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SWISSDAUPHY GROUP, Département législatif et service juridique médiateur

Décision : Réf. Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh № 425/ c.- Ord.- SG №474 1
Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

1 Réf. Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh / N° 425, sous correction de l’Ord.-SG N°474 - A
2 Expéditeur
3
4 SWISSDAUPHY GROUP
5 Département Législatif
6 Service Juridique & Médiateur
7 CH - 3007 BERN 23
8 Courriel : dbk@europe.com
9 Destinataire
10 Tribunal Cantonal des
11 Assurances Sociales de
12 la Ville et Canton de
13 Genève
14 Av. du Mont – Blanc 18
15 Case postale 1955
16 CH – 1211 Genève 1
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18 ORDONNANCE - SG DU 28 AVRIL 2009


19 en annulation du projet ATAS* A/439/2009
20 du Tribunal Cantonal des Assurances
21
22 *notifié le 22 avril 2009 par le Tribunal Cantonal des Assurances
23 Sociales de la Ville et Canton de Genève (TCAS).
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25
26 Vu que les conditions de l’article 53 de la LFDS à référence de la LPA ne sont pas remplies par le tribunal.
27 Vu l’article 46, l’article 47, l’article 48 et l’article 67 alinéa 3, tirés de la LFDS à référence de la LPA.
28
29 Entrée en matière :
30
31 Quand le recours est accepté (16 septembre 2008), l’autorité de recours saisie (TFAS) peut imposer la révision d’une
32 décision, et elle peut se permettre de renvoyer dans ce sens, ce, devant la juridiction en tort, toute affaire de droit ayant
33 fait la cible d’une mauvaise décision se trouvant attaquée par voie de recours pour ce juste motif. Elle renvoie l’affaire
34 directement pour nouvelle décision à ladite autorité qui a statué dans l’erreur, et elle lui impose un délai rapide, lequel,
35 toutefois ne peut ni excéder, ni être moindre que celui prescrit dans le cadre de tout délai prévu par la Loi officielle suisse.
36
37 Toutefois, la première autorité qui avait statué en première instance peut, ce, en cours de toute procédure d’appel auprès
38 de l’autorité de recours, reconsidérer ou retirer sa propre décision. Elle ne peut néanmoins pas le faire après la nouvelle
39 prise de décision émanant de toute autorité officielle suisse compétente en matière de recours. En pareil cas, lorsque la
40 première autorité revient sur l’une de ses décisions dans le délai requis, elle se doit de notifier sans délai sa nouvelle
41 décision à chacune des parties inscrites dans sa procédure, ou à l’ancien traitement, et dans ce cas, la première autorité a
42 pour obligation d’en donner bonne connaissance à l’autorité de recours en charge.
43
44 Toutefois, lorsqu’aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s’y oppose, la juridiction officielle suisse de recours, et
45 reconnue compétente en la matière, peut, sur demande de la partie dont tout intérêt de droit s’en trouve gravement
46 menacé, retirer ou faire restituer l’effet suspensif de manière adéquate.
47
48 L’autorité officielle suisse compétente en matière de recours continue à traiter tout recours de droit déposé et inscrit
49 auprès d’elle dans le cadre de sa juridiction, ce, dans la mesure où et du moment que la nouvelle décision de la première
50 autorité ne la rend toujours pas sans objet de recours en sa matière de droit. L’autorité de recours, somme toute, doit
51 donner la possibilité à toute partie recourante de se repositionner, le cas échéant, ce rendant nécessaire.

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Décision : Réf. Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh № 425/ c.- Ord.- SG №474 2
Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

