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Prénom et Nom en Minuscules

Adresse

Direction de l'URSSAF des Pays de La Loire

Bonjour,

Je vous adresse ce courrier en toute bonne foi pour vous confirmer ma volonté de payer mes
obligations financières.

Pour que je puisse continuer à honorer les dites obligations financières que vous me
réclamez, je vous demande de me fournir, dans un délais de 15 jours, les pièces suivantes :

• La validation de la dette, c'est à dire la comptabilité réelle (comprenant tout les mouvements
lié à la « dette » que vous attribuez à ma personne juridique)
• La vérification de votre réclamation, c'est à dire une facture signée par les deux parties.
• Une copie du contrat liant les deux parties.
• Une preuve de l'existence légale de l'URSSAF, notamment une preuve de l'enregistrement
de l'URSSAF auprès du registre des sociétés et du commerce, justifiant vos actions
fiduciaires.

Mon consentement pour toute chose me concernant, de près ou de loin, doit m'être demandé
de manière systématique. Le silence ne présume pas mon acceptation. Les raisons et les
circonstances d'un engagement doivent être dévoilées clairement, sans ruse, malice ni tromperie, en
langue française d'usage, et les conditions négociées et validées par un accord contractuel rédigé et
adressé à Prénom et Nom en Minuscules ma personne de droit privé et signé à l'encre fraîche par les
deux parties. Tout contrat ne répondant pas aux conditions précitées est automatiquement refusé et
nul et non avenu. En tant que créature humaine vivante, je suis l'unique bénéficiaire de la sûreté et
du patrimoine représenté par la fiducie innomée établie par l'acte de naissance.

Je suis un être vivant humain libre. L'existence de l'entité juridique PRENOM et NOM en
MAJUSCULES repose sur l'effet d'un DOL.

La France n'a pas signé l'article 177 de la Convention Européenne qui garanti que personne
ne doit faire l'objet de quelconque forme de discrimination par aucune autorité publique sous quel
motif que ce soit.

Je fais ici usage du plein potentiel de mes droits réel, divin, idéal, subjectif, aux droits
naturels et j'appuie ici le principe de non reconnaissance de ma personne qui selon l'article 6 de la
DUDH dit que « Chacun a le droit à la reconnaissance en tout lieux de sa personnalité juridique ».

Veuillez trouver en annexe une liste non-exhaustive d'éléments (articles, réglementations,


définitions) qui pourront vous aider à comprendre ma démarche.

Sans préjudice.

Veuillez recevoir, l'expression de mes sentiments distingués

Prénom et Nom en Minuscules


Annexe

➢ Code civil

Article 1353 - Modifié par Ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016 - art. 4 : Celui qui réclame
l'exécution d'une obligation doit la prouver. Réciproquement, celui qui se prétend libéré doit
justifier le paiement ou le fait qui a produit l'extinction de son obligation.

➢ Concernant le Code général des impôts


L'examen du CODE GENERAL DES IMPOTS montre qu'il est divisé en deux parties :
• la partie législative
• la partie réglementaire

Dès le début de ces études, l'étudiant en capacité en droit connaît la différence entre :
• les textes législatifs faits par le pouvoir législatif (LOIS)
et
• les textes réglementaires faits par le pouvoir exécutif (DECRETS, ARRETES)

Or, pour le CODE GENERAL DES IMPOTS, on ne trouve trace d'aucun texte législatif à l'origine
de la partie législative du C.G.I.

Le Mégacode DALLOZ « CODE GENERAL DES IMPOTS » l'expose très clairement dans son
« AVERTISSEMENT » :
« Le code Général des Impôts a été promulgué par un décret du 6 avril 1950 et mis à jour depuis par
plusieurs décrets ».« Au code général des impôts proprement dit s'ajoute les textes réglementaires »
La partie législative du CODE GENERAL DES IMPOTS n'a pas été faite par le législateur mais par
le gouvernement, par le pouvoir exécutif, pas par le parlement. Il n'existe donc pas de partie
législative du CODE GENERAL DES IMPOTS, et pour cause, il n'y en a pas, et ce, constitue une
violation de la constitution.

Un juge n'a pas à contrôler la constitutionnalité d'une loi. Dans le cas présent, il n'existe pas de loi.

Pourtant, s'il y a une partie législative distincte d'une partie réglementaire dans le CODE
GENERAL DES IMPOTS, c'est bien pour distinguer les textes législatifs des textes réglementaires,
ou alors les mots n'ont plus de sens, et le mot impôt non plus. C'est la constitution qui définit la
différence entre les textes législatifs et les textes réglementaires et celui qui est autorisé à les faire.
Il suffit de lire le texte de la constitution du 4 octobre 1946, sous laquelle a été pris le texte du
CODE GENERAL DES IMPOTS. Les textes législatifs du CODE GENERAL DES IMPOTS
trouvent leur origine dans le décret du 6 avril 1950, qui par définition n'est pas une loi.

En tout état de cause, les fonctionnaires ou huissiers, fonctionnaires de police ou serruriers


accompagnants les dits huissiers, ou banquiers, tous destinataires du présent avertissement citoyen,
ne pourront plus prétendre ignorer l'impossibilité de demander une somme quelconque au nom de la
partie législative du CODE GENERAL DES IMPOTS.

