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Macroéconomie {i - Chapitre 1 :): La fonction de demande globale et ses composantes ; Introduction : Quittons la vision rétrospective de I’ formule PIB C+14G4+A5+X —M qui de réalisation de léquilibre globale, quilibre pour raisonner dorénavant en prospective. La Gait une expression comptable devient une contrainte défaut, l'ajustement est assuré par les variations de non vendus si l'offre globale excéde la deman des années passées si c’est la demande global stock involontaires, stockage de produits finals ide globale ; déstockage de produits élaborés au cours le qu! est supérieure a loffre globale. Si Yon recense tous les marchés différents existant dans une économie, on est amené a en er n ventilés en (n-2) marchés des biens et services, un marché du travail et un marché de fa monnaie. partir de ce recensement, concepts d’équlibres d'imposent. compta ~ ya équilibre partiel si, sur fun quelconque de ces n marchés, on a Voffre qui correspond & ta demande, Surle marché i, on aO, = D,. Sile marché i concerné est celui des crayons, ily a équilibre partiel sur le marché des crayons si le nombre de crayons produits au cours de année correspond exactement a celui des crayons vendus, Si le marché jest celui du travail, Voffre de travail est égale 8 la demande de travail et ily a équilibre partiel sur ce marché. ~ ty a équitibre général si, sur cnacun des marchés, ily @ equiibre partie, En d'autres termes, Vi, O, = D,. Le marché des crayons est équilibré, mais également ceux des tomates, des carottes, du travail et de la monnaiz. On mesure lextréme difficulté de réalisation de cet éguilibre qui est plus une norme pour ‘analyse microéconomique qu'un concept utile pour notre problématique. : ~My a équilibre global si, ne prenant en considération que les miarchés des biens et services, Voffre égale la demande, plus précisément si 22-2, i ia ‘On souligne que cet équilibre ne requiert pas d’équilibre partiel, a la limite, tous les marchés sont en déséquilibre partiel et, tous réunis, !équilibre global est satisfait. En listant les biens et services, on retrouve pour représenter la demande globale les bens de consommation C, G les dépenses publiques, biens d’équipement | et les exportations X et, pour représenter offre globale, le PIB et les importations M. en d'autres termes, ily a équilibre global si Y=C+l+G+X-M - Les variations de stocks sont un cas spécifique car il faut distinguer > Les variations volontaires ( AS,,) qui relevent d’une stratégie des firmes et qui doivent donc étree intégrées dans la relation de I’équilibre macroéconomique, - Les variations involontaires (AS,,,.) qui jouent exclusivement un réle d’ajustement en cas, de Cléséquilibre ct doivent donc étre traitées @ part. ae W revie i we 2 Kemes cfavolr présenté Pune Ges premitres fonctions ide consommation ‘macroéconom: eee ar fe Siteurs antérieurs, notamment es néoclassiques, étant davantage pratements individuels, Yanalyse de Tutilté et les relations entre demande Consommation, Cestadire & Isoler Se5 varia leraerne as arLc Au sujet a Renears revenu, la richesse, les modes, Jes Prix, fevient au revenu, D’aprés | ‘apres les conceptions, cette Variable revenu n’a pas tout 3 fait le méme sens, dou Ia nécessité de presenter tour a t pe dmanlene et cele de Dusen Our les fonctions de consommation keynésienne, 1.1} La fonction de consommation keynésienne i: : consommation autonome, Dans la constante Cy sont par conséquent résumées toutes les variables explicatives de ¢ exprime donc la consommation on retenues comme ayant un pouvoir explicatif robuste, C, la consommation, “onome, celle qui ne dépend pas du revenu. Méme en absence de révenu, ur des raisons alimentaires, ne peut étre nulle. On appelle propension moyenne a consomnier, notée ¢, la part du revenu quiau cours d’une Période, est consacrée & la consommation: c= ?° On appelle propension marginale 4 consommer, notée. c’, la part du revenu supplémentalre fe 12 AC cette propension marginale & consommer.est le Consacrée a la consommation: c!=——. 2 Dr. Mahon AM LseLmeu bie calece Paramétre de la fonction de consommation est q consommateurs. : Remarquons que Iélasticité -revenu de la consommation est : traduit le comportement des Le rapport entre la part du revenu disponible consacrée a la consommation et le revenu disponible (C/¥.) désigine la PMC. Cependant, une comparaison entre Y, et C permet d'aboutir aux trois situations suivantes : > SiC>Y, aor 0 PMC>1 ‘4 > sicevy -0-C-1 oapMc=1 > SiCKYs act = PMC< 1 rs La seconde partie de la citation de Keynes indique que I’accroissement de la consommation est. inférieur a celui du revenu, d’oi la relation AC ~ AY , ce qui implique quec' <1. Graphiquement, la fonction de consommation keynésienne s’exprime par une droite dont 'ordonnée a Vorigine est CG,etlapente c’. Puisquec’~1, la fonction de consommation coupe forcement la droite de référence, dont la pente est de 45° sur un repre orthonormé, droite définie par construction de telle sorte qu’en chacun de ses foints la consommation est identique au revenu. c c-Y fone d’épargne CG, C=c'¥+C, A droite du point A, caractérisé par une consommation CA égale au revenu Ya, la consommation est inférieure au revenu, d/o l'apparition d'une épargne (partie du revenu non consommée) ; @ gauche du point A, la consommation excéde le revenu, d’oit la nécessité de désépargner — puiser dans son épargne antérieure ~ ou d’emprunter. Au point A, tout le revenu est consommé. Soulignons ici que la fonction de consommation, et cest sa nature méme, nivelle les comportements individuels. En particulier, la propension marginale & consommer varie d’un ménage a autre, ce qui n’est pas incompatible avec une grande stabilité des comportements ensue .O00UM. it ast * ™acrogconomiques. Prenons le cas d’un ménage dont le revenu mensuel est de 30, 00UM. il est Vralsemblable u'll consomme tout son revenu. Considérons ensuite un ménage dont le reveny, ‘mMensuel est de 800.000UM, Tout aussi vraisemblablement iln’affecte Pas lintégralité de son reveny snesa™mation: supposons qu'il en consomme 500.000UM et en épargne 300.000UM, Poursuivons le meme ©xemple en décidant a'affecter 1000UM supplémentaires & chacun de ces Seux ménages. te premier onsommera tout lerevenu addtionnel tandis qul le second Pépargnera, Biconchiog, cha pour te Premier ménage cj=4 et pour le Second ¢$=0. Ainsl, en fonction des Niveau de re ren, Sts 2Bets, les propensions margiales & consommervarint,allant de o our les titulalres de reve, En second lie Salaires W, et en Invite & considérer deux fonctions de co Pour les capitalistes C, "Ia ventilation des mén; 66s en salariés qui, par hypothése, ne recolvent que des Cepltalistes qui, toujours Par hypothtse, ont comme unique revenu des profits 0 nommation spécifiques, Fune pour les salariés Cy, , autre S les profits peuvent étre décomposés en profits Gistribués TT, (intéréts et dividendes Principalement) et les profits non distribués TT, (épargne brute des entreprises), ‘Si B est la propension 4 