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Objet : mises en demeure et SATD non légales


Courrier recommandé sur 13 pages N°: *******

CENTRE DES FINANCES PUBLIQUES


Prénom Nom du comptable public
Adresse
Code postal ville

Le ****** à ******

Bonjour,

Prénom Nom du comptable, vous êtes comptable public au centre des finances publiques de *****, je
vous informe que conformément à la Loi, vous avez des droits, des devoirs et surtout des obligations.
Vous êtes personnellement responsable des actes que vous produisez, même au centre des finances
publiques.

Le devoir de vérifier si les actes que vous produisez sont bien légaux et en cohérence avec notre
Constitution, nos droits de l’homme et les Lois en vigueur, le droit de ne plus consentir à extorquer
illégalement les citoyens, l’obligation de dénoncer l’injustice et les conséquences de ces actes.

Avant de plonger dans le dossier, je me dois de vous rappeler certaines choses que vous devez respecter.

La hiérarchie des normes est la règle de base pour interpréter tous les Codes de Droit et en voici la
définition, « La hiérarchie des normes est un classement qui hiérarchise les lois et les normes du
système juridique d’un Etat de droit pour en garantir la cohérence et la rigueur. Il est fondé sur le
principe qu’une norme doit respecter celle du niveau supérieur, et la mettre en œuvre en la détaillant.
Ainsi, la norme supérieure prévaut sur la norme qui lui est subordonnée. »

1 Bloc constitutionnel :
Comprend la constitution de 1958, le préambule de la constitution de 1946, la
déclaration des droits de l’homme.
2 Bloc de conventionnalité :
Traités internationaux, les droits de l’Union Européenne...
3 Bloc de légalité :
Lois organiques, Lois ordinaires, Lois référendaires, Ordonnances énoncées
dans l’article 38 de la constitution.
En vertu de la hiérarchie des normes juridiques, les lois sont supérieures aux
règlements et doivent ainsi obligatoirement se conformer à ces derniers.
4 Bloc réglementaire :

1
Décrets du Président de la République, décret en Conseil d’État, décret en Conseil
des ministres
Il est bon de rappeler que la jouissance des droits et l'accomplissement des devoirs sont soumis à un
cadre juridique fixé par la loi.

la Constitution est le contrat que doivent appliquer nos représentants


Savez-vous que la Constitution n’a été écrite Que « pour protéger le peuple de la corruption de ses
représentants » ? …Et que chaque loi est destinée à créer les conditions du bonheur pour tous. …Et
que, pour être légale, chaque loi doit servir cet objectif final, qui est seul légitime.

La première norme, celle qui est supérieure à toutes les autres dans notre Constitution de 1958, est le «
Préambule » des Droits de l’Homme de 1789, rappelé en première phrase. Le Préambule de 1789 est
donc la norme de référence que toutes les lois, en France, doivent servir et « mettre en œuvre ».

1- « Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que


l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des mal-heurs publics
et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les
droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme,
2- afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle
sans cesse leurs droits et leurs devoirs;
3- afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant
comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés;
4- afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et in-
contestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »

Non seulement la morale (l’éthique, l’honnêteté, le respect…) a sa place en droit, mais l’aspect
moral a une valeur légitime et juridique supérieure à chacune des lois, sans exception. La légitimité
a une valeur morale prioritaire face au droit (« légitime » défense). Le droit est destiné à servir la
morale telle qu’elle est exprimée dans le préambule, et non l’inverse, comme actuellement où le
Droit et les droits (en fait, les privilèges), prétendent s’imposer à la morale…

Notre Constitution :
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de
la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée
par le préambule de la Constitution de 1946…

Dans cette fonction du Droit, l’égalité de droits (droits au pluriel) est précisée comme norme dans le
premier article DDHC. Ainsi, l’égalité de droits constitue le passage obligé de toutes les lois qui
suivent, tout en servant les objectifs énoncés dans le préambule.

Nous passerons le Bloc de Conventionnalité pour nous intéresser aux Lois qui sont écrites pour les
Droits, les Devoirs et les obligations des citoyens, mais aussi des représentants du peuple. Ces Lois
doivent respecter les Normes supérieures dont la Constitution et les Droits de l’Homme et du Citoyens,
si tel n’est pas le cas, elles sont anticonstitutionnelles, nous avons, tout comme vous, le Devoir de le
dénoncer.

