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SQL

Une dernière raison est l’existence d’un langage d’interrogation de ces bases de données,
langage standardisé

nommé SQL (Structured Query Langage), et que nous utiliserons dans la suite. Toute application
informatique

qui doit s’interfacer avec une base de données relationnelle le fera en « parlant » ce langage.
C’est ce standard,

additionné à toutes les solutions techniques proposées par des environnements logiciels, bien
installés

aujourd’hui, comme Oracle, Informix, Sybase ou Access, additionné, enfin, à toutes les couches
logicielles de

visualisation et d’analyse de données s’exécutant à partir de ces bases,

qui fait les bases de données relationnelles deviennent incontournables lors de l’étude des
solutions de persistance des objets.

SQL

SQL est un langage d’interaction avec les bases de données qui sont utilisables, généralement,
dans des programmes informatiques qui interagissent avec ces bases. Ces instructions
permettent la création des tables et des relations, la consultation,

l’insertion, l’effacement et la modification des enregistrements, la définition des permissions au


niveau des utilisateurs.

Select pour lire les enregistrements :


SELECT [ALL] | [DISTINCT]
<liste des noms de colonnes> | *
FROM <Liste des tables>
[WHERE <condition logique>]

Insert pour insérer des nouveaux enregistrements :


INSERT INTO Nom_de_la_table
(colonne1,colonne2,colonne3,...)
VALUES (Valeur1,Valeur2,Valeur3,...)
Update pour mettre à jour ces enregistrements :
UPDATE Nom_de_la_table
SET Colonne = Valeur
[WHERE qualification]

Delete pour effacer ces enregistrements :


DELETE FROM Nom_de_la_table
WHERE qualification

Une table, une classe


Figure 19-1
En Access, la table
prédateur.

Supposons, dans un premier temps, que nous souhaitions sauvegarder les quatre informations
de notre prédateur, introduites dans les chapitres précédents, dans une table dénommée
Predateur, dans la base de données. Microsoft Access.Parmi les quatre attributs indiqués dans la
table, pour les cinq prédateurs qui y sont enregistrés, un n’apparaîtrait pas dans l’approche OO, il
s’agit de la « clé primaire », nommée ici idPredateur. On conçoit bien l’existence d’un tel attribut
dans une base de données. C’est par lui que l’on accède à tous les enregistrements désirés. Le
système de gestion de la base de données sait, à partir d’une valeur donnée de cet
attribut, retrouver l’enregistrement unique correspondant.

Clé primaire
La clé primaire d’une table est l’attribut qui permet d’accéder, de manière unique, et
sans aucune équivoque à un des enregistrements de la table. La valeur de cet attribut
doit être distincte pour chaque enregistrement, une valeur entière étant ce
qu’il y a de plus courant.

VOIR P483 [Bersini-OO2009]La_programmation_orientee_objet(BookFi_org) eyrolles

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