Vous êtes sur la page 1sur 28
Université de Nouakchott : Limam Mehamed @uld Almed Rinam . Jocuité des Scleices Jurldiques et Economic 1's année économie, Année 2011-2012 PROGRAMME DE MATHEMATIQUES DU Ter SEMESTRE (sur 11 semaines du 30/11 au 15/02) 1) Applications Détinttion ; On cppete epalcation toute corespandance d'un eremble € vais un ensemble Fa QUDIUs Un élément de F, Uensemble E est cit énsemble de dépat et F ensemble d'crrivée, Exemple . ars la figure ciscchire la correspondance entre les onsets BZ renenelet F=f fy fpJa}. que nous ‘appelons f, représente bien ure applicction, Aux eidfienis @z2 et egelle fait axsocier un seul élément de F et V'élément esn'a pas d'image. Autrement, sucun 6i6t ‘a Se ee Plus. Exemple ee Soit fla comespondange. deni WYliquement, de E = {e,,¢,,¢,,e} F={f, fA. Si}.por I(G)= KF, = fete LES, et f(e,) = f,. Cotte conesponconce ne représente pas une opplication ene i Sa) SS Soien! if ef g deux applications définies respeciivement entre, d'une port, les ersemble Let F oh, c'oute part, Galrejes ensembles F étG, clorsic composée de fet g notée go f est une application définie de Ecors ig or: Ve € Ege £(e) = g(f(e)).C'est Mimage porl'appication g des images préaicblement caiculées des G por: 5 éléments de Eparl'appiication f. imam Mohamed Ould Ahmed Limam : ae exemple as we Soient f et g deux applications respectivement définies comme dans te terschémas cicessour, Alors A £2 f représente une opplication de E dons G définio comme suit: g° f(e,)= 8(/(6,)) = 8(A) = 8 et “Y £°Sla)=8° Sle,)=8(f(e))= 8h) = 8). \ Sac 4 a ie ees NEES es a f we G Acca caeae Engénéral Toa y Détinttion: Soit Fung cation de, F done F , Vappicaton sei ate arkciprosue dof siVx€ TO PAERURS Are ee vier Définitions ; SI@=O)=x. | + Soit f une appfcotion de E dans F , L'appiicotion f est infective ss ete vérite :si f(x) = f(y) => Autrement, aucun élément de F ne peut étre, 4 Ia fois, image de deux éléments cistincts de E. =y. ~ Soit f une appication de E dons F . Uappiication f est dite surjective ssi tout élément de F admet, au moins, unantécédent dans E ~ Soit f une application de E dons F . L'opplicotion f est cile bijective sell es! & lo fois surjective et injective 3) Fonction d'une varlable réelle initions sur te mbles de le des + interval termé [2.5] : ensemble (*/@ x $8) pomes comprises - Intervate ouvert 2.2[ : ensemble des réelsx tels que a < x <2 : 0 et bsont les bomes de lintel, ~ Wervaite seml-ouvert(sern-termé) 14,2] ot[ 4.2L: intervotes -b] (a Kx Xb potl Pl (aac h, ~ Valsinage de a, 2 € IR :Toutintervalle ouvert de IR contenont a: YQ > 0, Ja~ aya + 26[ est un voisnage de o Limam Mohamed Outd Ahmed Limam. Fonction njectve :/:1~9J estinective stout étément de J (1) estrimage Fonction surjective: f:/ > J Parf d'un élément de 1, Fonction injective et sufective & 1a fois. ~ Fonction réciproque : Soitf définie sur unintervalle 7 CR Lo fonctifm, surdpor¥ "S(2) gs x= Jy), ~ Fonction positive (resp. négative) : fest positive resp. nagot est sujective s S(4)~ 7. outrement cits tout Sri fel, £(%)20 pes S(z)S0 poreVTE TS (2)*9 ot