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53 Texte d’ordonnance
54 À qui de droit
55
56 Vu le contenu du courrier recommandé suisse n° 99.00.120067.10335868 du 25 septembre
57 2008 adressé par le Tribunal Cantonal des Assurances Sociales de la Ville et Canton de
58 Genève, dans le cadre d’une affaire de droit civil et administratif opposant la Caisse Cantonale
59 Genevoise de Compensation (CCGC), à Madame Justine Nenagou, la défendresse, devenant ci –
60 après la recourante de droit. Vu le vice de forme établi dans le traitement par le tribunal,
61 du projet de décision sus – visé. Vu que le projet de décision sus – indiqué ne recouvre pas la
62 légalité requise, il ressort après expertise que les auteurs du tribunal produisent en l’état un
63 faux, sur lequel le Tribunal Fédéral des Assurances Sociales (TFAS) ne peut se prononcer, ni
64 entrer en matière. Vu que ces écritures du tribunal cantonal sus – nommé seraient rendues
65 infractionnelles à la loi officielle suisse en vigueur, si elles devaient être considérées comme
66 décision dudit tribunal cantonal indiqué. Vu les problématiques incriminant le tribunal sus –
67 nommé, notamment celles des faux dans les titres provenant de sa juridiction, du
68 détournement de rente, d’abus de confiance, du déni de justice évident en la forme et
69 le traitement de l’affaire. Vu que le tribunal cantonal avec son envoi postal
70 n°98.32.108142.00844369 du 22 avril 2009 ne joint aucune quittance postale démontrant la
71 validité d’une transaction financière postale officielle.
72
73 Vu le volet III (portant sur la sécurité de la procédure administrative fédérale et cantonale) de
74 la Loi fédérale de Schengen (soit : la LFDS { référence de la LPA), déposé auprès de l’autorité
75 compétente, le tribunal cantonal des assurances sociales la recevait intégralement pourtant, ce,
76 en date du 12 février 2009 également.
77
78 En vertu de ce qui précède, déclarons et dénonçons par les faits :
79
80 Qu’aucun recours devant le Tribunal Fédéral ne peut être déposé sur la base d’une copie de
81 décision émanant d’un tribunal cantonal suisse. Le tribunal se doit de produire des originaux {
82 toute demande des parties.
83
84 L’abus d’autorité du tribunal cantonal sus - nommé, au sens de l’article 312 du code pénal
85 suisse, lequel ouvrage admet : que les membres d’une autorité et les fonctionnaires qui, dans le
86 dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, ou dans le dessein de nuire
87 à autrui, auront abusé des pouvoirs de leur charge, seront punis d’une peine privative de liberté
88 de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
89
90 L’infraction du tribunal au sens de l’article 1er du code civil suisse, lequel ouvrage admet : que
91 la loi régit toutes les matières auxquelles se rapportent la lettre ou l’esprit de l’une de ses
92 dispositions. A défaut d’une disposition légale applicable, le juge prononce selon le droit
93 coutumier et, { défaut d’une coutume, selon les règles qu’il établirait s’il avait { faire acte de
94 législateur. Il s’inspire des solutions consacrées par la doctrine et la jurisprudence en respectant
95 la bonne foi, l’intégrité de sa conduite, et la charge de ses responsabilités.
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Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

