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Xavier Candido Francisco

SIGNAL VERT
Un des plus grands succès de la littérature spirite d’outre-Atlantique, des
dernières années, cette petite grande œuvre est un véritable manuel de conduite
morale.
André Luiz nous offre ici de précieuses orientations sur nos attitudes de chaque
jour, pour nous aider dans notre convivialité en famille, au travail et dans la
société en général.
Il focalise de petits détails de conduite, qui passent inaperçus, mais sont de
grandes importances pour notre paix intérieure, en dehors, de nous servir
d’exemple de respect et de solidarité devant nos semblables.
Dans des messages qui se révèlent simples et en même temps sages, l’auteur
spirituel cherche à nous aider dans la focalisation des causes des problèmes
dans les relations humaines, indiquant pour chacun de nous un formulaire
adéquat à la santé du corps et de l’esprit.

Table des matières


1. Au Réveil 26. Autour du bonheur
2. Salutations 27. Devant les autres
3. Dans les domaines de la voix 28. Façons désagréables
4. Dans l’enceinte domestique 29. Thèmes inopportuns
5. Entre conjoints 30. Les aides sont toujours possibles
6. Expérience domestique 31. Notes brèves
7. Parents difficiles 32. Cadeaux
8. Environnement familier 33. Habitudes malheureuses
9. Présentation 34. Suggestions pour le bon chemin
10. Sur la voie publique 35. Recherches du quotidien
11. Commerce et inter change 36. Thèmes de critique
12. Devant les amis 37. En matière affective
13. Antagonistes 38. Séparations
14. Devant les plus petits 39. Questions à méditer
15. Voir et entendre 40. Correspondances
16. Responsable et subordonné 41. Réunions sociales
17. Devoir et travail 42. Fêtes
18. Autour de la profession 43. Divergences
19. Dans les compromis du travail 44. Les hôtes
20. Obstacles 45. Par rapport à la sexualité
21. Sujets sur le temps 46. Par rapport à la prière
22. Questions 47. Visites à des malades
23. Susceptibilité, pudeur, délicatesse 48. Imprévus pendant les visites
24. Désirs 49. Par rapport à l’assistance sociale
25. Préoccupations 50. Visites fraternelles
Tous nous avons besoin de trouver une paix intérieure, une paix qui favorise la
sécurité. Nous n’ignorons pas que tous nous respirons dans un océan d’ondes
mentales, avec la nécessité de les ajuster en bénéfice propre. Vaste mer de
vibrations permutées. Nous émettons des forces et nous les recevons. La pensée
se fortifie dans la base de cet inestimable système d’échange.
Que nous le voulions ou pas, nous représentons les autres, et les autres nous
représentent, par le mécanisme des idées créées par nous-mêmes. D’où
l’impératif de la compréhension, de la sympathie, de l’approbation et de
l’appui, dont nous avons tous besoin pour que la tranquillité nous maintienne en
équilibre, afin que nous puissions vivre profitablement. Il a été demandé avec
insistance par des amis, présentement domiciliés sur Terre, que soit écrit un
ouvrage sur la meilleure façon de s'ancrer à des vibrations favorables, de façon
à ce que celles-ci facilitent notre cheminement dans les voies de la
réincarnation. André Luiz nous offre ce petit livre. Fruit des observations d’un
compagnon désincarné, aujourd’hui spécialisé dans la médecine de l’esprit,
nous trouvons dans ce volume béni une série de réponses aux questions
inarticulées qui stationnent dans l’internat de l’expérience physique, indiquant
un chemin certain sur le voyage du quotidien. Livre comparable au précieux
formulaire des recettes préventives dans la garantie de la santé intérieure. Essai
d’immunologie de l’âme. Vaccination spirituelle contre la chute dans les
complexes de l’erreur, desquels on ne sait jamais quelle espèce d’angoisse, de
déséquilibre, de maladie ou de dépression va sortir.
Comment traverser les routes du monde, en commençant par la propre maison,
jusqu’aux éminences de nos relations, dans lesquelles nous sommes
naturellement induits jusqu’aux plus profondes observations pour assumer des
attitudes certaines ?
Comment acquérir la paix certaine, afin de vivre, en étant utile pour le bénéfice
et au service du bien de tous ?
André Luiz nous rappelle, avec une très grande propriété, les lois du transit qui
assurent l’ordre et la tranquillité sur les routes du monde, si dûment respectées,
et intitula ce livre par l’expressive légende : ‘SIGNAL VERT’.
En lisant les pages édifiantes, il nous est facile de nous apercevoir qu’en chaque
titre nous trouvons des signaux de lumière, nous dévoilant le clair chemin,
comme si nous nous attachions au principe du bien à autrui tout comme nous
souhaitons le bien pour nous-mêmes. Nous pouvons alors suivre librement en
avant, guidant le char de notre vie pour les domaines de l’élévation et du
progrès, en paix avec les autres et en paix avec nous-mêmes par la force
immaculée de la conscience tranquille.
Emmanuel
Uberaba, 4 août 1971
1. Au Réveil
Dès le lever, remerciez Dieu de la bénédiction de la vie.
Si vous n’avez pas l’habitude de prier, formulez, pendant quelques moments,
des pensées de sérénité et d’optimisme, avant de reprendre vos propres
activités. Levez-vous calmement. Si vous devez réveiller quelqu’un, faites
preuve de bonté et de gentillesse, souvenez-vous que les cris et les plaisanteries
de mauvais goût n’aident d'aucune façon que ce soit. Gardez pour toutes et pour
tous, la disposition de coopérer pour le bien. Avant de partir pour
l’accomplissement de vos travaux, souvenez-vous qu’il est nécessaire de bénir
la vie pour que la vie nous bénisse.

2. Salutations
Toute salutation doit se baser sur des pensées de paix et de joie. Pensez à votre
contentement lorsque quelqu’un vous adresse de l’affection et de la sympathie,
et faites de même envers les autres. Mobilisez le capital du sourire et vous
observerez qu’un tel investissement vous apportera un précieux rendement de
collaboration et de bonheur. Une phrase de bonté et de compréhension opère
des prodiges dans la construction du succès. Aidez vos familiers par votre
parole d’entendement et d’espérance. Si vous avez quelque ressentiment,
fluctuant de la veille, commencez le jour, de la même manière que le soleil :
oublier l’ombre et briller de nouveau.