satonctioniwese, + Fonction inverse ou inversibie: SiJ:1—> J est invs Gue VE LS (x) 2m moiof 7 Fonction bornée:: ex bamas: sit es! lo ois majorée-et mnoro. VEEL, mS f(x) SM : Mee Bome supérieure : Pus belitweiM tel que WXEL. f(x) 4M es Extremum d'une fonction ! Un extremum est un minimum ou un menimum - Fonction composé WE LS (NES Ge, SUSI ) vatie OR et g détine sux un imervate J GR lent deux fonctions, { défine sur unin ‘Fonction convere: £1 est ste convene surisiel element y WHE [0.1) V(2,b)el?_ F(a +(1-h)2) SAf (a) + (1-4) (2), Fonction concave: f:/— RR esi dite concave s(-S) est convere. Limam Mohamed Quld Ahmed Limam ©) Monotonie, partté et Périodicné 2 4) Monotonte Fonction crolssante: ((%.) € /? et x 2)=70)<70) Tonclon sictement crousonte:{(2.>)@ 2 et 2 ¢ =F ()< 70) Fonction décrotssante :{(%)e J? et x $2] > F(x) 240), econ Sictement décrotssante: {(2.)€ J? ass} F(a)> sy) 8) Porité Fonction Pate :f est pote si Vr D.S(-3)=7(x), fest symétique par rappon & roxe Or. gp etchan wre :rermccre, VrebD, S(-2)=-7 ©) rest smatique Por rapport & Norigine ©) Pértodicne * Fonction Epéiodique: soil: Dy—>R gy OBOTER stictement posit tolque VEE Dy x4 Te 2 tFtT)*F(2), corto ‘onction f es cite périodique de période roy Tpérioaique. Limam Mohamert SO ak + e+ O08 € INO a0 tele 0 € IR. Cette ‘onction est un Polynéme de degré 1, Exempies cay in nel - tes fonctions constontes / £(x) 2 x, S@)= 42x 41, td 2) Fonetions rationneties tne fonction rationnete se présente sous torme PC), Coefficients dans IR , 1 alee x I@=2:4@) PaO. we Une fonction fationnelie est définie ssi le dénominateur est son my For définies sur IR JR ot IR {11 th 3) Logartthmes tlop.c logaitthme népérien In(x) est définie uniquement sur IR™ le est coractérsée Por les propriétés eee ‘IDE 0, Inv 8) = In(f) + In(g) e' a fonction In(x) est continue et srictement croisante I E Exeriples 42) =In(x): J) Limam Mohamed Ould Ahmed Limam re im: \ ae : = 6) txoonentater Ss we ee GRTOrS Rls trun aut tancamentel an riothématiques:oute fenction reel, 6b tls bantu a stictement \ vs \ "renotone admet une fonction réciproque. La fonction n(x) étord continue et shictement croissants ele odimet, done. une fonction réeiproque.e* appeiée fonction exponentiolle. te fonction exponentiele est définie uniquement sur JR + Bile est coractérisée par les propriétés suivantes : In(e) iets easier aed! sors ery neem a on ae Exemples SG)=In(e" +1): FQ) EF : (ye al 5) Tigonométiques See enctions figonamétHiques sont ces fonctions dont a variable est un ongle. Eles permettent de relier les longueurs LSE Sets cn tangle en fonction de ta meture des angles cur sorrete fo fonctions tigonemétiques les pls Uittes sont lo snus role de io Cosinus (ces) ef la tongente (tan, tong ou to). Voteurs particullares de sin et cos Angle en racions 0 = z S e E Angle en degrés : o ay 45 60 90 sn Bo, 8 ao 2 2 2 Cos wa 1) Mi a a (0) eral 2 2 2 Ton 0 Bb 1 Va indéfinie tes fonctions sin(x) et cos(x)sont définies sur IR. Eles sont 2m — périodiques. Les fonctions sin(x) et €0s(x) sont respectivernent impaire et paire surl'ensemble IR