LES ARCHITECTURES ORACLE

33
Architecture Multi-Thread Serveur
LES ARCHITECTURES ORACLE

34
ARCHITECTURE ORACLE 11g

35
NOTION DE SCHEMA

 Le terme SCHÉMA désigne l’ensemble des objets qui


appartiennent à un utilisateur, ces objets sont préfixés
par le nom de l’utilisateur qui les a créés.
 En général, on indique sous le terme de schéma,
l’ensemble des tables et des index d’une même
application.
 Principaux types d’objets de schéma :
• Tables et index
• Vues, séquences et synonymes
• Programmes PL/SQL (procédures, fonctions, packages, triggers)

36
LE DICTIONNAIRE DE DONNEES

 C’est un ensemble de tables et de vues qui donne des


informations sur le contenu d’une base de données. Il
contient :
• Les structures de stockage
• Les utilisateurs et leurs droits
• Les objets (tables, vues, index, procédures, fonctions, …)

 Le dictionnaire de données chargé en mémoire est


utilisé par Oracle pour traiter les requêtes.

37
LE DICTIONNAIRE DE DONNEES

 Il est composé de deux grands groupes:

38
LE DICTIONNAIRE DE DONNEES

 Il est composé de deux grands groupes:


 Les tables et vues statiques
• USER_* : Informations sur les objets qui appartiennent à l’utilisateur
• ALL_* : Information sur les objets auxquels l’utilisateur a accès (les
siens et ceux sur lesquels il a reçu des droits)
• DBA_* : Information sur tous les objets de la base
 Les tables et vues dynamiques de performance
 Les vues dynamiques de performance sont : Préfixées par « V$ »
 Exemple de vues dynamiques
• V$INSTANCE;
• V$DATABASE;
• V$SGA;
• V$DATABASE;
• V$PARAMETER.
39
OUTILS D’ADMINISTRATION

Trois outils sont présents pour administrer une base de


données Oracle

 SQL*Plus (sqlplus), interface d’accès à la base de données en


mode commande
 iSQL*Plus, peut être utilisé en application indépendante ou
connecté à un référentiel Oracle Management Server (OMS)
 Oracle Enterprise Manager (OEM), appelé Grid Control ou
Database Control.
• Database control est créé à la création d’une base oracle et ne permet
d’administrer graphiquement que cette base de données.
• Grid control est un outil qui permet d’administrer une ferme de bases de
données (oracle ou non oracle).

40
SQL*Plus

41
iSQL*Plus

NB : Uniquement dans Oracle 10g 42


Oracle Enterprise Manager (OEM)

43
ROLE ADMINISTRATEUR BASES DE DONNEES ORACLE

Les taches d’administration d’Oracle sont :


 Installer et faire la mise à jour de la base de données,
 Allouer des espaces systèmes et planifier des besoins
futurs,
 De créer des objets des schémas,
 De gérer la sécurité et les ressources,
 De planifier l’archivage de données,
 De sauvegarder et de restaurer les données,
 D’arrêter et de démarrer la base,
 De contrôler et optimiser les performances de la base
de données. 44
Pause-réflexion
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45
PLAN DU COURS

ARCHITECTURE
SERVEUR ORACLE

46
ARCHITECTURE SERVEUR ORACLE
 Objectifs

 Architecture ORACLE

 Processus ORACLE

 Gestion de la mémoire

 Fichiers BDD et Instance

 Gestion Instance

 Ouverture & Fermeture BDD

 Gestion des données et TableSpaces

 Architecture OFA

 Démarrer et Arrêter une Base de Données 47


OBJECTIFS
 L’objectif de ce cours est de présenter :
- les processus qui assurent le
fonctionnement d’une instance Oracle,
 - la Gestion de la mémoire par le serveur
Oracle,
 - les fichiers d’une base Oracle et la
généralité sur les instances,
 - démarrage et arrêt d’une base de
données Oracle.
48
ARCHITECTURE ORACLE
 L’architecture oracle est constituée:
 - d’une instance
 - d’une base de données  DATABASE.

 Une instance est constituée:

 - D’une zone de mémoire partagée 


System Global Area (SGA)
 - D’un ensemble de processus d’arrière-plan
 - D’un ensemble de processus serveur

49
ARCHITECTURE ORACLE

 La Base de Données (BDD) est l’ensemble


des fichiers qui permettent de gérer les
données de la base.

