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Delorme Vincent
Janvier 2007 vdelorme_at_ec-marseille.fr 1
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0 - 1 - Notes indicatives
Notes:
Pour bien comprendre l’intégralité de ce document, il est conseillé de travailler le
plus possible avec le logiciel sous la main, de manière à mettre en pratique et réaliser
les choses par soi-même.
Le lecteur pourra trouver des références à des outils, fonctions ou manipulations
avant leur explication plus tardive dans le document.
Mais certains menus et certaines fonctions ne seront pas étudiés dans le détail; au
lecteur d’en faire la connaissance par lui-même.
Référence à un menu:
La navigation au sein d’un menu est renseignée de la manière suivante:
Menu source => sous menu 1 =>…=> sous menu n => fonction (combinaison de touches)
Elle est parfois écrite en anglais, par flemme ou ignorance de l’auteur.
Exemple:
Fichier => Nouveau (Ctrl + N) ou File => New (Ctrl + N)
Raccourcis clavier:
Les touches de raccourci ne sont valables que pour la version Windows de
Photoshop®.
Mes excuses auprès des possesseurs de MAC.
Certains raccourcis clavier utilisent conjointement les touches Alt et Shift. Cette
combinaison est, par défaut sous Windows, celle qui bascule la langue de votre
clavier (généralement en langue US). Ainsi, le « Z » devient « W ». C’est d’autant
plus gênant que le raccourci Ctrl + W ferme Photoshop®…
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0 - 2 - Plan
Chapitre I : Introduction ---------------------------------------------- Page 4
I-1-Espace de travail ------------------------------------------------------------ 5
I-2-Document ------------------------------------------------------------------- 10
I-3-Structure d’une image ----------------------------------------------------- 12
Chapitre II : Outils de sélection ------------------------------------- Page 16
II-1-L’outils sélection --------------------------------------------------------- 18
II-2-Le lasso -------------------------------------------------------------------- 20
II-3-La baguette magique ----------------------------------------------------- 22
II-4-Autres outils --------------------------------------------------------------- 24
II-5-Menu sélection ------------------------------------------------------------ 28
Chapitre III : Objets et manipulation ------------------------------- Page 30
III-1-Outils de dessin----------------------------------------------------------- 33
III-2-Dimensionnement, mouvement --------------------------------------- 39
III-3-Règle, guides et tranches ----------------------------------------------- 47
III-4-Objets complexes -------------------------------------------------------- 52
III-5-Création d’objets --------------------------------------------------------- 55
Chapitre IV : Fusion et filtrage ------------------------------------- Page 63
IV-1-Options de fusion -------------------------------------------------------- 65
IV-2-Filtres ---------------------------------------------------------------------- 71
IV-3-Exemples d’utilisation -------------------------------------------------- 78
Chapitre V : Création et restauration d’images ------------------- Page 85
V-1-Créer une image ---------------------------------------------------------- 86
V-2-Mode et ajustement ------------------------------------------------------ 89
V-3-Le retour en arrière ------------------------------------------------------ 94
Annexes ---------------------------------------------------------------- Page 96
A-1-Raccourcis clavier ------------------------------------------------------- 97
A-2-Presets de document ----------------------------------------------------- 98
Chapitre 1 - Introduction
1 - Espace de travail
2 - Document
3 - Structure d’une image
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Chapitre I - 1 - 1 - Organisation de l’espace de travail
L’espace de travail est la fenêtre qui s’affiche quand le logiciel démarre. Il est
divisé en palettes qui regroupent et ordonnent vos outils de travail.
Barre des
Navigation
Palette outils de base
Couleurs
Palette calques
Canevas :
Chaque document de l’espace de travail possède une taille (longueur x
largeur) appelée Canevas. Ses dimensions sont définies à la création du
document.
Vous pouvez cependant les modifier à tout moment (Image => taille du
canevas).
Ne confondez pas taille de l’image et taille du canevas ! Changez la taille de
l’image revient à modifier la densité des pixels de l’image, ce qui nécessite
un nouvel échantillonnage (interpolation des pixels) et joue donc un rôle
important pour la qualité de votre image (cf. III-2-3).
Format :
Photoshop® ouvre quasiment tous les formats d’images.
Pour les GIF animés, seul la première image est utilisable !
