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Infractions relevées contre l’ofcom et ses consorts, à constat de notre service mandataire :
Sont les abus commis par l’ofcom et ses consorts, ce, au sens de la loi, notamment les articles 322 bis, 320, 173, 251,
317, 312 de la LFDS à référence du code pénal suisse.
Motif :
La plaignante y est opposée, puisque les actes visent la dénaturation volontaire de sa situation, les infractions
étatiques produisant notamment l’atteinte à l’honneur de la personne plaignante. Il a donc été demandé à toute
autorité officielle suisse compétente de faire cesser lesdites atteintes. Tout droit de la plaignante en est sauvegardé.
Les personnes délinquantes auteurs des infractions de publication agissent sans l’accord et sans l’autorisation de la
personne, et indûment de celle - ci, c'est-à-dire à son insu. L’autorité OFCOM et ses consorts produisent des titres
délictueux sans consultation ou avis des tiers. Pourtant, aucune décision ne peut déroger à la loi, en produisant des
violations de droit. Au surplus, les conditions de l’article 36 de la Loi fédérale sur la procédure administrative n’étaient pas
remplies en l’état, et ces conditions ne sauraient primer le droit de la constitution fédérale, ni celui du code pénal (à raison
de l’article 351 alinéa 4 du code pénal suisse). Le mandataire et le département fédéral ne sont pas tenus de transmettre
des données personnelles susceptibles de mettre en danger la personne à protéger, à moins que la menace contre elle
ne soit écartée.
Note du mandataire à qui de droit :
Ordonnance à référence de la Constitution fédérale de la Confédération Helvétique suisse (CFS).
La publication du document de plainte par le mandataire n’est plus rendu confidentiel ou infractionnel, puisque la
publication infractionnelle de l’ofcom remplit le délit d’infraction. Au surplus, les graves infractions de ces autorités
occultes portent sur d’autres matières du dossier, notamment des actes abusifs. Il appartient dès lors à l’autorité
officielle suisse compétente de faire cesser rapidement, durablement et de manière diligente toutes ces atteintes menées
contre la plaignante, et de faire sanctionner tous les auteurs des infractions, également ceux dissimulés parmi les
fonctionnaires agissant prétendument par négligence. Notre publication de la plainte visera à cette demande. Tout
refus de traitement du dossier ne se justifiant pas, la personne n’est pas en situation irrégulière à connaissance des faits
dont nous disposons. La personne n’a pas commis d’actes délictueux à connaissance des informations que nous avons.
C’est pourquoi, il semble adéquat de déclarer que l’autorité doit, sur ce, rétablir de manière définitive le bon droit,
notamment celui de la personne violemment atteinte. Au rappel, il est interdit par la loi de porter des atteintes à la
dignité, qu’elles soient physiques, morales ou psychiques notamment (Les droits de l’Homme). Du coup, il apparaît
vraisemblable que ce qu’a subi la personne recouvre le champ des tortures interdites et proscrites par la loi officielle
suisse en vigueur (séquestration de la personne pendant huit mois, et séquestration des biens de la personne avec refus
de restitution).