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La vérité sur les Fonds Fiduciaires (TRUST)

et les tribunaux (Courts)

Un trust est une relation de confiance, un acte juridique unilatéral


sanctionné par l’Equity1, dans lequel une personne physique ou morale
(le settlor) transfère des actifs au trust et confère le contrôle de ces biens à
un (ou plusieurs) tiers ou à une ou plusieurs institutions — le(s)
trustee(s) — pour le compte du ou des bénéficiaire(s).
Il n’existe pas à proprement parler de correspondance en droit français. il
en existe juste une analogie partielle dans le concept de fiducie
testamentaire. Il peut se traduire par « confiance ».

Traduit de la source :
http://web.archive.org/web/20160409104642/http://
mainerepublicemailalert.com/2014/08/31/about-trusts-and-the-courts/

Fondamentalement, les tribunaux facturent votre NOM, qui est un trust,


une fortune de confiance. Ils espèrent que vous vous identifierez vous
même en tant que cette fiducie (as the trust) - et leur donnerez accès aux
actifs avec votre signature.

Dans la matrice d’entreprises, tout est détenu dans une fiducie publique
(Public Trust), et la façon dont l'Élite accède à cette fiducie est de lui
imputer une dette (CHARGE the TRUST), et ensuite de vous faire admettre
que vous êtes le TRUST/NOM pour que vous payez la dette en question.

Les sans papiers illégaux (illegal aliens) ne peuvent se conformer à la


réglementation et ne sont généralement pas facturés - à moins qu'il ne
s'agisse d'une violation de la loi coutumière (common law) - car ils ne sont
associés à aucun trust. Cela ne vaut donc pas la peine de les accabler.

Observez les trois « formes » de jugement (court). Rappelez-vous ce que


Jean Keating a dit sur « la substance et la forme ». Vous êtes la « substance
» et les formulaires de demande (application) et de dépôt (filing) sont la «
forme ».
Demander au Juge / Gestionnaire d'actifs (Administrator) « Est-ce une
question de fond ou de forme ? » est généralement un obstacle qui devrait
vous faire renvoyer du tribunal et conduise au rejet de l'affaire (case
dismissed).

Notre position a toujours été de ne jamais aller en justice


volontairement. Les hommes et les femmes vivants ne sont pas censés
être dans un lieu conçu pour les affaires d'entités fictives.

Lorsque nous comparaissons au tribunal, nous sommes considérés comme


morts ; ils ne peuvent gérer que des fictions juridiques, des personnes ...
des actifs de confiance (trusts).

Le tribunal est un lieu pour les « personnes autorisées » (titled persons) -


juges, procureurs, avocats de la défense (accusé), huissiers de justice,
greffiers, policiers et avocats. Les hommes et les femmes vivants ne sont
pas reconnus devant les tribunaux ; ce ne sont pas des « personnes »
(entreprises physiques ou morales).

Les avocats ne savent pas comment fonctionne le système en raison de leur


endoctrinement (la formation qu’ils ont reçu). Si vous pouvez trouver un
avocat pour faire ce que vous lui dites de faire, alors vous réussirez, mais
la plupart des avocats préfèrent conserver leur carte BAR (leur serment
et/ou inscription au bar « eau » de la couronne d’Angleterre) plutôt que
d’agir avec honneur.

La seule chose que les entités fictives et mortes attendent de nous est notre
énergie vitale, et elles ne peuvent l'obtenir qu'avec notre consentement.
Vous ne pouvez pas fonctionner sans nous. Ils veulent donc nous faire
comparaître devant les tribunaux afin que nous puissions rembourser les
dettes qu'ils ont créées en grevant notre confiance / notre nom. En
facturant le trust/le nom.

Il n'y a plus de tribunaux de de droit commun (common law courts). Une


affaire devant un tribunal n'a rien à voir avec des hommes et des femmes
vivants ou « faits ». Donc, quiconque témoigne (parle) des faits d'une
affaire sera condamné.
TOUT les tribunaux fonctionnent selon le droit des truts (trust law), qui est
basé sur le droit canonique de l'Église - qui se révèle comme le droit
commercial international. Nous perdrons devant les tribunaux s'ils peuvent
nous amener à leur donner notre consentement.