3. Dans les domaines de la voix


Observez comment est l’intonation de votre voix, car elle est un des
instruments les plus importants de votre vie. La voix de chaque personne est
chargée par le magnétisme de ses propres sentiments. Ne parlez pas avec une
tonalité haute qui effraie, et ni basse qui crée des difficultés à celui qui écoute.
Il est toujours conseillé de répéter avec patience, ce que vous avez dit comme
interlocuteur, lorsque cela est nécessaire, sans altérer le ton de la voix,
comprenez bien que toutes les personnes ne possèdent pas une audition parfaite.
A celui qui a des difficultés auditives, qui entend mal ce qu’on lui dit, ne
dites jamais des phrases comme : ‘Vous êtes sourd’, ‘Voulez-vous que je crie ?’,
‘Combien de fois dois-je vous le dire ?’ ou ‘Je suis fatigué de répéter cela’.
Une voix devenue hors de contrôle par la colère, est finalement une agression
et l’agression ne convainc jamais. Conversez avec sérénité et respect, vous
mettant à la place de la personne qui entend, et vous éduquerez vos
manifestations verbales avec plus de sécurité et de succès. Dans n’importe quel
appel téléphonique, rappelez-vous que de l’autre coté du fil, il y a une personne
qui a besoin de votre calme, afin de maintenir sa propre tranquillité.
4. Dans l’enceinte domestique
La bonté dans le domaine domestique est la charité commençant à la maison.
Ne parlez pas en criant, abusant de l’intimité des êtres chers. Utilisez les objets
du domicile sans bruit, évitant au foyer le déséquilibre et la perturbation.
Apprenez à vous servir, autant que possible, de façon à ne pas aggraver les
préoccupations de la famille. Collaborez dans la solution du problème qui
surgit, sans vous altérez dans la plainte. Seul ou en groupe, prenez vos repas
sans alarme. Conversez édifiant l’harmonie. Il est toujours possible de trouver
la porte de l’entendement mutuel, lorsque nous nous disposons à céder, dans des
petites démonstrations de renoncement sur des points de vue. Combien de fois
un problème apparemment insoluble demande uniquement un mot calmant pour
être résolu ? Abstenez-vous de commenter des sujets scandaleux ou non
convenables. En matière de maladies, ne parlez que du strict nécessaire.
Cherchez quelques détails familiers pour louanger le travail et la tendresse de
ceux qui partagent votre existence et de ceux avec qui vous partager leur
existence. Ne profitez pas des conversations pour entretenir des faits de critique
ou de censure quel qu’il soit. Si vous êtes pressé de sortir, attendez votre tour
d’urgence avec sérénité et respect, sans endommager la tranquillité des autres.

5. Entre conjoints
Continuez aimant et respectant les parents, après la formation du propre foyer,
comprenant cependant, que cela apporte de nouvelles responsabilités l’exercice
desquelles il est impérieux de cultiver l’indépendance, mais le prétexte de
liberté, ne relègue pas les parents à l’abandon. Ne méprisez pas les idéaux et les
préoccupations de l’autre. Sélectionnez les relations. Respectez les amitiés du
compagnon ou de la compagne. Il est nécessaire de reconnaître la diversité des
goûts et des vocations de celui ou de celle qui vient pour partager notre vie.
Avant d’observer les possibles erreurs ou défauts de l’autre, mieux vaut
chercher ses qualités et dons supérieurs pour les stimuler au développement
juste. Ne méprisez jamais l’importance des relations sexuelles avec respect à la
fidélité dans les compromis assumés. Ne sacrifiez pas la paix du foyer par des
discussions et des conflits, sous prétexte d’honorer telle ou telle cause de
l’Humanité, parce que la dignité de quelque cause de l’Humanité commence
dans l’enceinte domestique. Ne cessez pas d’étudier et de vous initier
constamment, sous l’argument d’avoir laissé la condition de célibataire.
Il est toujours nécessaire de comprendre que la communion affective dans le
foyer doit recommencer tous les jours, afin de se consolider dans un climat
d’harmonie et de sécurité.
6. Expérience domestique
Ordre, travail, charité, bienveillance, compréhension commencent à l’intérieur
de la maison. La parenté est un domaine d’approximation, jamais de captivité.
Apprenons à entendre sans interrompre ceux qui parlent à la table domestique,
afin que nous puissions écouter avec sécurité les leçons de la vie. Le foyer est
un point de repos et de reconstitution, jamais une vitrine de meubles et de
filigranes, ce qui cependant, n’empêche pas de le décorer avec distinction et
bon goût, autant que possible. Qui pratique le gaspillage, ne doit pas réclamer
d’arriver à la pénurie. Bénis ceux qui se dédient à vivre sans incommoder ceux
avec qui ils partagent l’expérience. Évitez les plaisanteries de mauvais goût, qui
non rarement, conduisent au désastre ou à la mort prématurée. Le travail digne
est la couverture de votre indépendance. Conseillez l’enfant et aidez l’enfant
dans la formation spirituelle, car ceci est une obligation de qui oriente, mais
respectez les adultes dans vos choix parce que les adultes sont responsables
d’être libres dans leurs propres actions, tout autant comme vous souhaitez être
libre dans vos idées et vos engagements. Si vous ne savez pas tolérer, entendre,
bénir ou être utile à huit ou dix personnes du nid domestique, à quoi bon tenter
d’accomplir vos idéaux et vos compromis d’élévation dans les aires de
l’Humanité ? De très nombreux crimes et de très nombreux suicides sont menés
à bout sous prétexte de rendre hommage à des soins et des dédicaces dans le
monde familier.

7. Parents difficiles
Acceptez les parents difficiles sur la base de la générosité et de la
compréhension, dans la certitude que les Lois de Dieu ne nous enlacent pas les
uns les autres sans juste cause. Le parent-problème est toujours un test avec
lequel l’on examine notre évolution spirituelle. De très nombreuses fois, la
créature compliquée, qui s’agrège à la famille, apporte avec elle, les marques de
souffrance ou de déficiences qui lui furent imposées par nous-mêmes dans des
réincarnations passées. N’exigez pas des familiers différents de vous un
comportement égal au vôtre, parce que chacun de nous se caractérise par les
avantages ou les préjudices que nous avons accumulés dans notre propre âme.
Ne tentez pas d’éloigner les parents difficiles par un internement non nécessaire
dans une maison de repos, à coût financier, parce ce que le déliement réel
viendra par les procédés de la nature, lorsque vous aurez atteint la quittance des
propres débits avant la Grande Vie. Dans les épreuves et les conflits du foyer
terrestre, presque toujours, nous sommes en train de payer pour le système de
prestations, certaines dettes contractées par liaison.
8. Environnement familier
La maison n’est pas seulement un refuge de bois ou de pierres, c’est un foyer
où l’union et le compagnonnage se développent. Le paysage social de la Terre
se transformerait immédiatement en mieux, si nous tous, dans la condition
d’esprits incarnés, nous nous traitions à l’intérieur de la maison, a minima, avec
la courtoisie que nous dispensons à nos amis. Respectez l’hygiène, mais ne
transfigurez pas l’hygiène en sujet d’obsession. Ornez votre foyer avec les
recours de la gentillesse et de la bonne humeur. Collaborez dans le travail
familier autant que possible. Sans organisation d’horaire et prévision des soins,
il est impossible de conserver l’ordre et la tranquillité à l’intérieur de la maison.
Souvenez-vous que vous avez besoin de vos parents, comme ils ont besoin de
vous. Les petits sacrifices en famille forment la base de la félicité du foyer.