 Une base de données est constituée de:


 Un fichier de contrôle

 Fichiers de Redo Log,

 D’un ou plusieurs fichiers de données

50
ARCHITECTURE ORACLE

51
LES PROCESSUS ORACLE
 Le fonctionnement d’une base de données est assuré
par un ensemble des processus imbriqué qui réalisent
de nombreuses actions.
Comme processus nous avons :
 Les processus indispensables. Ces processus sont :
DBWR, LGWR, CKPT, PMON, SMON.
 Les processus optionnels ARCH,RECO,SNPnn ou
Recover, Dnnn, etc..
 Les processus utilisateurs. Ces processus peuvent
prendre plusieurs formes suivant l’architecture
retenue : Configuration standard et Configuration
Multithread Server (MTS). 52
LES PROCESSUS ORACLE

53
GESTION DE LA MEMOIRE

 L’Architecture d’Oracle a été conçue en vue


d’une utilisation massive de la mémoire
physique.
 NB : Pour des raisons de performance, il est
impératif d’éviter la zone de mémoire virtuelle.

 Les Zones de mémoire permettent d’assurer


diverses fonctions à savoir :

54
GESTION DE LA MEMOIRE

 - Mettre en mémoire, à la disposition de


multiples utilisateurs, un maximum
d’informations et de données ;
 - Permettre aux programmes qui gèrent la base
de fonctionner en mémoire ;
 - Assurer la transmission des données entre la
base Oracle et les processus utilisateurs ;
 - Assurer la liaison avec l’application qui utilise
les données.
55
GESTION DE LA MEMOIRE
 La SGA (System Global Area) représente la
zone mémoire déterminante de votre instance,
tant par sa taille que par son rôle.
 La SGA contient les zones suivantes :

- Le cache des blocs de données (buffer cache)


 - Les buffers Redo-log,
 - La Shared Pool,
 - Une zone de communication inter-processus.

56
GESTION DE LA MEMOIRE
La PGA (Program Global Area), qui contient
entre autres, les zones mémoires allouées aux
processus.

Pour un processus serveur, la PGA contient :


- Une zone de tri
- Des informations sur la session
- Des informations sur le traitement des
requêtes de la session
- etc….
57
FICHIERS DE BDD & INSTANCE
 Les fichiers d’une base de données
• On peut classer ces fichiers comme suit :
 Les logiciels Oracle,
 Les fichiers de données,
 Les fichiers Redo-log,
 Les fichiers de Contrôle,
 Les fichiers init et pfile et spfile
 Les fichiers d’alerte et les fichiers trace
utilisateurs.
 Etc… 58
FICHIERS DE BDD & INSTANCE
Instance

Une instance est l’ensemble des processus d’arrière-plan


(background process) et de zones mémoire qui sont
allouées au démarrage de la base de données, pour
permettre l’exploitation des données.

Néanmoins, avec la mise en œuvre de l’option RAC


(Oracle Real Application Clusters), permettant
d’utiliser Oracle sur des serveurs en cluster, une base de
données peut être ouverte par plusieurs instances situées
sur des nœuds distincts d’un cluster de serveurs.
59
FICHIERS DE BDD & INSTANCE

60
FICHIERS DE BDD & INSTANCE

Une instance Oracle se compose au moins


de 5 processus d’arrière-plan :

- Le processus DBWR (Database Writer)


- Le processus LGWR (Log Writer)
- Le processus SMON (System Monitor)
- Le processus PMON (Process Monitor)
- Le processus CKPT (Checkpoint)

61
FICHIERS DE BDD & INSTANCE

62
FICHIERS DE BDD & INSTANCE
Un serveur peut accueillir une ou plusieurs instances. Chaque
instance possède son propre jeu de fichiers, ses propres
processus et sa SGA.

63
GESTION INSTANCE

 Une instance de base de données Oracle


peut être dans 4 statuts :

 - Arrêtée
- Etat NoMount
 - Etat Mount (montée)
 - Ouverte

64
GESTION INSTANCE
Démarrage d’une base de données.
Sqlplus /nolog Connect / as
sysdba Startup nomount
-création d’une base

Sqlplus /nolog Connect / as


sysdba Startup mount
-ajout, suppression de fichiers
donneés ;
-passage en mode
ARCHIVELOG et
NOARCHIVELOG

Sqlplus /nolog Connect / as


sysdba Startup open
-travail normal
65
OUVERTURE D’UNE BASE DE DONNEES
 Démarrer l’instance avec la commande STARTUP
 Syntaxe
 STARTUP [FORCE] [RESTRICT] [PFILE=filename] [QUIET]
 [ MOUNT [dbname]
 | [ OPEN [open_options] [dbname] ]
 | NOMOUNT ]
 open_options := READ {ONLY | WRITE [RECOVER]} | RECOVER