99 La tentative du tribunal de produire un nouveau faux dans les titres au sens de l’article 317 du
100 code pénal suisse, lequel ouvrage admet : que les fonctionnaires et les officiers publics qui
101 auront intentionnellement créé un titre faux, falsifié un titre, ou abusé de la signature ou de la
102 marque à la main réelles d’autrui pour fabriquer un titre supposé, les fonctionnaires et les
103 officiers publics qui auront intentionnellement constaté faussement dans un titre un fait ayant
104 une portée juridique, notamment en certifiant faussement l’authenticité d’une signature ou
105 d’une marque { la main ou l’exactitude d’une copie, seront punis d’une peine privative de liberté
106 de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. La peine sera l’amende si le délinquant a agi par
107 négligence.
108
109 Le déni de justice formel du tribunal, au sens de l’article 261 bis alinéa 4 du code pénal suisse,
110 lequel ouvrage admet : que celui qui aura refusé à une personne ou à un groupe de personnes,
111 en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, une prestation destinée { l’usage
112 public, sera puni d’une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire ;
113
114 Le déni de justice formel du tribunal, au sens de l’article 69 alinéa 4 de la LFDS { référence de la
115 LPA, lequel ouvrage admet : que lorsque la juridiction officielle suisse compétente en matière
116 de recours décide d’accepter tout tenant et aboutissant d’un recours de droit dont elle a été
117 saisie, et même quand elle admet partiellement les motifs du recours (ce qui fut le cas en date
118 du 16 septembre 2008) ; Et quand elle accepte le tenant et aboutissant de tout recours de droit
119 formulé contre déni de justice ou retards injustifiés. Dans ce cas, elle peut renvoyer l’affaire {
120 l’autorité inférieure en lui donnant toute instruction impérative et de droit, afin que l’autorité
121 inférieure corrige sa décision en rétablissant le bon droit du recourant, et la normalité attendus.
122
123 Que le tribunal se rend coupable au sens de l’article 251 du code pénal suisse, lequel ouvrage
124 admet : que celui qui, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits
125 d’autrui, ou de se procurer ou de procurer { un tiers un avantage illicite, aura créé un titre faux,
126 falsifié un titre, abusé de la signature ou de la marque à la main réelles d’autrui pour
127 fabriquer un titre supposé, ou constaté ou fait constater faussement, dans un titre, un fait
128 ayant une portée juridique, ou aura, pour tromper autrui, fait usage d’un tel titre, sera puni
129 d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire. Dans les cas de
130 très peu de gravité, le juge pourra prononcer une peine privative de liberté de trois ans au plus
131 ou une peine pécuniaire.
132
133 Que le tribunal de mauvaise foi commet le déni de justice formel contre la recourante,
134 sciemment. Et vu la teneur de l’article 90 de la LFDS, à référence de la LPA, concernant la
135 définition de la clause abrogatoire en annulation de décision, lequel ouvrage admet : que la
136 clause abrogatoire a pour effet d’annuler sur le plan légal, ce qui a été voté ou institué par le fait
137 d’une décision. Le Tribunal compétent en matière des assurances sociales peut en l’état
138 réformer : soit au détriment du recourant, soit à sa faveur, toute décision attaquée ; De même,
139 le Tribunal compétent en matière d’assurances sociales peut avec justesse accorder au
140 recourant plus qu’il ne lui avait demandé. Le Tribunal doit au préalable donner { chaque partie
141 habilitée l’occasion de se prononcer, soit autrement, il doit au moins lui offrir la possibilité de
142 pouvoir retirer tout recours de droit qu’elle lui a formulé, ce, d’autant plus si la future décision {
143 en attendre risquerait en l’état de lui être rendue plus défavorable. Dans ce cas, le Tribunal peut
144 offrir à chaque partie les deux possibilités en même temps. Il est interdit audit tribunal, d’agir
145 fallacieusement et délibérément au détriment de la partie recourante habilitée. Toute
146 disposition légale de l’article 322 ter et les suivants, de la LFDS à référence du code pénal
147 helvétique suisse, et visant une interdiction, est observable en l’état. Le tribunal devait réformer
148 { faveur de sa recourante la décision. En l’état des écritures indiquées, le tribunal se fourvoie
149 gravement.