9. Présentation
Vous voyant l’objet de présentation, vous ne devez pas énoncez vos titres et vos
états autobiographiques, mais si vous présentez quelqu’un, il est juste que vous
décliniez sa valeur sans affectation. Devant quelques résumés inélégants pour
les absents, souvenez-vous de l’impératif respect et générosité envers eux.
Il n’est jamais impossible de découvrir quelque chose de bon chez quelqu’un ou
dans quelque situation pour un commentaire constructif. N’importe quelle
créature qui se montre nécessiteuse de vous demander une faveur, est un test
pour votre capacité d’entendement et pour vos dons d’éducation. Un mendiant
est un compagnon sur le chemin à qui demain peut être nous devrons solliciter
son appui fraternel. L’enfant non protégé que nous rencontrons dans la rue n’est
pas un motif de révolte ou d’exaspération, mais un appel pour que nous
travaillions avec plus d’amour pour l’édification d’un monde meilleur. Il ne
revient pas de réprimander le frère ivre, alors que lui-même se sait déjà malade
et moins heureux. Chaque fois que vous abaissez le mal, même
inconsciemment, vous êtes en train de faucher le bien. Ne critiquez pas, aidez.
Pour quelque espèce de souffrance, il est possible de donner de bribes de
soulagement et d’aide, même si ces bribes ne sont rien de moins qu’un simple
sourire de sympathie et de compréhension.
10. Sur la voie publique
La rue est un département important de l’école du monde, où chaque créature
peut apprendre et enseigner. Rencontrant des amis ou de simples personnes
connues, prenez l’initiative de la salutation, faisant preuve de cordialité et de
soin sans excès. Cheminez de votre pas naturel à l’intérieur des déplacements
que vous avez besoin, comme si vous deviez également vivre sans renverser les
autres. Si vous vivez en collectivité, accommodez-vous de manière à ne pas
incommodez les voisins. Si vous êtes en voiture, pour autant inquiet et pressé,
répondez aux lois du transit et aux principes de respect des autres, vous
immunisant contre les maux susceptibles de vous rendre amer pour une longue
période. Recevant les salutations de quelqu’un, répondez avec spontanéité et
courtoisie. Ne retenez pas les compagnons sur la voie publique, absorbant leur
temps et attention par des sujets qui peuvent être remis à un moment opportun.
Avant l’abordage de telle ou telle personne, pratiquez la bonté et la gentillesse,
même si vous êtes fréquemment dans vos cogitations. Dans un environnement,
avec les plus grandes exigences de service, il est possible de parler avec sérénité
et compréhension, et même une simple minute. Demandant une faveur, faites
cela de façon digne, évitant les sifflements, les plaisanteries de mauvais goût ou
les phrases irrespectueuses, dans la certitude que les autres apprécient être
traités avec considération comme nous le réclamons pour nous même. Vous
n’avez pas besoin de vous dédier à une conversation inconvenable, mais si
quelqu’un développe un sujet indésirable il est possible d’écouter avec
tolérance et bonté sans blesser l’interlocuteur. N’importe quelle personne, dans
une saine conscience, a l’obligation de partager les perturbations ou les conflits
de la rue. Devant quelqu’un qui surgit malade ou accidenté, mettons-nous par la
pensée dans l’environnement difficile de cette personne et faisons appel au
secours possible.

11. Commerce et échange


Le commerce est aussi une école de fraternité. Nous espérons réellement de
l’attention de la part du vendeur, mais le vendeur espère de nous la même
attitude. Devant les vendeurs fatigués ou irrités, reflétons dans les épreuves, qui
les contraindront indubitablement dans l’arrière-garde de la famille ou du foyer,
sans leurs nier considération et soin. La personne, qui se révèle être de
mauvaise humeur dans ses contacts publics, très probablement, porte un lourd
fardeau d’inquiétude et de maladie. Ouvrir le chemin, passant devant les autres,
n’est pas uniquement une inélégance, mais aussi un lamentable manque de
courtoisie. Donner sa place aux autres, en premier lieu, que ce soit dans
l’ascenseur ou en collectivité, est une façon d’exprimer la compréhension et la
bonté humaine. Apprendre à demander une faveur à ceux qui travaillent dans les
administrations, les réceptions, les magasins ou les bars est une obligation.
Évitez les anecdotes grossières ou dépréciatives, reconnaissant que les mots
créent des images et que les images produisent des actions. Les moqueries ou
les irritations compliquent les situations sans en résoudre les problèmes.
Lorsque vous vous sentez dans le devoir de réclamer, ne faites pas de votre
verbe l’instrument d’agression. L’erreur ou la faute des autres aurait pu être la
nôtre si nous avions été dans les circonstances de ces derniers. L’affabilité est
une charité dans le traitement personnel.

12. Devant les amis


L’ami est une bénédiction qu’il nous revient de cultiver dans le climat de la
gratitude. Qui dit qu’il aime et ne cherche pas à comprendre ni à aider, ni à
soutenir, ni à servir, ne sort pas de lui à la rencontre de l’amour pour quelqu’un.
La véritable amitié n’est pas aveugle, mais si elle distingue les défauts dans les
coeurs amis, elle sait les aimer et les comprendre comme ils sont ainsi. Nous
vaincrons l’égoïsme lorsque nous aurons décidé d’aider les êtres aimés, à
réaliser leur félicité propre, tout comme ils l’entendent et qui doit être la félicité
qu’ils cherchent, sans cogiter sur notre propre félicité. En général, nous pensons
que nos propres amis, pensent comme nous pensons, cependant, nous avons
besoin de reconnaître que leurs pensées sont des créations originales d’eux-
mêmes. L’aventure réelle de l’amitié est le bien des êtres chers. Ainsi, j’espère
que mes amis m’acceptent tel que je suis, tout comme je dois de mon côté les
accepter comme ils sont. A chaque fois que nous cherchons à discréditer tel ou
tel ami après avoir échangé de la convivialité et de l’intimité, nous nous
démoraliserons nous-mêmes. Dans n’importe quelle difficulté dans les relations
affectives, il est nécessaire de se souvenir que chaque créature humaine est un
être intelligent en transformation incessante et certaines fois, le changement des
personnes que nous aimons ne se vérifie pas en direction de nos propres choix.
Plus vous donnerez d’amitié, plus d’amitié vous recevrez. Si Jésus recommanda
d’aimer les ennemis, imaginons avec quel immense amour il nous revient
d’aimer ceux qui nous offrent le cœur.

13. Antagonistes
L’adversaire dans lequel vous jugez et pensez rencontrer un modèle de
perversité est peut-être à peine un malade ayant besoin de compréhension.
Reconnaissons le fait que, de très nombreuses fois, la personne qui nous est
indigne l’est tout simplement parce que nos ne nous adoptons pas à son point de
vue. Ne méprisez jamais l’opposant, pour autant infime qu’il soit. Respectons
l’ennemi, parce qu’il est possible qu’il soit porteur de vérité que nous ne
connaissons toujours pas, jusqu’à même en ce qui nous concerne. Si quelqu’un
vous a blessé, pardonnez immédiatement, frustrant le mal dans son antre. La
critique de l’autre pourra uniquement vous apportez des préjudices si vous
consentez. La meilleure façon d’apprendre à pardonner les erreurs d’autrui est
de reconnaître que nous sommes aussi humains, capables de nous tromper
encore plus désastreusement que les autres. L’adversaire avant tout, doit être
compris comme un frère qui se caractérise par des opinions différentes des
nôtres. Laissez les autres vivre leur propre vie et ils vous laisseront vivre
l’existence de votre propre choix. Lorsqu’elle sera plus avancée, la science
médicale comprendra que la haine sous forme de vengeance, de condamnation,
de ressentiment, d’envie ou d’hostilité est la racine de nombreuses maladies et
que l’unique remède efficace contre de similaires calamités de l’âme est la
spécificité du pardon dans le lien de l’amour.