distribuer les profits Par les capitalistes, les Profits distribués sont égauxa: TL, = BI, Alors les deux fonctions de consommation spéeifiques sont Op = OW + Cy Ot Cy = f.BIT+ Coy En troisiéme lieu, le falt que les propensions marginales 4 consommer c’ soient d’autant plus faibles que les revenus sont élevés constitue un des fondem !a consommation. En effet, une redistribution des revenus Par vole de"tonséquence, la consommation slobale saccrott, donc un élément de ia demande effective Saccroit, ce qui ne peut qu'induire, en fenant compte des délais Inhérents aux processus de Production, une poussée de offre globale et par suite, toujours avec un décalage- comme on t'a vu 4 propos des cycles de prodictivité — une sss tnt Poussée de lemploi, C'est bien la propension marginale & consommer c’différenciée qui est au cceur de cette politique de relance. Le graphique sulvant pour représenter la fonction de consommation de court terme et de long terme: Fonction de consommation & tong terme (PMC constante) Fonction de Consommation 3 court terme (PMC dbcolisante) Deux séries de critique ont était adressées @ la fonction de consommation keynésienne. On ad’abord remis en cause le fait que le revenu courant Y était Ia seule variable explicative, négligeant notamment le revenu passé (on peut économiser pendant plusieurs années pour ‘consommer davantage que son revenu un moment donné) ou le revenu futur (on peut emprunter aujourd'hui pour consommer davantage que son revenu et rembourser plus tard en consommant moins que son revenu). De méme, on s’est interrogé sur la stabilité de la | relation en présence de chocs conjoncturels. = La seconde est de nature empirique. D'aprés les lols psychologiques de Keynes, la consommation s‘accroit moins rapidement que le revenu d’ouc’ <1. Pourtant, la quasi totalité des études portant sur trés longues périodes -1869 4 1939 pour les travaux de Kuznets (1946)- concluent a la stabilité de la propension moyenne.a consommer (= 0.9 dans | Vétude précitée). il y a la une contradiction manifeste car la constance de ¢ implique la constance dec’ . Si C/Y est une constante, alors (AC)MAY)=C/Y Vest aussi. Suivre la fonction keynésienne aurait conduit a observer(AC) (AY) ¥C/Y , ce qui n’est pas le cas. ours maesononte be Mahan ASSEN ?-1)- La contrainte budgétaire inter-temporelle : a : | } ‘ens souhaitent accroftre la quantité ou la qualité des bieras et des service, fréquenter de meilleurs restaurants. La seule u's consomment : porter des vétements plus raffinés, raison qui pousse les gens 3 consommer moins qu’lls le souhaitent est que leur consommation est En d’autres termes, es consommateurs sont confrontés 8 une limit, contrainte par leur revenu, se iciee contrainte budgétaire, quant 3 ce quis peuvent ipenser. leur décsion relative 4 I pare de leur revenu quils consomment aujourd’hul et & celle qu'ils épargnent en vue de Mavenir est dictée Par leur contrainte budgétaire Inter-temporelie. Prendre un consommateur dont la vie se dérovle en Nous envisageons la décision que doit aut Périodes: adolescence et Vége adult, Nowe consommateur gagne un revenu ¥; et consomme G 3a période 1 et gagne un revene % et consomme C; @ la période 2. Toutes les variables sont des variables cofrigées de inflation, us des deux périodes de sa vie rent Ie revenu du consommateur au cour Au cours dé.la premidre période, lépargne est. ta plupart des ion a chacune d'entre elles, contraint sa consommatic de la consommation : gale au revenu diminué S=4-G 00'S représente épargne. A la deuxiéme ériode, la consommation est égale a Fépargne accumuiée, Y compris Vintérét produit par cette épargne, augmentée durevena de fa deuxiéme période : G=UFNS+Y , OUrestle taux dintéret réel Pour dériver la contrainte budgétaire du consommateur, nous Joignons les deux équations Gul précédent. En substituant la premidre de ces équations 4 Sdave la seconde, nous obtenons : = A+ -G) +h % itr, * & > G+rhay Gt ant Cette équation lie fa consommation au cours des deux périodes aux revenus correspondent 4 Inter-temporelle du chacune d’elles. Cest la maniére habituelle d’exprimer la contrainte budgétaire consommateur, G GtNKHE Consommation en période 2 jon en période 2 consommat et br, Mohamed Abid /ISSELMOU Dit Salece Cours mncrobcononate tt La figure précédente représente graphiquement la contrainte budgétaire du consommateur. imation On y distingue trois points : en A, la consommation en période 1 est égale 8% et fa coi en période 2 est égale a Yq : il n’y a ni épargne ni emprunt entre les deux périodes. Au point 8, le consommateur ne consomme rien en période 1, pour épargner la totalité de son revenu, de sorte que la consommation en période 2 est(1 +r) 4 + Ye - Au point C, le consommateur ne souhaite rien consommer en période 2; il emprunt autant qu'il peut en période 1 en gageant son revenu futur, de sorte que sa consommation en période 1 estY; + ~~. Bien entendu, il ne s‘agit la que de,trois des . multiples combinaisons envisageables des consommations en périodes 1 et 2: tous les points situés sur la droite BC sont possibles. ‘Ainsi, la figure précédente illustre les combinaisons possibles de consommation en périodes 1 et 2 entre lesquelles le consommateur peut choisir. Pour tous les points situés entre A et 8, i ie de la période 2. ‘consomme moins que son revenu lui permet en période 2 et épargne le solde en vus plus que son revenu {ui permet en période 1 et Pour tous les points situés entre A et C, il consomme ‘emprunte pour financer la différence. espéré etfs humains en t, 2-4) tes revenus des actifs fet par a le taux d’actualisation, on @ pour t {a fonction de consommation frledmanienne est tele que fa consommati fonction du ion permanente est Fevenu permanent. La véritable fonction de consommation est celle car elle est compatible avec I Consommer est stable: C, cours mneredconone Br Mohamed Ald /ISSELMOM Dit Salee On vérifie que la propension moyenne & consommer le revertu permanent k est aussi égale a Ja propension marginale : Ce _ Cp ara De nombreuses critiques empiriques ont été adressées a la fonction friedmanienne, critiques qui convergent toutes vers un point, lélasticité - revenu permanent de la consommation serait plus + proche de 0.9 que de 1. Méme si ces observations sont pertinentes, elles ne permettent pas de rejeter le fait que la consommation de longue période est plus stable que celle de courte période. Sur le plan théorique, la critique la plus sévére est celle de Smithiens qui, en tant que ‘keynésien orthodoxe, a montré que la fonction friedmanienne n‘était qu’une illusion, résultant d'un déplacement continu dans le temps de la seule vraie fonction a ses yeux, la fonction keynésienne. chard AWAY ISSSBL Mow ng 4.1: La fonction de Duesenberry \ Sill existe prés d'une centaine de fonctions de consommation, attention particulitre, fotamment celles qui intdgrent les effets conjoncturels et les effets de mémoire de la consommation passée. La conception de Duesenberry (1949) repose sur deux hypotheses : Yune considére que les Comportements des