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Comme vous pouvez le constater, en dernière position, les décrets sous forme d’actes
réglementaires ou individuels. Ces décrets, qui ne sont pas des Lois doivent aussi respecter
les Normes supérieures.
En droit, le code civil est un recueil de lois ou de règles juridiques définies par un groupe, une société,
un métier, un État, Il doit être respecté par tous et pour tout.
Vous n’avez pas le droit, ni le pouvoir de créer vos propres Lois, de faire comme bon vous semble et il
est de notre devoir par l’Article 223-6 du Code Pénal de dénoncer les escroqueries en bande organisée
qui seront punies par la Loi.
quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, constitue
un crime, ou qui constitue un délit contre l'intégrité corporelle de la personne, et la personne qui
s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros
d'amende.

Selon l’article 9 du code de procédure civile, Il incombe à chaque partie de prouver conformément à
la loi les faits nécessaires au succès de sa prétention. ...et par Article 10 du code civil, Chacun est tenu
d'apporter son concours à la justice en vue de la manifestation de la vérité.

Poursuivons sur la Saisie Administrative à Tiers Détenteur (SATD) sur le compte n° ***** ainsi
que sur la mise en demeure rattachée à celles-ci.

Les mises en demeure ainsi que les SATD ne sont pas conformes. Ces manœuvres dolosives sont
illégales vis à vis de la Loi, cette escroquerie par abus de qualité vrai, peut être puni par l’article L 313-
1 du code Pénal.

L'escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit par l'abus d'une
qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou
morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d'un tiers, à remettre des fonds, des
valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou
décharge.
L'escroquerie est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende.
Les mises en demeure de payer ne sont pas légales pour plusieurs motifs :

1) Vous n’avez pas signé les mises en demeure comme le précise l’article 1367 du code
civil :
La signature nécessaire à la perfection d'un acte juridique identifie son auteur. Elle manifeste
son consentement aux obligations qui découlent de cet acte. Quand elle est apposée par un
officier public, elle confère l'authenticité à l'acte. Une mise en demeure et une SATD sont des
actes Juridiques.

2) L'article L 252 A du livre des procédures fiscales précise que:


Constituent des titres exécutoires : les arrêtés, états, rôles, avis de mise en recouvrement,
titres de perception ou de recettes que l’Etat, les collectivités territoriales ou les établissements
publics dotés d'un comptable public délivrent pour le recouvrement des recettes de toute
nature qu'ils sont habilités à recevoir….issu de l'article 98 de la Loi n° 92-1476 du 31

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décembre 1992 qui n’a jamais été publiée au journal officiel, donc non applicable, et modifié
par 2 décrets, l’un du 30 décembre 1992 et l’autre du 28 février 1993.
D’une part une Loi non publiée n’est pas applicable et un décret ne peut pas modifier une Loi,
de plus si elle n’est pas rentrée en vigueur Juridiquement.
C’est donc la Loi précédente n° 91-650 qui reste en vigueur.
La LOI n° 91-650 du 9 juillet 1991 mentionne que:
Art. 2. - Le créancier muni d'un titre exécutoire constatant une créance liquide et exigible
peut en poursuivre l'exécution forcée sur les biens de son débiteur dans les conditions propres à
chaque mesure d'exécution.
Art. 3. - Seuls constituent des titres exécutoires:
1) Les décisions des juridictions de l'ordre judiciaire ou de l'ordre administratif lorsqu'elles ont
force exécutoire;
2) Les actes et les jugements étrangers ainsi que les sentences arbitrales déclarés exécutoires par
une décision non susceptible d'un recours suspensif d'exécution;
3) Les extraits de procès-verbaux de conciliation signés par le juge et les parties;
4) Les actes notariés revêtus de la formule exécutoire;
5o Le titre délivré par l'huissier de justice en cas de non-paiement d'un chèque;
6) Les titres délivrés par les personnes morales de droit public qualifiés comme tels par la loi,
ou les décisions auxquelles la loi attache les effets d'un jugement.