Relations tondamentales entre sin et cos cos(f + g) = cos /)cos(g)—sin(f)sin(g). sin(/ + g) =sin(/)cos(g) + cos()sin(g). Limam Mohamed Ould Ahmed Limam 2 Forctlons tigonomériques réciproques Les fonctions trig tigonométriques Su Ie En les restreignant ions réciproques (aresin, JOnomé tr réalisent IQUes ne sont pos bijectives/ @ certains intevales, ts fonctions es bblectons. Los oppiican ‘Ces, orctan} sont habituellement Isxs1, £955 19 = ecsin(s) sd atsevomentslx=siaGy). 2 Pourtousréols x et y tek que:—I0, Ja>0 tel que xe T oto] Cam|y(x)~41< = Onnote HEL (=) 6 lim (x)-4Ve>0,37>0 + mite & gauche : totque (% BS x %)=>|/(2)-4 ce teR + nie one tncton state do fone, VEO. BER tetque*? B>|f(2)- ce Onnote dim S(4) =4. Mime en —< une fonction :£ est tmte deena $020, BER telquet $B (2)-¢]< e Onnote tim 1(x) 2 : | ae Continulié des fonctions lim f(x) = ~ Gonfinuté en un point : On cit que Fest continue €779 siet seulement sina / (7) "SF (a), lim F(x) = 7 (x, Continuté & drotte (resp. & gauche) : fest Continue & croite en %9 si et seulement x fit 7 (#) = 7 (9) eX 2 x resp. XS x), Continutté sur un intervaile : fest Continue suri et seulement sf est continue en tout Point des lim 7 (x)= Fremtemert Po commie; 17 a4 une ecto ene tM) ote Z()~9 oo, que 9 est un Beriearert BEE COn IAW cafe al eudemsery ne (2) = F(z) vam op @(%)=a tam Mohamed Ould Ahmed Limam, 1) Dérivée et citérentietes Solent f une fonction défine sur son domcine de ction DF et x © of. te lrsque x tent vers xo xox xx q a (=) on I@)-S 0 ~%) a+ (rx) & (x25) to dérivée de fou point west égale ao, 8) Sif es! dénvable au point x, sa dérivée est note ff) Fenetlon dérivée La fonction déivée ou dévvée de sur eut a fonction J” quiatout xde ossocie “() Fonction a-fols dérfvable :Sila déivée nme des, /: 15 + existe, on dit que fest nfols dérivable sur exemple 1: Soit f@) =X et % =1, Coicuierta détivée de t ou pointe IQ)-S%) = - P= Cette différence s'écrit ‘également : I0)-Se%)=C-D (+ D. Ce quidonne: Uc (a) xT xo xl peeee Etdoprés tes définitons : f (I)=2 Exemple 2 (plus général) : Soit £2) =x" oun est un entiernaturel, ‘Calculer la dérivée def un point Xoquelconque. Limam Mohamed Ould Ahmed Limam = Ve SN ee b= J=(u-I)(/+utw + Revenons au calcul de la dérivé 10-0) =x — x" = x" 2)- Fe % «(€ | Avecle changement de veriabis x alee tt u= (} lo citéronce pécedente devin: {(3)—fla)= x ( (i! =1). cr ctoprésteropee! ete ser JOP) = (WAY Ines +0") Ovencore: M0) —fGq)= = (ems - aarti: ‘ Aa sed 4) manocentan. ¥ ati ihm tn (2) 2 *—% | Neeroblenorerégoie:¥ xe er V ne IN, (9) nam ae 2) nag xx 0 Théorames Solent fet g deux fonctions dérivables ou point x0 ¢1 a un éel auelconqve. Théoréme 1 (F+2)ba)=Fb)+2'(5) Bémonstration ; (2) = tim (Ut8ko-(F+2)o5)) _ fa-f)) t (a2) Pe Oe |= an (Ae a =f b)+ee) Inéorime 2 Poy thoy (@Sitai=as (x) Limam Mohamed Ould Ahmed Limam MK a (4) =L Gods) =2 d/l) 8%) : & On pose csemtiehsotnen t= (2) a8 x ome (4-7 (2) {4} (- fs _ef _fs- fe-sf sg go gs Théoréme & (Fea) ()=2e)-F (ea). Démonstration : On utilise les définitions 2 et 3, en substituant x por gfx) et xo par gixo) : S()-SE%))= (eC0)-(%))f (ob) +(2(x)—2(%))€ (e(4)-2(%)). En divisont par (x=%) : LGC) flat) _ (262) A009) (9), ()-8C)) oe at: fy) Stee) feel Ey Sea) Lorsque x fend vers xo, le demier terme tendro vers 0. D'ot le résultat du théoréme. Théoréme 7 Sifest bijective et g est soréciproque. Alors 1 &Q)=a——. F (gx) Démonstation : 9 étont la réciproque det: fog(xj=x VxeDF Sil'on dérive les deux termes : 1 Yeg@))=@) =I. vzeDr oad an 2) D'apresle théoréne s (fog) =E -f (g) Done g «J (g)=H. D’owte résutot | Limam Mohamed Ould Ahmed Limam an I roe ' HF oy Ue wopteninines (2)= i ae Théoreme 3 Swett Ua) b)=s lobo) + elols(x) Démonstration: Pémenstration : Drobord : Sete) Aslelsa)= /a)e60)— Seles) + Aa) eb9)- Mr bets) ‘Ou encore : Lela) ~Aro)alea)= Mele) - abe) + abl fx) (x,)} lim (“etter i ( Yee eats) ee lim n (eect Se ae ron x = i ==" 2 =f) : ; = L +, lim |= LM? | | , Z 2 waxy | 8), Se my) OE +a )/ Ce). Théoréme 4 1 Aes) si f(%q)#0 ; (Z)a- Fm) cee D'abord : feos) LE) S0%) ea L0%)) ees L%)-S) Pee eee ae | a Fa)" Jefe) © x=% ais x-%, Ainsi: iG i : Gs 35) 1 im (Aerazed Lex, Biel) ae Qi ca i ae |e SOF a x-% FigR? %)- Limam Mohamed Ould Ahmed Limam Théoréme 9 Rote) Sot £:[2,5]->7R continue uy [26] érivobie wr FA fO=0 siete ae SA) = $18). son versie © FP so: oye TGorme 10 (Accroissements fis) sot F142}-R 5 i oF Corea i Jeroen FA pte ae Démonshation : Fog (Wrest JO-f( Appliquer Rolle pour: (3 Définitions : iam enal ucaacial cu Pate aad eat bor soipsreste cen eget successives éventueles de fo maniére suivante : pour n20, la détvee corde n+l, 7”, est x ete existe. lo dérivée de f™, La onction J” est appelée lo atférentsio def forever. 2) Formule de Taylor ~ Fommute de Tayler Sif est n fois déivable sur [ash] + f° ext continue sux [2:8] oF f° est dervabie sur on ae Fadl. aos: ve abl) $5) =a) + teayrta) + CO pas. ¢ = est une fonction continue au voisinage de a et tend vers. 0 lorsque x tend vers @. Pua) R(x). 0% R(x) ~ Formule de Taylor-Young: Si f est n fois déivable sur [a;5] ; #” est continue sur [a;5] @t /” est derivable sur Jab[ Alors: Vxe Jol / ae J) = fa) + Goaspta) + & so LA) vot continue au voisinage de a et tend vers 0 lorsque x fend vers a, SMa) + (—2)" e(x~a). 00 £(X) est Une fonction 3) Développements limités Définition Solt fh) est une fonction define surun voisnage de 0. On dit que / admet un développement imié (aaté dans lasvite Duja ordre m au voisinage de 0 s'il exste un polyndme pix} de degré inférieur ou éaal & m ple) = an + am Mohamed Ould Ahmed Limam, ct u : x ction «(x) définie sur Un voisinage yx + ast! + w+ apx” Qui s'oppelle Io partie principale du OL) ef une for tels que: fs) =p) +x" ¢() avec lime(z)=0. Exemples ‘jou voisinage de 0) A 2 4 x x ‘ ‘| : eho 4a BA pt x (x) 5 case = 1-4 (e) cosr= 1 Fit 4@) 2 x (ay = larder DE sree Det srr Dantrnel) AE (K) aver lime(x) =0. 4) Théordme de rhdpttal Soient/ et g deux fonction continues et dérivabies surl'inlervalle I. a € I et fla) = g(a) = 0.Si g’ne s'annule pos i im im LO). 