Attention cependant, une image classique (format .JPEG ou .GIF) ne
contient pas d’informations de transparence ni de calques !
Photoshop® travaille généralement avec son propre format de fichier, le .PSD
Rendez-vous au chapitre V pour plus de détails.
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Chapitre I - 1 - 3 - Palette outils de base 1/2
Plume (P) (plume, libre, +, -, conversion) Texte (T) (horizontal, vertical, masques)
Sélection direct (A) (direct, de tracé) Forme vectorielle (U) (rectangle, rectangle arrondi,
ellipse, polygone, ligne, forme personnalisée)
Légende: Nom de l’outils (Touche de raccourci) (Options/outils secondaires disponibles par clic droit)
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Chapitre I - 1 - 3 - Palette outils de base 2/2
Légende: Nom de l’outils (Touche de raccourci) (Options/outils secondaires disponibles par clic droit)
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Chapitre I - 1 - 4 - Palette Navigation
Onglet Navigation:
Options de la palette:
Attacher la palette à la barre d’option.
Couleur du cadre de vue.
Position de la vue écran sur le document.
Zoom in.
Ajuster manuellement le zoom.
Zoom out.
Niveau de zoom actuel (%).
Onglet information:
Indique les infos couleurs du pixel pointé.
RGB et CMYK par défaut.
Plus grande largeur / hauteur de la
sélection courante.
Coordonnées du pixel pointé.
Options de la palette:
Mode de lecture des couleurs:
Lecture dans l’espace colorimétrique actuel
de l’image.
Lecture dans d’autres espaces
colorimétriques.
Unités pour les coordonnées du pointeur.
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Chapitre I - 2 - 1 - Nouveau document
Réduire
Plein écran
Fenêtre Fermer
Document
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Chapitre I - 3 - 1 - Objets Photoshop® simples
Les différents objets s’empilent les uns aux dessus des autres, ceux du dessus
masquant ceux du dessous.
Plus on monte dans la palette de calques, plus on est haut dans l’empilement.
Regard de l’observateur
Haut de la pile
Bas de la pile
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Chapitre I - 3 - 2 - Empilement des calques
La transparence partielle sera abordée avec l’étude plus précise des objets.
1 - L’outils sélection
2 - Le lasso
3 - La baguette magique
4 - Autres outils
5 - Le menu sélection
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Chapitre II - 0 - Préambule
Avant de pouvoir travailler sur les pixels d’une image, il est souvent nécessaire
de les sélectionner. Etre capable de récupérer exactement les pixels que l’on
souhaite est une étape primordiale pour la bonne utilisation d’un logiciel comme
Photoshop®.
Les outils les plus couramment utilisés sont accessibles depuis la palette d’outils.
D’autres outils moins courant mais tout aussi puissants sont accessibles via le menu
Select de Photoshop®. L’utilisation des raccourcis clavier facilite l’accès à ces outils
et peut vous faire gagner du temps.
D’autres techniques et outils vous permettent de récupérer facilement et rapidement
des sélections.
Une sélection reste active tant que vous ne l’annuler pas !
Cliquez à l’intérieur d’une sélection pour l’annuler.
Chaque outils possède ses avantages et ses inconvénients; il n’y a pas de
recettes magiques quand à la meilleure technique à utiliser. Votre bon sens,
votre expérience et vos préférences feront la différence.
Ils ne seront vus qu’au chapitre V, mais retenez bien ces deux raccourcis
clavier:
Ctrl + Z et Alt + Ctrl + Z.
Ils vous permettront d’annuler la dernière action réaliser et de revenir en arrière.
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Chapitre II - 1 - 1 - Utilisation de l’outils Sélection
Les outils vus jusqu’à présent suffisent dans la plupart des cas.
Il est cependant difficile de repérer:
Jusqu’où s’étend une sélection progressive,
De voir quels pixels ont été sélectionnés suite à la récupération d’une sélection.
Photoshop® propose un mode de visualisation particulier: le mode masque, pour
lequel:
Les zones complètement sélectionnées apparaissent en blanc,
Les zones non sélectionnées sont recouvertes d’une couleur rouge translucide,
Une couleur intermédiaire indique une zone partiellement sélectionnée.
