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SIGNAL VERT
Un des plus grands succès de la littérature spirite d’outre-Atlantique, des
dernières années, cette petite grande œuvre est un véritable manuel de conduite
morale.
André Luiz nous offre ici de précieuses orientations sur nos attitudes de chaque
jour, pour nous aider dans notre convivialité en famille, au travail et dans la
société en général.
Il focalise de petits détails de conduite, qui passent inaperçus, mais sont de
grandes importances pour notre paix intérieure, en dehors, de nous servir
d’exemple de respect et de solidarité devant nos semblables.
Dans des messages qui se révèlent simples et en même temps sages, l’auteur
spirituel cherche à nous aider dans la focalisation des causes des problèmes
dans les relations humaines, indiquant pour chacun de nous un formulaire
adéquat à la santé du corps et de l’esprit.
2. Salutations
Toute salutation doit se baser sur des pensées de paix et de joie. Pensez à votre
contentement lorsque quelqu’un vous adresse de l’affection et de la sympathie,
et faites de même envers les autres. Mobilisez le capital du sourire et vous
observerez qu’un tel investissement vous apportera un précieux rendement de
collaboration et de bonheur. Une phrase de bonté et de compréhension opère
des prodiges dans la construction du succès. Aidez vos familiers par votre
parole d’entendement et d’espérance. Si vous avez quelque ressentiment,
fluctuant de la veille, commencez le jour, de la même manière que le soleil :
oublier l’ombre et briller de nouveau.
5. Entre conjoints
Continuez aimant et respectant les parents, après la formation du propre foyer,
comprenant cependant, que cela apporte de nouvelles responsabilités l’exercice
desquelles il est impérieux de cultiver l’indépendance, mais le prétexte de
liberté, ne relègue pas les parents à l’abandon. Ne méprisez pas les idéaux et les
préoccupations de l’autre. Sélectionnez les relations. Respectez les amitiés du
compagnon ou de la compagne. Il est nécessaire de reconnaître la diversité des
goûts et des vocations de celui ou de celle qui vient pour partager notre vie.
Avant d’observer les possibles erreurs ou défauts de l’autre, mieux vaut
chercher ses qualités et dons supérieurs pour les stimuler au développement
juste. Ne méprisez jamais l’importance des relations sexuelles avec respect à la
fidélité dans les compromis assumés. Ne sacrifiez pas la paix du foyer par des
discussions et des conflits, sous prétexte d’honorer telle ou telle cause de
l’Humanité, parce que la dignité de quelque cause de l’Humanité commence
dans l’enceinte domestique. Ne cessez pas d’étudier et de vous initier
constamment, sous l’argument d’avoir laissé la condition de célibataire.
Il est toujours nécessaire de comprendre que la communion affective dans le
foyer doit recommencer tous les jours, afin de se consolider dans un climat
d’harmonie et de sécurité.
6. Expérience domestique
Ordre, travail, charité, bienveillance, compréhension commencent à l’intérieur
de la maison. La parenté est un domaine d’approximation, jamais de captivité.
Apprenons à entendre sans interrompre ceux qui parlent à la table domestique,
afin que nous puissions écouter avec sécurité les leçons de la vie. Le foyer est
un point de repos et de reconstitution, jamais une vitrine de meubles et de
filigranes, ce qui cependant, n’empêche pas de le décorer avec distinction et
bon goût, autant que possible. Qui pratique le gaspillage, ne doit pas réclamer
d’arriver à la pénurie. Bénis ceux qui se dédient à vivre sans incommoder ceux
avec qui ils partagent l’expérience. Évitez les plaisanteries de mauvais goût, qui
non rarement, conduisent au désastre ou à la mort prématurée. Le travail digne
est la couverture de votre indépendance. Conseillez l’enfant et aidez l’enfant
dans la formation spirituelle, car ceci est une obligation de qui oriente, mais
respectez les adultes dans vos choix parce que les adultes sont responsables
d’être libres dans leurs propres actions, tout autant comme vous souhaitez être
libre dans vos idées et vos engagements. Si vous ne savez pas tolérer, entendre,
bénir ou être utile à huit ou dix personnes du nid domestique, à quoi bon tenter
d’accomplir vos idéaux et vos compromis d’élévation dans les aires de
l’Humanité ? De très nombreux crimes et de très nombreux suicides sont menés
à bout sous prétexte de rendre hommage à des soins et des dédicaces dans le
monde familier.
