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I/ Introduction :
1/ Boitier :
La forme de boitier conditionne plusieurs points importants: l'ergonomie, la possibilité
d’extension, et la ventilation. On peut classer les pc selon la forme de leur boitier en trois
catégories :
Les Pc à boitier horizontale, ces boitiers existent en deux épaisseurs, standard (15
cm) et extra-plat (10cm) ; la longueur et la largeur peuvent également varier entre 50 cm :
boitier AT standard et 40 cm : mini AT.
Les Pc à boitier verticale (tours), ces boitiers ont le plus souvent une épaisseur de 18
cm et une profondeur de 40 cm, la hauteur varie de 30 cm pour les mini tours et 60 cm pour
les grands tours.
Les portables, ces boitiers sont de type horizontal et ils ont une épaisseur de 2 à 4
cm, leur longueur et largeur dépendent du nombre de pouce de l’écran.
2/ Carte mère :
La carte mère détermine l’architecture interne du PC. En effet elle est conçue pour
recevoir un certain type de processeur et pour fonctionner à une fréquence déterminer, les
quantités maximales de mémoire centrale dans l’ordinateur dépendent du nombre
d’emplacement prévu dans la carte mère. Le nombre de type de carte d’extension ils peuvent
être employé, dépendent du nombre de connecteurs et du type de bus présent sur la carte,
elles portent le plus souvent les composants principaux : processeur, mémoire, bus, horloge,
ports de connexion, chipset, ROM …..
Le chipset est une interface d’entrée/sortie. Elle est constituée par un jeu de plusieurs
composants chargé de gérer la communication entre le microprocesseur et les périphériques.
Le processeur travaille grâce à un nombre trop limité de fonction (ET logique, OU logique,
addition. . .) celles-ci sont directement câblées sur les circuits électroniques.
L'ensemble des améliorations des microprocesseurs visent à diminuer le temps d'exécution
du programme. La première idée qui vient à l’esprit est d’augmenter tout simplement la
fréquence de l’horloge du microprocesseur. Mais l’accélération des fréquences provoque un
surcroît de consommation ce qui entraîne une élévation de température. On est alors amené à
équiper les processeurs de systèmes de refroidissement ou à diminuer la tension
d’alimentation.
Une autre possibilité d’augmenter la puissance de traitement d’un microprocesseur est de
diminuer le nombre moyen de cycles d’horloge nécessaire à l’exécution d’une instruction. Dans
le cas d’une programmation en langage de haut niveau, cette amélioration peut se faire en
optimisant le compilateur. Il faut qu’il soit capable de sélectionner les séquences
d’instructions minimisant le nombre moyen de cycles par instructions. Une autre solution est
d’utiliser une architecture de microprocesseur qui réduise le nombre de cycles par
instruction.
Les différents types d’architecture de micro processeur sont :
Remarque : Comparer deux processeurs d'une même architecture par rapport au MIPS est
une mesure fiable, cela devient plus subjectif entre des architectures différentes.
4/ Connecteurs :
A. Connecteurs d’extension :
Ce sont des réceptacles dont lesquels il est possible d’insérer des cartes d’extension, il
existe plusieurs sortes de connecteurs :
Connecteur « ISA » (Industry Standar Archetectur) permettant de connecter des
cartes ISA à 16 bits.
Connecteur « VLB » (Vesa Local Bus) bus servant autre fois à la connexion des cartes
graphiques.
Connecteur « PCI » (Peripheral Component InterConnect) permettant de connecter
des cartes PCI plus rapides que les cartes ISA et fonctionnant à 32 bits.
Connecteur « AGP » (Accelerated Graphics Port) est un connecteur rapide permet la
connexion de la carte graphique.
Connecteur PCI express architecture de bus plus rapide que les bus AGP.
B. Connecteurs d’entrée-sortie :
La carte mère possède un certain nombre de connecteurs d’entrée-sortie regroupés sur le
panneau derrière de l’unité centrale.
Port série : permet de connecter de vieux périphériques.
Port parallèle : permet de connecter de vielle imprimante.
Port SP2 : permet de connecter souris et clavier.
C. Connecteur USB :
Permet de connecter les périphériques intéressant.
D. Connecteur RJ45, BNC :
Permet de connecter l’ordinateur à un réseau « Port LAN ».
E. Connecteur VGA :
Permet de connecter un écran.
F. Prises Audio :
Permet de connecter Haut-parleurs ainsi que le microphone.