En basculant en mode masque (Q), on peut éditer soi-même sa sélection:
On peut dessiner sa sélection en utilisant tous les outils Photoshop®, y compris les
outils de sélection !
Photoshop® utilise la luminosité de la couleur pour déterminer le taux de visibilité
(blanc: visible, noir: transparent).
Création facile de sélections biscornues, à certains pourcentages complètement
paramétrables.
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Chapitre II - 4 - 2 - Sélection à partir d’un objet
Tout sélectionner
Désélection
Resélection
Inverser la sélection (sélectionner l’inverse de ce qui est sélectionné).
Sélection d’une plage de couleurs (cf. II-5-2).
Contour progressif (de X pixels).
Modification de la sélection:
Ne sélectionner que la bordure (X pixels de rayon).
Adoucir (de X pixels).
Dilater (de X pixels).
Contracter (de X pixels).
Etendre.
Généraliser.
Transformation (cf. III-2-4).
Charger : permet de charger des sélections provenant d’autres fichiers de
travail ouvert dans Photoshop®.
Sauvegarder : enregistre la sélection sous forme d’une couche Alpha.
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Chapitre II - 5 - 2 - Sélection d’une plage de couleur
1 - Outils de dessin
2 - Dimensionnement, mouvement
3 - Règles, guides et tranches
4 - Objets complexes
5 - Création d’objets
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Chapitre III - 0 - 1 - Préambule
Question:
« Je ne vois pas le dallage gris/blanc, pourquoi ? »
Réponse:
Le dallage caractéristique n’est apparent que si des pixels «
vide » sont situés sous une zone transparente.
Autrement dit, tant qu’il y a quelque chose à afficher en
dessous, vous ne le verrez pas.
Notez bien que dans la pile de calque, cette texture est
toujours apparente (sur les objets qui le permettent) pour
faciliter votre travail.
Vous pouvez choisir d’afficher ou pas un objet de la pile,
simplement en cliquant sur l’œil à gauche de celui-ci.
L’œil disparaît pour vous indiquer que cet objet
n’apparaît plus sur votre espace de travail.
Vous pouvez alors faire apparaître des zones transparentes.
Notez bien que les objets masqués ne sont pas détruits, juste
invisible, ce qui présente des avantages certains.
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Chapitre III - 1 - 1 - Outils crayon et pinceaux
Retenez bien ces quelques règles de base : elles vous éviteront des ennuis:
Gommer sur un calque, c’est rendre transparent.
Dessiner sur un calque ou un fond, c’est appliquer la couleur de PP.
Gommer sur un fond, c’est appliquer la couleur d’AP.
Notez encore que lorsque la fenêtre du sélecteur de couleur est ouverte, votre
pointeur devient une pipette qui permet de sélectionner une couleur en
particulier sur votre espace de travail.
La pipette est sensible aux calques et options de fusion, elle sélectionne la couleur «
vraie », celle que vous voyez effectivement apparaître sur votre espace de travail,
indépendamment du calque ou de l’objet sélectionné.
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Chapitre III - 1 - 6 - Mise en garde
Lors d’un redimensionnement, le logiciel est obligé, soit d’ajouter des pixels, soit
d’en supprimer, pour que l’objet résultant ait la taille voulue.
Un algorithme d’interpolation détermine les pixels à ajouter ou à supprimer.
Plusieurs algorithmes classiquement rencontrés:
Plus proches voisins, rapide mais peu fidèle sur des images complexes.
Bilinéaire, efficace en réduction, assez moyen en agrandissement.
Bicubique, le plus couramment utilisé, très efficace dans la plupart des cas, plus gourmand en calculs.
Il est clair que l’algorithme n’est pas parfait et tend à se tromper d’autant plus que le
redimensionnement demandé est important !
L’effet est surtout problématique pour les agrandissements !
Evitez les agrandissements sauvages de timbres postaux pour en faire des affiches A3 !
Nombreux phénomènes « d’escaliers » sur les zones contrastées.
Préférez toujours réduire une image que l’agrandir ! Voyez grand !
Utilisez des formes vectorielles:
Pas constituées par des pixels, mais par des points et des tangentes (~courbes de
Béziers).
Elles sont insensibles au redimensionnement, les pixels les remplissant étant recalculés
à partir de la forme, une fois celle-ci modifiée.
