Vous êtes sur la page 1sur 31

EPIGRAPHE

« Jamais jamais jamais. N’abandonnez jamais »

− Winston Churchill
DEDICACE

A tous ces qui me sont cher(e)s, je dédie ce travail a tout chercheur scientifique de l’université
protestante de Lubumbashi (UPL).
REMERCIEMENT
Le règlement universitaire a instituée depuis plusieurs années l’exigence pour tout
étudiant de bac 2 doits rédigés un travail scientifique. C’est dans le cadre nous avons réalisons
ce travail. Etant donné que ce travail est le fruit des efforts soutenus par plusieurs personnes,
nous ne pouvons passer sans leur faire un mot de gratitude.
A cette effet je profite de remercie mes parents.
Nos remerciements s’adressent également à toute l’autorité académique de l’université
protestante de Lubumbashi « UPL » en sigle, ainsi qu’à tous nos professeurs en générale pour
les conseils que nous avons bénéficié de leur part.
Nous nous faisons l’insigne honneur de remercier notre directeur Ass ARNOLT BOPE
qui malgré ses préoccupations n’a pas hésité de prendre la direction de notre travail.
Ainsi que, l’ingénieur HERGY KASHALA qui lui a son tour à assisté tout au long de notre
travail.
Nous remerciement s’adresse également à vous mes collègues de promotion ayant passé
ensemble deux années académiques.
Avec reconnaissance ce travail vous est dédié.
INTRODUCTION
De nos jours, l’informatique est à mesure de résoudre des problèmes rencontrés
dans presque tous les domaines de la vie de l’homme, toute organisation quelle que soit la
nature de ses activités, Pourrait solliciter et recevoir de l’aide informatique, une organisation
qui nait pourrait avoir besoin de l’informatique afin d’organiser sa gestion ou celle qui existe
déjà et qui rencontre des failles.
Avec le souci de posséder l’informatique à l’endroit voulu et au moment voulu,
les entreprises n’hésitent plus à investir des milliers d’argent pour posséder les meilleurs
outils et services du marché qui pourront à leur besoin.
A c’est qui concerne le web.
Le web est devenu aujourd’hui l’un des outils le plus utilisé que l’avance technologique n’ait
connu. En effet grâce au web, il est possible de partager des données sans le moindre effort
physique appliqué, il peut être utilisé dans tous les domaines du quotidien, que ça soit dans la
santé, l’économie, ou la gestion de de vente, l’éducation, l’armé, …
Dans le cadre de notre travail nous allons plus nous focaliser sur la
gestion de vente, ainsi nous allons réaliser une application web qui permettra une bonne
vente des billets de match de football.
Le choix de ce sujet se traduit par un constant fait dans la plupart des stades au Congo, cette
politique permettrait aux organisations administratives à mieux procéder lors des ventes des
billets. Nous avons pensé à leur doter d’une application web informatique.
Pour tout travail, un chercheur doit prouver l’intérêt que ce dernier représente pour lui en
particulier et la société en générale, ce travail nous permettra d’élargir nos connaissances en
langage de programmation, aussi à approfondir nos connaissances dans la manière de bien
mener une recherche scientifique et grâce aux diverses recherches, nous allons appliquer les
connaissances acquises à l’université, ce qui d’ailleurs la tâche est réservée après les études.
Ce travail permettra également à ladite entreprise de se munir d’une application web pour une
bonne vente et réservation des billets.
Non seulement nous et ladite entreprise, ce travail permettra aux chercheurs qui viendront
après nous de s’en inspirer pour aboutir à leur objectif.
Comme il est rare de se lancer dans une recherche inédite et inexplorée, nous ne devons pas
prétendre être les premiers à traiter sur ce grand thème, nous avons lu les travaux de :
MUTOMBO NGOY OLIVIER dont le thème est : « la mise en place d’une application web
de vente en ligne des œuvres d’arts1 »
2
En utilisent la méthode UP, dans sa problématique il a montré comment les maisons des
productions d’œuvre d’arts éprouvaient d’énormes difficultés pour vendre leurs produits, d’où
il a proposé de leur doter d’une application web qui permettrait de mieux commercialiser les
œuvres d’arts.
ILUNGA KATHY dont le grand thème est : « gestion informatique des réservations d’une
salle de location pour les manifestations festivales2. »
Il a utilisé la méthode merise.
La vision et la manière que nous avons rattachées à cette étude sera d’une particularité qui
nous démarque de nos prédécesseur, dans le sens où nous allons commencer par l’analyse de
la conception jusqu’à l’implémentation à la base des données.
Compte tenu des recherches effectuées, nous nous sommes posés quelques questions, elles
désignent également un ensemble d’interrogations qui imposent une discipline à un chercheur
en vue de comprendre et d’expliquer un phénomène précis.
Ainsi nous pouvons dire, il n’y a pas de recherche là où l’on ne pose pas de question.
Elle doit être entendue comme une inquiétude du chercheur.
De nos jours l’expérience de grandes organisations attestent que l’informatique est devenue
une science qui met ses pieds dans toutes formes organisationnelles, tout comme le stade
kibasa maliba ne peut s’échapper.
Cependant, comme le fonctionnement du stade est confronté à plus d’une difficulté à ce qui
concerne la vente et la réservation de billet,
Nous pensons qu’il est impérieux qu’un stade fonctionne avec l’informatique comme moyen
de vente et réservation des billets.
Car lors de notre observation nous avons pu constater qu’il y a une batail affreuse qui cause à
plusieurs reprises la perte des vies et graves blessures, en effet , une personne qui voudrait se
procurer d’un billet devrait, pour cela, se rendre sur place, c’est-à-dire à au stade ,
subjectivement jugée fiable, pour réserver un billet, cependant, étant souvent confrontés à des
engouements files d’attentes ,etc., qui se créent lors de vente , les personnes . et cela est dû à
une inefficacité de la manière ou de la méthode employée pour la vente des billets.
Par ce fait, le constat fait, nous mobilise à poser la question suivante :