différentes personnes ne sont pas indépendants, il y a interdépendance; rautre que les habitudes de consommation ne sont pas itréversibles dans le temps, quelques-unes méritent ung | Percentile consomment a % de leur revenu absolu, etc, les lols psychologiques de Keynes précisant qe @ > a, ays Gn »@veCe, pour les personnes aux revenus les plus élevés. Tous ceux qui restent, d'une période 4 autre, dans le méme percentile conservent leur propension 3 consommera,. Cette premigre hypothese résume sommalrement en disant que Jes individus ce ommeNt par mimétisme social comme les personnes appartenant & leur Broupe social de référence. La seconde hypothase de Duesenberry se propose d‘expliquer reffet de cliquet qui se traduit Bar une quasi-totalité de la consommation en Période de récession alors qu'une simple transposition de les fonctions de consommation keynésienne ou friedmanienn aursif dO se matérialiser par une plus Brande volatilité de la consommation, Ainsi, les niveaux de consommation atteints dans le passé ne baissent pas proportionnellement lorsque le revenu courant décroft. Ea désignant par ¥.. le revenu antérieur le plus élevé jamais obtenu, il propose la fonction suivante : & =bti 4g Avec 2330 et b~<0. ir ere SG > En période d'expansion, ¥ > Jeux et la propension moyenne a consommer 7 basse alors que l'on s‘attend a ce qu'elle monte, En période de récession, F ~< Fog: et la propension moyenne 4 consommer monte alors que Yon s‘attend a ce qu'elle balsse. En période de stagnation du revenu, stable a (b+a). En période de croissance & taux constant, x. =¥., 1 Y= Yetta Propension moyenne a consommer est ¥, 1 et = 147, 0i1 7 est le taux de crolssance de économie, La propension 4 Consommer est stable au nivesuB(1+ y) + a, Fy + 0.95, “G remple : soit la fonction—- = 3 be, Molnmed Abid / ISSELMOU Bie ales, - Expansion : Yt=110 et Y max=100. Ona: = Récession: Yt=90 et ¥ max=100. Ona: ¢ <__ Stagnation : Yt = 100 et ¥ max-100. Ona >= 0.65... fi ‘ i = Croissance & taux constant au tauky = 5%. Ona: 5 = 0.635. i & i 'S cette conce, tion résiduelle d le épargne, C=C Vet ey & PMC> 145° | OY, | s | ' | | | |S (dre Ye Co ou S= S'Y¥y—C | seuil d’épargne . Paap | ; seuil d’épargne ‘On remarque la présence de deux zones de part et d’autre du point A. A droite, ily a une épargne positive, 8 gauche une épargne négative ou désépargne, ce qui signifie que I'on consomme davantage que son revenu. Au point A, l'épargne est nulle, c'est-a-dire que tout le revenu est consommé . Ce point A est qualifié de seuil.d’épargne. Sur le méme modéle que cette fonction, on met en évidence la fonction d'épargne proportionnelle et la fonction d’épargne différenciée = La fonction 4’épargne proportionnell, utilisée en raison de sa simplicité, repose sur le fait qu’ une proportion constante et donnée du revenu est gpargnée : S=sY, avec O Petbonin sore tome attinae: 5 «| 2.2+La fonction d’épargne néoclassique Dans ce cadre d'analyse, 'épargne dépend de facon Positive du taux dintérétr, S=S(r) avec St 20, ‘minimum vital, Eargne et taux dtintérét est bien mise en perspective lorsque Fon un agent recoit un revenu ¥, qui La relation entre consommation, largit le champ a’analyse & un cadre temporel. Aun moment fo, ésire répartir entre consommation G, et épargne Sy. Parlage cépend de Fanticipation efféctuée par agent de son revel 7 sont connus et ¥ anticipé, Lag intertemporelie. Pour ce faire, considé: iTconsomme en ty la totalité de son revenu Y,, mals en empruntant au taux r, if Gest la situation caricaturale d'une personne qui a une Sa consommation se ventile de la maniére. ‘Suivante : = casn*1 consomme aussi son revenu futur. référence absolue pour le présent. iA =h+— Lage ws L tay Gao £28 0°2 il 6pargne fout son revenu & la période initiale, i le place au taux d'intérét courant r *t son revenu initial % augmenté des intéréts que son tout aussi caricaturale d'une personne qui a une le la maniére suivante : et il consomme en 4, son revenu x Placement a. produits. Cest le cas, préférence absolue pour le présent. Sa consommation se ventile de G=0et G=¥+k (+r), 7 1“ Court mneroleononate tt Br Mohan Abid /ISSELMOU Bit sole. + Cas n°3: entre ces deux cas limites, le consommateur choisit une épargne ( (C,,C,)etdonc(S,,5,) de fagon & maximiser sa setisfaction intertemporelle. Soit U(Cy,C,) =k, une courbe d’indifférence intertemporelle du consommateur. La droite de budget intertemporelle se déduit de égalité entre Cr arte, ay any La relation entre épargne et taux d'intérét se déduit aisément de ce modéle. Elle est conditionnée par la présence concomitante d'un effet substitution et d’un effet revenu. Une hausse de r provoque une réduction des emprunts et une augmentation des placements. L’épargne est alors favorisée par rapport & la consommation. De méme, si I'agent emprunte (il consomme par conséquent en tO davantage que son revenu), la somme de ses consommations potentielles, car Veffet taux d’intérét est verser 'appauvrit. Cet effet revenu linvite a°modérer ses emprunts d’autant plus que le taux d’intérét s’élave. Cet effet revenu se cumule avec le précédent. ot la ventilation entre consommation et épargne est fonction arene résiduelle déterminée, le taux d'intérét le En résumé, pour les keynésiens, de la propensicn marginale a consommer. Une fois I'ép: agit pour partager cette épargne entre placements et thésaurisation. Pour les néoclassiques, partage entre consommation et épargne est fonction du tau d'intérét, cest la consommation qui test résiduelle sous la contrainte d’évidence que la consommation incompressible solt satisfaite. as "Ment égal 4 Ig ef ment valeur du stock est Ret nits (Amottissement) Lem eit Eénéralement dittcie 4 estimer. On su 4U capital de ta période antérieure, cours miacroleononnie secrets doit payer des intéréts sur les emprunts, alors que dans le ieme cas 'S sur les empru prunts, alors qi 1s le deuxi opportunité mesuré par les intéréts que Ventreprise aurait du recevals en a Pour évaluer fa rentabilité financiére de son projet di s les deux cas ce que codte le projet et ce qu’ 'investir ou non prises par Nentreprise sont étudiée: de l'investissement et la rental celle supporte un coct prétant ses fonds. Investissement, entreprise compare Fapporte. Cela'revient 8 dire que les décisions S selon une comparaison entre le cout financier économique de cet investissement. La décision d'investir dépend donc d'une comparaison enti cettes obtenues par un placement financier (qui sont fe n entre les recettes ol it financier (qui sont fonction e ‘intérét (i) pratiqué sur les marchés financiers) et celles obtenues par un investissement physique de ta méme somme (qui sont fonction de t'efficacité marginale du capital (7) Les décisions d’investissement sont soumises donc a un calcul économique qui fait appel& des notions clés, telles que la régle de la valeur actuelle nette (VAN) et celle du taux de rendement interne ou de lefficacité marginale du capital (TRI). La régedela valeur actuelle nette: Considérons une entreprise qui envisage d’acquérir de nouveaux biens