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THEME 1 : LA PLANETE TERRE,

L’ENVIRONNEMENT ET L’ACTION HUMAINE

Fiche n°1 : La Terre dans le Système solaire


Dans le système
solaire huit planètes
gravitent autour de leur
étoile nommée le Soleil.
Les quatre planètes les plus
proches sont rocheuses, ce
sont les planètes
telluriques (Mercure,
Vénus, Terre et Mars). Les
quatre autres sont
gazeuses et n’ont pas de
surface rocheuse (Jupiter,
Saturne, Uranus et
Neptune).
Le système solaire s’est formé il y a 4,6 milliards (4 600 000 000) d’années. La
Terre il y a 4,5 milliards d’années.

La Terre a la forme d’une sphère et effectue une rotation sur elle-même


autour de l’axe des pôles en 24 heures environ. Elle effectue également une
révolution autour de son étoile, le Soleil, en une année de 365 jours et 6 heures
suivant une orbite presque circulaire.

Dans le système solaire, une seule planète est habitable : il s’agit de la


Terre. Elle possède des conditions particulières qui permettent le développement
de la vie, comme la présence d’eau sous forme liquide, ou encore une
atmosphère permettant la vie. Pour cela, certaines conditions sont nécessaires :
la distance au soleil (ni trop près, ni trop loin) pour éviter les températures
extrêmes, ou encore la présence de certains gaz dans l’atmosphère (O2, CO2 …)
permettant la respiration des animaux et des végétaux.

Fiche n°2 : La Géologie externe : Météorologie et


climat
Alors que la météorologie s’intéresse au temps qu’il fait sur une petite
zone à court terme, la
climatologie étudie les
phénomènes météorologiques sur
une zone étendue sur une longue
durée. Les conditions de
températures et de précipitations
qui règnent à la surface de la
Terre définissent les grandes
zones climatiques. Celles-ci
influencent leur tour la répartition
des êtres vivants.
L’existence de zones climatiques est
liée à l’inégale répartition de l’énergie
solaire due à la sphéricité de la Terre. Ces
différences de température provoquent un
mouvement des masses d’air. Les vents
sont responsables de courants en
surface des océans.

Au cours des derniers millions


d’années il y a eu des phases de
réchauffement climatique, mais
contrairement à celle qui a lieu en ce moment, le réchauffement se faisait sur de
très longues périodes, permettant à certaines espèces de migrer ou de s’adapter.
Actuellement si le réchauffement climatique que nous constatons est si rapide
c’est parce que l’Homme est en partie responsable, ou du moins, il accélère ce
mécanisme. L’Homme libère dans l’atmosphère de nombreux gaz suite à ses
activités industrielles ou encore par l’utilisation de combustibles fossiles
(charbon, gaz, pétrole). Certains de ces gaz, comme le dioxyde de carbone
(CO2), sont des gaz que l’on appelle « à effet de serre », c’est-à-dire qu’ils sont
en partie responsable du réchauffement climatique. Plus l’Homme en libère, plus
cela va accélérer le processus. En 30 ans en France, la température moyenne a
augmenté d’environ 1 degré.

Fiche n°3 : La Géologie interne et risques naturels

La Terre est constituée de


plusieurs enveloppes
concentriques de roche, avec de
l’extérieur vers le centre : la croute
terrestre (solide), le manteau
supérieur et inférieur (solide), le
noyau externe (liquide) et le
noyau interne (solide).

La Terre possède une activité


interne se manifeste en surface par
des séismes (rupture de roche
en profondeur suite à une accumulation de présence provoquant des ondes
sismiques) et des éruptions volcaniques (effusif : lave fluide peu dangereuse
et explosif : lave visqueuse, nuée ardente très dangereux).

La répartition des séismes et des volcans permet de délimiter les plaques


lithosphériques. La lithosphère (Croute + début du manteau supérieur) est
constituée de roches rigides et repose sur l’asthénosphère constituée de
roches moins rigides.

Les plaques se déplacent les unes par rapport aux autres sur l’asthénosphère :
certaines divergents, d’autres converges.