14. Devant les plus petits


L’enfant est une édification spirituelle de ses responsables. Il n’y a pas d’enfant,
ni même un seul, qui ne sollicite pas d’amour et d’aide, d’éducation et
d’entendement. Chaque tout petit, lorsqu’il devient, en règle générale, un esprit
adulte, porte le cerveau extrêmement sensible par le fait de reprendre le travail
de la réincarnation, devenant par cela même, un observateur rigoriste de tout ce
que vous dites et ce que vous faites. Tout enfant est un monde spirituel en
construction ou en reconstruction, sollicitant un matériel digne afin de se
consolider. Aidez les enfants d’aujourd’hui à penser justement, dialoguant avec
eux, à l’intérieur des normes de respect et de sincérité que vous espérez des
autres en relation à vous. L’enfant est un chapitre spécial du livre de votre
quotidien. Ne tentez pas de transfigurer vos petits enfants en possession, gardés
passionnément, parce que ce sont des esprits éternels, comme il arrive avec
nous, et arrivera le jour où ils dilacéreront devant vous quelque effet d’illusion.
Si vous rencontrez un jeunet avec des manières tempétueuses ou de formation
inconvenante, n’établissez pas de censure, reconnaissant que le service de
rééducation le concernant en essence, appartient aux parents ou aux
responsables et non pas à vous. Si vous venez à souffrir de quelque préjudice
chez vous, comme des déprédations suite à de petites plaisanteries, oubliez cela,
reflétant dans l’amour et dans la considération que vous devez aux adultes qui
répondent pour eux.
15. Voir et entendre
La vision et l’audition doivent être éduquées, tout comme les paroles et
les manières. En visite chez quelqu’un, apprenons à remerciez l’attention de
l’accueil sans manifestation concernant de possibles désordres dans
l’environnement. Si nous entendons une phrase imparfaitement formulée dans
la voix de la personne amie, apprécions l’intention et le sentiment, dans
l’élévation de ce qui est articulé sans en noter le désalignement grammatical.
Voyez avec bonté et entendez avec logique. Sachons voir les cadres qui nous
entourent, quel qu’ils soient, sans l’ombre d’une malice à maculer la pensée.
Enregistrant les anecdotes inconvenables, autour d’événements et de personnes,
ayons suffisamment de courage de les accommoder dans les archives du
silence. Toute impression négative ou malveillante qui se transmet aux amis,
sous forme de confidence, est de même que de propager du venin à travers les
oreilles. Dans n’importe quelle circonstance, il est nécessaire de ne pas oublier
que nous pouvons voir et entendre pour comprendre et aider.

16. Responsable et subordonné


Ne pas oublier que le chef est cette personne qui se responsabilise pour le
travail de l’équipe. La meilleure manière de remercier la personne qui dirige,
sera toujours l’exécution fidèle des propres obligations. Qui administre a
effectivement besoin de la collaboration de qui obéit, mais si celui qui obéit
prête attention à celui qui administre, celui qui administre a besoin d’exercer
avec bonté et compréhension pour celui qui obéit, afin que la machine du travail
fonctionne avec sécurité. Orienter c’est se dévouer. Celui qui réellement
enseigne est celui qui étudie le plus. Un chef n’a pas pour obligation de révéler
au subordonné les problèmes qui préoccupent son cerveau, tout comme le
subordonné, n’a pas le devoir de révéler au chef les problèmes, que par hasard,
il porte dans son cœur.

17. Devoir et travail


Le compromis du travail inclut, à la créature, le devoir de s’associer à l’effort
de l’équipe dans l’œuvre à réaliser. L’obéissance digne a pour nom ; obligation
accomplie, dans le dictionnaire de la réalité. Qui exécute avec joie les soins
considérés comme moindres, spontanément, se promeut pour les soins
considérés plus grands. L’appareil photo nous prend de l’extérieur, mais le
travail nous prend de l’intérieur. Qui repousse l’œuvre qui rendra honneur à son
existence, enlève son propre prestige. Servir en dehors de son propre devoir
n’est pas s’enorgueillir pour obtenir des avantages, mais bien thésauriser appui
et expérience, sympathie et coopération. Dans la formation et la
complémentation de quelque travail, il est nécessaire de bien comprendre pour
que nous soyons compris. Lorsque le travailleur convertit le travail en joie, le
travail se transforme dans la joie du professeur.

18. Autour de la profession


Votre profession est un privilège et un apprentissage. Si vous mettez de l’amour
dans ce que vous faites, pour rendre les autres plus heureux, votre profession en
quelque partie, sera toujours une rivière de bénédictions. Votre client, dans
n’importe quelle condition, est similaire à un arbre qui produit, en votre faveur,
répondant toujours à l’échange du traitement qu’il reçoit. Tout travail
correctement exercé est un degré de promotion. Dans tout ce que vous faites,
dans l’activité que le Seigneur vous a concédé, vous êtes en train de faire votre
portrait spirituel. Si vous cherchez à vous améliorer, améliorez-vous dans votre
travail, et soyez certain que ce travail vous donnera une vie meilleure.
L’essentiel dans votre réussite n’est pas ce que vous distribuez, mais la manière
par laquelle vous vous décidez à servir. Personne ne cherche personne pour
acquérir une condamnation ou de l’amertume. A chaque fois que quelqu’un se
plaint d’une personne ; il est en train de créer des embûches sur son propre
chemin pour le succès. Toute personne qui sert au delà du devoir, trouve le
chemin pour la véritable félicité.

19. Dans les compromis du travail


N’ayez pas honte, ni ne vous lamentez pas de servir. Enrichir le travail
professionnel, acquérir des connaissances nouvelles est un simple devoir.
Collaborez avec les responsables à travers la nécessité généreusement acquise,
sans mobiliser d’expédients d’adulation. En aucun cas, ne diminuez pas ou ne
dévalorisez pas l’effort des collègues. Ne feintez jamais les maladies ou les
accidents, principalement dans l’intuition de bénéficier des lois de protection ou
d’aide des institutions sécuritaires, parce que la vie a pour habitude de
demander chère pour de similaires mensonges. Ne vous attribuez pas
uniquement le succès de telle ou telle réussite, comprenant que dans tout travail
il faut considérer l’esprit d’équipe. Saboter le travail sera toujours considéré
comme détériorer notre propre intérêt. Accepter le désordre ou le stimuler, c’est
élaborer son propre déséquilibre. Vous avez de nombreux recours pour
promouvoir ou améliorer la propre aire d’action, sans recourir au manque de
respect, à la perturbation, à l’amertume ou à la rébellion. En matière de
rémunération, souvenez-vous : qui travail doit recevoir, mais également qui
reçoit doit travailler.
20. Obstacles
Devant les obstacles faites de votre mieux et allez de l’avant. A chaque fois que
nous déconcertons, il y aura toujours quelqu’un pour nous déconcerter. Ainsi
comme tous ne peuvent pas habiter le même endroit, tous ne peuvent pas réussir
à partager les mêmes idées. N’explosez pas, ne criez pas, ne vous fâchez pas ou
ne vous découragez pas, mais travaillez. Après un problème, attendez-vous à en
avoir d’autres. L’erreur enseigne le chemin sûr, et l’échec montre le chemin de
la sécurité. Toute réalisation est faite pas à pas. Dans les jours de catastrophe,
pas de colère ou d’accusation contre quelqu’un, mais ayons l’obligation claire
d’effectuer un changement sur les chemins adéquats et aller de l’avant. Qui
cherche le bien, très certainement devra souffrir des embûches du mal. Plantez
le bien à travers tout et tous, par tous les moyens licites qui sont à notre portée,
comprenant qu’en matière de cueillette, Dieu demande du temps à l’homme et
l’homme quant à lui doit s’en remettre à Dieu à temps.