de capitaux d'un prix (coat) donné. Si ta durée de vie du projet d’investissement est de n années, les revenus engendrés par cet investissement seront de: w R1 Ia 1°" année R2 fa 2*"* année Rn la néme année Ces revenus futurs, escomptés a des dates différentes doivent tre actualisés, c'est a dire ramenés ou convertis 3 leur valeur actuelle. Comme la décision d’un investissement est le résultat de la comparaison entre deux rendements (8 savoir rendement des placements par rapport au rendement des investissements), le taux d’actualisation qui doit étre utilisé est le taux de rendement des placements sur les marchés financiers. La somme de ces flux de revenus futurs actualisés représente leur valeur actuelle (VA). Vinvestisse ment est décidé si la VA est supérieure au coot d’achat des biens capitaux. Dans le cas inverse, Cest a dire le cas ol la VA est inférieure au codt d’achat des biens capltauy cest le placement qui est décidé. séthode de I'actualisation Pour saisir le procédé de l’actualisatio calculer fa valeur future d’une somme actuel d'une somnne future. n, on procadera en deux étapes : la premiere consiste 3 Jie et la seconde consiste & calculer la valeur actuelle a. Valeur furture d’une somme actuelle: (principe de capitalisation) mpte tirer profit de son placement, c'est ‘ n Cest parce qu'il co e Lorsqu’un agent place son argent, le notée P placée a un taux d'intérét a dire un reevenu généré par ce placement. Une somme actuel aura, au bout d’une année, une valeur future Stelle que = 5,2 P4rP=P (140) v eur msertcononate Au bout de la deuxitme année, la somme Placée rapporte :S= Si +15;=S3 (141) =p (sap Cela veut dire que les intérdts ajoutés aux revenue obtemus ala fin de chaque année devienneng aa meme générateurs d'intéréts jet au terme de la niéme année la somme des revenus engendres sera: Sn=P(14r)" Done Sn = P (14) "est la valeur future au terme de n années qu'une somme initialement Placée (P) au taux d’intérét (:) permet de rapporter. Semple numérique: Une somme de 100UM Placée 8 un taux d'intérét de 6% se transforme en “evenu futur dont la valeur sera ax bout de 10°" année : a S:2= 100 (140,06) = 100 (1,79) = 179 um. 1a notion d’actualisation permet de saisile ralsonnement tout & fait inverse & celui qu’on vient de Présenter (notion de capitalisation). . Valeur actuelie d'une somme futu Etant donné que Sn est a valeur future une somme actuelle P, on peut alors déduire la valeur actuelle P d'une somme future Sn : Sm=P(1#r)" => p=sn/(a4r)" A partir de ceci, les revenus futurs engendrés: Ru Roy..RJ., Ro peuvent étre actualisés de la manigve Suivante : > VAdeR,=R,/(1 42) a i + VAdeRo=Ro/(1 +? + VAdeRn=Rn/(1+1)* Cette formule s‘applique a n'importe quel revenu annuel R] escompté a la fin de rannée () x vay = 4 (l4ry de la période future. On obtient ainst toute une sérle de valeurs actualisées des revenus escomptés du placement initial. La valeur actuelle (VA) de l'ensemble des revenus futurs est la somme des reveous @ recevoir Ri R, Ries VA= + Font (+r) "(PF (l+rY + et lanéme. années, soit ; durant la 1**, 2¢ Ou encore : =_—— eee actuellement (le cot initial du projet d’investissement) et la valeur actuelle des sommes que lui Fapportera ce projet d’investissement, Cette comparaison renyoie le notion de Ia valeur actualisée nette, Lavaleur actuelle nette (VAN): Financiérement, un projet d'investissement doit s‘interpréter comme une opération qui, en contrepartie des dépenses Immédiates, procure des avantages futurs. Lorsqu’un entrepreneur décide d/acquérir de nouveaux biens d’équipement, il se trouve en face des données suivantes : ‘* Une dépense initiale 3 engager (ou codt initial du projet) lo correspondant & I’achat d'un matériel nouveau ayant une duré de vie de (n) années; * Le capital investi a la période (t) permet de produire et de vendre des biens @ la période suivant. Au cours du cycle productif, le capital est mis hors d'usage, Cest & dire que la dépréciation du capital est totale en une période. '® Les opérations sur le marché financier se réalisent avec un taux d’intérét (7). I n’existe pas d'incertitude dans cette économie et par voie de conséquence, aucun risque de faillite pour Yentrepreneur. De plus, entrepreneur sait que toutes les quantités de biens qu’il mettra sur le marché trouveront acheteur (8 un prix qui peut varier en fonction de rimportance de son offre). Etant donné que le projet d’investissement envisagé par I'entrepreneur coate a la période actuelle la somme lo, il rapporte par la suite, de l'année 1a année n, des recettes nettes = Ry, Rojan RyowRq, Le terme «net » signifie que les dépenses futures d’exploitation sont déduites des recettes futures. La valeur actualisée nette (VAN) est la différence entre la valeur actualisée (VA) et le coot Initial du projet d’investissement (Io) = R R, Rn VAN = a tet ee GCN We? Or "Gy, VAN To La VAN constitue un critére pour le choix des projets d’investissement selon la régle suivante: # | SIVAN> 0 =>entrepreneur décide d'investr dans le projet en question. * . SIVAN entrepreneur rejette le projet. \ «SiVAN=0=> entrepreneur est indifferent entre i stir et ne pas investir. La formule de la VAN montre que plus le taux d’intérét augmente, plus la recette totale nette le. Vexplication économique & cela tient au fait que les recettes Rj iale attendue du projet est attendues plus tard présentent d’autant moins d/avantages par comparaison a la dépense dinvestissemnent (lo) que le taux d’intérét est élevé. Il existe, par conséquent, un niveau du taux G'intérét assez élevé pour lequel la VAN s‘annule. Ce niveau de (i) constitue ce qu‘on appelle le taux de rendement interne du projet d'investissement (TRI =) (ou encore Fefficacité marginale du capital ‘ou lefficacité marginale de l'investissement). Sets matrseonomte Br Mahan Abd Seto Exemple umérique Soit un investisement d'un ott inital égal & 100 O00UM et d'une durée Se vile de 3 ang 'VenUS nets suivants ; Fapportant les rey 2 Ri=50000 : R=40 000 : Rs =30 000 Veatrepreneur déciderat Réponse : 17 Aucas od le taux “intértt est de 8 %, 1a valeur actuctle des revenus futurs est de : (50.0007 1,08) led nee 14.08 *) + @30 000,085) 104405 7 ‘tla VAN est égale 104 408-106 06° =4405'>9 Btant donné que la VAN est Positive, 1a désision est done d investi 27 Au cas ob le taux d'intértt ost se 15 %, ta valeur sctuee des revenus futurs est de z a 60000/1,18)+ 40 000/115) ond A ° SIF > |, = le projet d’inypstiscement West pas rentable et doit etre Fejeté (des Placements financiers au taux dintérét (i) s‘avéreront plus rentables), Siti, => le projet est rentable et doit etre entrepris, © Sirs {60.000/1) + (40 000/ +?) + (30.000/r) = 10009 ‘ Cette valeur est égoie 4 r=1=10.5%, La décision di 'nvestissement est prise en comparant ce taux de rendement au taux d'intértt * Vinvestissement est entrepris sir< 10,59 * Vinvestissement est rejeté sir> 10,5% Gette régle du TRI revient donc a dire qu‘un investissement est décidé tant que son taux Interne est supérieure au taux d'intérét :i> r, Cela nous permet également de comparer les décisions d*investissement de l’entrepreneur face a deux valeurs de taux d’intérét i, et |, (avec iy < i,). Au taux d’intérét (i), supposons que les n, Premiers projets soient rentables, Au taux (iz), le nombre de projets rentables (n,) est plus petit : les derniers projets retenus dans (n,), rentables au taux (i), ne le sont plus au taux (i). Ainsi, quand le taux d'intérét augmente, le nombre de projets que l'entreprise est préte a financer diminue et donc Je montant total de l'investissement aura tendance a baisser. fl en résulte une relation décroissante entre l'investissement et le taux d’intérét. 