- Elles se forment et divergent au niveau des dorsales océaniques


- Elles convergents et disparaissent par subduction dans les fosses
océaniques

- Elles convergent et forment des reliefs (chaine de montagnes) dans les


zones de collision.

Cette mobilité des plaques et la conséquence de mouvement de matière en


profondeurs du globe vers la surface => Mouvement de convection

Dans certaines zones, il existe des aléas sismiques et/ou volcaniques


(probabilité que le phénomène se produise). Si ces zones sont habitées, la
présence d’enjeux (personnes et biens menacés par le phénomène) engendre
l’existence d’un risque naturel. Face à ces risques, l’être humain adopte des
mesures de prévision et de prévention pour minimiser la vulnérabilité
(conséquences prévisibles) des enjeux.
Fiche n°4 : Les enjeux de l’exploitation des ressources
naturelles

L’énergie que l’on utilise provient principalement de la nature, soit


elle est considérée comme une énergie fossile ou non renouvelable
(pétrole, charbon, gaz, houille), soit comme énergie renouvelable
(électricité à partir du vent, du soleil, de l’eau).

Les énergies fossiles ou énergie non renouvelables sont produites à


partir de végétaux qui ont été enfouis rapidement, avant leur
décomposition. Ces végétaux se retrouve donc sous plusieurs mètres voire
centaines de mètres de sédiments (ex : sable, gravier, roche) et vont
fossiliser. Elles sont produites en assez faible quantité et sur plusieurs
millions d’années. Toutes ces énergies fossiles ont l’avantage de se
trouver dans des gisements qui représentent un stock d’énergie, de plus
leur combustion permet un dégagement de chaleur assez important.
Cependant ce sont des ressources non renouvelables à l’échelle
humaine, puisqu’il faut plusieurs millions d’années pour en produire, et
leur combustion libère dans l’atmosphère une très grande quantité de
dioxyde de carbone (CO2) qui est l’un des gaz à effet de serre.

Les énergies renouvelables sont des énergies considérées comme


propres, car elles ne rejettent pas de dioxyde de carbone dans
l’atmosphère et sont renouvelables à l’échelle de l’Homme, c’est-à-dire sur
quelques années.

- Hydrolienne (utilisation des courants et des marées)

- Barrages hydro-électrique (l’eau passe à travers le


barrage pour produire de l’énergie)

- Panneaux photovoltaïques (transforment l’énergie des rayons du


soleil en électricité)

- Les éoliennes (utilisation de vent pour


produire de l’électricité)

- La biomasse (fabrication d’électricité


grâce à la chaleur dégagée par la combustion de matières
organiques)

L’inconvénient de certaines de ces productions d’énergies c’est qu’on ne


peut pas produire de l’électricité en permanence.
Fiche n°5 : Les impacts des activités humaines sur les
écosystèmes
Un écosystème comprend un milieu (le biotope), les êtres vivants
qui le peuplent (la biocénose) et toutes les relations qui peuvent exister
et se développer à l’intérieur de ce système. Les relations alimentaires
permettent notamment le recyclage de la matière au sein d’un
écosystème.

Les paramètres physico-chimiques variant d’un écosystème à


l’autre, les espèces rencontrées y sont très différents.

Par ses activités, l’Homme perturbe l’équilibre de nombreux


écosystèmes, entraînant directement ou indirectement une modification
profonde de leur organisation, voire la disparition de certaines espèces au
sein de ceux-ci.

Les écosystèmes fournissent à l’humanité un ensemble de bienfaits


appelés services écologiques. De plus en plus de personnes prennent
conscience de leur importance et mettent en place des actions de
préservation à différentes échelles.
THEME 2 : LE VIVANT ET SON EVOLUTION

Fiche n°1 : Nutrition chez les animaux


La nutrition des animaux consiste à prélever dans le milieu extérieur de
la matière organique (matière fabriqué par les êtres vivants) et minérale. A
partir de cette matière les animaux produisent de l’énergie pour assurer leur
croissance et le fonctionnement des cellules.