Par conséquent, votre mise en demeure est irrecevable

Poursuivons sur les Saisies Administratives à Tiers Détenteur :


Votre courrier, notifiant une SATD n’est pas signé non plus, donc non conforme à l’article 1367 du
Code civil qui a une valeur supérieure à l’article L 212-2 du code des relations entre le particulier et
l’administration en vigueur depuis 2019. La mise en demeure et la Saisie Administrative à Tiers
Détenteur sont des actes Juridiques et pour que l’article L’212-2 puisse être applicable, il aurait fallu
que l’article 1367 du code civil soit abrogé.
Pour les SATD, le service des impôts et vous même devaient vous appuyer sur le décret 2018-970 du 8
novembre 2018 (non signé) et sur le livre des procédures fiscales.
Il est bien précisé dans ce décret, que dans le cadre de la création de la procédure de la saisie
administrative à tiers détenteur applicable à tous les comptables publics à compter du 1er janvier 2019,
le présent décret met en cohérence les dispositions des articles R. 312-1-2 du code monétaire et
financier, l’article R. 212-3 du code des procédures civiles d’exécution avec celles de l’article L. 262
du livre des procédures fiscales.
L’article R. 212-3 signifie que La déclaration qui incombe au tiers saisi sur la situation de droit
existant entre lui-même et le débiteur est faite par le service employeur au greffe du juge de l'exécution.
Continuons sur le décret n° 2012-783 du 30 mai 2012 (non signé).

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Art. R. 211-1 du code des procédures civiles d’exécution. − Le créancier procède à la saisie par acte
d’huissier de justice signifié au tiers. Cet acte contient à peine de nullité :

1° L’indication des nom et domicile du débiteur ou, s’il s’agit d’une personne morale, de sa
dénomination et de son siège social ;

2° L’énonciation du titre exécutoire en vertu duquel la saisie est pratiquée.

Art. R. 211-9 du code des procédures civiles d’exécution − En cas de refus de paiement par le tiers
saisi des sommes qu’il a reconnu devoir ou dont il a été jugé débiteur, la contestation est portée devant
le juge de l’exécution qui peut délivrer un titre exécutoire contre le tiers saisi.

Art. R. 211-6 du code des procédures civiles d’exécution − Le tiers saisi procède au paiement sur la
présentation d’un certificat délivré par le greffe ou établi par l’huissier de justice qui a procédé à la
saisie attestant qu’aucune contestation n’a été formée dans le mois suivant la dénonciation de la saisie.
Le paiement peut intervenir avant l’expiration de ce délai si le débiteur a déclaré ne pas contester la
saisie. Cette déclaration est constatée par écrit.

Par conséquent et selon Article 1363 du code civil « Nul ne peut se constituer de titre à soi-même ».
le créancier trésor public ne peut se faire justice lui-même.

Il en est de même pour un huissier de justice qui est une personne dépositaire de l’autorité Publique et
en tant qu’Officier Ministériel, il doit être aussi muni d’un titre exécutoire signé par le Juge et seulement
après jugement.

L’article L252 du livre des procédures fiscales :


Le recouvrement des impôts est confié aux comptables publics compétents par arrêté du ministre chargé
du budget, modifié par l’article 108 de la Loi n° 92-677 du 17 juillet 1992 mais abrogé par l’
Ordonnance n° 2021-1843 du 22 décembre 2021, modifié à deux reprises par 2 décrets (92-1431 et
93-265). Un décret ne peut modifier une Loi.
Comme mentionné dans la LOI n° 91-650, le « créancier muni d’un Titre exécutoire », qui pour
rappel, vous agissez en tant que comptable public d’un créancier...ou les décisions auxquelles la « loi
attache les effets d'un jugement ».
Le code des procédures civiles d’exécution précise aussi:
le code regroupe les textes relatives aux relatifs aux procédures civiles d’exécution. Il s’agit des mesures
de contrainte qu’un créancier peut exercer à l’encontre de son débiteur en vue de recouvrer une créance
constatée ou prochainement constatée par un titre exécutoire, ou de reprendre un bien qui lui
appartient.
Toutes Saisies Administratives à Tiers Détenteur si légales, devaient être accompagnées d’un Titre
Exécutoire délivré par Le juge, si tel n’est pas le cas elles ne sont pas légales.
Pour aller plus loin et pour vous démontrer que nous sommes dans une insécurité Juridique, le livre
des procédures fiscales est créé par 2 décrets le 15 septembre 1981 pour la mise en place du
recouvrement de l’impôt, le contentieux, le contrôle de l’impôt, l’un de nature législative (n°81-859)
et l’autre de nature réglementaire (n°81-860).

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La partie réglementaire est un décret en conseil d’État qui pour information est rédigé selon l’article 37
de la Constitution pour la pour la mise en application dans les matières autres que celles qui sont du
domaine de la loi .

Or, comme nous pouvons le constater dans l’article 34 de la Constitution, c’est la Loi qui définie
l'assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ; le régime
d'émission de la monnaie etc.