7. Parents difficiles
Acceptez les parents difficiles sur la base de la générosité et de la
compréhension, dans la certitude que les Lois de Dieu ne nous enlacent pas les
uns les autres sans juste cause. Le parent-problème est toujours un test avec
lequel l’on examine notre évolution spirituelle. De très nombreuses fois, la
créature compliquée, qui s’agrège à la famille, apporte avec elle, les marques de
souffrance ou de déficiences qui lui furent imposées par nous-mêmes dans des
réincarnations passées. N’exigez pas des familiers différents de vous un
comportement égal au vôtre, parce que chacun de nous se caractérise par les
avantages ou les préjudices que nous avons accumulés dans notre propre âme.
Ne tentez pas d’éloigner les parents difficiles par un internement non nécessaire
dans une maison de repos, à coût financier, parce ce que le déliement réel
viendra par les procédés de la nature, lorsque vous aurez atteint la quittance des
propres débits avant la Grande Vie. Dans les épreuves et les conflits du foyer
terrestre, presque toujours, nous sommes en train de payer pour le système de
prestations, certaines dettes contractées par liaison.
8. Environnement familier
La maison n’est pas seulement un refuge de bois ou de pierres, c’est un foyer
où l’union et le compagnonnage se développent. Le paysage social de la Terre
se transformerait immédiatement en mieux, si nous tous, dans la condition
d’esprits incarnés, nous nous traitions à l’intérieur de la maison, a minima, avec
la courtoisie que nous dispensons à nos amis. Respectez l’hygiène, mais ne
transfigurez pas l’hygiène en sujet d’obsession. Ornez votre foyer avec les
recours de la gentillesse et de la bonne humeur. Collaborez dans le travail
familier autant que possible. Sans organisation d’horaire et prévision des soins,
il est impossible de conserver l’ordre et la tranquillité à l’intérieur de la maison.
Souvenez-vous que vous avez besoin de vos parents, comme ils ont besoin de
vous. Les petits sacrifices en famille forment la base de la félicité du foyer.
9. Présentation
Vous voyant l’objet de présentation, vous ne devez pas énoncez vos titres et vos
états autobiographiques, mais si vous présentez quelqu’un, il est juste que vous
décliniez sa valeur sans affectation. Devant quelques résumés inélégants pour
les absents, souvenez-vous de l’impératif respect et générosité envers eux.
Il n’est jamais impossible de découvrir quelque chose de bon chez quelqu’un ou
dans quelque situation pour un commentaire constructif. N’importe quelle
créature qui se montre nécessiteuse de vous demander une faveur, est un test
pour votre capacité d’entendement et pour vos dons d’éducation. Un mendiant
est un compagnon sur le chemin à qui demain peut être nous devrons solliciter
son appui fraternel. L’enfant non protégé que nous rencontrons dans la rue n’est
pas un motif de révolte ou d’exaspération, mais un appel pour que nous
travaillions avec plus d’amour pour l’édification d’un monde meilleur. Il ne
revient pas de réprimander le frère ivre, alors que lui-même se sait déjà malade
et moins heureux. Chaque fois que vous abaissez le mal, même
inconsciemment, vous êtes en train de faucher le bien. Ne critiquez pas, aidez.
Pour quelque espèce de souffrance, il est possible de donner de bribes de
soulagement et d’aide, même si ces bribes ne sont rien de moins qu’un simple
sourire de sympathie et de compréhension.