Pour ce faire, ils utilisent tous les tours possibles de leur sac -
l'intimidation, la peur, les menaces, le ridicule, la colère sont utilisés, et
même des ajournements, pour changer la loi lorsqu'ils sont sur le point de
perdre, pour nous faire admettre que nous sommes le nom de la fiducie :
le fiduciaire (trustee) qui est celui qui endosse toute la responsabilité du
trust.

Donc, jusqu'à présent, ce fut une perte de temps et d'énergie d'aller dans un
endroit où il était presque certain de se retrouver à devoir endosser la
responsabilité du trust.

On nous a enseigné religieusement dans nos écoles publiques que les juges
étaient impartiaux et avaient prêté serment à ce sujet ; qu'ils ne favorisaient
ni le plaignant ni l'accusé. Mais l'expérience nous a montré une autre
réalité - à savoir que le juge est du côté du plaignant - un conflit d'intérêts
flagrant.

Le procureur, le juge et le greffier travaillent tous pour l'État - le


propriétaire et le constituant de la fiducie CQV (Cestui Que Vie). Il ne
s'agit pas d '« équité » - il s'agit de gérer un trust.

Vous (le NOM PRENOM) représentez une propriété en fiducie appartenant


à l'État, dans cette fiducie nous sommes les bénéficiaires, et les deux autres
acteurs en sont l’exécuteur testamentaire (executor) et le fiduciaire
(trustee).

Donc, si vous pouvez montrer le parti pris d'un juge – même si je doute
que cela aboutisse - vous pouvez lui faire savoir que vous êtes conscient de
ces rôles.

En vertu de la loi sur les trusts, vous ne pouvez pas être l'exécuteur
testamentaire ou le fiduciaire (trustee) et en même temps le bénéficiaire
d'un trust, car cela serait en conflit car le bénéficiaire ne peut pas agir pour
lui-même.
Je recommande de vous faire représenter afin de ne pas vous confondre et
d'accepter par inadvertance d'être la fiducie/fiduciaire (trust/trustee).

Le pire qui puisse arriver à votre agent (representative) quand il ne


parvient pas à prouver qu'il n'est PAS la fiducie/fiduciaire est que la
position du bénéficiaire aura moins d'influence, mais les autres positions
restent responsables.

La seule façon qu’ont les employés d’État pour devenir bénéficiaires de la


fiducie est de transférer la responsabilité qu'ils détiennent sur nous, car ils
ne peuvent pas être à la fois le gestionnaire d'actifs et le bénéficiaire de la
fiducie.

La tutelle (trusteeship) et le bureau du gestionnaire d'actifs (executorship)


sont des patates chaudes dont vous souhaitez vous débarrasser pour rester
le bénéficiaire des actifs du trust.

A notre naissance, un trust (fonds fiduciaire) - un fond Cestui Que Vie


(CQV) - a été créé en notre faveur.

La preuve en est l'acte de naissance. Mais quelle a été la valeur transférée à


ce trust pour le créer ?
La valeur était notre droit de propriété à travers notre naissance sur Terre à
savoir notre corps à travers l'acte de naissance vivant, et notre âme à
travers le certificat de baptême.

L'État qui a enregistré ce fonds en fiducie en est le propriétaire et le


fiduciaire ... l’administrateur (administrator) du trust.

Étant donné que l’État veut être le bénéficiaire du trust, il doit nous
l’obtenir (nous le bénéficiaire réel) pour lui permettre de grever (causer du
dommage à, charger) les actifs du trust au moyen de notre signature sur un
document (une citation à comparaître, une demande, etc.) afin de nous
transférer la tutelle (trusteeship) le temps pendant lequel il veut devenir le
bénéficiaire d’un trust « implicite » particulier.

Un trust peut être créé n'importe où et à n’importe quel moment tant que
les parties du trust sont en place pour celui-ci.
Et comme le bénéficiaire ne peut pas grever les actifs du trust (seul un
fiduciaire (trustee) peut le faire), c'est l'État, en tant que fiduciaire qui
grève les actifs - mais il le fait pour son bénéfice, pas pour le nôtre.

