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INTRODUCTION

Il est à savoir que ce qui va suivre n'est en aucun cas la parole d'un scientifique, d'un
sociologue ou tout autre spécialiste. Il est ici question de l'intervention d'un citoyen de
ce monde.

J'ai toujours pensé que je ne savais rien et que tout était possible.

Qu'un nombre infini de réalités existe et que chacune d'elles a comme source de vérité
le fait que tout est lié.

C'est donc après avoir par constat, écris quelques lignes que j'ai pris la décision de
finaliser dans l'objet d'un petit livre, ce qui m'est donné de voir entant que témoin de ce
siècle et de ce monde. J'ai alors jugé important de consulter les définitions données par
un dictionnaire* des trois éléments qui à mon sens sont pour un être humain essentiels
dans tout ce qu'il désire entreprendre ou aborder :

Tout d'abord, l'Univers : n.m. (lat. universus) -> Le monde entier ; l'ensemble de
ce qui existe.

Puis l'Homme : n.m. (lat. homo) -> Mammifère de l'ordre des primates, à
locomotion bipède, doté de mains préhensiles, d'un langage articulé et d'un
cerveau volumineux doué de la pensée abstraite, et vivant en société très
structurées.

Et enfin la Société : n.f. (lat. societas de socius, compagnon) -> Mode de vie
propre à l'homme et à certains animaux, caractérisé par une association
organisée d'individus en vue de l'intérêt général.

Pourquoi ?
Tout d'abord l'Univers car il est celui qui nous rassemble tous, qui et quoi que nous
soyons. Il est notre repère au sens le plus large et le plus intime.
L'Homme, car c'est ce que je suis et ce nous sommes.
Et enfin la société car elle est le monde dans lequel nous vivons, évoluons et que nous
créons.

Partant de ces définitions, j'en déduis que notre notion propre de l'Univers ("l'ensemble
de tout ce qui existe ....") l'ensemble de tout ce que notre être est en mesure de
considérer, accepter, refuser... va déterminer notre évolution.
Puisque cette notion, est le dessin que l'on se fait de l'Univers et représentera l'Univers
de notre vie.
Elle reste donc purement subjective, faite de ce que nous, récepteur allons être en
mesure de capter, et de comment nous le recevrons.

Entre en jeux alors la responsabilité que chacun a, à faire vivre son univers car chaque
acte accompli, rempli de par ce que l'on est, aura ses conséquences.

Par alliance, la société reste le reflet de l'Univers, que se figurent ceux qui ont pour rôle
et responsabilité, d'associer et organiser en vue de l'intérêt général. On se rend vite
compte ici, que tout ce qui se fait n'est pas sensé découler des systèmes tels qu'ils sont
mis en place mais bien de ce que l'on se figure de la vie et du sens qu'elle porte.
Alors quelque soit sa fonction, et la marge de main d'oeuvre que celle ci offre, l'Homme
qui la remplira sera bien plus déterminant que la fonction elle même, puisque tout
découlera et dépendra de la perspective qu'il lui donnera. Sa formation ainsi que la
fonction qu'il occupe étant pour lui un outil au même titre que tout ce qui nous
environne, comme nos outils de communication, le langage, la technique...
On y distingue une sorte de loi naturelle: ce que l'on se représente, ce qui est abstrait,
c'est à dire ce qui nous appartient, ce que nous nous figurons à l'intérieur de nous, ce
que nous portons, va modeler ce qui est autour de nous, notre univers intérieur va
modeler et créer l'univers extérieur. Ainsi les valeurs qui sont notre, ne doivent pas nous
être imposées par ce que l'on croit du monde qui nous entour mais nous devons bien
les choisir par libre arbitre selon le dessin d'un monde tel qu'on l'imagine.

M.Jolie Reeve.

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