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150 Que lorsqu’une lettre de droit, ou si un mémoire de droit n’est pas conforme { chacune des
151 règles exigées par la loi, dans ce cas : l’infraction du tribunal est prononcée, si le Tribunal
152 compétent devait impartir un délai convenable à tout auteur mandataire de sorte que ce dernier
153 puisse compléter de manière adéquate ses travaux de droit, mais qu’en l’état, le tribunal omet
154 d’aviser le mandataire, et si du fait, le tribunal viole le respect de cette obligation vis-à-vis
155 du mandataire. Dans ce cas, le tribunal dans sa décision ne peut retenir contre le mandataire
156 des griefs quant à la production et quant à la forme des titres constituant la requête de droit
157 que le mandataire lui a adressée. Le Tribunal compétent procède néanmoins en signifiant à
158 toute partie y étant concernée de par les manquements qu’elle commet, les obligations
159 requises. Le Tribunal agit auprès de la partie défaillante, notamment en lui indiquant qu’en cas
160 d’inobservation selon le renvoi { toute règle, la demande ou le recours en l’état sera écarté et
161 qu’il sera dès lors refusé, à raison, de le considérer. Le cas d’espèce présent malheureusement,
162 le tribunal se corrompt envers le mandataire de la recourante.
163
164 Que vu les retards de délai du tribunal sus – indiqué en titre, statuant sur le recours
165 de droit et concernant le temps décisionnel de la juridiction dans le cadre d’un recours
166 de droit : Toute juridiction officielle suisse et compétente en matière de recours de droit, en
167 conséquence, doit statuer et se prononcer sur tout recours dans le délai requis. Elle doit en
168 tous les cas se prononcer et statuer sur chaque recours de droit, ce dans un délai maximal
169 d’une année, soit l’année en durée, qui suit tout dépôt du mémoire de recours.
170
171 Circonstance et prolongation du temps décisionnel de la juridiction pour se prononcer :
172 Si toute circonstance l’exige en l’état de situation, toute juridiction administrative est autorisée
173 et peut statuer dans un délai plus long, mais néanmoins, chaque partie inscrite dans le cadre de
174 sa procédure doit toutefois en avoir été informée par écrit. La juridiction dans ce cas doit
175 signifier tout ajournement en exposant toute raison valable de sa part, et elle doit y procéder
176 avant l’expiration du premier délai prévu, sous peine de provoquer un vice de forme.
177
178 Plainte contre déni de justice formel :
179 Lorsque le recourant se plaint d’un déni de justice ou d’un retard injustifié, quels qu’ils soient,
180 dans ce cas, la juridiction officielle suisse compétente doit statuer dans le délai de deux mois
181 dès le dépôt du recours, soit, dès celui de la plainte. En l’état, le tribunal ne respecte pas le
182 délai pour statuer, il n’avise pas la recourante des retards, il n’entre pas en matière de la plainte
183 de la recourante contre le déni de justice formel. Outre le fait de ne point le considérer (déni),
184 le tribunal en l’état ne le résout point. Dans ce sens, le cas présent, le tribunal manque à son
185 devoir.
186
187 Que le tribunal cantonal en conséquence et par ses précédents écrits, retiendrait contre lui –
188 même les griefs de partialité à reprocher à ses membres assesseurs et greffiers. Que la
189 partialité des membres du tribunal cantonal, par le fait desdites écritures (ATAS*) qui en
190 découlent, est rendue nette (décision partiale) dans le cadre de la notification des écritures du
191 tribunal susvisées*, lesquelles conclusions dudit tribunal y demeurent contraires à toute vérité
192 que la recourante lui a démontrée.
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196 Que notre ordonnance a pour effet immédiat d’établir que le Tribunal Cantonal des
197 Assurances Sociales de la Ville et Canton de Genève se dément par ses écritures en l’État de
198 Genève, actuellement, et que le tribunal justement ne tient aucunement compte de tout élément
199 révélateur, qu’il a reçu par la recourante (gravité).
200
201 Que sur recours de droit adressé, soit auprès du Conseil d’État ou { l’un de ses départements ou
202 à sa chancellerie, soit auprès de toute instance hiérarchique supérieure, d’une commune suisse,
203 d’un établissement, d’une corporation de droit public, la recourante peut et est en droit
204 d’invoquer tout motif ayant trait au bien – fondé, ou à la circonstance favorable ou défavorable
205 des décisions attaquées devant une juridiction.
206
207 Vu l’article 85 de la LFDS, à référence de la LPA :
208
209 La juridiction compétente, qui avait initialement statué dans le cadre d’une première procédure
210 légale au motif de toute affaire de droit, est autorisée et peut en tout temps rectifier : les fautes
211 de rédaction et les erreurs de calculs. Sauf toute disposition légale contraire, telle que celle
212 prescrite au sens et sous réserve de l’article 67 et de l’article 80, chacun ci – dessus référés. Par
213 ailleurs, toute disposition légale de l’article 322 ter et les suivants, dans le cadre de la LFDS
214 à référence du code pénal helvétique suisse reste observable et applicable aux circonstances.
215
216 DÉCISION
217
218
219 Ordonnons ce qui convient :
220
221 Le projet d’arrêt ATAS /439/2009 du Tribunal Cantonal des Assurances Sociales de la Ville et
222 Canton de Genève est annulé. L’effet de la présente est immédiat.
223
224 Par ces motifs qui précèdent :
225
226 Contestation du projet de décision ATAS/439/2009
227
228 La décision cantonale ci-dessus référée est à juste titre contestée par la recourante, par
229 le biais de son mandataire légal dans la cause indiquée, attendu qu’elle prévaudrait en tant
230 que décision partiale. Attendu qu’elle prévaudrait en tant que projet, les écritures du tribunal
231 sont annulées par la présente ordonnance.
232
233 Proposons à titre indicatif, l’effet de la conclusion suivante :
234
235 - Vu la dense matière de droit déjà en possession du tribunal dans le cadre des différentes
236 affaires dont il a été saisi à faveur de la recourante.
237 - Le Tribunal doit ordonner l’octroi de la somme financière équivalente au sept mille huit
238 cents vingt francs suisses pour la rente de la fille de la recourante, sous peine de
239 commettre dans le cas contraire un détournement de rente en complicité avec la caisse
240 cantonale genevoise de compensation : dans le cadre de cette affaire sous référence de
241 cause.