10. Sur la voie publique
La rue est un département important de l’école du monde, où chaque créature
peut apprendre et enseigner. Rencontrant des amis ou de simples personnes
connues, prenez l’initiative de la salutation, faisant preuve de cordialité et de
soin sans excès. Cheminez de votre pas naturel à l’intérieur des déplacements
que vous avez besoin, comme si vous deviez également vivre sans renverser les
autres. Si vous vivez en collectivité, accommodez-vous de manière à ne pas
incommodez les voisins. Si vous êtes en voiture, pour autant inquiet et pressé,
répondez aux lois du transit et aux principes de respect des autres, vous
immunisant contre les maux susceptibles de vous rendre amer pour une longue
période. Recevant les salutations de quelqu’un, répondez avec spontanéité et
courtoisie. Ne retenez pas les compagnons sur la voie publique, absorbant leur
temps et attention par des sujets qui peuvent être remis à un moment opportun.
Avant l’abordage de telle ou telle personne, pratiquez la bonté et la gentillesse,
même si vous êtes fréquemment dans vos cogitations. Dans un environnement,
avec les plus grandes exigences de service, il est possible de parler avec sérénité
et compréhension, et même une simple minute. Demandant une faveur, faites
cela de façon digne, évitant les sifflements, les plaisanteries de mauvais goût ou
les phrases irrespectueuses, dans la certitude que les autres apprécient être
traités avec considération comme nous le réclamons pour nous même. Vous
n’avez pas besoin de vous dédier à une conversation inconvenable, mais si
quelqu’un développe un sujet indésirable il est possible d’écouter avec
tolérance et bonté sans blesser l’interlocuteur. N’importe quelle personne, dans
une saine conscience, a l’obligation de partager les perturbations ou les conflits
de la rue. Devant quelqu’un qui surgit malade ou accidenté, mettons-nous par la
pensée dans l’environnement difficile de cette personne et faisons appel au
secours possible.
13. Antagonistes
L’adversaire dans lequel vous jugez et pensez rencontrer un modèle de
perversité est peut-être à peine un malade ayant besoin de compréhension.
Reconnaissons le fait que, de très nombreuses fois, la personne qui nous est
indigne l’est tout simplement parce que nos ne nous adoptons pas à son point de
vue. Ne méprisez jamais l’opposant, pour autant infime qu’il soit. Respectons
l’ennemi, parce qu’il est possible qu’il soit porteur de vérité que nous ne
connaissons toujours pas, jusqu’à même en ce qui nous concerne. Si quelqu’un
vous a blessé, pardonnez immédiatement, frustrant le mal dans son antre. La
critique de l’autre pourra uniquement vous apportez des préjudices si vous
consentez. La meilleure façon d’apprendre à pardonner les erreurs d’autrui est
de reconnaître que nous sommes aussi humains, capables de nous tromper
encore plus désastreusement que les autres. L’adversaire avant tout, doit être
compris comme un frère qui se caractérise par des opinions différentes des
nôtres. Laissez les autres vivre leur propre vie et ils vous laisseront vivre
l’existence de votre propre choix. Lorsqu’elle sera plus avancée, la science
médicale comprendra que la haine sous forme de vengeance, de condamnation,
de ressentiment, d’envie ou d’hostilité est la racine de nombreuses maladies et
que l’unique remède efficace contre de similaires calamités de l’âme est la
spécificité du pardon dans le lien de l’amour.
24. Désirs
Le désir est une réalisation anticipée. Voulant, nous mentalisons ; mentalisons,
nous agissons ; agissons, nous attirons ; et attirant nous réalisons. Comme vous
pensez, vous créez, et comme vous créez, vous serez. Chacun aujourd’hui a ce
qu’il désirait hier et aura demain ce qu’il désire aujourd’hui. Le champ du désir
dans le terrain de l’esprit, est similaire au champ de culture, dans la glèbe du
monde, sur laquelle le cultivateur est libre de la semence et responsable de la
récolte. Le temps que le malfaiteur gaspilla pour agir en opposition à la Loi, est
égal au temps que le saint utilisa pour travailler et rendre sublime la vie. Tout
désir dans l’essence, est une entité prenant la forme correspondante. La vie est
toujours le résultat de notre propre choix. La pensée est vive et après avoir agi
sur l’objectif sur lequel elle s’adresse, elle réagit sur la créature qui l’a émise,
tout aussi bien en relation avec le bien comme avec le mal. La sentence de Jésus
: ‘Cherchez et vous trouverez’ équivaut à dire : ‘Tu trouveras ce que tu désires’.