5/L’Alimentation :
Le rôle de l’alimentation est d’alimenter en énergie électrique tous les composants installé
dans le boitier. L’alimentation sert à convertir le courant alternatif (220V) en une tension
continue de 5V pour les composants de la carte mère et 12V pour certains périphériques
a) Mémoire vive :
La mémoire vive, mémoire système ou mémoire volatil, RAM (Random Access Memory) qui se
traduit par mémoire à accès aléatoire. C’est la mémoire informatique dans laquelle un
ordinateur place les données lors de leur traitement.
Les caractéristiques de cette mémoire sont :
• elle est volatile, c’est-à-dire que les informations qu’elle contient sont perdues lors de
la mise hors tension de l’ordinateur
• Elle est vive: les informations stockées changent continuellement
• elle a une capacité relativement faible
• elle est accédée très rapidement, ce qui permet au CPU de trouver plus vite ce dont il
a besoin pour travailler
Il existe deux types de mémoire qui se distinguent par leurs techniques de fabrication : les
mémoires dynamiques et les mémoires statiques.
– Statiques : SRAM
• Très rapide (entre 6 et 15 ns)
• Chère
• Donc utilisée pour des mémoires de faible capacité
– Dynamiques : DRAM
• Plus lentes
• Temps d’accès : 10 à 60 ns
Le disque dur est relié à la carte-mère par l'intermédiaire d'un contrôleur de disque dur
faisant l'interface entre le processeur et le disque dur. Le contrôleur de disque dur gère les
disques qui lui sont reliés, interprète les commandes envoyées par le processeur et les
achemine au disque concerné. On distingue généralement les interfaces suivantes :
Le système d’exploitation est une couche de logiciel offrant à l’usager une machine logique
- La fiabilité : limiter les conséquences des défaillances matérielles ou des erreurs des
utilisateurs. En cas de panne, éviter les pertes d’information ou leur incohérence.
- Efficacité : Utiliser au mieux les ressources et possibilités matérielles (sans en consommer
trop pour lui-même)
- Facilité d’emploi : Offrir un langage de commande (dialogue usager/système) et des
diagnostics d’erreurs (système/usager) clairs et précis
- Adaptabilité : permettre des modifications matérielles et logicielles les plus simples
possibles, à l’aide d’outils spécialisés
- Mesurabilité : Enregistrer la comptabilité des ressources utilisées par les usagers, mesurer
les paramètres de fonctionnement et de charge
La gestion du temps est l'un des problèmes majeurs des systèmes d'exploitation. La raison
est simple : les systèmes d'exploitation modernes sont tous multitâche, or ils utilisent du
matériel basé sur des processeurs qui ne le sont pas, ce qui oblige le système à partager le
temps du processeur entre les différentes tâches. Cette notion de partage implique une
gestion du passage d'une tâche à l'autre qui est effectuée par un ensemble d'algorithmes
appelé ordonnanceur (scheduler en anglais).
GCO
MAC
DO WIN WIN NT UNIX S
Caractéristiques OS
S 95/98 4 (ex : AIX, LINUX, SOLARIS...) (BUL
(Apple)
L)
Ouvert X
Monotâche X
Multitache X X X X X
Mono-utilisateur X X X X
Multi-utilisateur X X
Multiprocesseur
X X X
s
Dès le moment où vous allez appuyer sur le bouton de mise sous tension de votre PC, une
impulsion électrique va être envoyée à l'alimentation depuis la carte mère. Laquelle va ensuite
produire du courant, courant qui va allumer le Bios.
La première tâche du BIOS consiste à tester tous matériels (les bus, l’horloge interne,
mémoire RAM, les cartes vidéos, clavier, lecteur disquette, HD …). Ce premier teste s’appelle
POST (Power On Self Test) ou encore séquence pré boot.
La configuration détectée par le bios sera comparé à celle qui existe déjà dans la mémoire
CMOS qui est une mémoire permanente mais qui peut être modifiable à chaque chargement de
composants matériels
En cas d’erreur ou si le matériel n’est pas plug and play un programme de configuration
matériels sera exécuté, ce programme Setup permet de définir les caractéristiques physique
des composants installés dans l’ordinateur.