1
(OLIVIER, 2017)
(KATHY, 2017
(KATHY, 2017)
Que serait la solution pour pallier aux problèmes de vente des billets pour le stade kibasa
maliba ?
Quelle méthode pourrait correspondre à cette étude ?
Pour répondre à la première question d’une manière provisoire à la question soulevée ci-haut,
vue les difficultés lors de la vente des billets, la solution serait la conception d’une application web,
sur laquelle toutes personnes pouvant ainsi faire sa réservation et son achat de billet en ligne.
Et pour la deuxième, nous allons utiliser la méthode merise.
Nous pouvons dire qu’une méthode est une voie que l’esprit du chercheur emprunte pour arriver
à un but qu’il a fixé d’avance. Pour atteindre notre objectif qui est celui de mettre en place une
application web pour gérer la vente des billets au sein du stade kibasa maliba, nous avons opté
la méthode3
Merise (méthode d’étude de réalisation informatique pour le système d’entreprise)
Est certainement la méthode de spécification la plus rependue dans la communauté de
l’informatique de système d’information, et plus particulièrement dans le domaine des bases
de données, car cette dernière correspondrait à l’étude actuel.
A ce qui concerne les techniques, dans notre cadre nous avons utilisé la technique de
conception:
La rigueur scientifique exige de limiter notre travail pour mieux appréhender son étude, ainsi
notre travail portera sur la gestion de vente de billet en ligne, de l’analyse à la conception et
nous allons nous limiter à l’implémentation de la base des données.

Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail est subdivisé comme suit :


CHAP. 1 GENERALITE SUR LA METHODE MERISE ET LE WEB
Ce chapitre consiste à définir et à parler de concepts théoriques et fondamentaux de notre
étude. D’expliciter sur la méthode merise et le web.

Chap. 2 ANALYSE METIER DE LA RESERVATION ET VENTE DES BILLETS AU


STADE KIBASA MALIBA

Dans ce chapitre nous avons présenté l’entreprise d’une manière brève.


On a analysé, et critiqué le système existant d’une manière objective

Chap. 3 CONCEPTION ET IMPLEMENTATION DE LA BASE DE DONNEES

Ce chapitre va nous amener à modéliser le système futur à mettre en place via la méthode
merise.

3
(KITOPO, 2017)
CHAPITRE 1 : GENERALITE SUR LA METHODE
MERISE ET LE WEB
1.1INTRODUCTION
Dans ce chapitre de notre travail, il sera question de définir les différents concepts du
domaine informatique, la présentation de la méthode merise qui sera question de ce
présent travail. Et nous nous parlerons de la technologie web. Avant tout voici la
généralité sur la méthode merise, que nous allons utiliser.
1.2 APERÇU SUR LA METHODE MERISE
Définition : merise est un acronyme signifiant méthode d’étude et de réalisation
informatique par sous-ensembles ou pour les systèmes d’entreprises. Elle a comme
objectif d’aider et guider les SSII dans leur phases d’analyse, de conception et de
développement de l’applicatif.4
1.2.2 Les deux approches de merise
1 Approches ascendantes :
La stratégie ascendante a longtemps été utilisée dans les méthodes de conception à base
d’objets et par réutilisation. Parmi les approches réutilisables.
2 Approche descendante :
C’est une approche classique qui emprunte les techniques traditionnelles d’analyse du
domaine (Domain analysis) longtemps appliquée dans les méthodes de type MERISE.
Elle a l’avantage d’analyser le domaine dans sa globalité avant d’analyser les composants
du système. Cette stratégie est nécessaire pour intégrer les nouveaux besoins métier de
l’entreprise qui ne sont pas capitalisés dans aucun composant. Nous allons utiliser cette
approche dans le présent travail .
1.2.1 Le but de la méthode merise et de marche
Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système d’information. La méthode
merise est basée sur la séparation des données et de traitements à effectuerez plusieurs
modèles conceptuels et organisationnels. La séparation des données et de traitements
assure une longévité au modèle.
La méthode merise est caractérisée par :
− Une approche systématique en ayant une vue de l’entreprise en terme de système ;
− Une séparation se données (le coté statique) et des traitements (coté dynamique) ;
− Les approches par niveaux.

4
(MATHERAU, 2004)
Nous devons la création, l’étude et la mise en place de cette méthode à une équipe de
chercheurs et d’ingénieurs Aixois (Jean-Louis le Moigne, Hubert Tardieu, Dominique
Nancy, Henri Heckenroth, Daniel Pasco, Bernard Espinasse) qui en posèrent les bases
dans le milieu des années 1970.
La méthode merise apport une formalisation éclairant le choix à effectuer. Elle est un
langage commun de référence centré sur le système d’information et non sur
l’informatique appliquer.
Elle permet une authentification de la communication entre le responsable de la
stratégie d’entreprise, celui de son informatisation et les utilisateurs finals. Elle structure
les vœux du dirigeant et de l’utilisateur sous forme de dessins pour une compréhension
facile et des dossiers pour une explication complète permettant au responsable de
l’informatique de choisir ou d’écrire les programmes. Le choix final d’informatisation
sera conforme aux désirs de l’utilisateur et aux possibilités informatiques.
Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système d’information. La
méthode merise est basée sur la séparation des données et de traitements à effectuerez
plusieurs modèles conceptuels et organisationnels. L séparations des données et de
traitements assure une longévité au modèle.
La méthode merise est caractérisée par :
− Une approche systématique en ayant une vue de l’entreprise en terme de système ;
− Une séparation se données (le coté statique) et des traitements (coté dynamique) ;
− Les approches par niveaux.