21. Sujets sur le temps


Si vous savez combien est précieux la valeur du temps, respectez le temps des
autres pour que vos heures soient respectées. Souvenez-vous que vous avez des
compromis et des obligations comme base dans le temps, il en est de même
avec les autres personnes. Personne n’évolue, ne prospère, ne s’améliore ni ne
s’éduque, s’il n’apprend pas à utiliser le temps comme un devoir profitable.
Soyez bref, dans n’importe quelle demande. Qui dispose de temps pour
converser sans nécessité, peut clairement dans n’importe quelle école afin de se
perfectionner dans des connaissances supérieures. Le travail dans le temps
dissout le poids de toutes les préoccupations, mais le temps sans le travail crée
des fardeaux de fatigue et d’énervement toujours difficiles à porter. Un type
commun de véritable état malheureux est de disposer de temps pour se croire
infortuné. Si vous profitez du temps afin de vous améliorer, le temps profitera
de vous pour réaliser des merveilles. Observez combien de service que l’on peut
effectuer en une demi-heure. Qui dit que le temps apporte à peine des
désillusions, est celui qui n’a rien fait d’autres que de s’illusionner.
22. Questions
Observez les propres recherches, avant de les formuler, adoptant le silence, à
chaque fois qu’il n’y aura pas de juste finalité. Une valeureuse démonstration
d’entendement et d’affection est de rendre visite à des amis ou de les recevoir
sans question aucune. Aidez-les autant qu’ils partagent votre vie, sans leur
perturber le coeur par des interrogations non nécessaires. Cessez les recherches
sans utilité aucune, sur la famille d’autrui. Tenté de tâtonner sans nécessité en
relation à l’âge physique de quelqu’un, n’est pas seulement un manque de tact
et de gentillesse, mais aussi une absence de charité et d’éducation. Si vous
nourrissez réellement une amitié pour telle ou telle personne, sans aucune
expectative qu’elle devienne votre compagnon ou votre compagne pour une
convivialité plus intime, acceptez-là telle qu’elle est, sans lui demander l’état
civil dans lequel elle se trouve. L’indiscrétion, la légèreté, la curiosité vaine ou
la malice s’éloignent de qui cultive les meilleures opportunités d’élévation et de
progrès. Le véritable amour aide sans demander. Respectez les nécessités et les
épreuves des autres pour que les autres respectent vos épreuves et vos
nécessités.

23. Susceptibilité, pudeur, délicatesse


Ne permettez pas que les susceptibilités perturbent votre cœur. Laissez aux
autres la liberté de penser, tout comme vous êtes libre de penser ce que vous
désirez. Chaque personne voit les problèmes de la vie sous un angle différent.
De très nombreuses fois, une opinion diverse de la vôtre, peut-être d’une grande
aide pour votre expérience ou vos affaires, si vous vous disposez à l’étudier. Les
susceptibilités détruisent les meilleures plantations de l’amitié. Qui réclame,
aggrave ces difficultés. S’offenser est une façon de perdre les meilleures
situations. Ne vous énervez pas, coopérez. Qui vit de se blesser, finit dans la
condition d’épine.

24. Désirs
Le désir est une réalisation anticipée. Voulant, nous mentalisons ; mentalisons,
nous agissons ; agissons, nous attirons ; et attirant nous réalisons. Comme vous
pensez, vous créez, et comme vous créez, vous serez. Chacun aujourd’hui a ce
qu’il désirait hier et aura demain ce qu’il désire aujourd’hui. Le champ du désir
dans le terrain de l’esprit, est similaire au champ de culture, dans la glèbe du
monde, sur laquelle le cultivateur est libre de la semence et responsable de la
récolte. Le temps que le malfaiteur gaspilla pour agir en opposition à la Loi, est
égal au temps que le saint utilisa pour travailler et rendre sublime la vie. Tout
désir dans l’essence, est une entité prenant la forme correspondante. La vie est
toujours le résultat de notre propre choix. La pensée est vive et après avoir agi
sur l’objectif sur lequel elle s’adresse, elle réagit sur la créature qui l’a émise,
tout aussi bien en relation avec le bien comme avec le mal. La sentence de Jésus
: ‘Cherchez et vous trouverez’ équivaut à dire : ‘Tu trouveras ce que tu désires’.

25. Préoccupations
Ne vous affligez pas par anticipation, parce qu’il est possible que la vie résolve
votre problème, encore aujourd’hui, sans aucun effort de votre part. Ce n’est
pas la préoccupation qui annihile la personne, mais bien la préoccupation en
vertu de la préoccupation. Avant vos difficultés de maintenant, vous avez déjà
fait face à de nombreuses autres, et vous vous êtes déjà libérez de toutes, avec
l’aide invisible de Dieu. Une personne occupée à servir, ne dispose pas de
temps pour commenter l’injure ou l’ingratitude. Un notable philosophe dit :
‘Une créature irritée est toujours pleine de venin’ et nous pouvons ajouter « et
de maladie aussi ». Travaillez avant, pendant, et après n’importe quelle crise et
le travail garantira votre paix. Comptez les bénédictions qui enrichissent votre
vie, en annotant les maux qui par hasard visitent votre cœur, pour reconnaître le
solde immense des avantages en votre faveur. Généralement le mal est le bien
mal interprété. Dans quelques échecs, comprenez que si vous pouvez travailler,
vous pouvez également servir, et qui peut servir, porte avec lui un trésor dans
les mains. Pour aussi grand que soit le fardeau de la souffrance, souvenez-vous
que Dieu qui supportait avec vous hier, vous maintiendra aussi aujourd’hui.

26. Autour du bonheur


En matière de bonheur, il convient de ne pas oublier que nous nous
transformons toujours dans ce que nous aimons. Qui s’accepte comme il est,
donnant de sa vie le meilleur qu’il a, chemine plus facilement pour être heureux
comme il espère l’être. Notre bonheur sera naturellement proportionnel en
relation au bonheur que nous apporterons aux autres. La joie du prochain
commence de très nombreuses fois dans le sourire que vous lui donner. Le
bonheur peut s’exhiber, en se promenant, en parlant et communiquant dans la
vie externe, mais son adresse exacte réside dans la conscience tranquille. Si
vous aspirez à être heureux et portez avec vous des complexes d’erreur,
commencez alors à désirer votre propre libération, accueillant dans le travail en
faveur des semblables, le procédé de réparation de tel ou tel dommage que vous
auriez causé à quelqu’un. Etudiez-vous vous-même, observant que l’auto
connaissance apporte humilité et sans humilité il est impossible d’être heureux.
L’amour est la force de la vie et le travail véhiculé à l’amour est l’usine
génératrice de bonheur. Si vous cessez de vous lamentez, vous noterez que la
félicité est appelée à votre cœur pour une vie nouvelle. Lorsque le ciel est d’une
couleur cendre, déversant des torrents de pluie, méditez sur la pleine récolte des
champs et la beauté des fleurs qui surgiront dans le jardin.

27. Devant les autres


Ne mésestimez pas l’importance des autres. Assez fréquemment nous pensons
uniquement dans la critique des autres à notre égard, comment ils nous
perçoivent, oubliant nous-mêmes que c’est également des autres que nous
recevons la force pour vivre. L’aide au prochain est votre meilleur
investissement. Valorisez les autres, afin que les autres vous valorisent. Pensez
aux autres, non pas en terme d’angélitude ou de perversité, mais dans la
condition d’êtres humains avec des besoins et des rêves, des problèmes et des
luttes similaires aux vôtres. Si la solitude valait, les Lois de Dieu, ne vous
auraient pas fait naître sur Terre parmi deux créatures, vous convertissant en
une troisième personne pour construire un plus grand groupe.

28. Façons désagréables


Fermer les porte à coup de pied ou en les claquant. Déplacer les meubles en
faisant du bruit sans nécessité. Censurer les plats servis à table. Vous asseoir
effrontément. Se moucher et examiner les résidus recueillis dans le mouchoir,
près des autres, oubliant que cela est plus facile dans le cabinet de toilette le
plus proche. Bailler bruyamment lorsque quelqu’un a la parole. Parler comme
une personne qui agresse Les effusions affectives exagérées en public
Interrompre la conversation d’autrui. N’oublions pas que la gentillesse et le
respect, dans le traitement personnel signifient aussi la charité.