Les cellules des organes (partie d’un être vivant remplissant une ou des
fonctions particulières. Il est constitué de tissus, ensemble de cellules
spécialisées => Exemple : Organe : muscles ; cellules spécialisées :
cellules musculaires) ont besoin de dioxygène et de nutriments.

Le dioxygène de l’eau ou de l’air est prélevé au niveau d’appareils


respiratoires (branchies, trachées (insectes) ou poumons).

L’approvisionnement des
cellules en nutriments est possible par
la transformation des aliments dans le
système digestif. La structure du
tube digestif dépend du régime
alimentaire de l’animal.
Des systèmes de
transports ouverts (exemple chez
les insectes) ou fermés (exemple
chez l’Homme) distribuent les
nutriments et le dioxygène
nécessaires au fonctionnement des
cellules.

Chez l’Homme, les besoins


sont transportés par le sang aux
différents organes qui passent
toujours par le cœur qui est le
moteur de la circulation sanguine.

Les cellules rejettent des déchets azotés (exemple urée) et du dioxyde


de carbone. Le dioxyde de carbone est éliminé au niveau de l’appareil
respiratoire et les déchets azotés par des systèmes de filtration (exemple des
Reims chez les mammifères)

Fiche n°2 : Nutrition chez les végétaux


Les végétaux chlorophylliens utilisent
l’énergie lumineuse pour réaliser la
synthèse de matière organique en
prélevant dans leur milieu de la matière
minérale : dioxyde de carbone, eau, sels
minéraux. Ce processus est appelé «
photosynthèse » et se déroule au niveau
des feuilles.

Pour réaliser la photosynthèse, les plantes


prélèvent le dioxyde de carbone grâce aux
stomates de leurs feuilles, et l’eau et les sels
minéraux grâce aux poils absorbants de leurs
racines.

L’eau et les sels minéraux circulent dans la sève brute des racines vers
les organes chlorophylliens. La matière organique produite par les organes
chlorophylliens circule vers tous les organes de la plante dans la sève élaborée.
Ces sèves circulent dans des vaisseaux conducteurs.

La très grande majorité des végétaux chlorophylliens vivent en symbiose


(association durable à bénéfice réciproque entre deux espèces différentes) avec
des champignons qui forment des mycorhizes autour des racines. Les
filaments mycéliens du champignon permettent d’augmenter la surface
d’échange et de faciliter les transferts d’eau et de sels minéraux du sol vers la
plante.

Fiche n°3 : Reproduction et dynamique des populations


La reproduction sexuée des êtres vivants fait intervenir une
fécondation. C’est-à-dire l’union d’un gamète mâle et femelle. Selon les
espèces la fécondation se déroule dans l’organisme de la femelle (fécondation
interne=> viviparité) ou dans le milieu extérieur au sein d’un œuf
(fécondation externe => oviparité).

Chez les plantes à fleurs, la fécondation se fait dans le pistil d’une fleur.
La fleur se transforme alors en un fruit renfermant une (ou des) graine(s).

Certains êtres vivants peuvent également se reproduire de manière


asexuée (production de descendant par un seul individu, sans intervention de
gamètes et donc sans fécondation). Chez les végétaux, ce mode de reproduction
permet l’envahissement rapide du milieu.

Les différents modes de reproduction et les conditions du milieu


(prédateur, accès aux ressources, climat …) font varier le nombre d’individus
d’une population, expliquant la dynamique des populations.

Fiche n°4 : Diversité et stabilité génétique au sein du


vivant
L’ensemble des caractères, notamment héréditaires, qui définissent un
individu constituent son phénotype.

Chez l’homme, il y a 46 chromosomes


rangés en 23 paires. Une fois rangé par paire,
on appelle cela un caryotype. Les
chromosomes sexuels (23ème paire)
déterminent le sexe de l’individu. Les
chromosomes sexuels X et X codent pour une
femme alors que les chromosomes X et Y codent
pour un homme. Il existe des anomalies
chromosomiques comme la trisomie 21 qui se
présente par 3 chromosomes (au lieu de deux)
sur la 21ème paire de chromosome.