Le décret en conseil d’Etat n° 81-860, n’est donc valable et anticonstitutionnel, ce qui en résulte que le
livre des procédures fiscales annexé au Code général des impôts (décret N°50-481) ne peut pas être
mis en application comme le prévoit l’article 34 de la Constitution.

Par conséquent, la mise en demeure que vous avez rédigé ainsi, les SATD que vous avez pratiqué sur le
compte bancaire de n° ***** ne sont pas Légales et non conforme à notre Constitution. C’est une
perception illicite d'argent par une personne chargée d’une mission de service public, condamnable par
l’article 432-10 du code Pénal :
réprimant l’infraction de concussion et tentative :
Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public,
de recevoir, exiger ou ordonner de percevoir à titre de droits ou contributions, impôts ou taxes publics,
une somme qu'elle sait ne pas être due, ou excéder ce qui est dû, est puni de cinq ans d'emprisonnement
et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction.

Est puni des mêmes peines le fait, par les mêmes personnes, d'accorder sous une forme quelconque et
pour quelque motif que ce soit une exonération ou franchise des droits, contributions, impôts ou taxes
publics en violation des textes légaux ou réglementaires.

Rien n’autorise le service des impôts a pratiquer de l’extorsion de fonds, à moins que vous puissiez nous
démontrer par un texte de Loi et non un décret, les droits et privilèges de ce créancier, cela reste de
l’escroquerie.

Article 313-1 du code Pénal


L'escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit par l'abus d'une
qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou
morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d'un tiers, à remettre des fonds, des
valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou
décharge.
L'escroquerie est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende.

…..Un vol avec violence par le harcèlement, la terreur Fiscale sur les citoyens Français, portant atteinte
aux droits fondamentaux, à la dignité, à l'intégrité physique et psychique pratiqué par les
« intermédiaires » du service public qui suivent les ordres illégaux des « représentants du Peuple »,  
un racket qui peut avoir des conséquences désastreuses sur la vie des citoyens.

Article 311-4 du code Pénal :


Le vol est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende :
 Lorsqu'il est commis par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice, sans
qu'elles constituent une bande organisée ;

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 Lorsqu'il est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une
mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa
mission ;
 Lorsqu'il est précédé, accompagné ou suivi de violences sur autrui n'ayant pas entraîné une
incapacité totale de travail ;
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque le vol est
commis dans deux des circonstances prévues par le présent article.
Elles sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque le vol est commis
dans trois de ces circonstances.

Quand est il du Code général des impôts ?

Le code général des impôts est un décret (N°50-481 ) du 6 avril 1950, alors que l’article 34 de la
constitution prévoit bien que c’est une Loi qui définie l'assiette, le taux et les modalités de
recouvrement des impositions de toutes natures….

Le décret 48-1986 du 9 décembre 1948 qui devait donner valeur législative au CGI n’a jamais était
publié, nous ne trouvons aucune trace de l’acte de ratification par le parlement de la partie législative.

La partie législative du code général des impôts n’a pas été faite par le législateur, mais par le
gouvernement, donc par le pouvoir exécutif. Il n’y a donc pas de partie législative du CGI, c’est donc
une violation de la Constitution.

C’est la Constitution qui définit la différence entre les textes législatifs et les textes réglementaires et
celui qui est autorisé à les faire. Il suffit de lire le texte de la Constitution du 4 octobre 1946, sous
laquelle a été pris le texte du code général des impôts :
Le texte faisant référence à la partie législative du Code général des impôts est un décret du 6 avril
1950, qui par définition, n’est pas une loi.

« Article 13. - L’Assemblée nationale vote seule la loi. Elle ne peut déléguer ce droit. »
« Article 14. - Le président du Conseil des ministres et les membres du Parlement ont l’initiative des
lois. Les projets de loi et les propositions de loi formulés par les membres de l’Assemblée nationale sont
déposés sur le bureau de celle-ci. Les propositions de loi formulées par les membres du Conseil de la
République sont déposées sur le bureau de celui-ci et transmises sans débat au bureau de l’Assemblée
nationale. Elles ne sont pas recevables lorsqu’elles auraient pour conséquence une diminution de
recettes ou une création de dépenses. »
« Article 15. - L’Assemblée nationale étudie les projets et propositions de loi dont elle est saisie, dans
des commissions dont elle fixe le nombre, la composition et la compétence. »
« Article 47. - Le président du Conseil des ministres assure l’exécution des lois. » Aucun droit au
pouvoir exécutif à faire une loi à la place du pouvoir législatif. Dire le contraire, amènerait comme
conclusion et conséquence tragique qu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs dans la République
Française, Or, comme l’expose la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789,
reprise dans le Préambule de la Constitution en vigueur :

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« Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes
de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et
complétée par le préambule de la Constitution de 1946. »
« Article 16 — Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des
pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »

La Constitution du 4 octobre 1958 est le texte fondateur de la Ve République. Adoptée par référendum
le 28 septembre 1958, elle organise les pouvoirs publics, en définit leur rôle et leurs relations. Elle est le
quinzième texte fondamental (ou le vingt-deuxième si l’on compte les textes qui n’ont pas été
appliqués) de la France depuis la Révolution Française.

