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L’indicateur synthétique de la transparence

Les accords de Bâle II et de Bâle III indiquent clairement que la transparence, via la communication,
est un élément important du dispositif de la gouvernance
est sensée influencer la discipline de marché, permettre une bonne compréhension du profil de
risque de la banque et faciliter les comparaisons

La méthodologie repose sur la collecte d’informations et la construction d’un indicateur de


transparence pour les banques   .
  Nelson (2001) affirme alors qu’un indicateur complet comporte 4 dimensions, à savoir la
complétude de l’information, l’accès à l’information, la crédibilité de l’information et
l’opportunité de l’information.
Ainsi, une banque est transparente si l’information sur ses activités financières et non
financières est disponible, accessible, fiable et opportune.
les éléments contenus dans l’indicateur doivent être conformes aux exigences de l’accord de
Bâle .
Dans notre recherche, nous nous sommes limités à étudier l'indicateur synthétique de la
transparence : 

 L’indicateur synthétique de la transparence d’une banque i en l’année t est calculé en


pourcentage avec la formule suivante : 

𝐵𝐴𝑁𝐾𝑇𝑅𝐴𝑁𝑆𝑃𝑖𝑡 = (𝐼𝑁𝐹𝐶𝑂𝑀𝑃𝑖𝑡 + 𝐼𝑁𝐹𝐴𝐶𝐶𝐸𝑆𝑖𝑡 + 𝐼𝑁𝐹𝑂𝐶𝑅𝐸𝐷𝐼𝐵𝑖𝑡 + 𝐼𝑁𝐹𝑂𝑂𝑃𝑃𝑂𝑅𝑇𝑖𝑡) / 4


* 100 

𝐵𝐴𝑁𝐾𝑇𝑅𝐴𝑁𝑆𝑃 est un indicateur compris entre 0 et 100%  

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