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242 La proposition suivante se basera sur l’article 55 de la LFDS { référence de la LPA, lequel
243 ouvrage admet : que toute autorité administrative exécute ou fait exécuter sa propre décision.
244 Toute décision portant sur toute obligation à payer toute somme pécuniaire, ou portant sur
245 l’obligation { porter toute sûreté financière, est { exécuter par la voie de la procédure de
246 poursuite en dettes et faillites. La décision indiquée est assimilée à tout jugement rendu
247 exécutoire au sens de l’article 80 de la Loi fédérale portant par exemple sur la bonne procédure
248 de poursuites contre les dettes et les faillites justifiées (LP – 11 avril 1889). La décision indiquée
249 est assimilée { tout jugement rendu exécutoire dès lors qu’elle est passée en force de chose
250 jugée, conformément au sens de l’article 53 de la LFDS { référence de la LPA. Ce qui n’est pas le
251 cas dans le cadre de la procédure indiquée. L’ATAS référé n’est pas intégralement validé.
252
253 En droit, déclarons et ordonnons par la Loi, avec effet immédiat :
254
255 Que le tribunal cantonal sus - indiqué ne peut rejeter la demande en révision que lui a confiée le
256 Tribunal Fédéral des Assurances Sociales compétent initialement, s’agissant d’un ordre direct
257 du Tribunal Fédéral en réajustement pour la recourante (février 2005).
258
259 Que le tribunal cantonal sus – indiqué ne peut se baser sur un excès de formalisme aigu
260 reposant sur les préjugés regrettables de certains membres du tribunal cantonal des
261 assurances sociales de Genève pour rejeter systématiquement toute demande souscrite à juste
262 titre par sa recourante. Le Tribunal devait procéder { la correction de l’erreur de calcul qui
263 lui a été signalée, laquelle provient de la caisse (CCGC), et rendre une décision octroyant le
264 rétroactif encore dû. C’est la loi. Le tribunal a pour obligation de toujours devoir fournir des
265 extraits de duplicata des justificatifs efficients et décisifs, auxquels il fait référence à ses
266 décisions. Ou soit, sur lesquels il entend se baser pour statuer. Lorsque la juridiction officielle
267 suisse compétente considère en l’état que la demande de droit, dont elle a été saisie, est fondée :
268 Dans ce cas, en vertu de son obligation et de son devoir juridictionnel, elle annule sans retard la
269 décision infractionnelle attaquée (2005) et elle en prend une nouvelle rendue plus adéquate.
270 Au vu de ce qui précède prescrit par la loi, le tribunal cantonal se fourvoie encore. En l’état
271 actuel, la juridiction genevoise ne peut sans se compromettre rendre une prétendue décision de
272 rejet contre la recourante, ce, alors même qu’au vu de la demande en révision de celle – ci, il
273 avait été estimé par le tribunal qu’elle était suffisamment recevable pour aboutir sur le fait
274 d’une prochaine notification en révision cantonale, ce, sur ordre du Tribunal Fédéral compétent.
275 La notification à élaborer par la même juridiction cantonale qui en avait antécédemment
276 accepté de droit la requête du recourant doit aboutir sur un réajustement à sa faveur. Il ne
277 peut conclure autrement au vu de tout élément révélateur produit. C’est contraire { la Loi.
278
279 Que le tribunal cantonal sus – indiqué se doit de traiter et de résoudre toutes les problématiques
280 à charge de sa compétence, dans le cadre des affaires de droit enregistrées en sa juridiction
281 sous la cause : A/495/2005, laquelle était clause depuis le 16 septembre 2008 (au vu du
282 transport sur place du tribunal), puis les causes en révision concernant l’inscription des affaires
