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VUE
Tae
lis résument les cing types de rencontres
lites rapprochées dyn.
1) Uobservation de lumiéres Iointaines
‘aux performances impossibles selon notre
physique, cela ne produit ordinairement
‘aucun trouble ni séquelle psychique ou
physique sur le témoin, sinon parfois un
changement eatttude vis-ivis du phéno-
rméne, voire de conception du monde. On
peut ici parler de témain ou dobservateur,
‘avec conservation du libre arbre. Ce cas
correspond & la rencontre rapprochée du
| 1 type ou RR1, traduction erronée de “lo
sed encounter” (rencontre de prés), ce ne
sont pas les rencontres qui sont reppro-
chées, mais les protagonistes de la rencon
tre, Ialiéne et sa victime. CestIaléne qui
cécide du deoré de proximité. Rencontres
rapprochées signifierat rencontres.itéra
tives fréquentes. Luflogie manque de
rigueur sémantique, premiére condition du
traltement scientifique ctun phénoméne,
2) La rencontre de prés avec un engin
atterri ou en quasratterssage, émettant
le plus souvent une énergie lumineuse et
thermique intense, avec ou sans sortie de
Téquipage, bipédes hominiens en général
du type banalsé par la publicté désinfor-
matrice banalisante, rain gris-blanc &
‘grosse téte en ballon de rugby vertical, 8
nez, bouche et orlles absents ou esquis-
Les trois types d'incidents ovniens
ss, & grands yeux noirs ovaes 8 grand axe
Incliné de haut en dehors & en bas en
dedans, sans irs ni pupille, insondables
hors normes. Cette rencontre avec fin:
connu, sous dominance mentale et physique
du phénoméne, méme en rabsence appa-
rente denttés exobilogiques, provoque des
‘roubles somatiques, transtoires ou durables
et des troubles psychologiques et ou psy
chigues intenses parfois durables. Ce rvest
as un observateur nl un témoin, mas une
Vitime, mme sl peut parfois observer et
témoigner. Ce sont les RR2 et RRB dHynek.
3) abduction ou enleverer
aliénes (ou scénaro percu comme tel) d'un
hhumain ou dun couple avec examen cl
nique et cosliochirurgical. Dans ce cas et a
fortor si enlévement se répate, les dégats
psychophysiques sont majeurs,
Ce sont les RR4 et RRS Hynek, Mais
‘quand une rencontre de prés a été longue,
fon peut soupconner une abduction & la
le, dont tout souvenir a été gommé.
Pour ces vértables séances de torture psy:
chigue et parfois physique, ces rapports de
maitre &esclave, de prédateur &prisonnier,
les ufologues décalquent le mot expérience
ui en anglais signifie épreuve, mésaven
ture, épreuve pénible. Ce mot bien adapté
en anglais &la situation, est ce que les lin
duistes nomment un faux ami
par des
“Si nous refusons l'absurdité et ltrrationnel de
rere ee ue
sur eux (Aimé Michel) et nous maintiendrons
eg urea
DEAUTCUR
Jecaues Costagola. ple-nor, médecin, a pour
poles eintoret evolution darwinionne, la sub-
Imersion de la langue parfanglals de cusine,
{et ovniologe 1! compte parmisos prochos dos
‘émoins dincidents ovmlens. Pour ul ne fait
as de douto que la rencontre de prés avec le
[hénoméne_niest_ pas une. texpérience’
‘comme on dit, mais une éprewe spéctique
Lunique, un vio psyenique et, pares, physique.
Patier dexpétience en frangals ne recon-
ait pas Yétat de victime, de passivté,
sousrentend que le sujet 2 matisé [évé=
rement, stst enrich, a fait une exp
Fience, alors quil a été totalement sous
commande du phénoméne, et méme
quand i it avoir acquis des propiétés psy
chigues, ce sont des idées, impressions ou
des propriétésinjectées par le phénoméne
par une méthode hypnotélépathique. Le
mot experience gomme la soufrance et la
torture morale des vices.
Si fon ajoute que i scence eta société ne
croient pas les victimes et rient la réalté
du phénaméne et prennent ces gens pour
des cinglés ou des coupables, on vit que
le sujet est doublement victime, du phéno-
mmne et de la société, di son silence et
son retard & consulter, ne pouvant avover
Vorigine de ses troubles sans passer pour
un dérangé mental et risquer les quolibets,
oir rhépital psychiatrque.
ae
(8
Files, épisode 29 “Duane Barry”Les domaines de réalité du phénoméne ovnien de Vallée-Davis
Avant analyser les effets physiologiques
c’t pathologiques du phénoméne sur les vic-
times, hommes, animaux, végétaux, 1
convient de les replacer parmi les autres
‘manifestations atibuses au phénoméne.