On ne peut que constater que la Constitution de la Vème république prévoit de façon explicite que la loi
n’est votée que par le Parlement.

« Art. 34. - La loi fixe les règles concernant :


 …
 L’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ;
(impôts sur le revenu, taxe Foncière, taxe carburant, TVA, taxe d’habitation, taxe audio-
visuel etc.) et bien-sur toutes les taxes diverses imposées à outrance.
 …

« Art. 37. - Les matières autres que celles qui sont du domaine de la loi ont un caractère réglementaire.
Les textes de forme législative intervenus en ces matières peuvent être modifiés par décrets pris après
avis du Conseil d’État. Ceux de ces textes qui interviendraient après l’entrée en vigueur de la présente
Constitution ne pourront être modifiés par décret que si le Conseil Constitutionnel a déclaré qu’ils
ont un caractère réglementaire en vertu de l’alinéa précédent. »

« Art. 38. - Le Gouvernement peut, pour l’exécution de son programme, demander au Parlement
l’autorisation de prendre par ordonnances, pendant un délai limité, des mesures qui sont normalement
du domaine de la loi. » « Les ordonnances sont prises en Conseil des Ministres après avis du Conseil
d’État. Elles entrent en vigueur dès leur publication, mais deviennent caduques si le projet de loi de
ratification n’est pas déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d’habilitation. À
l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent plus
être modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif. »

À moins de vouloir faire de la République Française une nation sans Constitution, on ne voit pas
l’intérêt de violer les principes les plus fondamentaux.

Cette absence de publication prive donc le CGI d’existence légale, le livre des procédures fiscales
illégal ne peut être annexé à ce même décret, tout comme la Loi n°54-404 du 10 avril 1954 établissant
la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) modifiant ainsi le code général des impôts. Une Loi ne peut pas
modifier un décret, de surcroît qui n’est jamais rentré en vigueur Juridiquement, et n’est pas en
adéquation avec la Constitution et à l’article 14 de la DDHC.

Article 14 de la DDHC : Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou leurs représentants, la
nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer
la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
« Consentir librement » signifie actuellement que les victimes sont libres de travailler autant que
nécessaire pour rémunérer ce système et qu’elles auront le droit de vivre librement comme elles le
pourront …après avoir été ponctionnées de force avec harcèlement, violences et menaces…!

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«consentir» est déjà lourd de signification quant aux violences de Bercy et «librement» vient confirmer
que ce n’est pas un mot sur lequel peuvent s’asseoir les auteurs du processus actuel!, d’en suivre
l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée»…

Pour votre information personnelle :


Une Loi et un décret produisent leur effet dès leur émission, mais ils ne sont opposables aux tiers
qu'après avoir donné lieu à publication au journal officiel.

Les refontes, ajouts, modifications des textes tant de nature législative que réglementaires intervenus
depuis cette date dans le corps du CGI se sont opérés par voie réglementaire.
Il n’est nul besoin de démontrer que depuis 1950, le CGI s’est enrichi de textes conséquents, Code
modifié de nombreuse fois et que leurs présences actuelles dans le CGI appellent une question
fondamentale sur leur validité juridique.

En effet, le principe de la codification, en l’occurrence celle applicable aux textes de lois, nécessite
l’abrogation des textes initiaux qui sont incorporés dans la codification simultanément à l’acte
d’adoption du Code qui forme une nouvelle loi : « loi portant codification ».
Ainsi le Code, qui est un corps de textes uniques se substituant aux anciens textes qui étaient des lois
éparses nouvellement assemblées, ne peut résulter dans sa forme et dans sa motion que d’un acte
législatif.
Dans l'hypothèse du contraire , en l’absence de modification et par voie de conséquence, nous ne
verrions qu’un aspect formel de l’acte de codification des textes de lois. Il aurait été utile d’abroger les
textes antérieurs ayant fait l’objet de la codification.
Un décret ne peut pas abroger un texte de loi. En plus, il subsisterait aux textes initiaux codifiés par voie
de décret, le texte initial.
Cette situation mettrait en présence l’existence de deux textes distincts, l’un codifié censé se substituer
aux textes initiaux et le texte initial qui lui conserverait sa valeur juridique.
En ajoutant à cet imbroglio juridique la valeur normative hiérarchique des normes différentes des deux
textes, l’un d’acte réglementaire, comme si le texte avait été reconduit par l’autorité réglementaire, mais
l’un toujours d’origine législative tout en conservant le texte de loi initial toujours en vigueur.