 Ouverture d’une base de données


 FORCE,
 RESTRICT,
 OPEN,
 RECOVER,
 MOUNT. Pour l’ouvrir « ALTER DATABASE OPEN »
 NOMOUNT
• « ALTER DATABASE MOUNT »,
• « ALTER DATABASE OPEN »
66
FERMETURE D’UNE BASE DE DONNEES

ABORT,
IMMEDIATE,
NORMAL,
TRANSACTIONAL.
67
GESTION DES DONNEES ET DES TABLESPACES

Structure physique
Fichier de contrôle
Fichiers de reprise
Fichiers de données
Structure logique
Tablespace
Segment
Extent
Bloc
68
NOTION DE TABLESPACE
Tablespaces
Le tablespace est un regroupement logique de fichiers physiques

69
SYNTAXE CRÉATION TABLESPACE
CREATE TABLESPACE tablespace
DATAFILE file [autoextend_clause]
[,file [autoextend_clause]
SIZE integer [ K | M ]
[ MINIMUM EXTENT integer [ K | M ]]
[DEFAULT storage_clause]
[PERMANENT | TEMPORARY ]
[ ONLINE | OFFLINE ]

storage_clause := STORAGE (
[INITIAL integer [ K | M ]]
[NEXT integer [ K | M ]]
[MINEXTENTS integer]
[MAXEXTENTS [integer | UNLIMITED]]
[PCTINCREASE integer] )

70
ARCHITECTURE OFA
OFA, Oracle Flexible Architecture, est un
ensemble de recommandations sur l’arborescence et le
nommage des fichiers du serveur.
Le répertoire /oracle/oradata/gpi5/ contient les
fichiers de la BDD « gpi5 »
Le répertoire /oracle/admin/gpi5/ contient les
répertoires destinés aux exports Data Pump ou non de la
base de données.
Le répertoire /oracle/diag/ contient les répertoires
/oracle/diag/rdbms/gpi5/gpi5/
Le répertoire /oracle/product/11.2.0/dbhome_1
contient les répertoires des binaires d’oracle.
71
DEMARRER ET ARRÊTER BDD ORACLE

72
DEMARRER ET ARRÊTER BDD ORACLE
Pour rendre une base accessible à tous les utilisateurs, il
faut démarrer une instance et ouvrir la base avec cette
instance.

Il y a trois étapes dans le processus de démarrage :

Démarrage de l’instance
Montage de la base
Ouverture de la base

Un fichier de paramètres SPFILE est lu lors du


démarrage de l’instance. Il permet de configurer les
paramètres de l’instance.
73
Pause-réflexion
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74
PLAN DU COURS

INSTALLATION
SERVEUR ORACLE

75
INSTALLATION SERVEUR ORACLE
 Objectifs

 Pré requis

 Architecture Client – Serveur

 Installation Serveur Oracle

 Notion de LISTENER

 Création de la Base de Données

 Connexion aux outils d’Administration Oracle

 Installation Client Oracle 76


OBJECTIFS
 L’objectif de ce cours est de présenter :
- Les étapes nécessaire pour
l’installation d’un Serveur Oracle 11g,
 - Comment mettre en œuvre une base
de données,
 - Les éléments nécessaire pour
l’administration de la base de données.

77
PRE - REQUIS
 Préparations des systèmes d’exploitation et des
machines
 Cas Unix : création d'un compte Oracle, création d'un
groupe dba, Compilation du noyau si utile UNIX : ajout de
sémaphore, création de l’architecture OFA
 Cas NT : se connecter sur la machine comme
‘Administrateur’
 Estimer 1'espace disque nécessaire pour les produits a
installer et la base de départ
 Positionner les variables d'environnement
ORACLE_HOME et ORACLE SID,...

78
PRE - REQUIS

 lancer l’exécutable fournit avec la distribution :


 Sous UNIX : dans 1'environnement motif lancer
oraclelnstaller
 Sous NT : lancer SETUP depuis le premier CD
 Choix d’un type d’installation (complète, custom,
minimal,...)
 Choix du ou des produits a installer ou a upgrader(mis
à jour)
 Saisie des informations liées à la base de départ (si
première installation)

79
ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR

 Oracle  stocke les données dans des


fichiers sur le Serveur
 Le Serveur  comporte aussi un
programme qui sait lire et écrire les
données, et communiquer avec les
Clients
 Les Clients sont situés sur des machines,
reliées au Serveur par un réseau.
80
ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR

CLIENTS SERVEUR
- Installer le programme
Client Oracle - Installer le programme
- Créer le fichier de paramètres - Créer la base de données
- Créer des applications client (les fichiers)

81
INSTALLATION SERVEUR ORACLE

82
La notion de LISTENER
Le « LISTENER » est un service d’écoute des connexions pour accéder à la base de
données, il autorise les connexions clientes sur votre base de données en utilisant des
ports de communication.