Il est trivial de dire que toutes les disci-
plines sont ou seront concernées pat le
pPhénoméne. Pour ce fare, nous emprunte-
rons & Vallée et Davis (2003), leur dlasse-
ment des aspects polymorphes du phéno
rméne et de leur retentissement sur les
humains, en six domaines dinformation ou
de réalt, en modifiant quelque peu la ter-
minologie clinique et en appelant & le com-
pléter. Ce classement est appelé 8 rempla-
‘er celui ¢Hynek qui se imtat aux aspects
visible du phénoméne. I rend en compte
les aspects physiques, biologiques (soma-
tiques, psycholosiques et psychiques), et
sodecutures.
‘souvent impact psychologique et psychique
‘raumatisant, peur, panique, angoisse,
abattement, prostraton, moins souvent,
feuphorie, sentiment d'amour universe,
‘exaltation, adhésion secaire, mysticisme.
4) Domaine somatique
La physllogie est étude des fonctions nor-
‘males des organes. La pathologie est tude
des troubles foncionnels, généraux et soma-
tiques des organes. La physiopathologie
trate du passage de la perception physilo-
‘sigue la pathologie par intensé du stmu-
lus. créant la perception. Physiologie,
pathologie, physiopathologie, s‘appiquent
‘au somatique et au psychique. Les ufo-
gues parient depuis 60 ans de troubles
physologiques, termes antinomiques, oxy-
‘mere du type pygmée géant. Un trouble est
pathologique par défniton. Physoiogique
‘Soppose & patholoique, somatique soppase
GG vaiise et davis ont classé les aspects
polymorphes du phénoméne en six domaines
information ou de réalité 59
1) Domaine physique
CCe sont les aspects du phénoméne inter-
prétables dans le cadre de la physique clas-
sique 1 formes géomdtriques, dépiace-
‘ments en 30, phénoménes lumineux, lec-
tromagnétiques, enregstrements.
2) Domaine exophysique
Les performances cinétiques et énergé-
tiques des lumiéres et engins en vol ou au
sol relévent dune physique exotique :
Energie quasilimitée, miniaturisée, trans-
Portable, iuminosté quasi solaire, vitesses
ft manoeuvres impossibles sans inertie,
viages & angle doit ou aigu, démarrage &
vitesse dfemblée maximale, arét ou inver-
sion du cap sans freinage préalable, ant-
‘gravitation, manipulation de la lumiére, de
la matiére, et du temps.
3) Domaine psychique
II Segit des états de conscience modiiée
«du témoin pendant et aprés la rencontre
relevant de la psychologie et dela psychia-
trl tereste :
= Avant la rencontre, ces gens sont nor
aux avec les quilemets d'usage.
= Pendant, is se sont dabord efforeés ¢'n-
terpréter rationnellement leur observation
Jusqu’s ete acculé &nevorable diagnostic,
incon.
= Pendant et aprés fobservation, rarement
Indiférence et absence d'émotion, le plus
@ psychique, fonction & organe, trouble
fonctionnel 8 trouble physique, troubles
corganiques troubles généraux.
5) Domaine exopsychique
Manifestations surpsychiques attributs des
allénes : communication télépathique,
‘manipulation du cerveau dela vietime, pol
tergeists, manifestations paranormales,
parfois partielement transmises aux
humains.
6) Domaine culture!
“Typologie des témoins : toutes les classes,
QU; 8ges, sexes, méties, sont représentés
dns les RRI. Les RR2 et RR3 semblent
Gpargner enfants, adolescents et viellards
Les abductions commencent dans fenfance
cet durentjusqu’ la fin de la période dact-
vité reproductrice. On a qulun exemple de
+ Files, épisode 29 “Duane Barry”
Z
Les enlévements semblent épar
classe d'age des enfants, adol
et vielliards
‘grand de ce monde parmi les enlevés, un
secrétaire général de YONU.
~ Les observations ont ieu 2u cours des
‘activités habituelles socoprofessionneles
des victimes.