On peut supposer que l’idée du législateur en voulant regrouper tous les textes dans un code regroupant
l’ensemble des textes épars, n’a pas vu que les normes pour la publication de ce Code n’étaient pas
réglementaires.

Il est bien évident que nous sommes là en présence d’une difficulté juridique insurmontable et dépassant
largement le cadre des difficultés technique de la codification, nous sommes en présence d’une
insécurité juridique qui viole un principe fondamental du droit, à savoir l’obligation juridique à laquelle
doit se conformer tout statut normatif, qu’il s’agisse du droit interne ou du droit international et
maintenant du droit communautaire, tout ceci non conforme à la DDHC et la constitution.

En effet, la sécurité juridique est un principe général du droit dégagé par la jurisprudence.
La cour de justice a élevé la sécurité juridique au rang des principes de droit, autant le droit interne que
le niveau de l’ordre juridique . La sécurité juridique est un élément de la sûreté. À ce titre, elle a son
fondement dans l'article 2 de la déclaration de 1789 qui place la sûreté parmi les droits naturels et
imprescriptibles de l'homme au même titre que la liberté, la propriété et la résistance à l'oppression.

Compte tenu de cette argumentation motivée sur le CGI et sur le livre des procédures fiscales, tant
sur le manque de base légale que sur le fondement de la validité du CGI, les dispositions invoquées
par le paiement de l’impôt et les majorations de retard ne sont dès lors pas opposables.

Promulgation Lois et Décrets, Décret 1870-11-05 en vigueur de 1870 à 2004.

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Art 1) Dorénavant, la promulgation des lois et des décrets résultera de leur insertion au Journal
officiel de la République française, lequel, à cet égard, remplacera le Bulletin des lois.
Art 2) Les lois et les décrets seront obligatoires, à Paris, un jour franc après la promulgation et,
partout ailleurs, dans l’étendue de chaque arrondissement, un jour franc après que le
Journal officiel qui les contient sera parvenu au chef-lieu de cet arrondissement.
Art 3) Les préfets et sous-préfets prendront les mesures nécessaires pour que les actes
législatifs soient imprimés et affichés partout où besoin sera.
L’organisme pour lequel vous travaillez s’appuie sur des règles totalement illégales, autant
qu’illégitimes. L’usage que vous en faites à votre avantage à des répercutions graves sur la vie de
ceux que vous « extorqués ».
Votre rôle Prénom Nom du comptable, en tant que comptable public est d’une par vous référer à des
textes de Lois légaux et de prévenir les contribuables dans un délais requis, avec la copie de l’acte
juridique signée de la main du juge. Par l’absence de titre exécutoire, par la non conformité du CGI
et du livre des procédures fiscales, le fait que vous procédiez aux blocages des comptes bancaires est
sous votre entière responsabilité, ce qui en fait un acte illégal.

Par l’abus de qualité vrai et sans aucunes connaissances des textes de Loi et au vu des décrets ( non
signés) qui n’ont aucunes valeurs juridiques, vous êtes responsable de manœuvres frauduleuses.

Article 122-4 du code Pénal :N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte
commandé par l'autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal.

Selon l’article 1141 du Code Civil : Chacun est responsable du dommage qu'il a causé non seulement
par son fait, mais encore par sa négligence ou par son imprudence...et par l’Article 1140 du Code
Civil Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel
il est arrivé à le réparer.

Art 15 DDHC : la société a le droit de demander compte (à ceux qui doivent « rendre des comptes ») à
tout agent public de son administration. C’est ce que nous faisons ici et comme nous venons de le
démontrer, nous sommes face à une insécurité Juridique.

Nous ne souhaitons pas mettre en péril votre emploi au sein d’un organisme public, mais il est temps
pour vous et vos collègues de stopper ces dirigeants qui se servent de vous pour accomplir des actes
illégaux par des manœuvres dolosives et ceci sans prendre conscience des dommages que cela
entraînent sur la vie des citoyens.