1.3.2 Les caractéristiques d’un système


Un système est un élément fini dont le périmètre est frontière qui le sépare de
son environnement. Il interagit avec son environnement grâce aux flux d’informations
entrantes, qu’il va traiter et restituer à l’environnement sous forme de flux
d’informations sortantes. Le système générer des informations qui rendent compte. De
son comportement à la fois sein de l’environnement, mais aussi pour son propre
compte. Un système communique. Un système a besoin, pour prendre des décisions,
de stoker et de traiter les informations.
1.3 .3 la séparation des données et des traitements
 Les données (ou information)
L’information est l’émission ou la réception de signaux ou écrits, sonores, visuels ou
multimédias dont le but est de déclencher les processus alimentant l’échange, base
naturelle et indispensable de l’animation de l’organisation. Les informations se
recueillent à l’intérieur du domaine a étudié. La liste des informations est constituée
de plusieurs façons :
 L’interview
 L’étude de documents internes,
 L’étude de documents externes.

 Les différents types d’informations :


Les informations élémentaires et mémorisables c’est sont des informations
dont les valeurs ne peuvent pas être inventées. Elles ne sont déductibles d’autres
informations. Par exemple, le nom du client ou le genre ne peuvent être inventés. Une
information doit être atomique c’est-à-dire non décomposable. Chaque valeur prise
par une information est appelée occurrence.
Les informations calculées : c’est sont les informations déductibles des autres
informations élémentaires. Par exemple, le total d’une ligne de commande est le
résultat de la multiplication du prix de vente hors taxe et de la quantité commandée.
Les traitements : c’est sont des activités ou des opérations effectuées sur des
données ou informations.

1.3.4 L’approche par niveau


Pour la conception d’un système informatique, il est nécessaire de considérer trois
niveaux d’étude :
 Le niveau conceptuel
 Le niveau organisationnel ou logique
 Le niveau physique

1. le niveau conceptuel : consiste à concevoir le système d’information en faisant abstraction


de toutes les contraintes techniques ou organisationnelles et cela tant au niveau des données
que des traitements. Les questions posées, sont : que faire ? Que veut-on faire.
Le formalisme merise employé sera :
o Le modelé conceptuel des données (MCD)
o Le modelé conceptuel des traitements (MCT)

2. le niveau organisationnel ou logique : c’est niveau a comme mission d’intégrer dans


l’analyse des critères liées à l’organisation étudiée. Le niveau organisationnel fera préciser les
notions de temporalité, de chronologie des opérations, d’unité de lieu, il définira le poste de
travail et aussi l’accès aux bases des données. Les questions posées sont : Qui ? Ou ? Quant ?
Le formalisme merise employé sera :
 Le modèle organisationnel des données (MOD)
 Le modèle organisationnel des traitements (MOT)

3. le niveau physique : permet de définir l’organisation réelle (physique) des données. Il


apporte des solutions techniques, par exemple sur les méthodes des stockages et d’accès à
l’information. C’est la réponse au comment ?
Le formalisme merise employé sera :
 Le modèle physique des données (MPD)
 Le modèle opérationnel et physique des traitements (MOP)

1.4 Les étapes de la méthode merise


1. Modèle conceptuel des données (MCD)

Il décrit de façon formelle les données utilisées par le système d’information. Les
forment constituant un modèle conceptuel des données sont :
− Les propriétés
− Les entités, et
− Les relations.
a. Les propriétés : sont les informations de base du système d’information. Les propriétés
disposent d’un type. Elles peuvent être numérique, du type date, leurs longueurs peut être
aussi définies. Les types ne sont décrits au niveau conceptuel, car ce niveau est trop proche de
la définition du système physique.
b. Les entités : comme il est aisé de le constater, les clients sont définis par certaines propriétés
(nom, post nom, genre…) le de regrouper amène naturellement à créer une entité.
 L’identifiant : nommé aussi la clé, permet de connaitre de façons sure et unique
l’ensemble des propriétés qui participent à l’entité.
c. Les relations : est une association, un lien qui existe entre une ou plusieurs entités.
 Les cardinalités : elles expriment le nombre de fois ou l’occurrence d’une entité
participe aux occurrences de la relation.

Le modèle conceptuel des données est obtenu selon les étapes de l’analyse ascendante
suivant :
 Définition du dictionnaire de données : il fournit un ensemble de définitions des données
élémentaire de base du domaine sous étude.
 Construction de la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple: elle spécifie les
dépendances fonctionnelles entre chaque identifiant et les propriétés recensées a la première
étape.
 Construction de la matrice de dépendance fonctionnelle à source composée : elle spécifie les
dépendances fonctionnelles entre sources simple et les propriétés non atteinte à la deuxième
étape.
 Construction de la matrice de clés : est une représentation des relations entre sources simple.
 Construction du graphe des clés : est une représentation de relations entre sources.
 Construction de la structure d’accès théorique : est une représentation formelle des données
qui seront utilisées par le système d’information de manière théorique.
 Construction du modèle conceptuel des données : est une représentation statique du système
d’information qui met en évidence sa sémantique. Il a pour but de décrire de façon formelle
les données qui seront utilisées par le système d’information.

2. Le modèle conceptuel de traitement (MCT)


Le modèle conceptuel de traitement met en lumière les traitements sur les données.
Indépendamment de toute contrainte. Liée à l’organisation, le modèle conceptuel des
traitements répond à la question « Quoi ? ».
Les éléments constituant un modèle conceptuel des traitements sont :
o Le processus : constitue donc un sous ensemble de l’organisation dont les limites sont
indépendantes du choix de l’organisation.
o Le flux : est défini comme un échange d’information entre deux acteurs.
o Acteur : est un intervenant (personne physique ou service) qui pose un acte précis dans un
système d’une organisation ou un domaine.
o Evènement : on appelle évènement un fait dont a son apparition déclenche une réaction au
sein de l’organisation. L’occurrence de l’évènement entraine le déclenchement d’activités
ou opérations.
o Opération : on appelle opération, toute action déclenchée pour réagir à un ou plusieurs
évènement, une opération produit un plusieurs résultats. L’opération est identifiée par son
nom.
o Résultat : on appelle résultat ce qui est produit par l’exécution d’une opération.