Ainsi, en vertu de la loi des trusts, le seul moyen pour l'État de bénéficier
de sa charge sur le trust est de nous amener à échanger notre rôle de
bénéficiaire avec celui de l’État fiduciaire (responsable de la compensation
(accounting)), l’État quittant le rôle de fiduciaire glisse dans celui de
bénéficiaire (car aucune des deux parties ne peut jouer les deux rôles en
même temps dans la même construction d’un trust).

En vertu de la loi des trusts, la seule façon pour lui de grever les actifs
d’un trust est d'obtenir le consentement du bénéficiaire.
Pourquoi devrions-nous accepter de changer de rôle alors que la confiance
est pour notre bien ? ... Et comment y parvenez-vous ?

Eh bien, la meilleure chose à faire pour le fiduciaire (l’État) est de nous


traîner devant les tribunaux et de nous inciter à nous faire involontairement
changer de rôle. Mais si nous connaissons le contexte avant d'y apparaître,
nous savons quoi dire pour que cela ne se produise pas.

Le greffier est le personnage clé, même si le juge semble être le


personnage clé. Le greffier est le fiduciaire (trustee) des actifs du trust
CQV, détenue par l'État. Il ou elle est responsable de la nomination du
fiduciaire et de l'exécuteur testamentaire pour le trust, par interprétation de
cette affaire judiciaire particulière.

Dans une fiducie de «dernier testament», c'est le contraire, car c'est


l'administrateur de la succession qui détermine le fiduciaire.

Ainsi, le greffier nomme le juge comme trustee (celui qui administre le


trust) et le procureur en tant qu’exécuteur (executor) (celui qui exécute la
fiducie).

L' exécuteur est en dernier recours responsable de la compensation parce


qu'il a porté l'affaire devant les tribunaux au nom de l'État (qui à créé le
trust), qui a grevé les actifs du trust CQV.
Seul un gestionnaire d'actifs (executor) / procureur (prosecutor) peut
initier/créer un trust par interprétation (de circonstance), et celui qui crée la
controverse en assume la responsabilité et doit fournir le recours (la
réparation des dommages, la somme à payer au bénéficiaire).

C'est pourquoi tous les procureurs sont tenus d'apporter leur chéquier au
tribunal car s'ils ne transfèrent pas leur responsabilité à l’accusateur
présumé (le plaignant) ou au défendeur présumé (l'accusé) si l'État refuse
l'offre quelqu’un doit décider d'accepter la responsabilité et décharger le
fonds d'affectation spéciale du montant approprié pour compenser la dette.
Et ce «quelqu'un» est le procureur.

Étant donné que le procureur est celui qui charge(cré?) le trust (de
circonstance), le procureur / exécuteur testamentaire (PE) doit satisfaire à
l'accusation (trouver le moyen de compenser indemniser répondre à la
charge?).

Parce que l'avocat est celui qui a chargé les actifs de la fiducie de
circonstance, le procureur / exécuteur testamentaire (procureur / exécuteur
(PE)) indemnise la charge.

Quand le Juge/Administrateur/Trustee (JAT) appelle le nom du trust,


PRENOM NOM, nous pouvons nous lever et demander : « Pour mémoire
(for, and on the record), êtes-vous en train de dire que la fiducie, que vous
administrez maintenant, est la fiducie PRENOM NOM ? »

Cela établit le fait que nous savons que le nom est le trust, et non un
Homme vivant.

Quelle est habituellement la première question du JAT : « Comment vous


appelez-vous ? » Ou « Inscrivez votre nom au dossier ».

Nous devons faire très attention de ne pas nous identifier au nom du


trust, de ne pas nous confondre avec lui, car ce faisant, nous
changerons de rôle et nous ferons de nous le fiduciaire trustee et du
juge le bénéficiaire.

Si nous savons dès le départ que le juge est le fiduciaire trustee,


alors nous savons que le juge est le NOM PRENOM de ce trust crée par
une interprétation particulière.