283 A/1169/2007 et A/3905/2007, toujours en cours et en suspens.
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288 Que la recourante dispose du droit de recevoir toutes écritures du tribunal en exemplaire
289 original et conforme { l’usage (LFDS). L’exemplaire devant contenir en signature originale, la
290 marque de tout juge et de toute greffière assermentés, sous peine de rejet d’office de la décision.
291 Une copie même conforme d’un arrêt dans le cadre d’une procédure de recours auprès du
292 tribunal fédéral ne vaut pas devant ce dernier. Le tribunal cantonal par ailleurs n’a pas produit
293 avec ses écritures, le titre authentique, de droit obligatoire à sa décision, de sorte que ses
294 écritures puissent être légalisées, validées au nom de l’autorité. Et ce, de sorte que par la
295 suite, la décision du tribunal cantonal même si elle comportait des zones d’ombre, puisse
296 néanmoins être acceptée par notre mandataire en l’état. La décision du tribunal cantonal telle
297 que produite actuellement ne pourrait pas faire un objet de recours auprès du Tribunal Fédéral
298 compétent en l’état, au cas d’une contestation (référence : lg. 27, lg. 67 à 71, lg. 80 à 82, lg. 99,
299 lg. 344, lg.421).
300
301 Par ces moyens :
302
303 Le tribunal, en ses délits d’infractions, sera pénalisé par l’autorité de surveillance compétente,
304 laquelle nous lira en copie. Lorsque toute juridiction officielle suisse compétente en matière
305 administrative admet le recours de droit dont elle a été saisie par une partie pertinente ; Dans ce
306 cas, soit elle réforme elle – même la décision attaquée, soit elle l’annule. Elle peut y compléter
307 toute nécessité manquante en matière de revendication.
308
309 Les instances compétentes reçoivent donc en original (TCAS), ou en copie :
310
311 En copie au Tribunal Pénal Fédéral Suisse (TPFS) pour prise de sanction vu ce qui précède.
312 En copie au Tribunal Fédéral des Assurances Sociales (TFAS) pour rectification des écritures
313 du TCAS et comme recours, sous réserve des prochaines réponses du TCAS ; dans l’éventualité
314 où le TCAS ne se rectifie point de lui – même outre la présente. En copie { l’Office Fédéral des
315 Assurances Sociales (OFAS), qui demeure être l’organe de surveillance de la Caisse Cantonale
316 Genevoise de Compensation, pour information et pour sanction contre ladite caisse (CCGC). En
317 copie auprès de la Cour Européenne des Droits de l’Homme contre la torture (CEDDH) selon les
318 problématiques des tortures physiques et psychologiques subies par la recourante dans le
319 cadre des sévices indiqués. Le comportement du greffe du tribunal cantonal (TCAS) y restant
320 compris aux griefs des tortures secondairement indiquées. La LAVI en reçoit également copie
321 pour coordination. En copie au Procureur Général du canton compétent pour coordination.
322
323 Sur ordre de l’article 79 alinéa 1 de la LPA :
324
325 L’instruction de cette procédure, au sens de l’article 76 de la LFDS à référence de la LPA, doit
326 être reprise immédiatement, ce, sur la présente demande en déclaration écrite de la partie la
327 plus diligente (la recourante), et soit, ayant été la plus efficace et la plus rapide dans l’exécution
328 de sa demande, d’une part ; ou d’autre part, ayant fait preuve de la meilleure application.
329
330 Sur ordre de l’article 73 alinéa 1 et l’article 83 alinéa 2 de la LPA :
331
332 L’autorité qui avait pris ladite décision indue, ainsi que toute partie ayant participé { sa
333 première procédure d’instance, et quand la décision indue se retrouve attaquée par le fait de
334 tout recours de droit bien fondé, dans ce cas, chacune des précitées sera dès lors préalablement