23- La fonction dinvestissement La fonction d'investissement établit I'existence d’une relation négative entre le montant de Vinvestissement et le niveau du taux d’intérét. En reprenons le critare de la VAN, on peut démontrer en effet que plus le taux d’intérét est élevé, plus fa valeur actuelle nette des projets G'investissements est faible, et moins sont les projets rentables. Considérons deux niveaux du taux d'intérét jy et i, (avec iy < i). ll en résulte alors : Pius le taux d’intérét augmente, plus la rentabilité des investissemenbts diminue, plus le vani=y, —— lor VAN2=S —8__ 19 fat (l+r) ft (l+r)e Placement sera préféré. La fonction d’investissement apparait donc comme une fonction décroissante du taux d’intérét. ° r Plus le taux d'intérét est élevé plus ta valeur actuelle nette des projets est faible, et moins ‘nombreux sont les projets rentables. Dans ce cas linvestissement total est relativement faible. Avec ta baisse du taux d’intérét le nombre des projets rentables s‘accrott et l'investissement total devient plus import ant. 2 M reste 4 noter que le revenu global nin fluence pas seulement Finvestissement par son niveau (¥), mais aussi par ses variations (AY): Cest le Principe d’accélération, & cours maerofeenore De Mahan Abid /(S26UMOU nie Sale 3.3 La théotie de facosiérateur ae La théorie néo-classique suppose que les entreprises sont capables d’écouler sur le marché toutes les quantités qu’elles décident de produire. Cette hypothase lige a la concurrence pure et pa implique qu’il ne peut y avoir des contraintes de débouché c'est & dire une insuffisance de la mande. j Cependant pour plusieurs économistes, toute entreprise est confrontée & une contrainte de i demande qui vient limiter ta quantité qu’elle veut écouler sur le marché. Cette contrainte de demande permet a I'entreprise de décider du stock du capital en fonction de la demande, Cesta dire 4 déterminer une fonction d’investissement avec contrainte de demande. Ce choix se traduit par un volume d'investissement qui serait en fonction de la demande. Il s’agit donc d’un investissement Induit par la variation de fa demande. Par conséquent, le processus d’accélération intervient lorsqu’on aborde fa question d’identifier le lien de causalité qui peut s'établir entre les variations de la demande et les fluctuations de l'investissement induit. Alors que l'accélérateur simple suppose un ajustement immédiat du ital & la production, Faccélérateur flexible implique que cet ajustement soit échelonné dans le temps. a ae re Macroéconomique sf Par souci de simpicité, nous avons choks de distinguer uniquement deux approches dete mscroéconomle: approche classique cn encore néociassique » et Yepproche keynésienne, 1 L’équitibre macroéconomique avec des Prix flexibles approche Classique . + approche néoclassique part alors dune ‘hypothese fondamentale: tes prix sont Parfaitement fxibles et assurent un aullibre automatique et instantané de offre et dela demande Sur tous les marchés. ¢équillbre automatiques. Dans ce cadre, Ia demande *Joue pas un rBle déterminant dane "économie nationale. ta Préoccusation des producte TaTchés de biens et services, on est assuré du ple (8 aUssl, ce nest pas la demande de capital ou de travail qui est déterminante mais l'offre de facteurs. Tous les facteurs offerts par les agents ont un emploi, si non leurs Prix balsse Jusqu’a ce quills soient Pleinement ‘employés, ‘ 1-L’€quilibre sur le marché du travail F - Le fonctionnement du marctié du travail Le marché du travail est supposé en situation Ge concurrence parfaite, Cela implique notamment que le travail est un facteur de production parfaitement homogéne;‘c’est-a-dire que les employeurs Considerent les différents individus offrant leur travail comme Strictement identiques en ce qui chaque type et chaque niveaii de qualification, Auge, fa concurrence suppose un grand nombre d’employeurs et demployés, libre d’entrer et de sorti.du marché, négociantlibrement et de fagon individuelle les contrats de travail le contrat de travail. Ainsi, information est parfalte. A chaque instant tous les employeurs et tous les travailleurs connaissent toutes les offres et les demandes de travail pour, chaque type d'emplot te ‘ Pas ae urs mterotconome Satelit ahd /1SS6LMOW na sas Voffre et la demande de travail : ©n désigne le Salaire nominal Par wet le sala tre réel par(wr =F, te salaire nominal divisé gies a 4° Prix) te niveau général des prix par P, Woffre de travail par LO et la demande de wr ye Lay Lay Is I I L A équilbre, Putité marginale du revenu reticé du traval doit étre égalea Futiité marginale Llofire globale de biens et services ité des salaires garantit le plein-emplol du travail. En BEnéralisane jy démarche néoctassique, on peut dire que ensemble es facteurs de production sont tovious Pleinemerit employes. ‘i nétat pas le cas, le Drix des facteurs offerts sur le marché mais non encore employés s‘abaisserait rapidement pour rétablc "équilbre entre la demande et Votre des facteurs, ¥ Y=f) 0 Fp L En courte période, quand un seul facteur variable, le volume de production dépend Seulement de la quantité disponible de ce facteur. Sur le Braphique précédent, nous représentons la fonction de production de courte période : ¥ (le Pi, ou revenu réel) est une fonction croissante ye L (le volume d'emploi). Le PIB croit moins en moins vite en ralson de Ia lol des rendements décroissants, Cette fonction de production est construite Pour une quantité de capit Une augmentation dv stock de capital ou une améllorat {a fonction de production vers le haut. Le revenu d'4quilibre déterminé par fa fonction de Production est forcément ¥oe , le revenu ui correspond au ptein-emploi, pulsque, en ralson des hypothases sur le fonctionnement di du travail, la quantité de trayallutilisée ‘Correspond nécessalrement au plein-emploi (pe). Qué: se passe-t"il lorsque le niveau Général des prix augmente? Les entreprises ne seront- elles pas Incitées a augmenter leur production ? les marchés de facteurs sont efficents et assurent le pleln-emplol des, facteurs, a production globale ne peut plus augmenter & court terme, faute de facteurs disponibles, queles que solent par ailleurs le Inctations dec entreprises, offre globale (0) est donc indépendante du niveau BEnéral Hes prix; elle ne dépend que de ta quantité des facteurs offers et qui sont, par hypothése, totalement employes. La courbe d’ottre Blobale peut donc tre représentée par une