Maintenant, pensez à toutes les fois où les juges sont devenus si irrités par
notre refus d'admettre être NOM PRENOM qu'ils émettent un mandat
contre « l'accusé absent » et dès que l'Homme part, il est arrêté. À quel
point est-ce idiot ? Vous sentez le ridicule de dire : « PRENOM NOM n'est
pas au tribunal, donc je lance un mandat d'arrêt contre lui », et ensuite
l'Homme dont ils viennent d'admettre qu'il n'est pas là est arrêté parce qu'il
est là.

Leur désespoir les rend fous, alors ils projettent cette folie sur nous et nous
ordonnent d'obtenir des évaluations psychologiques pour LEUR folie !!!

C'est là que nous pouvons demander : Êtes-vous en « train de dire que


vous ne savez pas de quoi je parle ? Admettez-vous votre incompétence ?
Doit-on envoyer quelqu'un qui SAIT de quoi je parle ? ».

Ils doivent nous faire admettre que nous sommes « Le Nom », sinon ils
paieront la note - et nous n'accepterons pas leur coercition.

Parce que le juge est le fiduciaire - une position précaire - la meilleure


chose dans ce cas serait de dire ...
« PRENOM NOM est bel et bien devant ce tribunal ! » Et de pointer du
doigt le juge . «Avec tout le respect que je vous dois, c'est vous ! En tant
que fiduciaire, vous êtes PRENOM NOM aujourd'hui, n'est-ce pas ? !!! »

Nous devons être respectueux et gentils, sinon nous tomberons à leur


niveau. Si le juge est frustré que nous n'admettions pas être le nom du trust
- c'est-à-dire le fiduciaire / administrateur de la propriété – nous devrions
lui demander qui il est.

« Avant d'aller plus loin, Votre Honneur, j'ai besoin de savoir qui VOUS
êtes. »

Allez voir le greffier du tribunal et demandez-lui, le fiduciaire de la fiducie


du fonds CQV, trust appartenant à l’État : « Êtes-vous le fiduciaire trustee
qui avez nommé ce juge administrateur (administrator/trustee) du trust
par interprétation (constructive trust) n° 12345 ? Avez-vous nommé le
procureur comme exécuteur testamentaire dans cette relation fiduciaire
(constructive trust) ? »

Puis adressez au juge ces mots: « Vous êtes donc le fiduciaire trustee » et
au procureur, « et vous êtes l'exécuteur testamentaire - et je suis le
bénéficiaire. Je vous autorise donc à dissoudre et à libérer cette relation
fiduciaire. »

« Je revendique mon corps ici, alors je vais liquider le fonds en fiducie


CQV que vous avez facturé parce qu'il ne contient aucune valeur. Vous
avez enfreint toutes les lois ! »

Il est fort probable que vous n’en arriviez pas jusque là, car le juge
ordonnera « Affaire rejetée » ... ou plus probablement le procureur criera «
Nous retirons l’accusation ».

Nous avons dévoilé leur arnaque du trust CQV qui n'existe que sur la base
de conjectures (presumptions). Le trust CQV n'a pas de corps, pas de
substance (property) … donc pas de valeur. Les trusts ne sont créés que par
le transfert d’un bien et ne peuvent exister que tant qu'il y a de la valeur
dans ce trust.

Il n'y a aucune valeur dans le trust CQV et pourtant ils continuent de


grever ces actifs fiduciaires. C'est une fraude

Les biens présumés, ce sont les hommes et les femmes qu’ils jugent
incompétents, morts, abandonnés, perdus, faillis ou mineurs — mais c’est
une illusion —, de sorte que lorsque nous revendiquons notre corps, nous
faisons disparaître la présomption que la fiducie a de la valeur. !

Ils agissent frauduleusement - ce que nous avons toujours su - mais


maintenant nous savons comment ils le font. Maintenant que nous les
avons exposés, ils n'ont que trois options :
1. Ils peuvent rejeter le procès avant de risquer que leur fraude ne soit
découverte.
2. Ou ils peuvent effacer la dette et nous laisser tranquilles.
3. Ils peuvent liquider cette affaire unique liée au trust CQV - mais ils ne
peuvent pas dissoudre le trust CQV lui-même - sinon le système mondial
s'effondrerait, car ils ne peuvent exister sans notre énergie qu'ils obtiennent
par l’intermédiaire de ces trusts CQV, et ils ne veulent pas que les
ressources de ces trusts CQV soient distribués aux bénéficiaires que nous
sommes.

