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Objet : Taxe d’habitation / foncier / impôts / SATD


Référence de l’avis : *********
Pli recommandé sur 12 pages

CENTRE DES FINANCES PUBLIQUES


Nom Prénom du comptable ou autre
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Le ****** à *******

Bonjour,

Par la présente, je vous informe que la (taxe d’habitation/foncière ou autres) n’est pas conforme à notre
Constitution, nos droits de l’homme et aux Lois en vigueur. Nous allons ainsi détailler pour vous
démontrer que vos agissements sont directement liés à une collaboration avec les élus. Cette trahison
des objectifs d’intérêt général de la Constitution et de la DDHC 1789, qui a exporté ses méthodes et
ses outils criminels contre les libertés fondamentales, est clairement identifiée en Droit. Elle est punie
des peines les plus graves.

Nous vous informons que conformément à la Loi, vous avez des droits, des devoirs et surtout des
obligations. Vous êtes personnellement responsable des actes que vous produisez, même au centre des
finances publiques.

Le devoir de vérifier si les actes que vous produisez sont bien légaux et en cohérence avec notre
Constitution, nos droits de l’homme et les Lois en vigueur, le droit de ne plus consentir à extorquer
illégalement les citoyens, l’obligation de dénoncer l’injustice et les conséquences de ces actes.

Vous devez respecter les Lois, leurs conformités avec la Constitution, la Déclaration des Droits de
l’homme et du citoyen de 1789 et de la charte des droits fondamentaux de l'union européenne.

Le Code de la Fonction Publique édité ainsi vous informe de vos droits, de vos devoirs et de vos
obligations :
Article L121-9 du Code de la fonction publique
L'agent public, quel que soit son rang dans la hiérarchie, est responsable de l'exécution des tâches qui
lui sont confiées.
Il n'est dégagé d'aucune des responsabilités qui lui incombent par la responsabilité propre de ses
subordonnés.
Article 121-10 du Code de la fonction publique

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L'agent public doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où
l'ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.
Article L121-11 du Code de la fonction publique
Les agents publics se conforment aux dispositions du second alinéa de l'article 40 du code de
procédure pénale pour tout crime ou délit dont ils acquièrent la connaissance dans l'exercice de leurs
fonctions.
Article 40 alinéa 2 du Code de procédure Pénale :
Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions,
acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de
la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y
sont relatifs.

Commençons par vous rappeler certaines règles qui vous concernent également

Comment est structuré le Droit ? Selon la règle internationale de la hiérarchie des normes,
« la première norme indiquée doit être respectée par toutes les autres. Chaque loi
produite doit servir et préciser la loi qui lui est supérieure. »

La Hiérarchie des Normes compose le système juridique d'un État de droit pour en garantir la
cohérence et la rigueur :

1 La déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789


2 Bloc constitutionnel :
Comprend la constitution de 1958, le préambule de la constitution de 1946, la déclaration des
droits de l’homme.
3 Bloc de conventionalité :
Traités internationaux, les droits de l’Union Européenne...
4 Bloc de légalité :
Lois organiques, Lois ordinaires, Lois référendaires, Ordonnances énoncées
5 Bloc réglementaire :
Décrets du Président de la République, décret en Conseil d’État, décret en
Conseil des ministres

Il est bon de rappeler que la jouissance des droits et l'accomplissement des devoirs sont soumis à un
cadre juridique fixé par la loi.

La Constitution est le contrat que doivent appliquer nos représentants

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Savez-vous que la Constitution n’a été écrite Que « pour protéger le peuple de la corruption de ses
représentants » ? …Et que chaque loi est destinée à créer les conditions du bonheur pour tous. …Et
que, pour être légale, chaque loi doit servir cet objectif final, qui est seule légitime.

La première norme, celle qui est supérieure à toutes les autres dans notre Constitution de 1958, est le «
Préambule » des Droits de l’Homme de 1789, rappelé en première phrase. Le Préambule de 1789 est
donc la norme de référence que toutes les lois, en France, doivent servir et « mettre en œuvre ».

1- « Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que


l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et
de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits
naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme,
2- afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle
sans cesse leurs droits et leurs devoirs ;
3- afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant
comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ;
4- afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables,
tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »

Non seulement la morale (l’éthique, l’honnêteté, le respect…) a sa place en droit, mais l’aspect
moral a une valeur légitime et juridique supérieure à chacune des lois, sans exception. La
légitimité a une valeur morale prioritaire face au droit (« légitime » défense). Le droit est destiné à
servir la morale telle qu’elle est exprimée dans le préambule, et non l’inverse, comme
actuellement où le Droit et les droits (en fait, les privilèges), prétendent s’imposer à la morale…

Notre Constitution :
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de
la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée
par le préambule de la Constitution de 1946…

Dans cette fonction du Droit, l’égalité de droits (droits au pluriel) est précisée comme norme dans le
premier article DDHC. Ainsi, l’égalité de droits constitue le passage obligé de toutes les lois qui
suivent, tout en servant les objectifs énoncés dans le préambule.
J’observe que vous avez choisi un métier dont le sens est fait des Devoirs envers les valeurs de la
République, ce qui est légitime, compte tenu des valeurs et des buts réels qu’elle affiche comme son
socle. Je n’observe cependant qu’aucun des crimes actuels ne serait possible sans la collaboration
passive ou active de citoyens persuadés servir l’intérêt général, alors que ce système tue plus que le
Nazisme n’a tué en France. C’est un choix vicié, car on ne peut raisonner qu’avec les informations que
l’on a : celles d’une désinformation organisée qui, par l’usage détourné de l’argent public, supprime la
liberté d’opinion des contre-pouvoirs, journaux, syndicats, associations… Et supprime donc l’info, le
débat et le pouvoir de décision final qui revient au peuple par l’exercice d’une démocratie réelle.

Quel est votre rôle ?


L’Article 121-10 du Code de la fonction publique, dispose que : « … n’est pas pénalement
responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est
manifestement illégal », vise l’hypothèse où un supérieur hiérarchique donne l’ordre à son subordonné
de commettre une infraction. Placé ici, le mot « légitime » rappelle son sens supérieur au « légal ».

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Si un article, une Loi ou tout autre écrit est caduc, Nul ou anticonstitutionnel, il est donc non applicable
et l’ordre donné devient illégal. La personne qui exécute cet acte illégal devient donc responsable
personnellement.

Le non-respect de l’égalité de droits permet également un harcèlement légalisé, une mise en danger
Volontaire, avec création d’une situation anxiogène où l’individu adulte ne peut résoudre la cause du
problème dont il est victime, puisque la force publique qu’il paie pour protéger ses libertés, est devenue
sa première ennemie. Au terme, c’est l’assassinat individuel ciblé d’un citoyen français, père ou mère
souvent, en fonction d’un pré-classement catégoriel décidé par ses représentants, qui se récompensent
de cette lente destruction de sa liberté et de sa santé.
C’est la légalisation d’un racisme d’État contre des catégories de citoyens déclassés comme tels.

Violences rendues impossibles selon le premier article et selon les objectifs du Droit imposés par le
préambule de la DDHC.

En droit, le code civil est un recueil de lois ou de règles juridiques définies par un groupe, une société,
un métier, un État, Il doit être respecté par tous et pour tout.
Vous n’avez pas le droit, ni le pouvoir de créer vos propres Lois, de faire comme bon vous semble,
d’escroquer les gens de la sorte.

Pour vous démontrer et vous informer de l’illégalité de vos actes.

Le livre des procédures fiscales est créé par 2 décrets le 15 septembre 1981 pour la mise en place du
recouvrement de l’impôt, le contentieux, le contrôle de l’impôt, l’un de nature législative (n°81-
859) et l’autre de nature réglementaire (n°81-860).
Le décret 81-859 mentionne :
Vu l’ordonnance n° 45-1484 du 30 juin 1945. Cette ordonnance est abrogée depuis le 9 décembre 1986.
Vu la loi n° 80-546 du 17 juillet 1980. Cette Loi est abrogée depuis le 16 février 2022.
Le décret 81-859 est donc caduc.
La partie réglementaire est un décret en conseil d’État (n°81-860) qui pour information est rédigé
normalement selon l’article 37 de la Constitution pour la pour la mise en application dans les
matières autres que celles qui sont du domaine de la loi.