droite vertcale au niveau de Ye (figure suivante). ane Cours maeroteononte lec a t Offre Golobale : oO Yee ¥ Uéquilibre entre Yofire et la demande: eae ‘Say énonce la loi des débouchés pour montrer rimpossibilité d’un ora offre et la demande globales. On peut résumer ainsi cette lol: la valeur des biens ervices offert se transforme en revenu qui est intégralement dépensé pour Fachat de biens et Services ; en conséquence, dans I'économie prise dans son ensemble, la demande globale eit nécessairement égale a offre globale, J. BSay observe que des individus n‘offrent des biens et services qu’en vue d'acquérir le Pouvoir d’achat nécessaire a I'acquisition d'autres biens et services, Les échanges monétaires ne sont que des opérations intermédiaires facilitant Jes transactions, mais sans incidence réelle sur le fonctionnement de I'économie. Par conséquent, tous les biens et services offerts dans I'économie ont un débouché ; une surproduction généralisée est inconcevable. Seuls peuvent exister des déséquilibres sectoriels entre la demande et offre sur un marché particulier, mals J.B.Say falt confiance aux ajustements des pri pour rétablir rapidement I'équilibre sur les différents marchés, Le PIB de plein-emploi est donc garanti de trouver un débouché sur le marché des biens et services, a la contrainte toutefols que tout le revenu soit dépensé: ‘Aussi, Ia lol des débouchés suppose un mécanisme d’équilibre automatique entre lépargne et Finvestissement, L’équilibre monétaire : Jusqu‘tci, on a présenté "équllibre réel des marchés de biens et services et de facteurs sans introduire la monnaie, qui constitue pourtant une caractéristique essentielle d'une économie de marché. La demande et offre de monnaie + La momnaie est constituée de 'ensemble des moyens de paiement immédiatement utilisables pour effectuer des reglements et acceptds par tus dans une communauté donnée. Elle remplit trois grandes fornctions : intermédiaire des échanges: elle nous permet de réaliser des transactions en idence des besoins que requiert le troc ; ‘elle constitue l'une des formes sous lesquelles nous pouvons. > La monnaie nous libérant de la double ¢« > Laamonnaie réserve de valeut coraserver notre richesse financiére ; ee En effet, dang on he "SOcassque élémesiony, WiGité is considérent que te Sétention de biens matériels eu de tires wes, ‘ West poe Ph tés monétaires) désirée pour r fotale des blens et services en Ireculation dans ele nombre sunités monétaires nécessaltes pour réaliser une Ouguiya circulation de la monnale (v), : L 2 vitesse de circulation de la monnale mondrea valeur des échange de bien et services qui Peut @tre assurée parla circulation d'une units ‘monétaire. Done, v est le rapport entre la valeur des blens et service en circulation durant année (PY) et Je nombre d’unités monétaires en circulation pe 1a fonction de demande demonnale : * df Md=KkXPXY Oubien:Md = gexy Cette derniére équation fait clairement apparaitre les trots facter Monnaie : - Mdest une fonction décroissante de la vitesse de circulation de Ja monnaie : plus ta ‘Monnaie Cireule vite plus les encaisses nécessaires au financement des échanges (Md) sont faibles; ‘ ‘Urs déterminants la demande de Selon expression de I la demande de la monnal étre considérée comme une fonction s i ‘Monnaie est stable, ta vitesse de circulation de la monnale Deut dépendre de deux types de facteurs : On volt que la demande de la monnaie peut Table du revenu nominal (P#Y) sila vitesse de Circulation de ta Larstituent les intérétsofferts sur les encaisses placées sur ‘marché financier. ~ _ Fapproche néoclassique élémentaire néglge ce desner facteur ; la demande de monnaie est '¢,volre complétement inélastique, au tauxd’intéréts, Voffre de monnaie : la monnaie est offerte par les banques. Cette offre dépend de la politique monétaire de ta banque centrale. Dans Vanalyse macroéconamique admet pour hypothése que tfoffre de monnaie est oaOlée at les autorités monétaires ou le gouvernement. On dit que otf ac ‘monnaie (Mo) est exogéne : Mo= it et atte sur le M indique une quantité constante pour une politque économique donnée; Flen ne petst faire varie la quantité de monnate, hrmis une décsion des autortés monéoi Léquilibre monétai Yéquilibre monétaire suppose que Mo soit égale a Md, soit: 1 sPxY » Ce qui nous donne : v= PxyY : ‘ ation entre Voffre et a demande de monnaie ne constitue pas Valeur totale des échanges effectués dans année (PY) est égale au nombre 'unté monétaires utilisées dans les échanges (H) mutiplié par le nombre de fois ob chaque unité monétaire a 6té en ‘moyenne utilisée dans l'année (v). Done, il convient pour dépasser Videntité comptable, de brésie les hypotheses néoclassiques qui donnent une réelle signification théorique a cette présentation de Féquilibre rnonétaire. La théorte quantitative de la monnaie ; Reprenons léquation : MV=PY, cette relation, en termes de Variation, s'écrit comme suit : V.AM + M.AV=P. AY +, Ap consdeuence yawon est en permanence au plein-empion des facteurs de production, conséquence, les pressions sur la demande font ‘monter les prix. ta hausse des Prix réduit la valeur réelle des encaisses détenues par les agents, Le mouvement Se poursuit Jusqu'au moment of ine encaisses réelles ont retrouvé leur niveau initia, Pour expliquer cette instabilité de la demande de monnaie et absence de neutralité de la monnale, les monétaristes ont proposé une interprétation plus large de la théorie quantitative de lo ‘monnaie, dont nous nous contenterons ici de résumer les résultats, | | | wer la valeug de ce dernier. Le patrimoine, s (actifs) d’un agent (biens, terrains, actife expérience), Ge bon sens en falsant Fhypothése que la demande ue du revenu permanent réel, Ainsi, on obtient : id _ Rp PF, OU Rp mesure le revenu permanent et Pp, le niveau général des ‘maniére dont les agents anticipent inflation Jong terme. lorsque Vhypothése monétariste est vérinée, les fluctuations & court terme du revenu 0 inale; le rapport entre la quantité de monnaie et le Fevenu courant (c'est-a-dire la vitesse de circulation de la ‘monnaie) peut donc étre instable. Mais ce Phénoméne, observé & court terme, masque la stabilite de ie relation de long terme entre la demande de monnaie et le revenu permanent. prix permanant qui refléte la Vapproche monétariste de la neutralité : A court terme, les monétaristes expliquent comment’ les imperfections dans le fonctionnement de marchés et la lenteur des agents & percevoir exactement Inflation permettent aux variations de la monnaie d‘avoir des effets réels sur ! Np, et une pro: Y, = ¥p,supéileure mn pe ol, on NV > Nye et une production u’équitibre og Supéri ays. ! En situation de plein-emploi : een a lein-emploi toute la population qui le souhaite est titulaire d’un emploi et la conga or ASE £5% associée & un équle. Voptinum consste& ne pas modifier cette tei lique, cest-a-dire & ne pas mettre en ceuvre une politique économique qui n’aurait ime effet que de détruire l équilibre existant (situation néoclassique). 