Les chromosomes présent dans le noyau d’une cellule sont faits d’ADN
et portent l’information génétique sous forme de gènes. Pour un même
caractère, il peut exister plusieurs versions d’un gène, les allèles.

Le génotype désigne l’ensemble


des allèles d’un individu. La diversité des
individus d’une espèce est liée aux
différents génotypes des individus.
L’apparition de nouveaux caractères est
liée à des modifications de l’ADN, les
mutations.
Au sein d’un individu, la stabilité du génotype des cellules est assurée par
la multiplication cellulaire : la mitose.

Lors de la reproduction
sexuée, la méiose assure le
brassage des allèles formant
des gamètes (23
chromosomes uniquement)
ayant un génotype unique. A
la fécondation, en réunissant
deux gamètes, on forme une
cellule-œuf au génotype
unique. La reproduction
sexuée est donc à l’origine de
la diversité des individus.

Fiche n°5 : Parenté et évolution


La biodiversité représente la diversité des êtres vivants qui occupent un
milieu et les relations qui existent d’une part entre les êtres vivants et d’autre
part avec leur milieu.

La classification des êtres vivants en


groupes emboîtés ou sous la forme d’un arbre
phylogénétique se fait sur le principe du partage
de certains caractères. La présence de caractères
communs entre espèces différentes permet
d’établir des liens de parenté qui traduit une
évolution du monde vivant. Les espèces ayant le
même caractère l’ont hérité d’un ancêtre
commun. Plus deux espèces partagent de
caractères en communs et plus elles sont
étroitement apparentées.

Des traces fossiles datent l’origine de la vie il y a 3.8 milliards d’années.


Depuis de nombres groupes sont apparus et se sont diversifiés. La biodiversité a
connu également de grandes crises, durant lesquelles des groupes entiers (ex
dinosaures) se sont éteint sur un temps géologique court. Une explosion
évolutive (Diversification intenses des espèces) survient toujours après une
crise de la biodiversité.

L’espèce humaine Homo Sapiens est, comme les autres espèces, issue de
l’évolution. Son histoire fait partie du groupe Homo qui a comporté d’autres
espèces, aujourd’hui disparues. Le groupe Homo est inclus dans un groupe plus
vaste, celui des primates.
L’évolution du vivant est une théorie scientifique qui s’appuie sur des
faits et des observations dans la nature. L’évolution des espèces s’explique par
des mécanismes comme l’apparition de nouveaux caractères au hasard suite
à des mutations et à la sélection naturelle. Les individus ayant des caractères
avantageux dans un milieu donné survivent mieux et sont plus aptes à se
reproduire et à transmettre ces caractères au cours des générations.
THEME 3 : LE CORPS HUMAIN ET LA SANTE

Fiche n°1 : Activité physique : effort et santé


La réalisation d’un mouvement fait intervenir le système nerveux. Les
centres nerveux élaborent des messages nerveux moteurs vers les muscles.
En se contractant et se relâchant, ils permettent le mouvement.

Lors d’un effort, le rythme respiratoire et le rythme cardiaque


s’accélèrent jusqu’à une limite. Cela permet à l’organisme de récupérer
davantage de dioxygène et de le distribuer plus rapidement, par le biais du sang,
aux muscles qui en ont davantage besoin pour fonctionner.

L’apport plus important de dioxygène et de nutriment aux muscles


permet de produire plus d’énergie. Le sang circule dans l’organisme en passant
par de nombreux capillaires sanguins au niveau desquels les échanges avec
les muscles se réalisent. L’énergie convertie dans le muscle permet sa
contraction et donc le mouvement. Cependant une partie de l’énergie musculaire
est transformée en chaleur, ce qui explique l’augmentation de la température
du corps au cours d’un effort physique.