Le modèle conceptuel des traitements des est obtenu selon les étapes de l’analyse
ascendante suivante :
 Tableau des acteurs : ce tableau regroupe tous les acteurs (personne morale ou
physique) capable d’émettre ou de recevoir des informations.
 Graphe de flux : est un ensemble d’échange des informations entre un acteur avec
lui-même ou deux acteurs.
 Tableau de flux : ce tableau contient tous le flux et une ligne décrit en détail un flux :
nom, émetteur, récepteur, données échangées.
 Tableau des évènements : un évènement matérialisé un fait, qui en se produisant, doit
déclencher une réaction du système.
 Tableau des actions induites : ce tableau fournit un aperçu général sur les actions
induites par les évènements et sur les résultats produits par l’exécution de ces actions
à partir des règles de gestions et/ou du bon sens.
 Tableau des opérations : ce tableau fournit une réponse à l’arrivée d’un évènement et
de déclenche un ensemble des traitements.
 Tableau des synchronisations : ce tableau fournit d’une par la liste des évènements
(interne ou externe) qui doivent être arrivées avant de déclencher l’opération, et
d’autre part la règle sous forme d’une proposition logique qui précise de quelle
manière les évènements participent au déclenchement de l’opération.
 Tableau de règles d’émission des résultats : ce tableau fournit la production effective
d’un ou plusieurs occurrences d’un évènement interne soumise à une règle
d’émission c’est-à-dire a une proposition logique qui s’applique au contenu de la base
d’information après exécution de l’opération.
 Graphe d’ordonnancement des évènements : ce graphe fait apparaitre la chronologie
des messages, et par conséquent commence à faire apparaitre leurs interactions et
dépendances.
 Le modèle conceptuel des traitements : ce modèle met en lumière les traitements
effectués sur les données.

3. Modèle logique des traitements (MLT)


Vu que la représentation conceptuelle de données ne peut pas directement être
manipulée et acceptée par un système d’information, il est donc nécessaire de passer du
niveau conceptuel au niveau proche des capacités des systèmes d’informations qui est le
niveau logique.
La représentation des données au niveau logique a la conception MLD qui représente
la base de données pour le système d’information.
4. modèle organisationnel des traitements (MOT)
Il complète la description conceptuelle des traitements en intégrant tout ce qui est
d’ordre organisationnel dans le domaine étudié. Le modèle organisationnel des traitements
précise :
− Qui exécute les traitements et la nature des traitements :
- Manuels
- Automatiques
- Semi-automatiques
− Les lieux ou sont exécutés les traitements (poste de travail, serveur…)
− Quand sont exécutés les traitements (notion de temporalité)

Le modèle organisationnel des traitements est basé sur trois principes fondamentaux :
o L’évènement
o La phase ou procédure, et
o Le résultat.

Ce modèle constitue une étape très importante dans la démarche de conception. Pour les
utilisateurs, il constitue l’expression complète de la future solution, telle qu’ils la
pratiqueront dans leurs situations de travail.

1.3 LA TEHORIE SUR LE WEB


1.3.1 Le web
Par définition, un site web (aussi appelé site internet par abus de langage) est un ensemble
de fichiers HTML, liés par des liens hypertextes, stokes sur un serveur web, c’est-à-dire
un ordinateur connecté en permanence à internet, hébergeant les pages.
1.3.2 Application web
Définition
Une application web est une application manipulable grâce à un navigateur web. De la
même manier que le site web classique, une application web est généralement placée sur
un serveur, à la différence que celle-ci offre une interactivité avec ses utilisateurs en
actionnant des widgets (élément d’une interface graphique : bouton, menu, fenêtre,
ascenseur…), via u réseau informatique (internet, intranet….).5
1.3.3 Technologie du web
Par définition la technologie web est l’ensemble de savoir (des méthodes, des
protocoles, langages, Framework) et d’outils qui mettent en œuvre les découvertes
d’applications.
Ils existent de nombreuses technologies mis à votre disposition :
 Langages de développement de la dynamique du web (Java, PHP, ASP, Python, etc.) ;
 Framework de développement (Struts, Java Server Page, Flex, Open, lazlo, etc.) ;
 Serveur de service web ( Tomcat, IIS, GlashFish, apache, Google, webserveur, etc.) ;
 Moteur de base de données (MySQL, hadoop, MongoDB, etc.) ;
 Format d’échange (XML, JSON, HTML, SOAP, etc.).

1.3.3.1Synthèse de communication :

5
(NYAMI, 2018, p. 4)
Figure 1: présentation du système
client/serveur.

L’lorsqu’une requête http est soumise au serveur web pour une page dont l’extension
est « php », comme pour le fichier HTML, le serveur commence par rechercher dans
son absence le fichier d’extension « php », il va ensuite passer la main à un sous-
processus (une dll bien particulière) qui va interpréter le script PHP et produire
dynamiquement du code HTML est alors envoyé au travers du réseau au navigateur
client. De plus, aucun ligne de code php n’apparait coté client dans la mesure où tout
le code a été interprété.
1.3.3.2 vocabulaires
Serveur web :
Un serveur est un ordinateur détenant des ressources particulières et qu’il met à la
disposition d’autres ordinateurs par l’intermédiaire d’un réseau6
Site web :
Un site web est un ensemble de page web accessible par internet, sur un serveur identifiée
par une adresse. Et il hébergées sur un ou plusieurs serveur web.
Hébergeur web:
Entreprise de services informatiques hébergeant (mettant en ligne) C’est-à-dire le site
web est placer sur un ordinateur disponible 24/24h et pouvant répondre aux besoins des
mutilateurs. Sur ce serveur web les sources constituant les sites web de ses clients.