2.4- Véquilibre de sous-emploi : Ily a €quilibre de sous-emploi lorsque le niveau de production e’équllibre Y, est réalisé avec un nombre de travailleurs occupés inférieur a celui du plein-emploi. Le chémage, Involontaire dans la conception keynésienne car fruit d’un écart- au taux de salaire courant- entre offre et demande de travail, fait alors objet d’un concernement collectif. Dg=cHt Y=C+l od Gap déflationniste is Z Dg=c'¥+C, +I, : tle y e Yse YPe La situation Y,,sur le schéma précédent est stable, car on 2 montré que les forces sit re ment toujours économie 8 Yar, si une perturbation se produit. La seule scttre inéluctable de cet équilibre consiste a agir sur les Cest-a-dire sur son ordonnée & ori endogénes du systéme rare pour briser le carat aticable oie fonction de demande globale, éléments rmaitrisables de le = Yop, la demande globale St gale © 8 OA' pour que ¥ = ¥,_ soit un équilibre. La difference 4'_ offre globale qui coy vresPond au plein-emplol. Cet écart est qualifé de déflationniste es pressions a Is b, Car il génere aisse des prix, Yoffre globale prévue étant supérieure 3 la dem, Prévue, ande globaie 3.1. Le multiplicateur d'investissement Pour trouver la valeur du Ay adaptée, il suffit di exogénes du modéle, puis de dériver ar rap; port a I qui prend je statut de variable action Y=c'¥+C,+h,,d0d: y =Lotly 1-¢ En dérivant par rapport a, on obtient : 4 a OU k est le multiplicateur d'investissement, 1 fe macroéconomi: (Entreprise, ménages et Etat) 1.1 Le modale: \intreduetion de HEtat implique la prise en compte de son activité en matitre d'opération Sur Blens et services, cest-d-dire de ses recettes, essentiellement fiscales T, et de ses dépenses publiques tant de fonctionnement que d’équipement le budget de Etat a pour solde récart Positf; négatif ou nul entre G et T. par ailleurs, on Suppose pour simplifier que lintégralité de la fiscaltté repose sur lel’ ménages, d’ou fa présence d'un revenu Yd comme déterminant de la consommation, Danscette logique, le modéle retenu est fe suivant : Fonction de consommation 'C=c'¥d+c, i Camry mater eeOnOne Hh | Pr Mihtnud Abid ‘S61 MoU Dit Slee } Re ven disponible : Yd=¥-7 j Fonction de taxation : T='Y+T, Fonction d’investissement : I=1, Fonction de dépenses publiques: G= . 0 Condition d’équitibre : Y=C+I+G Présenté fas nté en fonction de ses variables exogenes, le modéle, plus riche qu le précédent, permet ___Wétendre la politique économique a ses aspects budgétaires, 2.2- La politique budgétaire : ta politique budgétaire concerne d'abord les dépenses publiques G. Etat, passant des commandes publiques, enclencher un processus revenu-dépense établit sur le méme modéle que celui décienché par les investissements privés. On calcule le multiplicateur des dépenses publiques en dérivant Y par rapport a G qui prend alors le statut de variable instrumentale. or A ae 0G i-c(l-p ° ¢ La politique budgétaire concerne également la fiscalité et Etat a la possibilité d’agir sur la composante autonome de la fonction o'imposition 7, ou sur le paramatre £’, la propension marginale & taxer. - dans le premier cas, on calcule selon la méme méthode que ci-dessus le _ -e’ oy =o ak, or i-c(i-1’) - dans le deuxiéme cas, ona: multiplicateur fiscal k,. or Gt A-c'(-1’)-, * Il est important de noter que introduction de I’Etat a pour objectif de réduire la valeur des ‘multiplicat eurs. Ainsi, on peut calculer fa valeur du PIB, notée Y;, qui, & paramétres et variables ‘exogénes clonnées, équilibre le budgét de I'Etat. Gq -T Comme G4 =1'¥ +T,0na:Yzq =. Si Vey # Ppp, le budget de VEtat est forcement en déséquilibre pour Yp-. Pour atteindre le plein- ‘emploi, il Faut dans ce cas accroftre G, (utilisation de kg) et /ou baisser T, (utilisation de k,) et/ou ni réduire le taux marginal dimposition :', Le graphique a 45", aménagé pour tenir Compte de Vets, devient : CHG YeCeHHeG Utilisation aor Cy +I, +G, ((-0)¥ +Cq +1, +G, - Ts -e'r, ° v Yse YPe 3.2- impact du taux d’épargne Notons que I’épargne se déduit aisément de ce modéle - Partant de l'équilibre, ona Y-C-6=1, - En ajoutant et en retranchant T de chaque cBté de équation précédente, on a: (Y- T-C}H(T-G) Le premier terme Y-T-C représente épargne privée, différence entre le revenu disponible Y- Tet la Consommation C). Le deuxidme tradult lépargne publique T-G, lequel peut étr positive (excédent budgétaire), négative (déficit budgétaire) ‘ou nulle (€quilibre budgétaire). * Jest linvestissement privé, On retrouve bien la condition d’équllbre I = S auc +S pape a Le taux d’épargne macroéconomique est s = 3 a a e lv-7-c)+@7-@] Do a 3a s=G2DF-r-c] JET) ey, onen déduit; T-¢ T $= 0-2)5 pay +5 py ' = Ours ¥ “st le taux d'imposition, Pape era : pr = 7 — est le taux dl 6pargne privée T-G Spas =~ est le taux d épargne publique Le taux d’ privée et d’épargne publique. 2+ Léquilibre macroéconomique (Entreprises, ménages, Etat et « reste du monde ») 1,3—Le modeéle de base En prenant la liberté de maintenir constants le niveau des prix, le taux d’intérst et le taux de change, Mintreduction du reste du monde, a pour effet de madifier la condition d’équilibre macroéconomique en ajoutant au modéle précédent une fonction d'exportation et une fonction d'importation. Le modéle de base devient le suivant : Fonction Mest tellequet >t ¥ ett YM, donct ¥. a saa Mohini Aida / SSELMOU Die salen analyse Keynésienne de otic et dela demande de, bs ~ Keynes critique ta ti ence ena Tone pane de la monnale qui considére la monnaie comme un entre la sphere réele tamara aut Tanase classique dela monnaie était pas dele eT ‘aire de économie, pour Keynes, la monnaie agit sur économie réelle + la quantité de monnale en circulation et le taux d’intérét exercent une Influence sur le niveau de la production et sur l'emploi. Selon Keynes, taux d’intérét es ion et su Clinger st ba vores ‘emploi. Sel er ad dajustement essentielle sur le marché de la monnaie. Voffre de la monnaie Dans le modéle Keynésien, offre de monnaie est considérée comme une donnée exogéne ; elle est réalisée par les autorités monétaires. L'offre de monnale est rigide et ne dépend pas du taux d'intérét. taux d'intérét (1) M"= Mo 0 quantité de monnaie Lademande de monnaie : : Keynes distingue trois motifs de demande de la monnaie’: le motif de transaction le motif de précaution et le motif de spéculation. Ils s'additionnent pour donner la demande macroéconomique de monnaie notée M*. > La demande de monnaie pour.un motif de transaction: elle représente une demande. de monnaie pour effectuer les échanges. > La demande de monnaie pour un motif de précaution : les agents souhaitent détenir de la maninale pour faire face a des dépenses imprévues. On admet que chacune de ces deux composantes de la demande de monnaie M‘ dépendent positiveme nt du revenu courant ¥. plus le revenu augmente. Plus V'activité économique se développe et plus la demande de monnaie de transaction et de précaution augmente, Soit ty: demande d’encalsse qui englobe les deux motifs, et en supposant une forme affine, on peut écrrire : MiA=LY)=0.Yn. + = ° quantité de monnaie > es Gemande de monnate