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Qu’est-ce qui s’empare du faible papillon

Qui, infatigué, à l’infini voit le jour.

Hier l’a fait réssusciter du sommeil lourd

Avec son fuite aujourd’hui, ses ailles- million.

Les larmes ont ruisselé leurs visages claires;

Impitoyablement, moi assujetti à cette punition forte.

Qu’il soit jeunesse sans vieillesse et vie sans morte!

Je n’en peux plus les voir s’évanouir, mère et père…

Fânée c’est la chaire, perdus sont les instants.

Moi, pendu dans l’éternité, le cour cacheant,

Couvre-le avec ton ombre et aime-moi.

Pour moi il n’y a plus de choses à savoir.

Tous les piliers du monde réel s’effondrent

Tout est vieux, tout est nouveau, tout est illusoire.

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