SGBD :
Désigne l’ensemble des fonctions permettant de définir la structure des données, de
formuler des requetés, de modifier et de stocker des informations.

1.4 Conclusion partielle


A l’issu de ce chapitre, nous avons appris les notions sur le web d’une part et
de l’autre part nous nous sommes familiariser avec la méthode merise qui va nous aider à
l’élaboration du nouveau système de gestion de vente.

6
(NYAMI, 2018)
CHAP. 2 ANALYSE METIER DE LA VENTE DE BILLET
AU STADE KIBASA MALIBA
2.1 INTRODUCTION
Dans ce chapitre, nous procèderons par l’analyse métier qui aboutira une solution
conceptuel.
L’analyse, dont il s’agit, concerne le processus de vente de billets d’un match pour le
stade kibasa et les acteurs qui y sont compris. A l’aide diagrammes de procédure que nous
offre la méthode merise, nous tenterons de critiquer et dénicher les points forts et les
points à améliorer du processus.
Spécification de besoin
Les consommateurs des billets de mach sollicitent le guichet pour réserver des
places et pouvoir profiter du loisir.
Généralement, pour réserver une place, le client réservataire se présente au
guichet il renseigne sur le prochain match ou autres activité (heure, le jour, le prix du
billet), après avoir été renseigné, le client peut réserver une ou plusieurs places moyennant
un paiement correspondant au montant de réservation.
Généralité sur le stade KML
KML est stade de football situé à lubumbashi pouvant accueillir 35000 personnes
il porte aujourd’hui le nom KML
Il est 3eme plus grand stade de la RDC après le stade des Martyrs et stade tata
Raphaël. C’est là que jouait auparavant le TP Mazembe, FC Lupopo.
Stade a changé plus d’une fois le nom à savoir :
De 1964-1972 le stade portait le nom de stade Albert.
De 1972-1997 le stade portait le nom de stade Mobutu.
De 1997-2007 le stade portait le nom de stade de la Kenya.
Le stade a était construit en 1964 ce temps le principal qui y jouait st Eloi Lupopo.
2.2 ORGANITION
2.2.1 Etude de document.
1 Rapport de vente : c’est un document qui permet à l’administrateur d’avoir un rapport
complet de vente de billet provenant du guichetière:
 Nombres des billets vendus
 Date de vente
 Prix de billet
 Numéro de guiche
 Nom du guichetier
 montant
 categorie

2 billets :
 numéro billet
 Date du match
 Catégorie
 Nom de l’équipe A
 Nom de l’équipe B
 Heure du match
2.3 DESCRIPTION DES TRAITEMENTS
2.3.1 Inventaire de rubrique
C’est un tableau qui permet recenser tous les inventorier tous les rubriques ou information
atomique se trouvant sur les documents utilisés. Il se présente comme suit :

Tableau 1 inventaire de rubrique

No propriété billet Rapport


1 Nombre de *
billet vendus
2 Date de vente * *
3 Prix du billet * *
4 Numéro guichet * *
5 Nom guichet *
6 montant *
7 catégorie * *
8 Numéro billet * *
9 Date match * *
10 Equipe A * *
11 Equipe B * *
12 Heure du match * *
13 Date_reserve *

2.3.2 Tableau de dictionnaire de données brut


Est un tableau qui va répertorier toutes les rubriques sans trier, toutes les informations sur les
documents pour enfin prouvée la description des données. Il se présente comme suit :

REGLE DE
No PROPRIETE SIDNIFICATION TYPE TAILLE GESTION
Les nombres des
C 10
1 Nombre_billet billets vendus
2 Date_vente Date de vente NC 10
Le prix du billet par
NC 10
3 prix_billet catégorie
4 numguichet Le numéro guichet NC 10
5 Montant Le montant total C 30
6 catégorie La catégorie NC 10
7 num_billet le numéro du billet NC 15 UNIQUE
8 Date_match Date du match NC 10
Le nom de l’équipe
NC 15
9 equipe_A qui reçoit
Le nom de l’équipe
NC 15
10 equipe_B visiteur
11 nom_guichet Le nom du guichetier NC 10
12 Date_reserv Date de réserve NC 10
13 Num_rapport alphanumérique NC 10 UNIQUE
14 Heure_match L’heure du match NC 10

Recensement des acteurs


Nous distinguons, principalement trois acteurs dont :
Les clients ;
L’administrateur.
Le guichetier

Tableau 2 recensement des acteurs

N0 ACTEURS TYPE SIGNIFICATION


1 client EXTERNE Est celui qui se présente au guichet pour payer
un billet de match
2 Administrateur INTERNE Ce celui qui supervise toute vente de billet et
autres activité au stade
3 guichetier INTERNE Est celui qui livre le billet

Graphe de flux
Le graphe de flux représente les informations échangé entre acteur.

Figure 1 graphe de flux


1

2
Client 3 Guichetier
4
5

Administrateu
r
LEGENDE
1. Demande de billet
2. Demande rejeté
3. Frais pour le billet
4. Remise de Billet
5. Rapport de vente
Diagramme de procédure
Ce diagramme détermine les activités des acteurs on y trouve le message échangé, les
opérations effectuer, le temps en minute ou seconde.

temps client guichet administrateur


A la demande

Demande Analyse
de billet

Demande
Demande
rejeter
accépter
Frais du
billet
Variable Enregist
rement

Variable Billet Copi


e
Fin de la billet
journée
et

Élaboration

variable
Rapport de
vente

Figure 2 Diagramme de procédure

3. Critique de l’existant.
1 Aspect positifs.
Présence de quelque matériel informatique (ordinateur, imprimante).
2 Aspect a amélioré du système.
Nous avons été a mainte reprise sur le lieu où avons tiré notre sujet, nous avons constaté que
chaque fois qu’il y a vente de billet, le client ou les supporteurs paie le billet sans laissé
aucune information, avec cette méthode de vente il est difficile d’avoir les informations.
L’information reste l’élément capital parce que ce dernier permettra de savoir qui
occupe quelle place.
4. proposition de la solution.
Ainsi suite à l’analyse faite sur ce champ d’étude nous proposons à l’administration du
stade kibasa maliba d’:
o Informatisé la gestion de vente de billet en concevant une application doté d’une base de
données qui pourra permettre une vente rapide et distant.

Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté l’ancien système d’une part et de l’autre part nous
avons pu faire l’analyse et ce sur base de cette analyse nous pouvons modéliser le nouveau
système de gestion de vente.
Chap. 3 conception et implémentation à la base données.
3.1 Introduction
Dans ce chapitre, il sera question de modélisé le système en se basant sur les normes
de la méthode merise qui est sera énuméré.

3.2 Modèle conceptuel des données


Comme nous l’avons défini au premier chapitre le MCD décrit de façon formelle les données
utilisées par le système d’information. Pour construire le MCD, nous avons atterri au :
 Dictionnaire des données épuré ;
 La matrice de dépendance fonctionnelle à source simple;
 La matrice de dépendance fonctionnelle à source composé ;
 Matrice de clés ;
 Graphe de clés ;
 La structure d’accès théorique (SAT) ;
 La représentation du modèle de données (MCD).

1 Dictionnaire de données épuré


Le dictionnaire des données épuré est un tableau qui contiendra les propriétés leurs
significations, type, domaine, contrôle, formule (si la donnée est calculable).
Tableau 𝑁 0 4: dictionnaire de données épuré.
Tableau 3 dictionnaire de données épuré.

No PROPRIETE SIGNICATION TYPE DOMAINE CONTROLE FORMULE


1 Nombre_billet Les nombres de C AN.15
billet vendu
2 Date_vente La date de la NC N.10
vente
3 Prix_billet Le prix du billet NC A.1
selon la categie
4 Num_guichet Le numéro NC AN.10
guichet
5 Nom_guichet Le nom du NC A.10
guichetier
6 Montant Le montant C AN.10
total pour tout
le billet vendu
7 Categorie Le choix NC AN.15
moyennant le
prix
8 Num_billet Le numéro NC N.10
billet
9 Date_match Le prix de billet NC A.15
10 Equipe_a Numero client NC A.15 UNIQUE
11 Equipe_b Le nom du NC A.10
client
12 Date_reserv L’adresse du NC DATE
client
13 Heure_match L’heure du NC TIME
match
14 Nom_client Le nom du NC A.10
client
15 Num_client Le numéro NC N.10
client
16 Adresse_client L’adresse du NC AN.10
client
17 Num_rapport Le numéro de NC N.10
rapport

2 La matrice de dépendance a source simple


La matrice de dépendances fonctionnelle à source simple (MDFSS) nous permet d’analyser
la dépendance qui existe entre les propriétés répertoriées dans le dictionnaire des données
épuré, elle nous permet de repérer les informations élémentaires.

Tableau 𝑁 0 5: MDFSS.
Tableau 4 MDFSS.

No 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
source
but
1 Equipe_a 1
2 Equipe_b 1
3 Date_resrve
4 Date_match 1
5 Date_vente 1
6 Categorie 1
7 Heure_match 1
8 Nombre_billet 1
9 Prix_billet 1
10 Num_client *
11 Nom_client 1
12 Adress_client 1
13 Num_rapport *
14 Num_billet *
15 championent
16 Num_guichet 1
17 Nom_guichet 1

La matrice de dépendance a source composé


La matrice des dépendances fonctionnelles à source composées sera constituée de toutes les
propriétés clés de la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple. Ainsi que de toutes
les propriétés qui n’ont pas été utilisés dans cette dernière.
Tableau 5 MDDFSC.

No VALEURS DF1
1 Num_Client G
2 Num_billet G
3 Num_guichet G
4 championnat D
5 categorie D

4. Matrice à clés.
Dans cette matrice, nous allons analyser les dépendances fonctionnelles entres les
identifiants. Elle est composée de toutes les propriétés clés de la matrice des dépendances
fonctionnelle a source simple ainsi que toutes les propriétés clés de la matrice de dépendance
a source composées.
Tableau 6 Matrice à clés.

No sour 1 2 3 4 5
but
1 Num_Client *

2 Num_billet *

3 Num_rguichet 1

4 championnat 1

5 catégorie 1

Le graphe de clés.
Le graphe de clés est un résultat de la matrice de clé ainsi que de la matrice de dépendance
fonctionnelle a source composée. Ce graphe montre toutes les dépendances fonctionnelles qui
existent entre les différentes clés.
Figure 𝑁 0 3.graphe de clés.

Num_client Num_billet

categorie

championnat
Num_guichet

Categorie

La structure d’accès théoriques


La structure d’accès théorique est une structure de données qui établit grâce au graphe de clés
et on y ajoute toutes les propriétés non clés utilisées ou non utilisées de la matrice de
dépendances à sources simples.
Figure 𝑁 0 4.SAT

Num_client Num_billet
Nom_client Prix_vente
Adresse_client
categorie Equipe_a
Equipe_b
Heure_match
championnat
num_cha Num_guichet
nom_cha Nom_guichetier Categorie
Num_cat
Nom_cat
Le schéma conceptuel des données
Le modèle conceptuel des données s’élabore à l’aide des associations qui n’est autre qu’un
lien entre un ou plusieurs entités. Les liens ou association sont représentées par des ellipses et
les entités par les rectangles.
Ce model découle de la SAT. Ainsi il existe trois réglés pour transformer une SAT en MCD.
- Chaque source simple produit une entité, la source simple devient identifiant et les propriétés
deviennent les propriétés de l’entité.
- Une source simple qui pointe sur une autre traduit une association hiérarchique qui relie les
entités porteuses des sources.
- Chaque source composée produit une association qui relie les entités don leurs identifiant
apparaissent dans la source.
Figure𝑁 0 4. MCD.

