Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
URBANISME
1. : PARTIE le S.C.O.T et le P. L. U
D’après la loi SRU loi n 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au
renouvellement urbain
But de l’urbanisme : prévoir et contrôler l’aménagement des agglomérations
Eviter le développement anarchique des cités
il fixe les orientations fondamentales de l’aménagement du territoire sur toute une région
(district urbain, communauté ,département )
il détermine :
La destination générale des sols
L’organisation des transports
La localisation des services et activités
Les zones préférentielles d’extension urbaine
Le SCOT coordonne les programmes de l’ETAT, des collectivités locales, et des établissements
publics.
a ) généralités
objectifs : le P LU définit le droit de construire sur les terrains ( à moyen terme )
il est obligatoire pour :
les communes ou de parties de communes situées dans une agglomération de + de 10 000
habitants
pour les stations classées
pour les communes ayant subi une destruction importante
il est élaboré par :
les municipalités (c.f à la loi de décentralisation)
L’état, les administrations
éventuellement région, communes limitrophes
le PLU doit obligatoirement répondre aux orientations fixées par le S CO T
Il est approuvé par le préfet (en général)
Il est respecté par tous les particuliers
Il peut être modifié
B- Documents du P.L.U :
.3 documents : le plan, le règlement, les annexes.
1-Le plan :
- Il permet de savoir où l’on peut construire, et selon quelle densité ; Il indique aussi les
emplacements réservés aux grands équipements.
- Il comprend différentes zones avec indication d’un sigle et d’un C.O.S, ainsi que des
signes conventionnels.
Les sigles :
Zones U : zones urbaine équipées, ou que la commune s’engage à équiper dans un bref délai :
Z.A.C : Zone d’Aménagement Concerté dans laquelle la puissance publique intervient pour la
réalisation d’équipements.
EXEMPLE A DRAVEIL
Extrait réglement
ARTICLE UH 14 :
Le coefficient d’occupation du sol
14-1 Règles générales :
Le COS est fixé à :
0,40 en UHa
0,30 en UHb
0,20 en UHc
14-2 Règles particulières :
14-2-1 Il n'est pas fixé de C.O.S. pour les constructions et installations nécessaires aux services
publics. Toutefois, ces constructions sont soumises au respect des articles 1 à 13 du présent
règlement.
14-2-2 En cas de division de terrain, le calcul du COS sera effectué conformément aux
dispositions de l’article L123-1-1 du Code de l’Urbanisme. C’est à dire que sur le terrain issu
d’un détachement effectué après la date de l’approbation du PLU et depuis moins de 10
ans, il ne pourra être construit que dans la limite des droits à construire qui n’ont pas déjà été
utilisés sur le terrain d’origine.
formule
- Les réserves de terrain prévues pour la création des grands équipements sont quadrillés.
- Les marges de recul qui imposent le retrait des constructions à cette limite.
- Les alignements . qui , en plus de la marge de recul interdisent les travaux
confortatifs
- Il précise ce que l’on peut construire dans une zone donnée, et comment on peut construire.
- Pour construire, il faudra respecter les conditions de chaque zone :
exemples
- Utiliser tels matériaux. Crue de Seine de 1910 :
– Sur le Val de Marne :
• 8 497 bâtiments exposés (25 000 hab),dont 5 860 partiellement
- Ne pas dépasser la hauteur au faîtage . protégés
• hauteurs de submersion allant jusqu’à 5m (confluence Seine/Yerres)
. Le C.O.S.
ex : pour 1000 m² avec un cos de 0.8
quelle serait la surface maxi autorisé ?
De respecter les évacuations des eaux usées et des eaux pluviales.
3. Les annexes :
- Elles constituent un certain nombre de précisions qui n’ont pu être indiquées sur le plan.
: DEFINITIONS IMPORTANTE
Acrotère
Muret situé en bordure de toitures terrasses pour permettre le relevé d'étanchéité.
Activités
Sont comprises les activités industrielles, artisanales, commerciales et les logements liés et
nécessaires à l’activité.
Alignement
Détermination par l'autorité administrative de la limite du domaine public routier au droit des
propriétés riveraines. Il est fixé soit par un plan d'alignement, soit par un alignement individuel.