83
CREATION D’UNE BDD
Lancer l’Assistant configuration de la base de données
A partir de l’invite de commande (Clic-droit  Mode Adfministrateur)
Utiliser l’instruction « dbca »

Dans le cas où le LISTENER n’est pas installé, le faire avec la commande


« netca »
Dans le cas contraire, utilisé l’instruction « dbca »
‘DataBase Configuration Assistant’ ou
‘Assistant de Configuration de Base de Données’
84
CREATION D’UNE BDD

85
OUTILS ADMINISTRATION ORACLE

SQL Plus

OEM

86
OUTILS DEVELOPPEMENT ORACLE

Oracle SQL
Developer

87
INSTALLATION CLIENT ORACLE

88
Pause-réflexion
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89
PLAN DU COURS

CONFIGURATION
SERVEUR ORACLE

90
CONFIGURATION SERVEUR ORACLE

 MIDDLEWARE D’ORACLE

 Oracle Net

 LISTENER

 OEM (Oracle Enterprise Manager)

91
MIDDLEWARE
 Le middleware est un ensemble de logiciels et
de matériels entre le serveur de données et
l’application cliente. Dans une infrastructure
réseau Oracle, le middleware est composé
d’Oracle Net et d’autres outils de
communication comme :
 Java JDBC pour Linux,
 Oracle Objects pour OLE
 Le pilote ODBC dans un environnement
Windows.
92
ORACLE NET

Oracle Net est composé d’une partie cliente et d’une partie serveur
qui doivent être installées et configurées séparément

93
ORACLE NET

94
LISTENER
Le « LISTENER » est un service d’écoute des connexions pour accéder à la base de
données, il autorise les connexions clientes sur votre base de données en utilisant des
ports de communication.

95
OEM

96
Pause-réflexion
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97
PLAN DU COURS

ADMINISTRATION
Oracle 11g

98
CONFIGURATION SERVEUR ORACLE

 Gestion des TableSpaces

 Gestion des Privilèges

 Gestion des Utilisateurs

 Gestion des Rôles

 OEM (Oracle Enterprise Manager)


99
GESTION DES TABLESPACES
 Un Tablespace
est une unité logique de stockage
composée d’un ou de plusieurs fichiers
physiques.

100
GESTION DES TABLESPACES
 Script de création d’un TableSpace
CREATE TABLESPACE tablespace
DATAFILE file [autoextend_clause]
[,file [autoextend_clause]
SIZE integer [ K | M ]
[ MINIMUM EXTENT integer [ K | M ]]
[DEFAULT storage_clause]
[PERMANENT | TEMPORARY ]
[ ONLINE | OFFLINE ]
storage_clause := STORAGE (
[INITIAL integer [ K | M ]]
[NEXT integer [ K | M ]]
[MINEXTENTS integer]
[MAXEXTENTS [integer | UNLIMITED]]
[PCTINCREASE integer] )
101
GESTION DES PRIVILEGES

 Un privilège est un droit d'exécuter une commande SQL


dans une base de données.
 Il existe deux types de privilèges:

 Les privilèges SYSTEM qui sont des droits d'ordre général
 (Exple : lire n'importe quelle table de la base) permettant
d'exécuter certaines actions dans la base de données
 Les privilèges OBJET qui donnent des droits plus limités
sur un objet que l'on nomme
 (Exple: lire la table Etudiant de Tom).

102
GESTION DES PRIVILEGES

Quelques commandes sur les privilèges

 GRANT [DBA/PRIVILEGE] ON [OBJET]


 TO [ROLE/UTILISATEUR/PUBLIC]
 WITH GRANT OPTION

 REVOKE [DBA/PRIVILEGE] ON [OBJET]


 FROM [ROLE/UTILISATEUR/PUBLIC]

103
GESTION DES UTILISATEURS
 Script de création d’un TableSpace

CREATE USER [nom d'utilisateur]


IDENTIFIED BY [mot de passe]/externally]
DEFAULT TABLESPACE [tablespace]
TEMPORARY TABLESPACE [tablespace]
QUOTA [TAILLE M] on [tablespace]
PASSWORD expire
PROFILE [nom du profil]
ACCOUNT [lock/unlock]

104
GESTION DES ROLES
Un rôle est un groupement de privilèges ou même
de rôles. Celui-ci permet de faciliter la gestion des
privilèges dans la base de données.

 Script de création d’un Rôle


CREATE ROLE [nom du role]
[not identified]
[identified by password/externally]
105
OEM

106
Merci de votre
attention !!

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