Dès le début de 2020, un nouveau mot inonde le quotidien, le monde et
les medias « CORONAVIRUS ». au début, on y prête peu d’attention,
puis ce mot se fait de plus en plus de place et résonne de plus en plus à nos oreilles. Le Covid 19, c’est le nom donné par l’OMS en Fevrier 2020, à la nouvelle maladie apparue en fin 2019 en chine centrale. Une maladie infectieuse respiratoire, causée par un virus identifié sous le nom de SARS-Cov-2. La Covid-19 est responsable d’une épidemie mondiale qui a bouleversé tous les aspects de la vie de toute l’humanité. Du jour au lendemain, une ombre insaisissable pèse sur nos vies, les rues sont vides, les portes sont closes, et d’un seul coup, nos quotidiens cessent d’exister.
On parle de « Grande crise » qui peut signifier dans le cadre de la
medecine « une explosion de symptômes pathologiques », dans l’economie « dysfonctionnement » et dans l’univers sociétal « trouble profond d’une société » ou « changement profond » .
Dans ce contexte, le confinement est, en lui-même une experience
éprouvante parce que le propre de l’Homme sont ses relations sociales. Etre seul, c’est se trouver face à lui-même, solitude obligée et expérience très dur à vivre. De plus, le confinement et l’epidémie imposent l’individualisme dont nous faisons preuve pour nous proteger, brise notre humanité, puisque l’argument de la protection de la santé publique prime