La violence publique naît de la trahison de la Constitution.


Elle fait suite à la corruption de nos représentants
Passons sur les conséquences des actes ordonnés par les ordres illégaux de ces «Faux représentants
du peuple», mais exécutés par les intermédiaires des services publics. Situation idéale et performante
aussi au regard des punitions prévues par la loi, puisque c’est la situation criminelle la plus efficace et
performante qui remplit les 11 critères de « Crime contre l’Humanité », quand un seul critère suffit à
qualifier ce type d’organisation criminelle.

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Le nombre de décès dits naturels en France, est actuellement d’environ 600 000 par an.

Le bilan des violences politiques organisées par des « représentants du peuple français » (sic) est
celui d’une guerre qui s’oppose au mensonge de « 70 ans de paix ». Une guerre interne contre une
partie méprisée de citoyens, comme a débuté le Nazisme. Elle provoque chaque année
l’appauvrissement et la mort prématurée de sous-citoyens privés de l’égalité de droits, catégories
pré classées inférieures :

Nous passerons les conséquences mais tout de même importantes puisque souvent liées aux directives
des représentants du Peuple. La pollution dans l’air, dans l’eau, le tabac, les accidents, les maladies...

- Appauvrissement généralisé de catégories de Français, privés de « l’égalité de droits » et


atteints dans leur « dignité » (selon le préambule de 1946 inclus dans le préambule de la
Constitution de 1958). Cette violence a un impact sur la durée de vie de 9 millions de citoyens
au-dessous du seuil de pauvreté : ce sont autant de victimes subissant des humiliations et des
violences illégales qui réduisent leur durée de vie (soit environ 13% de la population dont le
décès est impacté par l’appauvrissement organisé pour enrichir des égos malades ou stupides).
Retenons un chiffre indicatif de 78 000 morts .

- 10 000 suicides par an (acceptés comme suicides par les familles, donc à minima), dont une
proportion importante est la suite d’un mépris social, d’une terreur fiscale, d’un harcèlement
par la violence... organisés à partir du non-respect de « l’égalité de droits » et des actes illégaux
commandés par les élus. Ce choix définitif d’abandonner sa propre vie, apparaît alors
comme la seule solution pour ne pas tomber aux mains d’un esclavagisme organisé
politiquement. Si l’incitation au suicide constitue un délit, la contrainte au suicide est un
assassinat. » (à minima 50% soit 5000 décès)

- Le stress (qui précède la terreur) avec un coût estimé entre 2 et 4% du PIB : il s’agit désormais
de consacrer son temps et sa vie à résister à des lois débiles destinées à mécaniser l’humain,
réduit à un potentiel de production. Celui-ci est géré par des individus qui s’approprient le
vivant. Ils transforment l’être humain, qui est sujet et citoyen souverain de la République, en
objet de commerce dans la plus pure lignée d’un Nazisme amélioré (le commerce d’humains
était pratiqué seulement entre services dans le camp d’Auschwitz pour expérimentations
directes). Le transhumanisme, qui est un rejeton du Nazisme, est désormais l’objectif revendiqué
avec expérimentations directes sur les peuples (« vaccins » phase 3). Le stress participe aux
maladies cardiovasculaires qui font 400 morts par jour. Les morts prématurées suite au stress ne
sont pas chiffrées précisément .

- Le chômage a comme conséquence de provoquer la mort prématurée de 14000 citoyens


chaque année … Ces décès (souvent par maladies cardio-vasculaires) sont liés à une situation
d’ordre politique : ces décès interviennent au détriment d’une catégorie de Français moins
Français que d’autres, puisqu’ils ne sont pas protégés par l’égalité de droits
Constitutionnelle.

- 600 morts dans la rue (2020) à une moyenne d’âge de 50 ans, suite toujours, à des privations
de droits, alors qu’ils sont nés avec une espérance de vie de 80 ans.

C’est le crime du pervers narcissique que seule la responsabilité individuelle peut arrêter, quand il
prétend servir le collectif pour s’attribuer des privilèges sans lesquels il ne pourrait exister. Il réduit la
biodiversité du vivant à sa seule personne ! Il se qualifie « élite » et ne peut donc avoir de comptes à
rendre à des inférieurs ou au milieu qui lui a donné la Vie.