Maintenant qu'ils savent que maîtrisons cette fraude, et chaque fois qu'ils
iront devant les tribunaux pour administrer un compte en fiducie, ils ne
sauront pas qui ira en prison. Le syndic trustee/juge est la personne
responsable qui ira en prison et le procureur exécuteur devra faire
respecter cela.

C'est pourquoi ils veulent que nous acceptions les deux titres, exécuteur
testamentaire / syndic / fiduciaire trustee, parce qu'alors non seulement
nous irons en prison, mais en signant leurs documents, nous devenons le
juge qui exécute sa propre peine.

Ils ne peuvent pas se permettre de violer leur serment, soumis au droit


canonique de l'Église, la loi canon (ecclesiastical canon laws) de peur de
devoir mettre fin à leur carrière. Ils sont donc pris au piège sans aucune
marge de manœuvre.

Alors, quel est le travail d'un greffier ?! Dans un proche avenir, aucun de
ces gangsters n'acceptera de tels cas car le risque est trop grand. Ce sera la
fin de ce système judiciaire. Il est temps n'est-ce pas ? Savoir - ne pas
connaître la procédure - c'est le pouvoir.

En vertu du droit commercial - depuis le Code Ur-Nammu (vers 2100


av .J.C.) - s'approprier la propriété d'autrui sans son consentement le place
en déshonneur, le rendant responsables de toutes les dettes
contractées/accumulées.

Ainsi, notre utilisation des formulaires UCC, des lettres de change (bill of
exchange), des affidavits ou obligations (bonds), des billets de la Réserve
fédérale (FRN’s) et d'autres documents du Système Romain peut entraîner
des pénalités pour le commerce et l'utilisation de biens qui ne sont pas les
nôtres car le « NOM » sur l'acte de naissance est détenu par l'entreprise qui
l'a créé. Nous pouvons remplir nos papiers proprement, mais à la fin ils
diront « Désolé, vous n’êtes pas l’un des nôtres car vous êtes réel et nous
ne le sommes pas - nous sommes une fiction. »
Mais maintenant nous devons leur faire peur. Lorsqu’on nous force à aller
en cour, le fait de savoir que le juge est le fiduciaire et que le procureur est
l’exécuteur testamentaire des fiducies du CQV donne du pouvoir.

Cela nous donne deux options:


1. Nous pouvons dénoncer la fraude sur la base des présomptions sur
lesquelles le trust CQV existe - puis leur demander de le liquider, puisque
le fiduciaire est le juge siégeant à la banque. Dissoudre un trust CQV
signifie les dissoudre tous.
2. Si nous savons que tout ce que dit le juge - même si cela ressemble à des
ordres, des ordonnances ou des punitions - est une « offre », nous pouvons
refuser cela en disant: « Je ne comprends (se soumettre à) - je n’accepte
pas votre offre ».

C'est le principe clé des fiducies d'héritage testamentaires - le bénéficiaire


peut accepter les offres du fiduciaire trustee ou les rejeter.

Je n'ai trouvé aucune autre solution en commerce car ceux qui prétendent
avoir des solutions insistent encore sur le traitement des symptômes plutôt
que de traiter/éliminer la cause ... le fonds fiduciaire frauduleux du CQV.