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Chapitre III - 2 - 4 - Transformation
Note: Le groupement se fait toujours entre deux calques l’un au dessus de l’autre. Il est possible de grouper plusieurs
calques à un même autre, mais pas de grouper un calque avec plusieurs autres (C’est toutefois possible par duplication).
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Chapitre III - 4 - 2 - Identifier des objets complexes
Il s’agit d’un objet en mode niveau de gris (pas de couleurs autre que des mélanges de
noir et blanc) lié à un calque, un calque d’ajustement, une forme vectorielle…
Il permet d’en masquer les pixels à un niveau que vous contrôlez.
Avantages:
Grande Liberté dans la réalisation des zones que vous souhaitez faire disparaître sur le calque:
Outils dégradé.
Sélection.
Forme vectorielle (masque vectoriel) qui n’est pas affectée par le redimensionnement.
Dessin au pinceau.
Image passée en noir et blanc…
Vous avez toujours la possibilité de revenir en arrière en éditant le masque de calque ou en le
supprimant.
Pas d’édition directe du calque.
Mais vous avez également la possibilité d’appliquer le masque définitivement:
Soyez sûr de vous !
Clic droit (sur le masque dans la pile de calque) => Appliquer le masque.
Vous contrôlez complètement la visibilité de chaque pixel de votre calque :
Couleur de pixel du masque Visibilité du calque lié
Noir 0% (invisible)
Gris foncé < 50%
Gris clair > 50%
Blanc 100% (apparent)
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Chapitre III - 5 - 1 - Création de calques, menu calque
Nouveau calque:
Calque => Nouveau => Calque (Shift + Ctrl +
N).
Créer un nouveau calque vide dans votre espace
de travail.
Transformer le fond en calque:
Transforme le background en calque.
Votre image ne contient alors plus de fond !
Groupe de calque:
Permet de grouper des calques dans un même
dossier.
Possibilité de créer un groupe contenant l’objet
courant et tous les objets qui lui sont liés.
Transfert de calques entre documents:
Par l’option dupliquer un calque:
Permet de le faire via une boîte de dialogue: vous
déterminez le document d’arrivée (qui peut être
un nouveau calque) et le nom du calque dans ce
document.
Par simple glissez / déposez:
Avec la souris, transférez un calque d’un
document à un autre.
Les bandes noires au niveau des réglettes
indiquent que le document est bien sélectionné
comme source d’arrivée.
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Chapitre III - 5 - 2 - Création de calques par copie
Masques de calque:
Calque => Ajouter un masque de
calque => …
Calque => Ajouter un masque
vectorielle =>…
Le masque vectorielle est plus
puissant pour le dessin d’une forme
spécifique.
Le masque de calque est simple et
plus rapide à utiliser.
Les deux types de masques
proposent les mêmes options:
Tout masquer à la création (masque
noir).
Tout afficher (masque blanc).
Révéler ou cacher la sélection / le
chemin courant. Un exemple d’utilisation de masques de calques.
Pour la plupart, les formes sont dessinées au pinceau.
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Chapitre III - 5 - 5 - Outils plume
Tracé d’une forme vectorielle à la main, à partir de points d’ancrage et par édition des
tangentes aux points.
Ajout de points à la volée.
Tracé d’une forme main levée, les points et les tangentes sont générés par Photoshop®.
Ajout/suppression de points.
Conversion des points (édition des tangentes).
Mode déplacement de point en maintenant Ctrl enfoncé.
Options de l’outils plume identiques aux options de l’outils forme vectorielle (cf. III-5-7).
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Chapitre III - 5 - 6 - Création de formes vectorielles
Format préenregistré.
Mode de création de la forme:
Standard (Remplissage 8 Tracé).
Créer seulement un chemin.
La zone tracée est directement remplie avec des pixels de la
couleur choisie et le calque de travail est édité. Il n’y a pas de
création d’objets.
Bascule sur l’outils plume.
Choix de la forme.
Choix du mode d’ajout:
Identique aux sélections (cf. II-1-2).
Nouvelle/Addition/Soustraction/Intersection/Exclusion.
Style de la prochaine forme créée (cf. IV-1-6).
Couleur du remplissage.
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Chapitre III - 5 - 8 - Création d’autres objets
Calque de textes:
Création grâce à l’outils Texte (T).