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Décision : Réf. Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh № 425/ c.- Ord.- SG №474 8
Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

335 invitée { se reprononcer sur l’affaire dans le cadre du recours de droit formulé, ce, par toute
336 autorité officielle suisse compétente en matière de recours lorsque celle – ci se trouve saisie
337 d’une requête en contestation.
338
339 Lorsque la juridiction officielle suisse compétente considère en l’état que la demande de droit,
340 dont elle a été saisie, est fondée (les conclusions du 16 septembre 2008) : Dans ce cas, en vertu
341 de son obligation et de son devoir juridictionnel, elle annule sans retard la décision attaquée et
342 elle en prend une nouvelle rendue différente et plus adéquate à faveur du recourant.
343
344 La décision est parfaite lorsque les parties ont, réciproquement et d’une manière concordante,
345 manifesté leur volonté. Cette manifestation peut être expresse ou tacite. Si les parties se sont
346 mises d’accord sur tous les points essentiels, la décision est réputée conclue, alors même que
347 des points secondaires ont été réservés. A défaut d’accord sur les points secondaires, le juge les
348 règle en tenant compte de la nature de l’affaire. Toute personne qui propose { une autre la
349 conclusion d’une décision en lui fixant un délai pour accepter, est liée par son ordonnance
350 jusqu’{ l’expiration de ce délai. Elle est déliée, si l’acceptation ne lui parvient pas avant
351 l’expiration du délai fixé. Tant qu’elle n’est pas acceptée et entérinée par les mandataires des
352 parties, toute décision non conforme avec la loi officielle suisse, ou contraire à la nécessité,
353 n’est pas rendue exécutoire en l’état.
354
355 Sur ordre de l’article 80 de la LFDS, à référence de la LPA :
356
357 La présente ordonnance trouve validité, puisqu’il y a lieu de procéder à toute révision, lorsque,
358 dans le cadre d’une affaire de droit ayant été réglée par le fait d’une décision définitive et prise
359 par une autorité judiciaire compétente, il y apparaît :
360
361 a. Qu’un crime ou un délit fallacieusement établi par une autre procédure, soit de nature
362 pénale, soit de nature d’une autre matière légale, a cependant faussé ou influencé des
363 décisions dans leurs tenants et aboutissants établis en conséquence d’un trafic
364 d’influence. Il y a lieu { révision même si le délit n’est pas fallacieusement établi, mais
365 qu’il y a eu trafic d’influence sur des décisions administratives, de manière à en fausser
366 ou à en influencer les tenants et aboutissants attendus.
367 b. Que des faits ou des moyens de preuve neufs et importants existent, qu’il apparaît que le
368 recourant ne pouvait en connaître ou en invoquer l’existence dans la procédure
369 précédente, en l’état.
370 c. Que, par inadvertance, les décisions actuelles ne tiennent pas compte de tout fait ayant
371 pourtant été défini par la nature de toute preuve, ce, alors que celui – ci est invoqué et
372 établi par pièce.
373 d. Que la juridiction saisie n’a pas statué sur l’entier de toute conclusion formelle de
374 chaque partie, si bien qu’elle en commet, en l’état, un déni de justice formel.
375 e. Que la juridiction saisie et statuant, n’était, en l’état, pas composée comme lui l’ordonne
376 toute disposition adéquate de la loi officielle suisse, ou que toute disposition sur le
377 devoir de récusation s’en trouve avoir été délibérément violée par les membres
378 incriminés de la juridiction en tort.
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Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

385
386 Prolongation de délai intimé au tribunal cantonal des assurances sociales de la ville et
387 canton de Genève (TCAS) :
388
389
390 Vu tout ce qui précède :
391
392 Demande de récusation des membres du tribunal cantonal sus – indiqué :
393
394 Demandons la récusation immédiate de la greffière Brigitte BABEL (SPG).
395 Demandons la récusation immédiate du juge assesseur Christine BULLIARD MANGILI (SPG).
396
397
398 Vu l’article 84 alinéa 3 de la LFDS à référence de la LPA.
399
400 Incombons un délai au 12 mai 2009 à l’autorité du tribunal cantonal des assurances
401 sociales de la ville et canton de Genève pour produire la décision adéquate, sous réserve
402 d’autres prises de mesure à effet immédiat, à faveur de la recourante, par notre
403 département législatif.
404
405 Rejetons en l’état cette copie du document du tribunal inacceptable et exigeons la décision
406 originale.
407
408 Sommons :
409
410 Toute autorité compétente d’intervenir immédiatement aux fins de faire valoir le bon
411 droit dans le cadre de ce dossier : en vertu de ce qui convient, de ce qui précède et de
412 ce qui suit.
413
414 Laissons l’autorité judiciaire exécutive libre de vérifier l’identité des auteurs de la décision
415 infractionnelle du TCAS, contestée en la forme et au contenu de l’ATAS/439/2009 référé en titre.
416 À cette fin, le Procureur Général du canton compétent en reçoit copie pour information.
417
418 De faire cesser les griefs retenus contre le greffe du tribunal cantonal agissant délibérément
419 au préjudice des intérêts de la recourante, en contradiction de la législation primordiale.
420
421 Ci – jointes la restitution intégrale de vos écritures et leur enveloppe, telles qu’{ réception.
422
423 Concernant toute demande en interprétation de l’ATAS/439/2009 par la recourante :
424
425 Par ces motifs :
426
427 La présente peut valoir en demande en interprétation conformément { l’article 84 de la LPA, lequel
428 ouvrage, en vertu de la LFDS à référence de la LPA admet : que sur demande de toute partie habilitée à la
429 formuler, la juridiction officielle suisse compétente, représentant l’autorité qui avait antécédemment
430 statué sur une demande de droit, ce, dans le cadre d’une première procédure légale introduite au
431 traitement d’une affaire de droit, interprète par écrit sa décision pour la partie qui lui en a fait la requête.