L'alignement individuel est délivré au propriétaire conformément au plan d'alignement s'il en existe un.
En l'absence d'un tel plan, il constate la limite de la voie publique au droit de la propriété riveraine.
(article L 112-1 Code de la Voirie Routière).
Annexes
Constructions telles qu'un garage, un appentis, une serre, un abri de jardin, un local technique, autre
que la construction principale, à l'exclusion de tous locaux pouvant être occupés à titre d'habitation ou
d'occupation permanente.
Pour l'application du présent règlement ne sont considérées comme annexes que les constructions
isolées.
Attique
Etage placé au sommet d’une construction et de proportions moindres que l’étage inférieur.
Baie
Percement dans la construction qui autorise des vues. Sont assimilés à des baies pour ce qui
concerne les règles de prospect, les nez de balcons, les terrasses qui émergent de plus de 0,60 m de
haut par rapport au terrain naturel.
Ne sont pas considérées comme baies les portes d’entrée, les châssis fixes équipés de verre
translucides, les jours de souffrance.
Bande d’implantation
La bande détermine, en bordure de voie ou en retrait, une zone où les constructions peuvent être
implantées.
Bande de retrait
La bande détermine, en bordure de voie une zone où les constructions ne doivent pas, en principe,
être implantées
Bureaux
Sont considérés comme bureaux les agences bancaires, les agences d’assurances et les locaux
occupés par des professions libérales.
Construction
Tout élément bâti destiné à servir d'abri, à protéger des biens individuels ou collectifs, des biens
industriels des intempéries.
Cour commune
Servitude de ne pas bâtir ou de ne pas dépasser une certaine hauteur afin d’assurer des conditions
minimales d’hygiène et de salubrité (aération, éclairement) aux constructions édifiées sur des surfaces
restreintes.
Egout du toit
Limite basse de toit d'où ruisselle l'eau de pluie récupérée par un chêneau ou une gouttière.
Emprise
Rapport de la surface occupée par la projection verticale du volume hors oeuvre brute du bâtiment à la
surface de la parcelle, et ayant pour objectif de définir la consommation de terrain par la construction
(s'agissant d'une projection, cette définition intègre toutes les saillies – balcons, encorbellements..;
dans l'emprise).
Les terrasses ou les piscines dont la hauteur n’excède pas 0,60m par rapport au terrain naturel ne
sont pas intégrées dans l’emprise au sol. Les ouvrages en infrastructure ne sont pas comptabilisés
dans le calcul de l’emprise.
Emprise de voirie
L’emprise de voirie correspond à la partie du domaine public située entre deux alignements, y compris
trottoirs, talus végétal...
Une voie privée est une voie de desserte appartenant à une ou plusieurs personnes morales.
L’emprise de la voie privée correspond à la partie réservée à la circulation qu’elle soit automobile,
cycliste ou piétonne.
Espace libre
Superficie du terrain non occupée par l'emprise au sol des constructions (il peut donc y avoir des
espaces libres sous balcons, si on utilise la définition de l'emprise par la projection au sol).
Gabarit enveloppe
Ensemble des lignes qui forme l’enveloppe dans laquelle doivent s’inscrire les constructions. Ces
lignes sont tracées dans le plan perpendiculaire, soit à l’alignement ou à la limite qui s’y substitue, soit
à la limite de terrain.
Hauteur
a- Hauteur plafond
La hauteur des constructions est mesurée à partir du sol naturel jusqu’au faîtage ou acrotère de
terrasse.
N’est pas comptée dans la hauteur maximale autorisée, la hauteur hors gabarit des constructions ou
éléments de constructions sur terrasses, à condition qu’ils ne dépassent pas une hauteur maximum
de 2,50 m, qu’ils soient implantés en retrait des façades d’une distance d’au moins 3,00 m et qu’ils
abritent uniquement la machinerie des ascenseurs, la sortie des escaliers, la chaufferie et le
conditionnement d’air, les gaines de ventilation, les souches de cheminées ou des éléments
techniques destinés aux communications.
b- Hauteur de façade
La hauteur d’un élément de façade est mesurée à partir du sol naturel jusqu’au point le plus haut de
cet élément (acrotère de terrasse, égout du toit).
c- Hauteur relative
Limitation de la hauteur de la construction en fonction de sa distance par rapport à l'alignement
opposé (voir ce mot).
d- Hauteur absolue
Différence d'altitude entre le terrain naturel et le point haut de la construction qui peut être l'égout du
toit (voir ce mot) ou l'acrotère (voir ce mot).