Article http://revealthetruth.net/2015/01/14/die- wahrheit-uber-


treuhandfonds-und-gerichte/

Réflexions ultérieures sur le grand jeu fiduciaire : Une relation fiduciaire


existe toujours entre l’exécuteur, le fiduciaire et le bénéficiaire. Tout
tourne autour de la propriété de la fiducie, un actif qui peut être matériel
(par exemple, l'immobilier) ou immatériel (par exemple, des droits
juridiques). Le fiduciaire peut également être le bénéficiaire, mais pas
l’inverse. Dans un sens, le fiduciaire a la carte de l'âne, il doit administrer
et a toute la responsabilité, mais selon la loi des trusts, il ne peut pas
bénéficier de tout cela lui-même.
Bien sûr, je suis conscient de l'épreuve intérieure, ce que cela signifie pour
chacun de vouloir reconnaître que ce mandataire pour le NOM étranger
fait partie de son énergie vitale dans un système déterminé de l'extérieur,
une illusion de liberté et de sécurité dans lequel le monde entier à investi.
Comme la langue vernaculaire l'avait répété à maintes reprises: "Il n'y a
rien de bien dans le mal" et "Mieux vaut une fin avec l'horreur que
l'horreur sans fin."
L’Etat n'a jamais été ce que les gens espéraient, ni dans le socialisme /
communisme ni dans le capitalisme ou l’économie sociale de marché.
L'acte de naissance de l'enfant humain - le début de tout le mal avec le
fonds fiduciaire pour l'enfant humain:

Advanced Civics Research Library


Structure Of The Birth Certificate
L'État a-t-il mis votre corps en gage auprès d'une banque ?
À droite : certains certificats de naissance et de mariage sont désormais des
« récépissés d'entrepôt », imprimés sur du papier à billets, ce qui peut vous
identifier, vous et les vôtres, comme étant la propriété « mobilière » des
banques auxquelles notre gouvernement emprunte chaque jour.
De : David Deschesne
Éditeur, Fort Fairfield Journal
Journal de Fort Fairfield, 11 mai 2005

Un certificat est un "document établissant une revendication de propriété".


- Dictionnaire des termes bancaires de Barron. L'enregistrement des
naissances a commencé en 1915, par le Bureau of Census, tous les États
ayant adopté la pratique en 1933.
Les certificats de naissance et de mariage sont une forme de titres appelés
« récépissés d'entrepôt ». Les éléments inclus sur un récépissé d'entrepôt,
tels que décrits au §7-202 du Code de commerce uniforme, la loi qui régit
les effets de commerce et les transactions, parallèlement à un certificat de
naissance ou de mariage, sont :
- l'emplacement de l'entrepôt où les marchandises sont entreposées...
(domicile)
-la date d'émission du récépissé.....("Date d'émission")
-le numéro consécutif du récépissé...(trouvé au verso ou au recto du
certificat, généralement en chiffres rouges)
-une description des marchandises ou des colis les contenant... (nom, sexe,
date de naissance, etc.)
-la signature du magasinier, qui peut être apposée par son mandataire...
(signature du greffier municipal ou de l'officier de l'état civil)
Les certificats de naissance/mariage semblent désormais être au moins
qualifiés de "récépissés d'entrepôt" en vertu du Code de commerce
uniforme. Le Black's Law Dictionary, septième édition, définit : récépissé
d'entrepôt. "... Un récépissé d'entrepôt, qui est considéré comme un titre de
propriété, peut être un instrument négociable et est souvent utilisé pour le
financement avec des stocks en garantie."
Depuis que les États-Unis ont fait faillite en 1933, tout nouvel argent doit
être emprunté pour exister.
Tous les États ont commencé à émettre des "récépissés d'entrepôt"
numérotés et certifiés pour les naissances et les mariages afin de nous
donner en garantie contre ces prêts et obligations municipales contractés
auprès des banques de la Réserve fédérale. On dit que la "pleine foi et le
crédit" du peuple américain sont ceux qui soutiennent la dette de la nation.
Cela signifie simplement que l'Américain
la capacité des gens à travailler et à rembourser cette dette. Afin de
cataloguer ses ouvriers, la structure de l'acte de naissance
1Un certificat est un « document établissant une revendication de
propriété ». - Dictionnaire Barron des Conditions bancaires.
L'enregistrement des naissances a commencé en 1915, par le Bureau of
Census, adopté par tous les États dés 1933.

Source :
https://losloesung.wordpress.com/2015/03/15/die-wahrheit-uber-
treuhandfonds-und-gerichte/

Publié le 15 mars 2015


http://mainerepublicemailalert.com/2014/08/31/about-trusts-and-the-
courts/

Publié le 31 août 2014 par l'auteur et éditeur DAVID E. ROBINSON


Traduction : patrizia (en l'allemand)

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