MAISON DES FEMMES DE KIGALI 

: un exemple de sororité

Niamyrambo women center : 2017, « etre ensemble en tant que femme, changer les autres et
les idées ».
Nous venions de différentes parties du pays, toutes des différentes expériences. Il y avait 3
femmes qui ne savait pas lire et écrire, en tant que groupe que vivais ensemble nous leur
avons appris. On a commencé chez nous, à la maison. En 2008, on a rencontré des femmes de
Slovénie. Elles nous ont aidé à ouvrir notre propre classe dans le quartier. Avec l’aide des
autorités locales, nous avons été dans les maisons pour trouver celles qui ne savait pas lire ni
écrire. On a commencé à acheter des meubles.

Au bout de 6 mois, quand plusieurs femmes apprenait à lire et écrie, on s’est demandé ce
qu’elles allaient faire ? Qu’est-ce qu’elle allait gagner. Comment vont elle contribuer dans
leur famille.. Il fallait leur apprendre à faire quelque chose, qu’elle se sentent indépendentes.
On a essayé de penser avec les femmes, quelles compétences on allait pouvoir leur donner ?
La couture est utile à tous, aux uniformes des enfants, des hommes. Et contribuer à sa famille.
En tant que groupe de 18 femmes, nous avions pas la capacités financières d’ouvrir quoi que
ce soit. On a fzaisait tout ça à la maison. Nous avons organisé une collecte de fond avec des
femmes Slovènes.
On a pu commencer les cours de couture, les machines à coudre, les accessoires. On a
commencé les cours de coutures comme ça. Les autorités nous ont aidé. Puis avec les levés de
fonds on a pu acheter le matériel.

EN 2013, on a commencé à penser aux femmes qui ont terminé les cours, mais qui n’ont pas
eue la cpacité d’acheter les machines. Certains ne l’avait pas.. On a commencé à penser les
machines ici et produire des choses. On a commencé à parler de comment faire.. Sept 2013,
on a rencontré un couple suisse. Ils cherchait une asso à aider, Le but était d’apprendre à
coudre, produire et gagner notre argent. On a commencé avec 12 femmes, et en 2017 nous
étions 50, qui gagne, produisent et gagnent leur salaires. En 2012, on a commencé à etre
indépendant, nous ne voulions pas dépendre de qui que ce soit. Nous dépendions des fonds
des slovènes. ON a élaboré d’autres activités : comme le tourisme éco responsable, locale. Ici
nyamiramlbo n’est pas moderne, l’idée et de faire vivre la vie locale. Le tour du quartier,
sortir des hotels et rompre le tourisme de luxe du Rwanda. On propose des cours de cuisine,
ou fabrication de panier traditionnel. Les gens achètent mais ne connaissent pas la technique.
C’est comme ça que nous avions finis par être autonome. C’est comme ça que chaque activoté
aide l’autre à etre autonome.

Nous sommes complétement autonomes, cours de couture, lire et écrire, tresse mais si le
centre n’a pas bcp d’argent pour organiser tout.

Après le génocide, beaucoup d’entre nous dans les villages, les familles pensent que seuls les
garçons peuvent étudier. Si les moyens financiers manquent, la priorité sera les garçons. Petit
à petit, les chances sont donné aux femmes, les quotats sont imposés. Cela a amené de grand
changements. Le gouvernement a changé la loi, là ou on disait que la fille étaot la propritété
de ses parents, chaque enfant à le droit à ce que sa famille à construit de façon égale. La loi a
donné une autre image du Rwanda et de l’Afrique.
Dans la boutique tu vas trouver : biséqué des paniers, c’est dans notre tradition pour le
smariages par exemple, qui va emballer la cadeau que tu vas offrir.
Chaque design a une explications.. Dans le magasin il y a des choses qui sont fait en tissu,
comme kitengué, on fait avec le tissu des habits pour les enfants, pour la décoration de la
maison, des sacs. Des poduits fait à la main brodés, tu peux faire une trosse. On travaille avec
des groupes dans le village, là ou il y a tout le matériel, on donne le diseign, on ajoute
kitengué à l’interieur. On a les habits pour les enfants aussi, à utiliser les patrons, chaque
modèle en différente taille.

« Donner du travaul à bcp de femmes et arriver à vendre un buisness sur internet