Jour de souffrance
Limites d’emprise
Le terme « limite d’emprise » désigne selon le cas :
• la limite entre le domaine public et la propriété privée, déterminée ou non par un plan général
d’alignement (voie publique), ou l’emprise d’une future voie, place ou espace public ;
• la limite d’emprise de la voie (voie privée) ;
• la limite d’un emplacement réservé ou d’une localisation figurant au document graphique pour la
création d’une voie, d’une place ou d’un élargissement.
Limites séparatives
Limites autres que l’alignement d’une voie et séparant une unité foncière de sa voisine.
Marge de reculement
Retrait imposé à une construction à édifier en bordure d’une voie publique ou privée. Sa largeur se
mesure à partir de l’alignement actuel ou futur si un élargissement de la voie est prévu.
Nombre de niveaux
La formule R + x + c doit s’entendre : R = niveau de rez-de-chaussée,
X = nombre d’étages courant
C = comble ou couronnement, la SHON
inférieure à 80% de la SHON de l’étage courant.
Un seul étage de comble est admis dans les constructions nouvelles.
Oriel
Un oriel est une avancée en encorbellement aménagée sur un ou plusieurs niveaux d’une façade.
Il peut épouser différents aspects et formes (à deux, trois ou quatre faces) et être surmonté d’un toit
ou d’une petite terrasse avec garde-corps..
Ouvrage technique
Elément technique nécessaire au fonctionnement de l’immeubles tels que par exemple : la machinerie
des ascenseurs, la sortie des escaliers, la chaufferie et le conditionnement d’air, les gaines de
ventilation, les souches de cheminées ou des éléments techniques destinés aux communications.
Périmètre de protection
Certaines activités du fait du danger qu’elles représentent nécessitent l’instauration d’un périmètre
dans lequel des occupations sont limitées voire interdites.
Place commandée
Emplacement de stationnement accessible uniquement par passage sur un autre emplacement de
stationnement. La sortie ou l'entrée d'un véhicule sur la place commandée nécessite le déplacement
du véhicule situé sur l'emplacement servant d'accès. La multiplication des manoeuvres rend malaisée
l'utilisation des places commandées.
Prospect
En chaque point du périmètre de construction, le prospect est la mesure de l’horizontale
perpendiculaire au périmètre en ce point, limitée à son intersection avec une construction en vis à vis,
une limite de terrain ou l’alignement opposé d’une voie.
Retrait
Le retrait est la distance (L) comptée perpendiculairement et horizontalement de tout point de la
construction, jusqu’à la limite séparative.
Ne sont pas comptés dans le calcul du retrait les éléments de modénature, les marquises, les débords
Terrain
Un terrain est composé d’une ou plusieurs parcelles d’un seul tenant appartenant à un même
propriétaire.
Voie d'accès
Espace par lequel les véhicules pénètrent sur les terrains depuis la voie de desserte. Cet espace peut
être :
- soit clos par un portail en limite du terrain sur la voie de desserte
- soit clos par un porche pratiqué dans la construction édifiée en limite de la voie de desserte.
Une voie d'accès ne peut desservir que 3 terrains au maximum, au moyen d'une servitude de passage
sur un des terrains ou en tant que propriété indivise entre les propriétaires des terrains.
Les implantations des constructions le long des voies d'accès relèvent de l'article 7.
Voie de desserte
Voie et emprise publique ou privée ouverte à la circulation publique donnant accès au terrain sur
lequel la construction est projetée, à l'exception des pistes cyclables, des cheminements piétons sur
lesquels aucune opération ne peut prendre accès. En revanche, les rues et places publiques
réservées uniquement à la circulation piétonne peuvent être considérées comme voie de desserte des
constructions riveraines au titre des aisances de voirie.