Or, comme nous pouvons le constater dans l’article 34 de la Constitution, c’est la Loi qui définit
l'assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ; le régime
d'émission de la monnaie etc.

Le décret en conseil d’État n° 81-860 mentionne également :


Vu le décret n° 63-766 du 30 juillet 1963, et notamment son article 21 (avant-dernier alinéa). Ce décret
est abrogé depuis le 1er janvier 2001.
Le décret n° 81-860 est donc anticonstitutionnel et caduc depuis le 1er janvier 2001, le décret n° 81-859
est caduc depuis le 9 décembre 1986, ce qui en résulte que le livre des procédures fiscales est illégal et
non applicable, il ne peut être annexé au Code général des impôts (décret N°50-481).

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Poursuivons sur les SATD pratiquées par le service des impôts :
Le gouvernement a mis en place et publié le décret 2018-970 du 8 novembre 2018 relatif à la saisie
administrative à tiers détenteur.
Il est précisé dans ce décret qui n’est pas une Loi, que dans le cadre de la création de la procédure de la
saisie administrative à tiers détenteur applicable à tous les comptables publics à compter du 1er janvier
2019, le présent décret met en cohérence les dispositions des articles R. 312-1-2 du code monétaire et
financier, l’article R. 212-3 du code des procédures civiles d’exécution avec celles de l’article L. 262
du livre des procédures fiscales.
L’article R. 212-3 signifie que La déclaration qui incombe au tiers saisi sur la situation de droit
existant entre lui-même et le débiteur est faite par le service employeur au greffe du juge de
l'exécution.
En cohérence « textes en rapport étroit qui s'accordent entre eux. » avec l’article L. 262 du livre des
procédures fiscales.
Ce qui veut clairement dire que toutes Saisies Administratives à Tiers Détenteur si légales, devraient
être accompagnées d’un Titre Exécutoire délivré par le Juge, si tel n’est pas le cas elles n’ont aucune
valeur Juridique.
Mais comme nous pouvons le constater, le décret 2018-970 relatif à la Saisie Administrative à Tiers
Détenteur et au contentieux du recouvrement publique est destiné au recouvrement de l’impôt, de la
taxe d’habitation, de la taxe foncière, de la TVA, des frais d’hôpitaux, des impôts sur le bénéfice
des sociétés, des amendes etc.
Comme le prévoit l’article 34 de la Constitution, c’est une Loi qui est censée définir le recouvrement
de l’impôt de toute nature. Ce décret mentionne également le livre des procédures fiscales, illégal
par le non-respect de l’article 34 et de la caducité des décrets 81-959 et 81-860.

Le décret 2018-970 est donc Nul et ne peut être mis en application.

Continuons sur le décret n° 2012-783 du 30 mai 2012 du Code des procédures


Civiles d’exécution.
Art. R. 211-1 du code des procédures civiles d’exécution. − Le créancier procède à la saisie par acte
d’huissier de justice signifié au tiers. Cet acte contient à peine de nullité :

1° L’indication des nom et domicile du débiteur ou, s’il s’agit d’une personne morale, de sa
dénomination et de son siège social ;

2° L’énonciation du titre exécutoire en vertu duquel la saisie est pratiquée.

Art. R. 211-9 du code des procédures civiles d’exécution − En cas de refus de paiement par le tiers
saisi des sommes qu’il a reconnu devoir ou dont il a été jugé débiteur, la contestation est portée devant
le juge de l’exécution qui peut délivrer un titre exécutoire contre le tiers saisi.