25. Préoccupations
Ne vous affligez pas par anticipation, parce qu’il est possible que la vie résolve
votre problème, encore aujourd’hui, sans aucun effort de votre part. Ce n’est
pas la préoccupation qui annihile la personne, mais bien la préoccupation en
vertu de la préoccupation. Avant vos difficultés de maintenant, vous avez déjà
fait face à de nombreuses autres, et vous vous êtes déjà libérez de toutes, avec
l’aide invisible de Dieu. Une personne occupée à servir, ne dispose pas de
temps pour commenter l’injure ou l’ingratitude. Un notable philosophe dit :
‘Une créature irritée est toujours pleine de venin’ et nous pouvons ajouter « et
de maladie aussi ». Travaillez avant, pendant, et après n’importe quelle crise et
le travail garantira votre paix. Comptez les bénédictions qui enrichissent votre
vie, en annotant les maux qui par hasard visitent votre cœur, pour reconnaître le
solde immense des avantages en votre faveur. Généralement le mal est le bien
mal interprété. Dans quelques échecs, comprenez que si vous pouvez travailler,
vous pouvez également servir, et qui peut servir, porte avec lui un trésor dans
les mains. Pour aussi grand que soit le fardeau de la souffrance, souvenez-vous
que Dieu qui supportait avec vous hier, vous maintiendra aussi aujourd’hui.
38. Séparations
Dans la construction du bien, il est vraiment nécessaire d’accepter le départ de
beaucoup de compagnons et dans de très nombreuses occasions, jusqu’à même
ceux qui nous sont les plus chers. Il est indispensable de supporter la séparation,
lorsque c’est nécessaire, comme les arbres qui tolèrent la perte de leur feuillage.
C’est une grave erreur de retenir avec nous un ami cher qui désire partir. Dans
de nombreux cas, les destins ressemblent à des chemins qui bifurquent pour
répondre aux desseins du progrès. Ne vous servez pas de la contrainte d’autrui.
Si quelqu’un nous abandonne au milieu d’un engagement allusif au bonheur de
tous et s’il ne nous est pas possible de répondre à l’entreprise engagée, en
régime de solidarité, la Divine Providence suscitera de nouveaux compagnons
qui s’associeront à la lutte édifiante. Ne demandez ou n’exigez jamais des
autres ce que vous ne pouvez pas leur donner. Ne méprisez pas qui que ce soit.
Sachons prier en silence, les uns pour les autres. Uniquement Dieu peut juger
l’intime de chacun.
39. Questions à méditer
Vous dominerez toujours les paroles que vous ne direz pas, cependant, vous
vous subordonnerez à celles que vous proférerez. Veillez pour la tranquillité de
votre conscience, sans délaisser votre présentation extérieure. En ce qui se
réfère à l’alimentation, il est important de se souvenir de l’affirmation des
anciens ; ‘il y a des hommes qui creusent leur tombe avec bouche’. Pour autant
qu’il soit possible, dans n’importe quelle obligation à accomplir, soyez présent
pour le moins dix minutes auparavant, au lieu du rendez vous auquel vous
devez répondre. L’inaction engourdit les facultés. Le sourire spontané est une
bénédiction attirant d’autres bénédictions. Servir en dehors du propre devoir,
n’est pas une adulation mais c’est gagner en sécurité. Chaque personne à
laquelle vous prêtez assistance, est une clef supplémentaire dans la solution de
vos problèmes. Il est naturel que vous fassiez des jaloux, mais non pas des
ennemis. Chaque bonne action que vous pratiquez, est une lumière que vous
allumez, autour de vos propres pas. Qui parle moins, entend mieux, et qui
entend mieux apprend plus.