29. Thèmes inopportuns


Maladies
Crimes
Intrigues
Critique
Sarcasme
Discordes domestiques
Ruptures privées
Conflits sexuels
Divorce
Notes déprimantes en référence aux frères considérés comme étrangers
Racisme
Pré-concepts sociaux
Divergences politiques
Sujets religieux
Auto éloge
Cherté de la vie
Maux personnels
Lamentations
Comparaisons péjoratives
Souvenirs malheureux
Réprobation des services publics
Scandales
Malheur conjugal
Pornographie
Commentaires désobligeants quant à la maison des autres
Anecdote inconvenante
Histoires grossières
Bien évidemment, il n’existe pas de sujets indignes de paroles et tous
peuvent être un motif d’entendement et d’éducation, mais à chaque fois que les
thèmes inopportuns ou difficiles sont abordés, dans n’importe quelle
conversation, l’équilibre et la prudence doivent être appelés dans le verbe en
manifestation, pour que le respect des autres soit respecté.

30. Les aides sont toujours possibles


Sans quelconque recours spéciaux, vous disposez du pouvoir de rénover et
de rehausser la propre vie. Vous pouvez encore et toujours ;
- aviver la grandeur de la joie où l’épreuve est en train de blesser la tranquillité
- activer la chaleur du courage, là où l’encouragement fane
- entretenir l’environnement précieux de la résignation où la souffrance domine
- élever la vibration du travail où le découragement apparaît
- extraire l’or de la bénédiction parmi les pierres de la condamnation et de la
censure
- mettre la fleur de la patience dans l’épine de l’irritation
- allumez la lumière de l’entendement et de la convivialité où surgissent les
ombres de l’ignorance
- découvrir les fontaines de générosité sous les roches de l’avarice
- préparer le chemin pour Jésus dans les cœurs distants de la vérité.
Tout ceci peut être fait, simplement en prononçant les bonnes paroles
d’espérance et d’amour.
31. Notes brèves
Ne perdez pas votre temps.
Ne fuyez pas le devoir.
Respectez les compromis.
Servez lorsque vous pouvez.
Aimez intensément.
Travaillez avec ardeur.
Priez avec foi.
Parlez avec bonté.
Ne critiquez pas.
Observez en construisant.
Étudiez toujours.
Ne vous plaignez pas.
Plantez la joie.
Semez la paix.
Aidez sans exigence.
Comprenez et bénéficiez.
Pardonnez toutes les offenses.
Répondez à la ponctualité.
Conservez la conscience tranquille.
Aidez généreusement.
Oubliez le mal.
Cultivez la sincérité, vous acceptant comme vous êtes et accueillant les autres
comme ils sont, cherchant donc, toujours à faire le meilleur possible de ce qui
est à votre portée.
32. Cadeaux
Le cadeau est toujours un signe d’affection et de distinction entre la personne
qui offre et celle qui reçoit. Il est toujours conseillé de choisir le cadeau en
accord avec la profession ou la condition de la personne qui va le recevoir. Si
votre offre provient de votre confection personnelle, comme un cadre ou
quelque objet artistique, évitez de demander des nouvelles après votre donation
ou de conduire les personnes à la connaître, créant des embarras dans les
relations affectives. Omettez la valeur ou l’importance de votre don, laissant
une similaire évaluation aux critères des autres. Après avoir présenté quelqu’un
comme votre témoignage d’amitié, il est toujours juste de mettre sous silence
les références de la personne même pour ne pas contraindre cette personne dont
vous venez de faire la présentation. Si vous offrez un présent et que cette
créature qui en a bénéficié, donne ce don pour quelqu’un de son cercle
personnel, félicitant cette personne, ne proférez pas des réclamations mais
considérez les bénédictions de joies multipliées pour la semence de fraternité et
d’amour.
33. Habitudes malheureuses
Utiliser la pornographie ou les mots grossiers, bien que ce soit supposé être à la
mode.
Taper sur l’épaule ou faire des remarques à celui qui discourt.
Commenter défavorablement la situation de quelque personne.
Répandre des clameurs et entretenir des conversations négatives.
Parler très fort.
Rire de façon incontrôlée.
Appliquer une franchise impitoyable sous prétexte d’honorer la vérité.
Chercher dans le passé d’autrui, préjudiciant ou blessant les autres.
Comparer les communautés et les personnes, répandant du pessimisme et la
perte de prestige.
Fuir la propreté.
Se plaindre, par principe à propos de tout et de tous.
Ignorer les convenances et les droits d’autrui.
Fixer intentionnellement les défauts et les cicatrices du prochain.
S’irriter pour des bagatelles
Rechercher des situations et des liaisons, dont nous ne pouvons pas pénétrer le
sens.
Manquer de respect aux personnes par des questions hors de propos.
Conter des plaisanteries susceptibles de blesser les sentiments de ceux qui les
entendent.
Plaisanter des circonstances ou blesser verbalement les absents.
Analyser les problèmes sexuels tels qu’ils sont.
Répandre ses connaissances en dehors du lieu et des conditions, pour le plaisir
d’exhiber sa culture et ses compétences.
Ne pas respecter les compromis et les horaires.
Vivre sans méthode.
S’agiter à chaque instant, compromettant le service d’autrui et rendant difficile
l’exécution des devoirs propres. Conter les avantages, sous l’excuse d’être
meilleur que les autres.
Dépenser plus que ce que vous disposez.
Accaparer pour vous la gloire et les honneurs.
Ne pas vouloir souffrir.
Exhiber le bien sans travail.
Ne pas savoir supporter les injures ou les critiques.
Ne pas chercher à vouloir apprendre à se dominer, explosant aux moindres
contre temps.
Jeter le discrédit sur les services et les institutions.
Fuir l’étude.
Laisser toujours pour demain l’obligation qui peut être remplie aujourd’hui.
Dramatiser les maladies et les amertumes.
Discuter sans raisonner.
Mépriser les adversaires et déifier les amis.
Réclamer aux autres ce que nous-mêmes nous ne réussissons pas à faire.
Demander de l’aide sans donner aucune coopération.
Condamner ceux qui ne pensent pas comme nous.
Accepter des devoirs qui nous incombent et les laisser sans aucune
considération à la charge des autres.