Art. R. 211-6 du code des procédures civiles d’exécution − Le tiers saisi procède au paiement sur la
présentation d’un certificat délivré par le greffe ou établi par l’huissier de justice qui a procédé à la
saisie attestant qu’aucune contestation n’a été formée dans le mois suivant la dénonciation de la saisie.
Le paiement peut intervenir avant l’expiration de ce délai si le débiteur a déclaré ne pas contester la
saisie. Cette déclaration est constatée par écrit.

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Il en est de même pour un huissier de justice qui est une personne dépositaire de l’autorité Publique et
en tant qu’Officier Ministériel, il doit être aussi muni d’un titre exécutoire signé par le Juge.

Le code des procédures civiles d’exécution précise aussi que :


Le code regroupe les textes relatifs aux relatifs aux procédures civiles d’exécution. Il s’agit des mesures
de contrainte qu’un créancier peut exercer à l’encontre de son débiteur en vue de recouvrer une
créance constatée ou prochainement constatée par un titre exécutoire, ou de reprendre un bien qui lui
appartient.
Le décret n° 2012-783 mentionne :

Vu le décret n° 96-1080 du 12 décembre 1996 portant fixation du tarif des huissiers de justice en
matière civile et commerciale. Ce décret est abrogé depuis le 29 février 2016.

Le décret 2012-783 du Code des procédures civiles d’exécutions devient donc caduc et non
applicable.

L’ordonnance n° 2011-1895 du 19 décembre 2011 relative à la partie législative du code des procédures
civiles d'exécution mentionne :
Vu le Livre des procédures Fiscales Comme précité plus haut, ce livre est caduc et anticonstitutionnel.
L’ordonnance 2011-1895 est donc Nulle et non applicable depuis sa publication.
Pour votre information :
Un acte caduc signifie que cet acte était régulier et valable lors de son édiction, de sa création, mais
qu'il a perdu ses effets juridiques ultérieurement en raison de la survenance de certaines circonstances
ou de certains faits l'empêchant d'être exécuté.
L'anéantissement s'opère de plein droit du seul fait de la défaillance de la condition à laquelle il était
soumise.

La caducité peut donc résulter :


- soit d'une condition qui était présente à l'origine mais qui vient à disparaître ultérieurement ;
-soit de la sanction d'une négligence lorsqu'il incombait à une personne de réaliser une condition.
La nullité :
Est la sanction de l'invalidité d'un acte juridique, ou d'une procédure. Soit que la cause de la nullité
réside dans l'absence de l'utilisation d'une forme précise qui est légalement imposée, soit qu'elle résulte
de l'absence d'un élément indispensable à son efficacité.
De ce fait, rien n’autorise le service des impôts et vous-même à pratiquer de l’extorsion de fonds, à
moins que vous puissiez nous démontrer par un texte de Loi et non un décret, les droits et privilèges de
ce créancier, cela reste de l’escroquerie.

…Un vol avec violence par le harcèlement, la terreur Fiscale sur les citoyens Français, portant atteinte
aux droits fondamentaux, à la dignité, à l'intégrité physique et psychique pratiqué par les
« intermédiaires » du service public qui suivent les ordres illégaux des « faux représentants du

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Peuple », un racket qui peut avoir des conséquences désastreuses sur la vie des citoyens. C’est une
perception illicite d'argent par un fonctionnaire :

Article 432-10 du Code Pénal :

Réprimant l’infraction de concussion et tentative :


Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public,
de recevoir, exiger ou ordonner de percevoir à titre de droits ou contributions, impôts ou taxes publics,
une somme qu'elle sait ne pas être due, ou excéder ce qui est dû, est puni de cinq ans d'emprisonnement
et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction.
Est puni des mêmes peines le fait, par les mêmes personnes, d'accorder sous une forme quelconque et
pour quelque motif que ce soit une exonération ou franchise des droits, contributions, impôts ou taxes
publics en violation des textes légaux ou réglementaires.
La tentative des délits prévus au présent article est punie des mêmes peines.
Le Code général des impôts n’échappe pas à cette escroquerie, il est donc anticonstitutionnel et en
désaccord avec la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789.
Le code général des impôts est un décret (N°50-481) du 6 avril 1950, alors que l’article 34 de la
constitution prévoit bien que c’est une Loi qui définit l'assiette, le taux et les modalités de
recouvrement des impositions de toutes natures….