4 surt—{a} et fae - A. Alors SS : Limam Mohamed Ould Ahmed Limam 1s W)Wae6 du graphe d'une fonction (89: Yer téviter 2012) 1) Plan d'ensembie raphe ov courbe r Sraphe ou courbe représentative c'une lonction réele une Voriable réete : Ensemble des poinls de cooraonnées (#21 ()) oveex€ D domaine de céfntion at 2) Domaine, domaine d'étude et discontinuté Lonsemtle des antécéderts admetien! une Image e:! appelé domaine de défeiion de lo fonction Le domaine 2 definition de la fonction | es! olors un intervalla ou une union d'intervoles de Ik. 3) Utilisation des dérivées 4) Asymptotes Asymptote & une courbe lim f (x) = t= Sirs + Alors la droite X * Zo est asymptote & fa coube représentalive de lim f(x) =4 aBB SG) "4 conta droite ¥ = Lest asymptote & 1a courbe raprésentative dof, Si lim(/(x)—ax—5)=0 otors ta droite y = ax-+d est oxymplote blo courbe representative de 5) Points particullers et tangentes 1) Point d'intiexton : Soient J: RR deux fois dérivable et % ©, citférent des bones, On dit que % est un Point d'inflexion iJ” stonnule et change de signe au point %o 2) Tongente & une courbe enn point: ¥~ S(%) * (8-49). (%) est requotion de lo tongente & a courbe représentative de f, ou point a 4) Criféres de convextiés 1) Proposition caractérisation de la convexité parla dérivée premiére) :Soit S31 —F1R derivable. Alors fest convexe si et seulement si J” est croissante suri, Conséquence {langente & la courbe d'une fonction convexe) : 1:18 déivable et convexe. Alors pour tout ¥0€!, ona wret, S(#)2 5 (%)+(2~ %)F'(%). surement cit, ia courbe représentative de Fest portout av: dessus des tongentes 2) Proposition (caractérisation de la convexité parla dérvée seconde) : soit f 1 > R deux ois dérivabie. Alors es! convexe siet seulement S°(*)20 re Limam Mohamed Ould Ahmed Limam Vi) Suites numéniques ($10 : 8 février 2012) \4 ? Uns suite es! une forile d'éléments indexée par es enters natures. C'est une oppication de ensemble des enters noturels IN dons IR Aisi les images de 0, 1,2,..2 sont not6e$ Us typ tyson ly Oni que u, estle terme de rang m, Nousnofons en généeatta suite W : (pay Exemples 7 Suite arithmétique et suite géométrique : ~ Suites récurrentes inéoires & coefficients constants 1, iy + iggy + nop Sulte réelle convergente On dira que fa suite u, est convergente vers u" lorsque pourtout e € JR"..,j existe N € IN tel que pour tout, n>N:|u,-u'|se. Onddt alors que u, tendvers. ef onte note im = Exemple sur la continulté 1 ‘ < Solt 4, = I++ alors a imite u* = 1 car pourtoute € IR". Wexste N = la partie entire de! + 1el que pourtout, 2 Se. n>N:|u,—1= x n eet Suttes monotones Détiition Une suite est monotone lorsqu'elle est croissante ou décroissante, Une suite réelie est dite Strictement monotone lorsqu’ele est strictement croissante ou stictemen! décrossante, Sutte crotssante: On ciro que lo suito(u, yany 2 stctement crobante onque : VN €, yy, >, Sule shetementcrolssante: On cra que ic gto (pay 51 slctement crcisante longue : Vit > ty Sulte décrolssante: On cra que la suite (1, any est Aécroissante lorsque : Wit €,tl,, Sty Sulte shictement décrolssante: On ciro que la site ex sicternent décrolsionte longue : Vn €,ty,) =N >|u,-u,[

Vous aimerez peut-être aussi