➢ Définitions Juridiques (extraites du dictionnaire juridique de


Gérard Cornu)
Légalité :

1. Conformité à la loi, qui est conforme a la loi (au sens formel), plus largement au Droit écrit,
parfois au Droit positif dans son ensemble
2. Caractère de ce qui doit être établi par la loi.
3. Caractère de ce que la loi impose de faire
4. Ensemble des dispositions de la loi ou du Droit écrit ou du Droit positif

Légitimité :

1. Code civil : État (situation) de l'enfant légitime (légitimité d'origine) ou légitimé (légitimité
acquise par légitimation) et consistant en un ensemble de droits et de devoirs (statut d'enfant
légitime)
2. Code publique : Conformité d'une institution à une norme supérieure juridique ou éthique,
ressentie comme fondamentale par la collectivité qui fait accepter moralement et
politiquement l'autorité de cette institution.

Droit : Ensemble de règles de conduite socialement édictées et sanctionnées, qui s'imposent aux
membres de la société.

➢ DROIT ECRIT / DROIT POSITIF


Droit écrit : Ensemble des règles de Droit explicitement édictes par des autorités qualifiées à cet
effet.

Droit positif : Ensemble des règles de droit (droit *objectif) en vigueur dans un pays donné à un
moment donné, par opposition à droit **naturel (ou idéal) et à un droit révolu (aboli ou abrogé) reçu
dans le passé.

*Droit objectif avec « D » majuscule (Par opposition au droit *subjectif) : Ensemble des règles
qui sont à la base de l'ordre juridique ; ensemble des institutions d'un pays, des assises juridiques de
la société, par opposition aux droits qui naissent sur la tête d'une personne en particulier, d'un sujet
de droit, individuellement (droit ***subjectif)

**Droit naturel : Règle considérée comme conforme à la nature (de l'homme ou des choses) et à ce
titre reconnu comme de droit idéal.

Les droits naturels : Dans la théorie classique, droits innés et inaliénables que chaque individu
possède par naissance et nature sans avoir besoin de les tenir d'un acte ni pouvoir les aliéner et dont
les gouvernants sont tenus d'assurer le respect.
Droit subjectif : prérogative individuelle (faculté d'agir fondée en droit) reconnue et sanctionnée
par le Droit objectif qui permet à son titulaire de faire, d'exiger ou d''interdire quelque chose dans
son propre intérêt ou, parfois, dans l'intérêt d'autrui.

Droit réel : Droit qui porte directement sur une chose et procure à son titulaire tout ou une partie de
l'utilité économique de cette chose. La propriété est le droit réel le plus complet.

Droits fondamentaux : Droits proclamés comme tels par diverses sources juridiques (Charte des
nations unies, DDHC,...) dont la notion vraie de l'une a l'autre et en doctrine, ainsi que leur liste,
jusqu'à la prolifération, ensemble hétérogène de véritables droits et de libertés, de véritables droits
subjectifs et de multiples « droit à »..., de principes, d'interdictions, de protections, de droits
universels ou particuliers à une région ou même de droits garantis selon les lois nationales qui en
régissent l'exercice ; amalgame créant une ambiguïté fondamentale en raison de la subjectivisation
qui enveloppent ces « droits et libertés » don beaucoup sont au premier chef des principes de droit
objectif et de véritables institutions, des choix de société en amont des droits individuels qui en
découlent.

« Toutes les décisions prises depuis 150 ans sont entachées à cause la fraude du nom légal et
doivent être annulées. Les tribunaux ont l'obligation de faire cesser le trouble et de ne plus employer
les MAJUSCULES dans le nom légal. Quand l'homme est devenu esclave ont été balayés tous les
droits de la propriété et de la famille. Il n'est pas permis a un nom légal d’être écrit en toute lettre
majuscules. C'est une fraude. L’utilisation de la convention linguistique par la fraude invalide tout
contrat et toute procédure judiciaire qui a été adressé par son emploi en Amérique et ailleurs depuis
un siècle et demi. Toutes ces procédures employant cette forme de texte à tout moment dans leurs
processus et tout les jugements qui en résultent sont nuls et non avenus (abé initio) pour cause. Tout
les tribunaux de toute sorte, publique et privé, judiciaire et administratif, militaire, civil et national
existants, dans les frontières des états organiques, de l'union ou de l'exploitation sur le sol américain
a quelque titre que ce soit sont par les présentes ordonnés de cesser l'utilisation de ces conventions
frauduleuses immédiatement et à annuler toutes les décisions entachées par son utilisation. »

Avis judiciaire de fraude et de violation immédiate ordre de cesser publié a tout les tribunaux de
district des états-unis et les tribunaux des états fédérés et du compté des exploitations sur le sol
américain et tous les membres de l'American bar association et tout les membres de l'association
internationale du congres et du barreau des états unis.

copie cour mondiale la haye

num enregistrement RA 876270415 US


num commande republique 49 alaska 5272016-000101

Avis judiciaire de fraude et de violation

GLOSSA « la langue des signes américaine » section 11:144 et 11:147 le Chicago Manual of
Styles :
[l'utilisation de toutes les lettres majuscules pour exprimer un nom ou un autre contenu.]

GLOSSA (de l'american sign langage) définition dictionnaire de droit 4em édition
[exemple] Gloss est un toxique qui détruit le tissu des organes vitaux
11 coque, 34, Il est un brillant toxique qui corrompt l'essence du texte.

L'Utilisation de la convention linguistique décrite ci dessus, par la fraude, invalide tout contrat et
toute procédure judiciaire qui a été adressée par son emploi en Amérique et ailleurs depuis un siècle
et demi.

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