34. Suggestions pour le bon chemin


Vous vous lamentez, pourquoi ?
Apprenez toujours, n’est ce pas !
Chaque créature cueillera de la vie, non pas uniquement ce qu’elle fait, mais
aussi comment elle fait ce qui doit être fait.
Ne vous trompez pas par de fausses appréciations autour de la justice, parce le
temps est le juge de tous.
Souvenez-vous : nous recevons tout de Dieu qui transforme ou retire telle ou
telle chose, suivant nos nécessités.
L’humilité est un ange muet.
Moins vous aurez besoin, plus vous aurez.
Demain sera bien évidement une belle journée, mais pour travailler et servir
rénover et apprendre, aujourd’hui est la meilleure.
Ne vous faites pas d’illusion par le supposé bonheur de ceux qui abandonnent
leurs propres devoirs, qui de façon transitoire cherchent à fuir eux mêmes
comme celui qui s’enivre dans le but d’oublier.
Le temps est d’or, mais le service est de lumière.
S’il existe un mal à craindre ; c’est celui qui est toujours à l’intérieur de nous.
Ne cessez pas dans l’édification du bien, ni pour recueillir les lauriers du
spectacle, ni pour compter les pierres du chemin.
Vos travaux paraissent échouer ? Allez de l’avant en travaillant. De très
nombreuses fois, il est nécessaire de souffrir, afin que Dieu attende notre
rénovation.
35. Recherches du quotidien
Vous croyez dans la victoire du bien, mais ne devons nous pas nous disposer à
travailler pour cela ? Admettez-vous votre capacité de vous tromper afin
d’apprendre, ou éventuellement, vous jugez-vous infaillible ? Si nous sommes
positivement du côté du bien, qu’attendons-nous pour coopérer pour le bien des
autres ? Dans les moments de crises vous mettez-vous à la place de la personne
en difficulté ? Et si la créature qui s’était trompée était une parmi nous ? Si vous
dites que vous ne pardonnez pas à la créature qui vous a offensé, croyez- vous
cependant, que demain vous n’aurez pas besoin du pardon de quelqu’un ? Vous
êtes en train d’aider à éteindre les maux du chemin ou êtes-vous en train
d’aggraver ces maux par des attitudes ou des paroles inopportunes ? Qu’est-ce
qui vous attire le plus dans la convivialité avec les autres ; la charge négative ou
le sourire d’encouragement ? Qu’importe le jugement moins heureux des autres
à votre égard, si vous avez la conscience tranquille ? Il est possible que de
déterminés compagnons nous incommodent présentement, cependant, serait-il
que nous ayons vécu jusqu’à maintenant sans incommoder personne ? Croyez-
vous que quelqu’un s’admettant malheureux puisse trouver le bonheur ?

36. Thèmes de critique


Celui qui cherche le silence, là où il passe, ne prête pas assistance. La vie des
autres, comme elle s’affirme dans l’expression, est réellement la vie des autres
et non pas la nôtre. Je dois comprendre que l’erreur d’hier, d’aujourd’hui, sera
peut-être la mienne demain, alors que sur les chemins évolutifs de la Terre nous
sommes tous porteurs de nature humaine. Le temps qui est utilisé en critique
peut être utilisé en construction. A chaque fois que nous critiquons quelqu’un,
nous sommes moralement dans l’obligation de faire mieux que ce quelqu’un,
dans les travaux en cours. Notez bien ceci : à n’importe quel moment et
situation, les points de vue et les opportunités, les recours et les intérêts, le
sentiment et l’éducation des autres sont toujours très divers des vôtres. Critiquer
ne résout rien, parce que le travail de la créature est ce qui détermine la valeur.
Qui aime, aide et pardonne toujours. Ne condamnez pas, bénissez. Souvenez-
vous : certaines fois, il suffit juste d’un coup de marteau pour faire tomber ce
que les siècles ont construit.
37.En matière affective
Il est toujours nécessaire de beaucoup de prudence quant aux problèmes
affectifs des autres, parce que de très nombreuses fois les autres, ne pensent pas,
même pour aussi léger que ce soit, de la même façon que nous pourrions penser.
Les esprits adultes savent bien évidemment que sur Terre, personne ne peut en
saine conscience tracer les frontières entre la normalité et l’anormalité, dans les
questions affectives de sens profond. Les prédicateurs de morale rigoureuse, sur
les sujets d’amour, très souvent tombent dans des situations qui condamnent.
Toute personne qui en lèse une autre, dans les compromis du cœur, est
fatalement en train de se léser elle–même. Respectez les liaisons et les
séparations, parmi les personnes de votre monde particulier, sans étrangeté ou
censure, parce que vous ne connaissez pas les raisons et les causes des origines.
Vos nécessités d’âme, dans l’essence, sont très diverses des nécessités d’autrui.
En ce qui concerne les souffrances d’amour, uniquement Dieu sait où est la
chute ou la victoire. Ne plaisantez jamais avec les sentiments des autres.
L’amour dans votre existence est ce que vous devez apporter. Vous recevrez, en
retour, tout ce que vous avez donné aux autres, suivant la loi qui régit nos
destins. Concernant les erreurs de l’amour, si vous ne vous êtes jamais trompé
par émotion, imagination, intention ou action, jetez la première pierre,
conformément à ce que recommande Jésus.

38. Séparations
Dans la construction du bien, il est vraiment nécessaire d’accepter le départ de
beaucoup de compagnons et dans de très nombreuses occasions, jusqu’à même
ceux qui nous sont les plus chers. Il est indispensable de supporter la séparation,
lorsque c’est nécessaire, comme les arbres qui tolèrent la perte de leur feuillage.
C’est une grave erreur de retenir avec nous un ami cher qui désire partir. Dans
de nombreux cas, les destins ressemblent à des chemins qui bifurquent pour
répondre aux desseins du progrès. Ne vous servez pas de la contrainte d’autrui.
Si quelqu’un nous abandonne au milieu d’un engagement allusif au bonheur de
tous et s’il ne nous est pas possible de répondre à l’entreprise engagée, en
régime de solidarité, la Divine Providence suscitera de nouveaux compagnons
qui s’associeront à la lutte édifiante. Ne demandez ou n’exigez jamais des
autres ce que vous ne pouvez pas leur donner. Ne méprisez pas qui que ce soit.
Sachons prier en silence, les uns pour les autres. Uniquement Dieu peut juger
l’intime de chacun.
39. Questions à méditer
Vous dominerez toujours les paroles que vous ne direz pas, cependant, vous
vous subordonnerez à celles que vous proférerez. Veillez pour la tranquillité de
votre conscience, sans délaisser votre présentation extérieure. En ce qui se
réfère à l’alimentation, il est important de se souvenir de l’affirmation des
anciens ; ‘il y a des hommes qui creusent leur tombe avec bouche’. Pour autant
qu’il soit possible, dans n’importe quelle obligation à accomplir, soyez présent
pour le moins dix minutes auparavant, au lieu du rendez vous auquel vous
devez répondre. L’inaction engourdit les facultés. Le sourire spontané est une
bénédiction attirant d’autres bénédictions. Servir en dehors du propre devoir,
n’est pas une adulation mais c’est gagner en sécurité. Chaque personne à
laquelle vous prêtez assistance, est une clef supplémentaire dans la solution de
vos problèmes. Il est naturel que vous fassiez des jaloux, mais non pas des
ennemis. Chaque bonne action que vous pratiquez, est une lumière que vous
allumez, autour de vos propres pas. Qui parle moins, entend mieux, et qui
entend mieux apprend plus.

40. Correspondances
Cultivez la brièveté et la précision, dans vos écrits, afin de ne pas glisser vers la
stérilité. Une carte est un portrait spirituel de qui l’écrit. Prenons soin de
l’écriture bien tracée, parce qu’il n’est pas licite de transformer les amis en
déchiffreurs de hiéroglyphes. N’écrivez pas de mots dans des moments de crise
ou d’excitation. A chaque fois qu’il est possible, nos nouvelles doivent être
messagères de paix et d’optimisme, d’espérance et de joie. Écrire, construit.
Une carte sortant de vos mains est vous-même conversant. N’importe quel sujet
peut être traité avec grandeur et bienveillance. Lorsque vous ne pouvez écrire
de bonnes paroles, en relation à une personne déterminée, il vaut mieux vous
mettre en silence la concernant. Nous sommes responsables des images que
nous créons dans l’esprit des autres, mais pas uniquement à travers ce que nous
disons, mais également à travers de tout ce que nous écrivons.