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Nous avons le devoir de rappelez que sans les intermédiaires pour appliquer les ordres, la machine à
voler et à tuer ne peut fonctionner. Il faut donc rappeler aux intermédiaires des services publics leur
rôle indispensable dans ce processus : une violence criminelle existe grâce à leur allégeance. Elle ne
peut exister que par leur obéissance passive, c’est-à-dire leur « collaboration » à un vaste crime
d’essence raciste. Et ils en reçoivent une rémunération, ce qui transforme leur passivité en «
collaboration active à un assassinat en groupe organisé» ; ce que pas un sur mille n’a consciemment
voulu de ce qu’il fait. Ils sont passibles de peines pénales graves, d’autant plus fortes lorsqu’ils sont
prévenus.

«Le racisme est la valorisation, généralisée et définitive, de différences, réelles ou imaginaires, au profit
de l'accusateur et au détriment de sa victime, afin de justifier ses privilèges ou son agression.»

Avez vous pris des nouvelles des personnes, des sociétés, des familles… des « êtres humains »
victimes de violences, d’extorsions, de harcèlements... avec les conséquences parfois dramatiques
que cela cause? Pouvant aller jusqu’au suicide, classifié tel alors que c’est manifestement un crime.
Cette atrocité commandée par des « représentants du peuple » pour leur avantage personnel, se servant
d’intermédiaires « non soucieux » pour se décharger et accomplir leur acte sans se préoccuper des suites
dramatiques...« décharger » sur les intermédiaires qui deviennent donc responsables involontairement de
ces actes qui peuvent devenir « criminels ».

C’est pourtant l’intérêt général qui est le garant de l’intérêt privé et qui sert de socle à toutes nos lois :
l’intérêt général leur confère leur légitimité, laquelle est supérieure à la légalité. Ceci afin qu’une société
survive aux malades mentaux dépourvus de « valeurs morales » qui tentent de « légaliser » leurs crimes,
et ceci sans la limite qu’est l’autre, un autre soi-même.
Dès lors que l’objectif des lois n’est pas respecté, leur obéir signifie collaborer au crime contre les
citoyens et contre les générations futures : ceci vaut en premier pour la fonction et la force publiques,
précisément chargées de ne pas appliquer des lois illégitimes : c’est même le premier de leurs Devoirs et
le sens de leur rémunération, que le peuple assume sous cette condition. Compte tenu des conséquences
graves de la trahison de la DDHC, vous êtes désormais informée et responsable personnellement et
professionnellement des situations « criminels » actuelles et à venir.

Par l’Article 1353 du Code Civil , Toute personne qui réclame l’exécution d’une obligation doit le
prouver. Réciproquement, celui qui se prêtent libérer doit justifier le paiement ou le fait qui produit,
l’exécution de son obligation. Vous avez la possibilité de contester ces écrits avec des arguments fondés
sur les droits, les devoirs du citoyen, selon les Lois en vigueur.

Vous devez m’ apporter la preuve de la légalité du Code général des impôts, du livre des procédures
Fiscales, de la Loi 92-1476, qui mentionne que : constitue un tire exécutoire... la mise en demeure, la
validité du décret n° 8160, en me fournissant les documents suivants :

 La publication au journal officiel décret 48-1986 du 9 décembre 1948 (version papier) ;


 L’acte de ratification par le parlement de la partie Législative du code général des impôts ;
 La publication au journal officiel de la Loi 92-1476 du 31 décembre 1992 (version papier).
 La preuve que le décret n°81-860 en Conseil d’État peut se référer à l’article 34 de la
constitution.

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Votre responsabilité individuelle est désormais pleinement engagée par la connaissance des
conséquences graves de l’usage personnel que vous faites de lois perverties. Les ordres illégaux que
vous recevez de vos supérieurs et des élus vous rendent complice à part entière de ce système devenu
totalitaire. Vous avez le choix de continuer comme « intermédiaire » sous les ordres de « maîtres » qui
manipulent leurs « subalternes » afin de détruire les «catégories inférieures » ou d’être enfin conscient
de ces actes criminels et de dire NON, de ne plus consentir à l’injustice dictée par ce régime politique
qui se caractérise par une forme de pouvoir arbitraire, autoritaire, entièrement soumis à la volonté de
celui ou de ceux qui gouvernent. Sans l’apport des documents demandés ci-dessus justifiant la légalité
des actes, je demande le remboursement immédiat de la somme prélevée illégalement sur le compte
bancaire n°*****.

Veuillez agréer, Prénom Nom, l'expression de nos salutations distinguées

Prénom Nom
Signature

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