Le décret 48-1986 du 9 décembre 1948 qui devait donner valeur législative au CGI n’a jamais était
publié au journal officiel, nous ne trouvons aucune trace de l’acte de ratification par le parlement de la
partie législative.

La partie législative du code général des impôts n’a pas été faite par le législateur, mais par le
gouvernement, donc par le pouvoir exécutif. Il n’y a donc pas de partie législative du CGI, c’est donc
une violation de la Constitution.

C’est la Constitution qui définit la différence entre les textes législatifs et les textes réglementaires et
celui qui est autorisé à les faire. Il suffit de lire le texte de la Constitution du 27 octobre 1946, sous
laquelle a été pris le texte du code général des impôts :

Le texte faisant référence à la partie législative du Code général des impôts est un décret du 6 avril
1950, qui par définition, n’est pas une loi, cela ne respecte pas notre Constitution.

« Article 13. - L’Assemblée nationale vote seule la loi. Elle ne peut déléguer ce droit. »
« Article 14. - Le président du Conseil des ministres et les membres du Parlement ont l’initiative des
lois. Les projets de loi et les propositions de loi formulée par les membres de l’Assemblée nationale sont
déposés sur le bureau de celle-ci. Les propositions de loi formulées par les membres du Conseil de la
République sont déposées sur le bureau de celui-ci et transmises sans débat au bureau de l’Assemblée
nationale. Elles ne sont pas recevables lorsqu’elles auraient pour conséquence une diminution de
recettes ou une création de dépenses. »
« Article 15. - L’Assemblée nationale étudie les projets et propositions de loi dont elle est saisie, dans
des commissions dont elle fixe le nombre, la composition et la compétence. »
« Article 47. - Le président du Conseil des ministres assure l’exécution des lois. » Aucun droit au
pouvoir exécutif à faire une loi à la place du pouvoir législatif. Dire le contraire, amènerait comme
conclusion et conséquence tragique qu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs dans la République
Française, Or, comme l’expose la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789,
reprise dans le Préambule de la Constitution en vigueur :

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« Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes
de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et
complétée par le préambule de la Constitution de 1946. »

« Article 16 — Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation
des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »

La Constitution du 4 octobre 1958 est le texte fondateur de la Ve République. Adoptée par référendum
le 28 septembre 1958, elle organise les pouvoirs publics, en définit leur rôle et leurs relations. Elle est le
quinzième texte fondamental (ou le vingt-deuxième si l’on compte les textes qui n’ont pas été
appliqués) de la France depuis la Révolution Française.

On ne peut que constater que la Constitution de la Vème république prévoit de façon explicite que la
loi n’est votée que par le Parlement.

« Art. 34. - La loi fixe les règles concernant :


 …
 L’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ;
(impôts sur le revenu, taxe Foncière, taxe carburant, TVA, taxe d’habitation, taxe audio-
visuel etc.) et bien-sur toutes les taxes diverses imposées à outrance.
 …

« Art. 37. - Les matières autres que celles qui sont du domaine de la loi ont un caractère réglementaire.
Les textes de forme législative intervenus en ces matières peuvent être modifiés par décrets pris après
avis du Conseil d’État. Ceux de ces textes qui interviendraient après l’entrée en vigueur de la présente
Constitution ne pourront être modifiés par décret que si le Conseil Constitutionnel a déclaré qu’ils
ont un caractère réglementaire en vertu de l’alinéa précédent. »

« Art. 38. - Le Gouvernement peut, pour l’exécution de son programme, demander au Parlement
l’autorisation de prendre par ordonnances, pendant un délai limité, des mesures qui sont normalement
du domaine de la loi. » « Les ordonnances sont prises en Conseil des Ministres après avis du Conseil
d’État. Elles entrent en vigueur dès leur publication, mais deviennent caduques si le projet de loi de
ratification n’est pas déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d’habilitation. À
l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent plus
être modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif. »

À moins de vouloir faire de la République Française une nation sans Constitution, on ne voit pas
l’intérêt de violer les principes les plus fondamentaux.