Une voie desservant 4 terrains et plus est une voie de desserte, même si son assiette est constituée
par une servitude de passage sur un ou plusieurs terrains.
- S.C.O.T
- P.L.U
- C.O.S
- C.U
- P.D
- P.C
- C.F
- S.H.O.N
- S.H.O.B
- N.A
- N.C
- Z.A.C
- U.X
- U.A
- P.P.R.I
- .
- .
- .
- .
- .
1- But des C.U : - Renseigner un propriétaire ou un constructeur sur les possibilités d’utilisation d’un terrain,
c.a.d sur sa constructibilité. N’importe qui peut demander un C.U
7. Sa durée de validité ?
1 -Le but : il constate que les travaux projetés sont conformes aux règles qui le concernent.
2 -Il est obligatoire pour tous les travaux : sauf : ravalement de façades et les travaux sur les
édifices classés.
4.composition du dossier
- plan de situation
- plan de masse des constructions
- plan des façades
- étude d’impact
- éventuellement : tracé des équipements publics existants, et comment s’y
raccorder sinon, tracé des équipements privés prévus (eau, assainissement)
5.instruction de la demande
LE CERTIFICAT DE CONFORMITE
il constate l’achèvement et la conformité des travaux au permis de construire
délai : 30 jours a partir de l’achèvement des travaux
LE PERMIS DE CONSTRUIRE
10. Quel est le but d’un P C ?
TRAVAUX DIRIGES
5. pour ne pas être frappée d’alignement, à quelle distance minimale doit-on respecter par
rapport aux limites publiques ? Préciserez l’article correspondant à l’extrait du P.L.U.
6. calculer les surfaces SHOB et SHON de chaque maisons, dans la partie A et B à aide de
la feuille fournie (a rendre)
7. quelles sont les distances minimales à respecter par rapport aux limites séparatives ?
Préciserez l’article correspondant à l’extrait du P.L.U. ?
8. Quelle est la valeur du Coefficient d’Occupation des Sols (C.O.S.) à usages d’habitation,
dans la zone concernée ? Préciserez l’article correspondant à l’extrait du P.L.U ?
9. Quelle est la SHON maximale autorisée sur le lot B (dans le cas d’une extension de
l’habitation)
10. Quelle est la superficie minimale imposée dans le cas d’une division ?
12. M.DELARUE veut une surélévation jusqu'à 12 .50 m de hauteur peut –il réaliser son
projet ? pourquoi ? Préciserez l’article correspondant à l’extrait du P.L.U.
13. M.DELARUE veut construire un abri de jardin de 19 m² au fond de sa parcelle avec une
hauteur de 3 m peut –il réaliser son projet ? quel formulaire doit –il remplir ? pourquoi ?ou
doit –il le déposer ?et en combien exemplaires
14. Mlle. DELARUE doit déposer un permis de construire à la mairie de Draveil (partie B)
seulement car elle a décidé de créé un étage pour cela on vous demande de remplir le
formulaire du permis de construire ? En combien exemplaires ?
15. Reporter à l’échelle 1/200 les points figurant sur le croquis à l aide des coordonnées
jointes. (logiciel caltop ou COVADIS) et compléter le plan définitif avec les écritures (titre,
surfaces, cotes péri métriques) (logiciel autocad).
- Les constructions à usage d’habitation individuelle (à l'exclusion des logements collectifs) et leurs
annexes,
- Les constructions à usage d'équipements collectifs,
- Les constructions à usage de bureaux.
- Les constructions d’équipements d’infrastructures liés à la voirie et aux réseaux divers (postes de
transformation EDF, pylônes, postes de détente de gaz, réservoirs d‘eau potable, stations de relevage,
bassin de rétention, station d’épuration...). Les dispositions des articles 3 à 13 du règlement ne
s’appliquent pas à ces constructions.
–Les lotissements et les ensembles de constructions groupées.
Conformément à la possibilité introduite par l'article R. 123-10-1 du code de l'urbanisme entré en
vigueur le 1er octobre 2007, dans le cas de construction sur un même terrain, de plusieurs bâtiments
dont le terrain d'assiette doit faire l'objet d'une division en propriété ou en jouissance, les règles édictéespar le POS sont
appréciées au regard de l'ensemble du projet.