Tableau de cardinalités
Permet de donner le maximum et minimum de participation d’une entité dans l’association. Il
est représenté par le couple de deux membres entiers (minimum maximum). Il est définit par
rapport à une entité. Permettent aussi de caractériser les liens qui existent entre entité et une
relation à la quelle est-elle-reliée.
Une cardinalité est les nombres de fois qu’une entité participe à une association.

Tableau 7: tableau de cardinalité

No ASSOCIATION ENTITE CARDINALITE SIGNIFICATION


Un client peut avoir un ou plusieurs
client 1,n billets
Un billet peut-être vendu a un seul
1 AVOIR billet 1,1 client
2 VENDRE billet 1,1 Un billet est vendu une seule fois
Un guichetier peut vendre un ou
guiche 1,n plusieurs billets
billet 1,1 Un billet contient une seule catégorie
3 AVOIR catégorie 1,n Une catégorie figure sur plusieurs billes
Un championnat au maximum et
billet 1,1 minimum sur un billet
championna
4 FOURNIR t 1,n Un championnat fourni plus d’un billet

3.3. BASES DE DONNEES RELATIONNELLES


1. Introduction au modèle relationnel
Dans ce modèle, les données sont représentées par des tables, sans préjuger de la façon dont les
informations sont stockées dans la machine. Les tables constituent donc la structure logique du modèle
relationnel. Ce modèle est aussi appelé modèle logique des données(MLD).
Les abréviations suivantes sont employées :
 MLDR : modèle logique de données relationnelles

 MRD : modèle relationnel de données

 MLRD : modèle relationnel logique de données

Les éléments du modèle relationnel


N° Eléments du Définition
modèle relationnel
1 Attribut Un attribut est une caractéristique ou une propriété décrivant
une information stockée dans une base.
2 Domaine Le domaine d’un attribut est l’ensemble, fini ou infini, de ses
valeurs possibles
3 Relation Une relation est un sous ensemble du produit cartésien de n
domaines d’attributs (n>0). Une relation est représentée sous la
forme d’un tableau à deux dimensions dans lequel les n attribut
correspondent aux titres de n colonnes.
4 Schéma de relation Un schéma de relation précise le nom de la relation ainsi que la
liste des attributs avec leurs domaines.
5 Degré d’une Le degré d’une relation est le nombre d’attributs.
relation

6 Occurrence ou n- Une occurrence ou n-uples ou encore tuples est un élément de


uplets ou tuples l’ensemble figure par une relation. Autrement dit, une
occurrence est une ligne du tableau qui représente la relation.
7 Cardinalité d’une La cardinalité s’une relation est le nombre d’occurrence.
relation
8 Clé candidate d’une Est un ensemble minima l des attributs de la relation dont les
relation valeurs identifient à coup sûr une occurrence.
9 Clé primaire La clé primaire d’une relation est une de ses clés candidates.
Pour signaler la clé primaire, ses attributs sont généralement
soulignes.
10 Clé étrangère Une clé étrangère dans une relation est formée d’un ou plusieurs
attributs qui constituent une clé primaire dans une autre relation.
11 Schéma relationnel Il est constitué par l’ensemble des schémas de relation.

12 Base de données Une base de données relationnelle est constituée par l’ensemble
relationnelle des n-uplets des différentes relations du schéma relationnel.

Le MCD ne peut pas être implanté dans une base de données sans modification. Il est
obligatoire de transformer ce modèle.

On dit qu’on effectue un passage du modèle conceptuel de données vers le modèle


logique de données. Le MLD pourra être implanté dans une base de données relationnelle.
Règles de passage du MCD au MLD
Règle numéro 1 :
• Une entité du MCD devient une relation, c’est à dire une table. Dans un SGBD de type
relationnel, une table est structurée tabulaire dont chaque ligne correspond aux données
d'un objet enregistré (d'où le terme enregistrement) et où chaque colonne correspond à
une propriété de cet objet. Une table contiendra donc un ensemble d’enregistrements.
Une ligne correspond à un enregistrement. Une colonne correspond à un champ. La
valeur prise par un champ pour un enregistrement donné est située à l’intersection ligne
colonne correspondant à enregistrement-champ. Il n’y a pas de limite théorique au
nombre d’enregistrements que peut contenir une table. Par contre, la limite est liée à
l’espace de stockage.7

• Son identifiant devient la clé primaire de la relation. La clé primaire permet d’identifier
de façon unique un enregistrement dans la table. Les valeurs de la clé primaire sont donc
uniques. Les valeurs de la clé primaire sont obligatoirement non nulles. Dans la plupart
des SGBDR, le fait de définir une clé primaire donne lieu automatiquement à la création
d’un index.

7
(MATHERAU, 2004)
• Les autres propriétés deviennent les attributs de la relation.

Règle numéro 2 :
Une association de type 1: N (c’est à dire qui a les cardinalités maximales positionnées
à « 1 » d’une côté de l’association et à « n » de l’autre côté) se traduit par la création d’une clé
étrangère dans la relation correspondante à l’entité côté « 1 ». Cette clé étrangère référence la
clé primaire de la relation correspondant à l’autre entité.

Règle numéro 3 :
Une association de type N: N (c’est à dire qui a les cardinalités maximales positionnées
À « N » des 2 côtés de l’association) se traduit par la création d’une relation dont la clé
primaire est composée des clés étrangères référençant les relations correspondant aux entités
liées par l’association. Les éventuelles propriétés de l’association deviennent des attributs de
la relation. Remarque : Si le nom du MCD n’est pas significatif, on peut renommer le nom
de la table.