Calque de remplissage:
Calque => Nouveau calque de
remplissage …
Couleur.
Gradient.
Texture.
Calque d’ajustement ou de réglage:
Propose des corrections de l’image
mais sous forme de calques.
Permet de travailler l’image
sélectivement grâce à la puissance
des objets complexes et des
masques.
1 - Options de fusion
1 - Filtres
2 - Exemples d’utilisation
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Chapitre IV - 0 - Préambule
Lueur interne
Estampage et texture
Satin Page de paramètres pour
Recouvrement par l’option sélectionnée. Ici,
couleur ou texture options par défaut.
Bordure
Depuis la palette des calques, un double clic sur un objet vous emmène sur les options de
fusion avancées, permettant d’éditer le style de l’objet:
De nombreuses options permettent de travailler sur l’objet:
Pour chaque option, une page de paramètre permet de créer un effet personnalisé.
Vous pouvez enregistrer un style qui vous plaît avec le bouton New Style à droite.
S’avère très utile, en particulier pour les objets textuels.
Un style est paramétré avec des valeurs en pixels (par exemple un rayon de lueur externe):
Attention à la taille de votre objet lorsque vous enregistrez ou chargez un style: l’effet rendu n’est pas
toujours celui escompté.
Il faut alors paramétrer de nouveau.
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Chapitre IV - 1 - 2 - Visibilité des effets à l’écran
Note: Le réglage de l’opacité et du remplissage peut également se faire depuis la palette des calques.
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Chapitre IV - 1 - 4 - Mode de fusion d’un objet
Modification du mode:
Soit en passant par la fenêtre des
options de fusion.
Soit directement depuis la palette des
calques (ci-contre).
Nombreux modes de fusion…
…Que nous ne décrirons pas un à un
ici.
Avec l’expérience, on sait plus ou
moins quel effet on obtiendra.
N’hésitez pas à essayer les modes
jusqu’à trouver celui qui réalise
l’effet qui vous intéresse
Le tour n’est pas si long à faire.
En jouant à la fois sur le mode et
l’opacité, on créer des effets
particulièrement intéressant à
moindre coût.
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Chapitre IV - 1 - 5 - Exemple de fusion
Sur cet exemple, les calques portent le nom de leur mode et de leur opacité.
Mode opacité%.
Les couleurs sont clairement modifiées en fonction du mode, de l’opacité et du
calque du dessous.
Essayez, vous verrez.
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Chapitre IV - 1 - 6 - Palette des styles de calques
Ombre portée
Estampage et contours Lueur externe
Satin Recouvrement par dégradé
Lueur externe
Recouvrement par texture Ombre interne
Bordure Estampage et contours
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Chapitre IV - 3 - 3 - Une texture pour continuer…
Génération de l’éclair:
Utilisation du filtre Nuage puis Nuage par
différence à plusieurs reprise.
Isolation d’un élément pertinent de l’image
pour représenter un éclair.
Colorisation et ajout d’options de fusion pour le
réalisme.
Lueur violette pour le liseré.
Lueur bleu foncé pour la lumière.
Lueur interne blanche pour l’éclat.
Génération de la pluie:
Commencez, comme pour la texture métallique,
par créer des points blanc sur un calque rempli
de noir.
Flou directionnel à ~60°.
Options de fusion du calque:
Mode Hard Light.
Visibilité des pixels gris de ce calque: Noir 0 /
~140 Blanc.
Visibilité des pixels gris du calque situé en
dessous : Noir 0 / ~140 Blanc.
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Chapitre IV - 3 - 7 - A vous de jouer !
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Chapitre V - 1 - 1 - Enregistrement d’une copie
A partir du moment où une image contient des objets (comme un calque), elle
ne peut être enregistrée directement en tant que fichier image simple (JPEG ou
GIF par exemple).
Nécessité d’enregistrer par copie, c’est-à-dire qu’un fichier image sera extrait de
votre document en cours.
Une copie ne contient plus aucun objet, elle est réduite à un simple fond.
Vous perdrez vos calques et tout les objets si vous vous contentez d’enregistrer une
copie et pas la source de votre document !
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Chapitre V - 1 - 2 - Format Photoshop®
1 - Raccourcis clavier
2 - Presets de documents
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Annexe - 1 - Raccourcis clavier utiles