La pratique d’une activité physique doit se faire de manière adaptée, après


un échauffement et avec un matériel adéquat. L’entrainement a des effets
positifs sur l’organisme et augmente les capacités de l’organisme.
Fiche n°2 : Le fonctionnement du système nerveux
Les stimulations de notre environnement sont réceptionnées par nos
organes sensoriels (yeux, oreilles, nez, langue, peau) qui les convertissent en
messages nerveux sensitifs. Ils se propagent jusqu’aux centres nerveux
(cerveau et moelle épinière) par les nerfs sensitifs.

Le cerveau réalise en permanence une intégration des différentes


informations qu’il reçoit et élabore un message nerveux moteur transmis
jusqu’aux organes effecteurs (muscles) par les nerfs moteur afin de produire
une réponse.

Les cellules nerveuses ou neurones communiquent entre elles grâce à


leurs prolongements cytoplasmiques, au niveau de synapses.

Nos comportements, notre hygiène de vie et la consommation de certaines


substances peuvent perturber le fonctionnement de notre système nerveux
Fiche n°3 : Alimentation et digestion
Les aliments fournissent de l’énergie et des éléments indispensables
à la bonne santé de l’organisme.

Le système digestif est un ensemble d’organes qui assurent la


transformation des aliments en nutriments. Elle s’effectue dans le
tube digestif grâce à l’action mécanique des dents et à l’action
chimique des enzymes digestives produites par certains organes du
système digestif.

Les nutriments issus de la digestion passent dans le sang au niveau


de la paroi de l’intestin grêle lors de l’absorption intestinale. Ils sont
ensuite distribués aux cellules des différents organes.

Fiche n°4 : Le monde microbien et notre organisme


Les micro-organismes comprennent notamment les bactéries et les virus.

L’être humain héberge de très nombreux micro-organismes qui ne sont


pas dangereux et qui contribuent à le maintenir en bonne santé. Certains micro-
organismes sont pathogènes et peuvent contaminer le corps humain en
traversant la peau et les muqueuses où ils vont se multiplier lors de l’infection.

Dès la contamination, une réponse immunitaire rapide (ou innée) se met en


place avec une catégorie de globules blancs, les phagocytes.

Si elle n’est pas suffisante, une réaction plus lente se met en place. Elle
fait intervenir d’autres catégories de globules blancs : les lymphocytes B sont à
l’origine de la production d’anticorps qui neutralisent les antigènes, et les
lymphocytes T détruisent les cellules infectées. Ces réponses lentes nécessitent
une reconnaissance de l’élément pathogène. Chacun peut veiller à limiter les
risques de contamination et d’infection par des mesures d’hygiène, par des
antiseptiques et par la vaccination. Les infections bactériennes peuvent être
soignées par des antibiotiques.
Fiche n°5 : Reproduction et sexualité
A la puberté le corps change.
Ces changements sont déclenchés par la
mise en fonctionnement des organes
reproducteurs : les testicules chez les
garçons et les ovaires chez les filles.

Les testicules produisent à partir de la


puberté une hormone, la testostérone
et les spermatozoïdes qui sont les
cellules reproductrices (gamète).

De la puberté à la ménopause, les ovaires produisent un ovule par cycle (28


jours), lors de l’ovulation (14ème jour du cycle) et des hormones, les
œstrogènes. Ces hormones
agissent sur la muqueuse
utérine dont l’épaisseur varie
au cours du cycle. L’élimination
chaque début de cycle d’une
partie de cette muqueuse
utérine, est à l’origine des
règles.
La testostérone et l’œstrogène sont des hormones sexuelles dont la
production est déclenchée par des hormones cérébrales.

Après un rapport sexuel, la fécondation


peut produire une cellule-œuf qui se développe
en embryon, puis en fœtus. Ce développement
à lieu dans l’utérus de la mère et est permis par
des échanges au niveau du placenta.

Les relations sexuelles peuvent conduire à une grossesse non désirée ou


transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles). Des
comportements responsables de la part des deux partenaires comme l’utilisation
du préservatif et le recours à des méthodes contraceptives sont
indissociables de la sexualité.

Les techniques de procréation médicalement assistée (PMA) permettent


quant à elles d’aider des couples infertiles à concevoir un enfant. Exemple :
FIVETE (fécondation in vitro avec transfert d’embryon)

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