Cette absence de publication prive donc le CGI d’existence légale, le livre des procédures fiscales
illégal ne peut être annexé à ce même décret, tout comme la Loi 54-404 du 10 avril 1954 sur la TVA,
les taxes diverses, les impôts fonciers et tout ce qui est annexé à ce CGI est tout simplement non
applicable et illégal. Une Loi ne peut pas modifier un décret, de surcroît qui n’est jamais rentré en
vigueur Juridiquement, et n’est pas en adéquation avec la Constitution et l’article 14 de la DDHC.

Article 14 de la DDHC : Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou leurs représentants,
la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en
déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. Ainsi, est-il nécessaire de poursuivre
la démonstration de l'illégalité qui vous sert de socle d'accusation et de justificatif à votre salaire ?

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Je vous rappelle que votre responsabilité personnelle est engagée par divers articles du Code de la
fonction publique.
Observons ensemble que des individus élus pour nous "représenter", ont volontairement usurpé le
sens d'un texte fondateur en Droit, en le noyant dans une "théorie fiscale" douteuse, mais
d'apparence élaborée, propre, juste et "bienveillante" (merci Messeigneurs !), qui leur attribue un
pouvoir absolu d'extorsion de fonds, au détriment du peuple qui est souverain et seul légitime à
l'être !

Toutes ces manigances répondent à la qualification de Haute Trahison, loi elle-même modifiée et
vidée de son sens par ceux-là mêmes qu’elle désignait et accusait déjà de ce crime abject contre le
peuple français. Il est donc raisonnable de penser que cette loi est toujours en vigueur, dès lors qu’elle
a été abolie par des individus en conflits d’intérêts. Ils avaient toute conscience des risques judiciaires
qu’ils encouraient à l’avenir en augmentant les lois illégales qui allaient permettre d’organiser un grand
nombre de morts prématurées, dans un silence médiatique aseptisé et subventionné : même projet
transhumaniste, dépouiller progressivement le peuple de sa souveraineté. Mais haute trahison, petite
trahison, ou simple malhonnêteté, les crimes qui en résultent sont d'une gravité exceptionnelle.
Souhaitons qu'ils provoquent une prise de conscience générale et une sortie définitive de la violence
légalisée.

L’acte ou l’action méritant la qualification de haute trahison est un crime qui consiste en une extrême
déloyauté envers son pays, par son chef d’État, son gouvernement, ou ses institutions. Ce crime est
souvent associé avec celui d’intelligence avec l’ennemi. Il s’agit souvent d’une infraction politique,
concernant les détenteurs d’une autorité politique dans l’exercice de leurs fonctions.

Nous sommes donc en situation de crime contre le peuple français par des individus qui se sont mis au
service d’entités extérieures, illégitimes et illégales, sous le contrôle d'un chef d’État ! …par des chefs
d’État successifs et ceux qui ont trahi le rôle qui leur a été confié.

Ces violences sont condamnables, puisque la loi coercitive n’est nécessaire que pour contenir les
illusions et les croyances d’individus pervertis, incapables de percevoir l’autre comme un autre soi-
même et un égal en droits.

Quant à nos « représentants », ce sont nos salariés au Parlement qui sont supplantés dans leur rôle et
leurs débats, par des cabinets de conseils privés. Ceci au point de réduire les parlementaires à n’être plus
que des potiches qui servent de vitrine ! Ils servent de « décorum » et « ont un jeu de rôles ». C’est un
entre-soi avec le Sénat qui rejette de son cercle, les citoyens qui auraient le toupet de revendiquer
l’application de la Loi. Haute trahison toujours.