40. Correspondances
Cultivez la brièveté et la précision, dans vos écrits, afin de ne pas glisser vers la
stérilité. Une carte est un portrait spirituel de qui l’écrit. Prenons soin de
l’écriture bien tracée, parce qu’il n’est pas licite de transformer les amis en
déchiffreurs de hiéroglyphes. N’écrivez pas de mots dans des moments de crise
ou d’excitation. A chaque fois qu’il est possible, nos nouvelles doivent être
messagères de paix et d’optimisme, d’espérance et de joie. Écrire, construit.
Une carte sortant de vos mains est vous-même conversant. N’importe quel sujet
peut être traité avec grandeur et bienveillance. Lorsque vous ne pouvez écrire
de bonnes paroles, en relation à une personne déterminée, il vaut mieux vous
mettre en silence la concernant. Nous sommes responsables des images que
nous créons dans l’esprit des autres, mais pas uniquement à travers ce que nous
disons, mais également à travers de tout ce que nous écrivons.
42. Fêtes
Tous les motifs pour les fêtes dignes sont respectables, cependant, la charité est
la plus élevée de toutes les raisons pour n’importe quelle fête digne. Tout le
monde a de quoi payer une petite parcelle pour la réalisation de tel ou tel
engagement festif, destiné à maintenir les bonnes œuvres. A chaque fois que
possible, en dehors de votre participation dans un acte festif, avec des fins
d’assistance, il est important que vous coopériez dans la vente pour le moins de
cinq petits billets de tombola, dans l’environnement de vos amis, au bénéfice de
l’engagement caritatif. Même si vous ne pouvez pas comparaître à une fête de
charité, profitez de prêter votre contribution. Festoyer dignement, autour de la
fraternité humaine, pour aider le prochain, est une des plus belles formes d’aide.
Si vous ne dansez pas, votre comparution à un bal, n’est pas conseillée. Dans
des rencontres sportives, il est meilleur de rester à distance si vous ne savez pas
perdre. Si vous possédez des dons artistiques, autant que vous le pouvez,
collaborez gratuitement, au travail qui s’effectue, en aide au prochain. Dans les
commémorations d’anniversaire, ne demandez jamais quel est l’âge de la
personne fêtant l’heureux événement, ni ne cherchez pas en examinant la
signification des bougies postées sur le gâteau traditionnel. Conduisez
l’engagement festif, sous votre responsabilité, pour le meilleur profit, en
matière d’éducation et de solidarité qui peut toujours être extrait de la
convivialité sociale. Apprenons à ne pas critiquer la joie des autres.
43.Divergences
Souvenez-vous que les autres personnes sont différentes, pour cela même, elles
gardent leur manière propre d’agir. Éclairez bien la base de l’entendement
fraternel sans polémiquer. Être Antagoniste systématiquement est un procédé
pour ancrer des aversions. Vous pouvez clairement ne pas être d’accord sans
offenser, dès lors que vous parlez appréciant les droits de votre opposant.
Éloignez les mots agressifs de votre répertoire. Tout aussi bien comme il nous
arrive, les autres aussi veulent être responsables des compromis qu’ils
assument. Il existe de nombreux moyens d’aider sans blesser. Généralement,
personne ne se dispute jamais avec des personnes étrangères, mais bien avec
des personnes chères ; mais cela vaut-il la peine de tourmenter ceux avec
lesquels il nous revient de vivre en paix ? Apprenons à céder à quelque
problème secondaire, pour rester fidèles aux réalités essentielles. Si quelqu’un
dit que la pierre est en bois, il est juste que vous répondiez à sa façon de croire,
mais si elle prend la pierre ou le bois pour blesser autrui, il est alors important
d’argumenter l’impropriété du geste malsain.