pour un motif de spéculation : aux cotés des encalsses transaction - fuecaution, dont le montant est li au revenu, les agents vont conserver des en caisses Solt tin le taux Ointérét minimum que Von. peut définir comme celui a partir du quel les placements ne sont plus rentables, compte tenu-des codts de transaction liés a feur. souscription ; les agents ne demandent plus de titres, et la détention de la ™monnale devient infinie. l'économie entre ainsi dans «ja trappe a liquidité ». On peut également imaginer un taux d'intérét (rma) que le codt de fa détention de la monnale devient Monnale liquide détenue, toute la richesse est, ‘placée). | lademande de monnaie pour spéculation est en elation inverse avec le taux d’intérét (r) : fF Mya" Lilt)= Mf tar | Elle peut étre représentée graphiquement comme sult : Avec: 2 «no, i \ { i ' Mipec= L(t) x Fria ‘rappe 3 iquaté ° ‘quanti de monnaiespéculatve La demande totale de monnaie La demande totale de monnaie, M* est la somme de la demande de monnaie nécessaire pour réaliser les transactions, de celle affectée a la constitution d’encaisses de précaution et de la demande a des fruit de spéculation. Mé=Uy, = y(¥) +Lale)= OY + M +r Avec:0<6<1 etA<0 Elle peut étre illustrée graphiquement comme suit: r Mes Ly, 1) Fat | Tt ‘vappe gl 1 t juantité de monnaie LY) ua a Mipec= L(t) x Fria ‘rappe 3 iquaté ° ‘quanti de monnaiespéculatve La demande totale de monnaie La demande totale de monnaie, M* est la somme de la demande de monnaie nécessaire pour réaliser les transactions, de celle affectée a la constitution d’encaisses de précaution et de la demande a des fruit de spéculation. Mé=Uy, = y(¥) +Lale)= OY + M +r Avec:0<6<1 etA<0 Elle peut étre illustrée graphiquement comme suit: r Mes Ly, 1) Fat | Tt ‘vappe gl 1 t juantité de monnaie LY) ua a Uéeuilore monétaire Véquilibre monétai i offre ex core re résulte de Fégalisation de loffre exogene et M° = Mt; My= Ly) + Lin) = Uy, ) Pour analyser équilibre monétaire, supposons une variation Sx0gene de offre de monnaie, ie re Sera To, Une Politique de Festriction lbre qui passe d’abord 4 Fu puls ar, (ry > Les relations marchées des biens Marchés de la monnaie : Vanalyse IS-LM er ae eae ae ‘rolsieme- marche: impctey f La monhiaié seit di / fins spécutatives - bes. titres enfin, » Vinvestissement i cadr re du modele, constituent une alternative & 'ement interchangeables dans le E\Cependa : ig Walras, s'il y 3 . Pour Teprésent ter I is relations et paar la — Is- Investissement, épargne-, il faut ‘fevenir aux principal cree ne sien de base: Y=C4I4G (condit ire), rishtond (condition — d’équilibre), ae ae _ consommation) et G = G, (fonctionde dépensespubliques) 0s) (fonction dinvestissement). : ). En remplagant C, | et G = , tet yar le ‘primant Y en fonction des Paramétres et des variables exogenes, o1 . ae ya HCo tle +Gy ravec @ <0 I-c! t i i ft Sur le marché des biens et services, on ne peut pas spécifier un point d’équilibre global, on est forcé de raisonner avec une infinité de points d’équilibre, tous cetix de la courbe IS. lor YU Yemiahde’ (et done” la production & ["équilibre) est®une fonction décroissante du taux igfintérét: La courbe IS est ue teprésentation de cette relation d’équilibre. A gauche dela courbe, la ‘demande globale’ est supérieure & la production, et celle-ci tend donc & augmenter ; & droite de la \courbe, la wlermande est inférieure & la production qui tend a diminuer. & Pe cabiesE Kibet bby Fe La maximale : il s'agit de la quantité de production qui autres équilibreg contiennent une part de capacité de taux de chémage non nul. f La .tourbe IS présente’ une abscisse Y utilise toutes les capacités disponibles. Tous les production non utilisée, ce qui se traduit par un “s sone jh Lorsque lé ‘niveau de dépens ‘ it tee | e dépenses. publiques augmente de G 4 pour un taux dined; onné, a consommation totale tents, et done la demande et la production a! re tt Ruementent également. En Utilisant ka formule précédente : ei ar+Cy +i, + ve avec a <0 ‘ erate des “sep : BuBNdes” aes, F Broduction aug Fa Pur une 3a : I z oh pPrPot =i Comme 0 < c’ <1, ce rapport est supérieur & 1; dou son nom, i = : A rape Wei ¢ jkeynésten. ainsi, une: di représentée par la proper ela courbe Is, 5 2 Forcinte ite niead denies tiniest T RP; la consontivation baisse’ 1 Ja production a I'6quilibre décrossent dans les memes ‘Proportions: En Initeedente sz Wadi. Hard Ath ali ab 2 ache deh Y= SEOs yee <0 Dime pre agora tes ‘Tae Berea RIS ise sae 2» Capt is baisse, des: dépenses ' publigues: ou-de Tk confiatice | des’ ménages Provoquenit un Besteccnentoes fa gauche dela courbe [Ser cals will sv) oat ‘ i ‘Courbe iM: Pour représenter la courbe LM ~ Liquidités, Monnale -, Il suffit de revenie & 'équilibre sur le ffre de monnale Ma égale de la demande de monnaie qui dépend, chez Posons pour simplifier une fonction de, marché de la monnale ou I’of Keynes, du niveau du revenu Y et du taux d’intérét |. ollectg sont des paramatres positifs, A 'équllibre, damande de monnale linéaire: M* =eY— gr, { ; en 4 cours mncrebocnonle Mo+sr === jeanne] pet la courbe IS, on observe que véquilib it ie libre monétaire ne peut pas tre déterminé autrement que 501 pose ici encore de deux inconnues mais d’une seule Equation. on a: M, =e¥~gr,d'olontire:Y = us une forme graphique, car on te centr Predation la réunion des courbes |S enus séparément, re. En ce sens, le nt le revenu et le taux d'intérét o’équilibr le économie étant imbriquées. egré, les deux spheres 4 | le taux d/intérét a’équilibre, et Y", le revenu monétaire ne peut étre obt si Péquilibre réel et +t de connaitre précisémer est un modale Int M, on déduit tour 8 tour r° et LM perme modéle keynésien Connaissan’ IS et U d’équilibre. Apartir de 1S, ona _ art Cy tly + Go i Ic" . A partir de LM, on a yemtMe Larelation M[ __ era saseon eaten i a i Mees nesuanaae ans) § {a courbe LM montré une autee di i Aéoclassique sau liew de représenter un « prix » qui équilibre la demande d'inyest ant eta Gisponibilts J Spargner (diftérer sa consommation, le taux d'intérét est un « prik'S gui equilib Foftre et la demande de monnaie, soit la masse monétaire et le desir de detony dee auidtés (ce Guel Reynes appella a « prétérence pour a uidité Sencha oe hala pei ease Begg ERE et on partie spéculotit: plus te taux dined est: élevd; plu les venice Stetterdent a ce quil diminue et plus fa demande de monnale 3 fin de spéculerestfaibieiA Hinvars [Lenste un taux dlotérét minimum pour lequel tous ls Investsseurssattendent une saoleh ee oe Berane de monaleestsiors ivrimentalsiqu, ce que Keyes appelelatrappesIquhe ta position de la courbe LM dépend:de l'offre de mdnnale, du niveau, ‘comortement des agents (oropensions, «»Ssticités); 1! que A réste inchingé (bee nominate de monnaie augmente de Ma M | alors que is e ination} Hof réelte de monnate avzmente de M /P 3 M '/. Pour ¥ donné) rls Corespond & une i nution ce rar’ du taux d intérét, ce qui conduit 4 un déplacement vers le bas de ta courbe LM (igure). tee Si vet

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