= On note fappréhension ou "Yinappréhen-
sion” du phénoméne par Pomme, par la
société, par thumanité : des réactions
contradictoires ; rejet théorique de toute
possblté dintrusion extraterrestre ; rejet
lnrationnel et abstention coupable des
sclentiques ; ambiguité des powvots pol-
tiques et mites ; couverce de ridicule et
{de désinformation appiquée par les médias
sur le phénoméne, incompréhensble, car
rabitude les médias sont plutét friands
du sensationnel ; oubl du principe de pré-
caution, silence de favateur et du militaire
témoin du phénoméne.
+ Le probléme de Iincommensurablité pro-
beable entre nos psychismes, nos organes
es sens, et les leurs.
+ Lethnocide de contact ou de désintgra-
‘ton de la société dominée dans une ren-
contre asymétrique,telle une tribu amérin-
denne vsitée par des ethnologues. Quand
nous en saurons plus sur eux, le classe
ment sera 3 compléter par un 7=domaine
‘exobilogique et un 8 exoculturel.Les effets somatiques
Les effets du phénoméne ovnien sur
homme reavent
41) De sensations et perceptions physio:
diques, mais éranges.
2) De sensations et perceptions paronys-
tiques, intolérables, pathologiques.
3) Dune patholoale somatique connue de
la nosologie classique des symptimes, syn
éromes, maladie, traumatismes.
4) Diune exoneurologie spécque avec
action physique et ou psychique, sur la
volonté, la mémoire, la commande cort-
cale des mouvements volontares.
Sensations et
perceptions étranges
1 sagit plus souvent de sensations pri-
aires, car la nouveauté absolue de la
scéne percue ne permet pas toujours fin
‘terprétation en perceptions,
Une sensation est basique, une perception
est une sensation interprétée. En effet, on
re connaft pas, on reconnalt. Od a pro-
fusion et la contradiction des réponses par
analogie données par chacun au méme sti=
rmulus qui témoignent de réactions succes
ves détonnement, dinconfort, de peur,
e panique.
Le “monstre” de Flatwoods!
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Pee eee
= Des perceptions optique bizares: objets
et lumiéres aux vitesses et manceuvres
impossibles, aéronets discoides, triangu
lates, eliptiques ou rectangulaires, ents
ranges, le plus souvent des nains banc:
gris & grosse téte ovcide et & yeux nos
Immenses sans pupil, aux membres et au
tron graciles, des couleurs jamais vues,
peut effets dionisation, des tubes de
lumiére solid, interrompus avant dattein-
Gre le sol, sans diminution de Fintensité
avec la longuewr, cyindtique & section
franche, avancant ou reculant lentement,
es feisceaux courbes, morceés,Iairage
plein jour de tout un secteur au milieu de
la nut sans vision de la source, ete
Des sons divers: bourdonnements,sife-
ments, russsements, bruit ‘abel, voire
assourdissants, mais le plus souvent un
sence vrai, celulétonnant du phénaméne,
‘mais aussi celui de la Nature, de tout ce qu
wit, vole, rampe, et qui, confronté 8 rin
connu se plangue et fait le mort;
- Des vibrations, tréldations, percues par
os sens interes;
Une sensation inattendue de déplacement
ar, brise ou bourrasque ;
= Un changement brutal de température,
chaleur ou fro intense, voire mite ;
= Des adeurs, d'euf pour, soufre, moist,
‘usc, azone, de métal ;
= Des frissons, tremblements, crampes,
paresthésies cutanées (sensations innabi-
tuelles et sans signification), dysesthésies
(sensations dverses fortes, péniles, dou-
loureuses),
‘Sensations et perceptions
paroxystiques traumatisantes
Par expostion & de puissantes sources
énergéiques, lumineuses et autres, trans-
formant la sensation en agression physique
- Lumigres ébloussantes, rendant aveugle
transitoement, et provoquent une rézc-
tion conjonctivale, rougeur et larmotement
Immédiats. On ne peut et ne doit pas
regarder un ovnilumineux proche, pas plus
(que le Solel
- Odeurs décenchant nausées et vorisse-
ments, odeur Acre écceurante (DS.
Desvergers, Palm Beach, Flaride,
19/08/1962), odeur acre, métalique qui
falt vomit les enfants a Flatwoods le
12/09/1952).
- Froid ou chaleur extréme obligeant& quit-
ter sa volture, & séjecter d'un avion
(02/04/1954, Ney DC)
Effets pathologiques classiques
Ce sont les sgnes fonctionnels,lsionnels et
cnéraux présentés par le témoin une ren
contre de prés, constatés aprés la rencontre
(ou apparus le lendemain. Is ne sont pas