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De la mine à la décharge : un

modèle actuel limité


L’ideal de l’economie circulaire
L'économie circulaire est une expression générique désignant
un concept économique Il s'inscrit dans le cadre du
développement durable.

ADEME « L’économie circulaire peut être définie comme un


système économique d’échange et de production qui, à tous
les stades du cycle de vie des produits (biens et services),
vise à augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et
à diminuer l’impact sur l’environnement tout en développant le
bien être des individus ».

S’oppose à l’économie « linéaire » : extraire, produire,


consommer, jeter
 Pourquoi l’EC circulaire est
désormais incontournable
- L’humanité consomme déjà une fois et demi les ressources
annuelles disponibles,

- Croissance démographique incontrôlée,

- 31% des denrées alimentaires sont gaspillées le long de la chaîne


de valeurs,

- Le monde croule sous les déchets,

- Les automobiles restent stationnées 92% du temps,

- Les bureaux sont en moyenne occupés 35% à 50% du temps

-………………
1 ère limite : la croissance de la population
2 nde limite : une demande exponentielle en
matières premières
Biomimétisme

une entreprise canadienne, WhalePower, qui


développe la technologie. Ses ingénieurs ont
reproduit minutieusement et affiné ces
tubercules, pour permettre une application
prometteuse non seulement aux éoliennes,
mais aussi aux pales de ventilateurs, aux
turbines...
Les 7 domaines clés de l'économie circulaire
Couches jetables ou lavables ? Telle n’est pas la question.
Economie circulaire: Fin de vie
des couches culottes
Un bébé pourra produire 1000 kg de terre noire en 1 an, ce
qui permet d’apporter suffisamment de nutriments pour
planter 1000 arbres fruitiers. Avec un partenariat local il est
alors envisageable de reconcevoir les espaces d’une ville.
Chaque arbre peut produire 50 kg de fruits, soit en 25 ans
pour 1000 bébés, 1 250 000 tonnes de fruits. D’après Dycle,
le prix d’un arbre planté revient à 5 euros. L’investissement
pour 100 familles serait de 500 000 euros.

L’idée est de construite une communauté qui peut se


retrouver et échanger autour d’une économie locale. Les
couches culottes sont donc produites localement et les arbres
plantés de même. Le professeur Seliger et son équipe
conçoivent des machines capables de produire 2.8 millions de
couches en 1 an, assez pour répondre aux besoins de 1000
familles.

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