Rque : Par défaut Bios commence par la disquette et s’il n’y a aucune disquette dans le
lecteur il passe chercher le secteur d’amorçage dans le disque dur (cet ordre peut être
modifié grâce au setup)
Une fois que le MBR lui a donné la main, le secteur de boot va charger les 15 secteurs qui le
suivent sur le disque et va ensuite transférer le contrôle à un programme présent sur ces
secteurs. Ces 15 premiers secteurs sont appelés " Bootstrap Code " et s'occupent de localiser
puis de transférer l'exécution au fichier NTLDR.
NTLDR est le chargeur d'amorçage de Windows. C'est lui qui va savoir quels Windows sont
installés et lequel il faut lancer. Il commence par charger les pilotes du système de fichier
approprié.
Ensuite, en fonction du fichier Boot.ini, il va définir quels sont les systèmes d'exploitations
qu'il peut lancer et s'il y en a plusieurs, il va les afficher à l'écran et demander à l'utilisateur
d'en choisir un.
Les erreurs qui peuvent arriver à ce niveau sont encore des problèmes hardware. C'est-à-
dire que par exemple un des secteurs qu'il doit charger est manquant. Ou alors que le disque
sur lequel on démarre n'a pas de NTLDR, donc on ne peut pas booter dessus. Ou alors, il peut
arriver qu'il y ait un problème avec le fichier NTLDR.
VI/ MS DOS
1. Introduction
Le DOS a été conçu pour les premiers XT d'IBM (processeurs X86 compatibles).
Contrairement aux systèmes d'exploitation de l'époque, il n'est pas intégré en mémoire ROM,
mais sur une disquette ou installé sur le disque dur. Il travaille en mode texte en utilisant un
prompt : les commandes doivent être connues de l'utilisateur (elles ne sont pas très
complexes et reprises des mots anglais associés). L'interface graphique utilisant la souris est
arrivée plus tard avec une couche supplémentaire (Windows 2.0, 3.0, 3.1 et 3.11 -
Workgroups).
DOS (Disk Operating System) est au départ conçu pour gérer les disques durs et
disquettes, ainsi que leur utilisation pour la sauvegarde et la récupération de fichiers
(données, programmes, ...), compris leur organisation dans des répertoires (depuis Windows
95 ou dit dossiers). Différentes commandes permettent également de préparer les supports
comme la commande FDISK ou la commande FORMAT. Les commandes DOS sont séparées en
deux types :
1. les commandes internes : directement exécutables, font partie du noyau du système
d'exploitation.
7. Commandes Système
TIME: affiche et permet à jour l'heure du système
Lorsque vous achetez un disque dur, celui-ci a déjà subi un formatage de bas niveau, il n'est
pas nécéssaire de faire un formatage bas niveau.
A quoi sert-il ?
Le formatage de bas niveau permet d'initialiser la surface de chaque plateau du disque et les
pistes qu'ils contiennent.
Son utilité est également d'inscrire à la racine du disque dur les informations de base le
concernant le nombre de cylindres, de clusters abîmés, etc.
Il peut être utilisé pour résoudre des problèmes de copie; le disque est alors remis à neuf.
Différence bas et haut niveau :
Le formatage de haut niveau, dit formatage standard de part son utilisation beaucoup plus
fréquent que son homologue de bas niveau.
Le formatage logique s'effectue après le formatage de bas niveau, il crée un système de
fichiers sur le disque, ce qui va permettre à un système d'exploitation (DOS, Windows, Linux,
OS/2, Windows NT, ...) d'utiliser l'espace disque pour stocker et utiliser des fichiers.
Le formatage logique est une opération à appliquer à chacune des partitions du disque.
Le formatage de bas niveau a donc pour but de préparer la surface du disque a accueillir des
données (il ne dépend donc pas du système d'exploitation et permet grâce à des tests
effectués par le constructeur de "marquer les secteurs défectueux" ).
Lorsque le disque lit des données, il envoie une valeur qui dépend du contenu du paquet
envoyé, et qui est initialement stockée avec ceux- ci. Le système calcule cette valeur en
fonction des données reçues, puis la compare avec celle qui était stockée avec les données. Si
ces deux valeurs sont différentes, les données ne sont pas valides, il y a probablement un
problème de surface du disque.
Le contrôle de redondance cyclique (CRC: en anglais cyclic redundancy check ), est basé sur
le même principe pour contrôler l'intégrité d'un fichier. Les utilitaires d'analyse telle que
"Scandisk" ou "CHKDSK" opèrent autrement : ils inscrivent des données sur les secteurs à
priori marqués valides, puis les relisent et les comparent. Si ceux-ci sont similaires,