Dès lors, il est précisé que les règles d'implantation des constructions par rapport aux voies ne
s'appliquent pas par rapport aux voies internes situées sur l'emprise du terrain.
La construction d'habitations accolées ou contiguës est possible par groupe de trois pavillons maximum.
Les règles d'implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur une même propriété,
s'appliquent dès lors aux groupes de deux à trois pavillons maximum ainsi réalisés.
- Le changement de destination en concordance avec les occupations ou utilisations du sol visées cidessus
est autorisé (sous réserve du respect des autres articles du POS).
1 - Pour l’ensemble de la zone UH, l’aménagement et/ou l’extension des constructions à usage de
logement existantes à la date d’application du présent règlement implantées sur des terrains d’une
superficie inférieure à 300 m², dans la limite d’une SHON totale de 120 m², annexes comprises.
Par exception, dans les lotissements et les ensembles de constructions groupées, l'extension et
l'aménagement des habitations ainsi que la construction de dépendances ou annexes sont limités à
20 m² de SHOB par habitation.
1 - Lorsque plusieurs constructions nouvelles à usage d’habitation sont implantées sur le même terrain
elles doivent respecter entre elles les marges de recul suivantes :
- Si les deux façades en vis à vis comportent des ouvertures créant des vues directes : la
distance minimum sera au moins égale à 16 m.
- Si l'une des deux façades en vis à vis comporte des ouvertures créant des vues directes, la
distance minimum sera au moins égale à 10,5 m.
- Si aucune façade en vis à vis ne comporte d'ouvertures créant des vues directes, la distance
minimum sera au moins égale à 5 m.
2 - Lorsqu’une nouvelle construction à usage d’habitation est implantée sur un terrain comportant déjà
une construction d’habitation existante à la date d’approbation du présent règlement (soit le 23 octobre
2000), la construction nouvelle doit respecter des marges de recul suivantes:
- Si l'une ou les deux façades en vis à vis comportent des ouvertures créant des vues directes, la
distance minimum sera au moins égale à 8 m.
- Si aucune façade en vis à vis ne comporte d'ouvertures créant des vues directes, la distance
minimum sera au moins égale à 5 m.
3 - Pour les autres cas et les autres catégories de constructions la distance minimale est fixée à
5 mètres.
4 - Dans le cas d'habitations individuelles, accolées ou contigües, il n'est pas fixé de distances
minimales entre les bâtiments d'habitation et les bâtiments annexes.
5 - Règle applicable aux équipements collectifs et d’infrastructure : ils ne sont pas soumis aux distances
minimales de recul fixées aux alinéas précédents.
1- Pour les terrains de moins de 400 m² existants à la date d’approbation du présent règlement (soit le
23 octobre 2000) : Il n’est pas fixé de règle
2 - Pour les terrains existants de plus de 400 m² et les terrains nouvellement créés après la date
d’approbation du présent règlement (soit le 23 octobre 2000) l’emprise au sol des constructions de
toute nature ne peut dépasser :
- 30 % de la surface du terrain en secteur UH a, UH b,
- 20 % de la surface du terrain en secteur UH c
ARTICLE UH 12 - STATIONNEMENT
1 - PRINCIPES
Le stationnement des véhicules de toute nature correspondant aux besoins des constructions et
installations nouvelles, doit être assuré en dehors de la voie publique, selon les normes présentées ci après pour chaque
catégorie de construction.
Toutefois, cette obligation n'est pas applicable :
- aux aménagements de la surface de plancher hors oeuvre nette des constructions existantes, si leur
affectation reste inchangée.
- aux changements d’affectation dans le volume des constructions existantes en vue de la création de
surface destinées aux activités économiques: commerces, services, artisanat, bureaux.
Pour satisfaire ces obligations, le constructeur doit réaliser le nombre d'aires de stationnement qui lui
est imparti, à l'occasion de tout aménagement nouveau, toute construction ou installation nouvelle, sur
le terrain propre à l'opération.