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Cc : La restitution intégrale du faux arrêt cantonal du 22 avril 2009, au TCAS de Genève, est effectuée par la Poste suisse, avec son enveloppe originale : La présente constitue
la correction de l’ordonnance - SG №425 sus – citée, à joindre au cahier de procédure adressé sous recommandé suisse № 98.00.280001.02402642

432 Sur demande de toute partie habilitée, toute juridiction a l’obligation d’interpréter par écrit sa décision,
433 ce, lorsque la décision contient des obscurités ou des contradictions y étant relevées : soit dans ses
434 dispositifs, soit entre ses dispositifs et ses considérants.
435
436 Vu ce qui précède, nous réservons d’office toute clause abrogatoire comme nous y autorise
437 la Loi officielle suisse, quant à toute prochaine décision émanant de votre juridiction (lg.135).
438
439 Retenons que le tribunal commet une nouvelle erreur de jugement en rendant un faux arrêt.
440
441 La Présidente Isabelle DUBOIS du Tribunal Cantonal des Assurances Sociales de la Ville et
442 Canton de Genève a la primeur de notre décision, et elle reçoit donc la présente Ordonnance- SG,
443 en copie certifiée conforme { l’original, lequel sera déposé par devant notaire ; et cette personne
444 reste libre de la suite à donner { tout ceci en vertu de l’original qu’elle reçoit également.
445
446
447 En annexe de notre ordonnance : Trois ordonnances de protection à faveur de la recourante, +
448 une communication avec toutes ses annexes jointes (cahier relié), { l’attention de la Présidente
449 DUBOIS.
450
451 La présente correction № Ord.-SG 476 – A, rectifie et prime l’Ordonnance – SG sous - indiquée :
452 Titre : Décision : Réf. Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh / N° 425
453
454 Signature légale de la recourante :
455
456
457 Madame Justine NENAGOU, pour accord et en information du dossier (OFAS).
458
459 Fait à Delémont au for du président - SG, le mardi 28 avril 2009
460
461 Pour l’autorité officielle suisse compétente
462 Le Juge Législateur, statuant sur la notification de l’ATAS* présenté aux parties par le TCAS :
463 Ord.-SG : 280.409.090 pcc – 152.1 vdh / N° 425, c. № Ord.-SG 476 – A

464
465
466
467 Signature légale :
468 David NOUGA, intervenant et Président SG
469 Pour dépôt officiel de la présente ordonnance – SG, le
470
471 Laquelle ordonnance en l’état restitue au tribunal cantonal ses projets de décision en ses écritures, et restons en attente de toute décision acceptable aux considérants
472 de la présente. L’effet de la présente sur l’ATAS cité est suspensif. Les écritures du tribunal lui ont été retournées à notre entière décharge et nous en déclinons la
473 responsabilité. La décision du TCAS n’est pas acceptée, vu le vice de forme. De plus, elle doit faire l’objet d’un nouveau texte décisionnel, mais rendu conforme et cohérent.
474
475 Le Notaire en fait une copie certifiée conforme par vidimation de cet original d’ordonnance, qu’il atteste en son étude, comme suit :
476 La Chancellerie d’État certifie l’authenticité des signatures de la présente ordonnance, comme suit (pièce jointe) :

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