Nous tenons à rappeler qu’en tant que citoyens(nes) souverains(es), nous sommes en droit de
déterminer (cf. art 14 de la DDHC) l’emploi qui peut être fait de mes impositions et prélèvements,
directs, ou indirect, dont nous assumons la charge à chacun de nos achats. Si nous sommes privés de la
liberté de les « déterminer », il s’agit alors d’une preuve supplémentaire de l’extorsion de fonds avec
violence sur autrui. Ainsi, nous participons déjà à l’effort commun en payant toutes les taxes
indirectes sans moyen de contrôle et finalement au-delà de nos facultés et de nos choix, ceci au
détriment de ma vie familiale, sociale et professionnelle. Ce type de prélèvement est illégal : c'est une
trahison des principes fondamentaux définis par la DDHC. C'est une agression permanente, quotidienne
sur les plans publics et privés qui viole :

- la souveraineté naturelle de la personne humaine qui existait bien avant la République,

- la citoyenneté de cette personne libre qui accepte des règles sous réserve qu'elles soient
"COMMUNES" et "puissent être à chaque instant comparées avec le but de toute institution politique
» ! (dont le contrôle et le consentement à l’impôt).

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Votre collaboration à cette trahison permet de verrouiller progressivement la "mise en esclavage", "en
marche" sur ces 2 plans. Violence choisie que vous cautionnez avec tout l'aplomb de vos certitudes de
supériorité, par votre statut instituant illégalement une situation générale de conflits d’intérêts, graves
dans leurs conséquences sur la vie personnelle des victimes. Il s’agit d’agressions physiques et
psychiques multiples sur des personnes en situations de fragilités préalablement organisées. C'est
une mise en danger permanente de citoyens déclassés comme tels, avec les morts prématurées qui en
sont la conséquence.

Dans ces conditions de violences multiples, il est plus rapide de chercher les lois qui ne condamnent pas
ces comportements dévoyés et racistes en bande organisées, puisque c'est précisément l'objectif général
de la loi que de les chasser.

Nous ne développons pas ici le coût exorbitant du temps gaspillé à résister aux harcèlements pour
lesquels vous acceptez une récompense. Vous recevez une rémunération pour du temps dit « de
travail », alors qu’il s’agit de la collaboration à un harcèlement jusqu’à la terreur, puisque vous avez
accepté de servir un pouvoir autoritaire et menaçant, qui mine et détruit la vie des victimes, à votre
profit direct. Il ne peut exister que par votre acceptation individuelle, votre choix personnel de servir ce
système sordide et morbide, au profit de ceux qui choisissent d’appliquer ses règles perverties.

Par votre complicité avec les « faux représentants du peuple », nous sommes donc confrontés à une
escroquerie en bande organisée par des personnes chargées d’une mission de service public dans
l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions :
Article 313-1 du Code pénal :
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 750 000 euros d'amende lorsque l'escroquerie
est réalisée :
1° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public,
dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;
2° Par une personne qui prend indûment la qualité d'une personne dépositaire de l'autorité publique ou
chargée d'une mission de service public ;
3° Par une personne qui fait appel au public en vue de l'émission de titres ou en vue de la collecte de
fonds à des fins d'entraide humanitaire ou sociale ;
4° Au préjudice d'une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une
infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de
son auteur ;
5° Au préjudice d'une personne publique, d'un organisme de protection sociale ou d'un organisme
chargé d'une mission de service public, pour l'obtention d'une allocation, d'une prestation, d'un
paiement ou d'un avantage indu.
Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 1 000 000 euros d'amende lorsque
l'escroquerie est commise en bande organisée.
Vu les faits relatés sur ces illégalités, ces escroqueries, nous constatons que les Français sont réellement
confrontés à de l’extorsion de fonds en bande organisée également par les fonctionnaires du service des
impôts et les donneurs d’ordres.

