D'autre part, Djibouti, le progratnrne VIII/SIDA s'arlicr-rle uniquernent dans l,octroi

de rndicaments antirtroviraux alors

qu'il existe deux aulres lnesures essepticllcs

dans

la lutte contre cette maladie, savoir l'accotnpagnerncnt et la scnsibilisaticln et qui sont

tout autant dterminantes. Aussi, selon les parlernentaires, en dehors dr-r flnancel,ent. il
existe d'autres fflesures de protection pour les personnes vivant avec le
stigmatisation dans l'ernploi.

VIII cor,,re

Il est donc irnportant quc la lutte doit aussi se porter

la

ce

niveau carla stigrnatisation nat aux portes du centre Yonis foussaint.

Pour les parlementaires,

il

est de mme ncessaire d'envisager de dcentraliser les

autres services de soins de Yonis Toussaint dans d'autres centres de la ville. En ef-fet,

le centre Yonis Toussaint accueille aussi des patients qui ne vivent pas avec le VIH
puisque cette institution effectue aussi d'autres soins qui ne concernent aucunement le
VIH/SIDA.
Au niveau des rgions, le ministre de la sant a transfr des mdecins dans plusieurs
centres de sant. Cependant, les parlementaires s'inquitent de voir

qu'il arrive encorc

qu'un patient se dplace dans une autre localit pour fire une analyse parce que leur
centre n'en dispose pas.

Concernant le secrtariat excutif, le rninistre de la sant a reconnu que sa situation est

dlicate et l'irnage ternie a mouss la conflance des partenaires. Cependant,

il y a une

volont relle de rendre au secrtariat excutif, le rle qui tait le sien. De ce fit, le

ministre de la sant a procd

la

restructuration

et au

rarnnagement pour

rhabiliter ce dpartement pour qu' l'avenir une telle situation ne se reproduise plus.
Toutefois, durant les trois annes o le progralxme VIIJISIDA a t mis lnal, il n,y a
jarnais eu d'interruption des mdicaments (antirtroviraux, consommables, ractifb,

etc.)' Selon le rninistre, les 736 000 dollars du gouvernement n'ont pas seulement t
destins l'achat de mdicatnents, rnais ils ont aussi servi payer les accompagnateurs
qui travaillent dans le pays.
Par contre, pour Ia sensibiliszttion, lc rninistre de la sant a soulign la consquence des

lnoyens flnanciers nccssaircs

ct qui lirisaicnt

erctucllement dfut pour firc face

notamment aux cots dcs rel"ransrnissions la ILl'D.