Présentation du Modèle Logique de Données Relationnels (MLDR) de


L’application de vente de vente de billet

Client ( Num_client, nom_client, adresse_client)


Billet ( Date_match, equipe_a, equipe_b, heure_match, catégorie # ,
championnat #,num_guichet #)
Categorie (num_cat, nom_categorie)
Championnat (num_cha, nom_championnat)
Guichet (num_guichet, nom_guichetier)

Présentation du modèle Logique de Données (MLD

BILLET
CLIENT
Num_client Num_bille
Nom_client Prix_billet
Adress_client Equipe_a
Equipe_b
Heure_mat
Nom_Cat#
CHAMPION Nom_cham
NAT #
Num_cha
Nom_cha Numclient#

CATEGORI GUICHET
E
Num_cat Num_guichet
Nom_cat Nom_guichet
Conclusion générale
Nous voici au terme de notre travail ou la préoccupation majeure à portée sur la gestion
informatisée des ventes de billets au stade kibasa maliba.
Dans cette étude, il a été principalement question d’analyser le domaine de gestion de
vente, lors de ce dernier nous avons retrouvé les points forts et les points a amélioré qui
nous ont permis de proposer une solution informatique efficace adaptée à cette gestion qui
est encore quasi manuelle. Pour y arriver, nous avons recouru à la méthode MERISE, qui
est une méthode d’analyse et de conception des systèmes informations.
Après la phase d’analyse du système existant, nous passé a la conception du système
futur.
Nous pensons que la solution informatique proposée permettra de résoudre les problèmes qui
nuisent l’administration du stade face à une gestion efficace. Le nouveau mode de gestion basé
sur l’information de certaines taches jadis manuelles et à l’origine d’un bon nombre des
problèmes.
Pour finir « tout homme est sujet aux erreurs » nous restons ouverts à toute critique et remarque
susceptible de perfectionnement de ce travail.
Bibliographie
KATHY, U. (2017). gestion informatique des réservation d'une salle polyvalente. G3 info UPL.

KITOPO, W. (2017). cours de recherche scientifique. G2 info.

MATHERAU, J.-P. (2004). comprendre merise. berti: alger.

NYAMI, A. R. (2018). TECHNOLOGIE WEB. Dans COURS LABORATOIRE INFORMATIQUE (p. 4).
LUBUMBASHI.

OLIVIER, O. (2017). mis en place d'une application web de vente en ligne. LUBUMBASHI.
Table des matières
EPIGRAPHE ........................................................................................................................................... 1
DEDICACE ............................................................................................................................................. 2
REMERCIEMENT ............................................................................................................................... 3
INTRODUCTION ................................................................................................................................. 4
CHAPITRE 1 : GENERALITE SUR LA METHODE MERISE ET LE WEB .................... 7
1.1INTRODUCTION ........................................................................................................................ 7
1.2 APERÇU SUR LA METHODE MERISE ................................................................................ 7
1.2.2 Les deux approches de merise ............................................................................................. 7
1.2.1 Le but de la méthode merise et de marche ......................................................................... 7
1.3.4 L’approche par niveau ......................................................................................................... 9
1.4 Les étapes de la méthode merise .............................................................................................. 10
1. Modèle conceptuel des données (MCD) ..................................................................................... 10
2. Le modèle conceptuel de traitement (MCT) ......................................................................... 11
3. Modèle logique des traitements (MLT) ................................................................................. 12
4. modèle organisationnel des traitements (MOT) ................................................................... 12
1.3 LA TEHORIE SUR LE WEB .................................................................................................. 13
1.3.1 Le web.................................................................................................................................. 13
1.3.2 Application web .................................................................................................................. 13
1.3.3 Technologie du web ............................................................................................................ 13
1.3.3.1Synthèse de communication : .......................................................................................... 13
1.3.3.2 vocabulaires ..................................................................................................................... 14
1.4 Conclusion partielle ............................................................................................................... 14
CHAP. 2 ANALYSE METIER DE LA RESERVATION DE BILLET AU STADE
KIBASA MALIBA ............................................................................................................................. 15
2.1 INTRODUCTION ..................................................................................................................... 15
2.2 ORGANITION .......................................................................................................................... 15
2.2.1 Etude de document. ............................................................................................................ 15
2.3 DESCRIPTION DES TRAITEMENTS .................................................................................. 16
2.3.1 Inventaire de rubrique ....................................................................................................... 16
2.3.2 Tableau de dictionnaire de données brut ......................................................................... 16
Recensement des acteurs ............................................................................................................. 17
Graphe de flux ............................................................................................................................. 17
Diagramme de procédure ........................................................................................................... 18
3. Critique de l’existant. .................................................................................................................. 18
1 Aspect positifs. .......................................................................................................................... 18
2 Aspect a amélioré du système. ................................................................................................. 18
4. proposition de la solution. ....................................................................................................... 19
Conclusion partiel............................................................................................................................ 19
Chap. 3 conception et implémentation à la base données. ............................................................... 20
3.1 Introduction ............................................................................................................................... 20
3.2 Modèle conceptuel des données ................................................................................................ 20
2 La matrice de dépendance a source simple ............................................................................ 21
La matrice de dépendance a source composé ........................................................................... 22
4. Matrice à clés. .......................................................................................................................... 22
Le graphe de clés. ........................................................................................................................ 22
La structure d’accès théoriques ................................................................................................. 23
Le schéma conceptuel des données ............................................................................................ 23
Tableau de cardinalités ............................................................................................................... 24
3.3. BASES DE DONNEES RELATIONNELLES ...................................................................... 25
1. Introduction au modèle relationnel ....................................................................................... 25
Les éléments du modèle relationnel ........................................................................................... 25
Règles de passage du MCD au MLD ......................................................................................... 26
Présentation du Modèle Logique de Données Relationnels (MLDR) de ................................ 27
Conclusion générale ........................................................................................................................ 28
Bibliographie.......................................................................................................................................... 29

Vous aimerez peut-être aussi