Article 312-6 du Code Pénal :

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L'extorsion en bande organisée est punie de vingt ans de réclusion criminelle et de 150 000 euros
d'amende.
Elle est punie de trente ans de réclusion criminelle et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elle est
précédée, accompagnée ou suivie de violences sur autrui ayant entraîné une mutilation ou une infirmité
permanente.
Elle est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle est commise soit avec usage ou menace
d'une arme, soit par une personne porteuse d'une arme soumise à autorisation ou dont le port est
prohibé.
Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux
infractions prévues par le présent article.
Vous êtes maintenant informé de l’escroquerie, de l’extorsion de fonds, de la perception illicite d’argent
organisée contre les citoyens, ainsi classifiée comme « crime contre les biens ».
L’Article L121-9 du code de la fonction publique précise bien que vous n’êtes dégagé d'aucune des
responsabilités qui vous incombent. Vous devez vous conformez aux instructions de votre supérieur
hiérarchique, sauf dans le cas où l'ordre donné est manifestement illégal... (Article 121-10 CFP)
Vous recevez des ordres illégaux et selon à l’Article 121-11 du Code de la Fonction publique vous
avez obligation de dénoncer ces délits au Procureur de la République conformément aux dispositions
du second alinéa de l'article 40 du code de procédure pénale.

Avez-vous pris des nouvelles des personnes, des sociétés, des familles… des « êtres humains »
victimes de violences, d’extorsions de fonds, de harcèlements, d’escroqueries... avec les
conséquences parfois dramatiques que cela entraînent ? Pouvant aller jusqu’au suicide, classifié tel
alors que c’est manifestement un crime. Cette atrocité commandée par des « Faux élus » pour leur
avantage personnel, se servant d’intermédiaires du service public « non soucieux » pour se décharger
et accomplir leur acte sans se préoccuper des suites dramatiques. Atrocité déchargée sur les
intermédiaires qui deviennent donc coresponsables involontairement « ou pas ? » de ces actes qui
peuvent devenir « criminels ».

Êtes-vous conscient (e) que vous êtes rémunérés (es) avec de l’argent extorqué illégalement sur le dos
des citoyens, des êtres humains ?

Par ces écrits, les collectifs de citoyens souverains et nous-même savons que le service des impôts de
*******est informé des délits et des crimes contre les biens. Par conséquent, et par la connaissance des
faits avérés, votre responsabilité personnelle est pleinement engagée, vous avez obligation selon
l’Article L121-11 du Code de la Fonction publique et le second alinéa de l'article 40 du code de
procédure pénale de dénoncer au Procureur de la République les délits et crimes contre les biens
suivants :

 La non publication au journal officiel décret 48-1986 du 9 décembre 1948 ;


 La non ratification par le parlement de la partie Législative du code général des impôts ;
 L’illégalité des l’impôts, des taxes, de la TVA ;
 La caducité du Livre des Procédures Fiscales et le non-respect de la Constitution ;
 La Nullité du décret 2018-970 relatif à la saisie administrative à tiers détenteur

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 La caducité du décret n° 2012-783 du 30 mai 2012 du Code des procédures Civiles
d’exécution ;
 La Nullité de l’ordonnance n° 2011-1895 du 19 décembre 2011 relative à la partie
législative du code des procédures civiles d'exécution ;
 L’escroquerie sur les citoyens suite à l’illégalité des actes dénoncés ;
 L’extorsion de Fonds, la perception illicite d’argent par le service des impôts.

Article L 223-6 du code Pénal :


Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit
un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire
est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril
l'assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action
personnelle, soit en provoquant un secours.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque le crime ou le
délit contre l'intégrité corporelle de la personne mentionnée au premier alinéa est commis sur un
mineur de quinze ans ou lorsque la personne en péril mentionnée au deuxième alinéa est un mineur de
quinze ans.

Par la Présente, vous êtes informé que la non-dénonciation de délits et de crimes contre les biens par
le service des impôts et vous-même, peut faire l'objet d'une sanction pénale mais également d'une
sanction disciplinaire devant la cour d’assises et du Tribunal correctionnel. Par ces motifs, nous
demandons l’annulation immédiate de la taxe d’habitation/foncière 2022 ou autre avec un courrier
l’attestant.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations distinguées

Par le collectif de citoyens souvrains


Prénom Nom Signature

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