41. Réunions sociales


La réunion sociale dans une institution ou dans un foyer, doit toujours se revêtir
de l’esprit de communion fraternelle. A chaque fois que l’épine de la médisance
surgit sur les fleurs de l’entendement ami, cherchez à l’isoler dans un coton de
bonté, sans manquement de respect aux absents et sans blesser ceux qui parlent.
Les références nobles sur les personnes, les événements, les circonstances et
les choses sont toujours des indices de loyauté et d’élégance morale. Ignorez
dans n’importe quel groupe que vous soyez, toute phrase dépréciative qui soit
dirigée vers vous, directement ou indirectement. Devant une personne qui n’a
pas la faveur de discourir sur d’édifiants sujets, ne murmurez pas, ne soufflez
pas, car des attitudes similaires expriment une absence de tenue pour les thèmes
abordés. Ne déconcertez jamais les autres, ni vous retirer de l’enceinte lorsque
des compagnons déterminés ont comme responsabilité un temps de parole ou la
charge d’exécuter tel ou tel spectacle artistique. Les manifestations d’oratoire,
d’enseignement, d’édification ou d’art exigent le recueillement et le silence. Ne
riez jamais, ou ne faites jamais rire, en dehors des sujets, dans les réunions à
caractères sérieux. Nous devons profiter, chacun de nous, des entendements
sociaux pour construire et aider, donnant aux autres, le meilleur de nous pour
que le meilleur des autres vienne à notre rencontre.

42. Fêtes
Tous les motifs pour les fêtes dignes sont respectables, cependant, la charité est
la plus élevée de toutes les raisons pour n’importe quelle fête digne. Tout le
monde a de quoi payer une petite parcelle pour la réalisation de tel ou tel
engagement festif, destiné à maintenir les bonnes œuvres. A chaque fois que
possible, en dehors de votre participation dans un acte festif, avec des fins
d’assistance, il est important que vous coopériez dans la vente pour le moins de
cinq petits billets de tombola, dans l’environnement de vos amis, au bénéfice de
l’engagement caritatif. Même si vous ne pouvez pas comparaître à une fête de
charité, profitez de prêter votre contribution. Festoyer dignement, autour de la
fraternité humaine, pour aider le prochain, est une des plus belles formes d’aide.
Si vous ne dansez pas, votre comparution à un bal, n’est pas conseillée. Dans
des rencontres sportives, il est meilleur de rester à distance si vous ne savez pas
perdre. Si vous possédez des dons artistiques, autant que vous le pouvez,
collaborez gratuitement, au travail qui s’effectue, en aide au prochain. Dans les
commémorations d’anniversaire, ne demandez jamais quel est l’âge de la
personne fêtant l’heureux événement, ni ne cherchez pas en examinant la
signification des bougies postées sur le gâteau traditionnel. Conduisez
l’engagement festif, sous votre responsabilité, pour le meilleur profit, en
matière d’éducation et de solidarité qui peut toujours être extrait de la
convivialité sociale. Apprenons à ne pas critiquer la joie des autres.
43.Divergences
Souvenez-vous que les autres personnes sont différentes, pour cela même, elles
gardent leur manière propre d’agir. Éclairez bien la base de l’entendement
fraternel sans polémiquer. Être Antagoniste systématiquement est un procédé
pour ancrer des aversions. Vous pouvez clairement ne pas être d’accord sans
offenser, dès lors que vous parlez appréciant les droits de votre opposant.
Éloignez les mots agressifs de votre répertoire. Tout aussi bien comme il nous
arrive, les autres aussi veulent être responsables des compromis qu’ils
assument. Il existe de nombreux moyens d’aider sans blesser. Généralement,
personne ne se dispute jamais avec des personnes étrangères, mais bien avec
des personnes chères ; mais cela vaut-il la peine de tourmenter ceux avec
lesquels il nous revient de vivre en paix ? Apprenons à céder à quelque
problème secondaire, pour rester fidèles aux réalités essentielles. Si quelqu’un
dit que la pierre est en bois, il est juste que vous répondiez à sa façon de croire,
mais si elle prend la pierre ou le bois pour blesser autrui, il est alors important
d’argumenter l’impropriété du geste malsain.

44. Les hôtes


Inviter est une responsabilité pour qui la formule. L’hôte reçoit le traitement qui
est dispensé à la famille. Aucun ami, pour aussi intime qu’il soit, ne prendra la
liberté d’arriver chez l’habitant, afin de s’y établir sans préavis. Si une personne
n’est pas conviée à être reçue chez telle ou telle personne et a besoin d’un toit
pour quelque raison que ce soit, même pour un court délai, elle ne doit pas le
faire sans une consultation préalable. Si une personne recherche chez
quelqu’un, la possibilité d’une nuitée et qu’elle ne reçoit pas de réponse, elle
procédera correctement, cherchant un hôtel, car l’ami consulté a peut-être des
difficultés chez lui, faisant qu’il ne peut pas recevoir. Un invité pour être
éduqué, ne rentrera pas dans les désaccords de la famille ou du groupe qui
l’accueillera. Dans l’habitation d’autrui, nous avons besoin naturellement de
respecter les horaires et les habitudes des habitants, évitant d’interférer sur les
sujets de la cuisine, les arrangements domestiques, tout comme c’est une
obligation de laisser la chambre à coucher organisée et aussi propre que
possible. C’est une grande preuve d’éducation que de respecter les points des
vues des personnes amies, dans leur résidence. Dans l’habitation des autres, il
est impératif d’occuper la salle de bain pour un minimum de temps, pour ne pas
perturber la vie de ceux qui nous offre l’hospitalité. Fuyez les protestations et
les récits inconvenants à table, principalement aux heures de repas. L’invité ne
s’immiscera pas dans les conversations familières auxquelles il n’est pas lié. Il
est juste de gratifier, parmi les possibilités propres, le personnel de maison dans
les lieux qui nous reçoivent, parce qu’ils n’ont pas l’obligation de nous servir.
45. Par rapport à la sexualité
Ne raillez pas le sexe, parce que le sexe est la source de la création divine, qui
ne peut-être responsabilisé par les abus de ceux qui le ternissent.
Psychologiquement chaque personne conserve en matière de sexe, une
problématique différente. Dans n’importe quelle aire du sexe, réfléchissez avant
de vous compromettre, car la parole engagée génère des liens dans l’esprit. Ne
tentez pas de généraliser les nécessités affectives des autres pour vos nécessités
affectives, parce que bien que l’amour soit la lumière uniforme et sublime chez
tous, l’entendement et la position de l’amour se graduent de mille façons
différentes dans le chemin évolutif. Utilisez la conscience, à chaque fois que
vous décider de l’engagement de vos facultés génésiques, vous immunisant
contres les maux de l’erreur. Dans toute communication affective, souvenez-
vous de la règle d’or : ‘Ne faites pas à autrui ce que vous ne désirez pas que
l’on vous fasse. Le travail digne qui vous assure la propre subsistance est une
solide garantie contre la prostitution. N’armez pas de pièges pour quiconque,
notamment sur le chemin de l’affection, parce que vous vous précipiterez
dedans. Ne souhaitez pas votre bonheur au prix de l’infortune des autres, parce
que tout déséquilibre d’affection dévié sera corrigé, à coût d’affection torturée à
travers de la réincarnation. Si une personne s’est trompée dans l’expérience
sexuelle, consultez le propre intime et vérifiez si vous n’auriez pas encouru la
même erreur si vous aviez eu cette opportunité. Ne jugez pas les supposés
désajustements ou fautes reconnues du sexe mais respectez les manifestations
sexuelles d’autrui, tout comme vous demandez le respect pour celles qui
caractérisent votre existence, considérant que la communion sexuelle est
toujours un sujet intime entre deux personnes, et, voyant deux personnes unies,
vous ne pouvez jamais affirmer avec certitude ce qu’elles font ; et si la
dénonciation quant à la vie sexuelle de quelqu’un est formulée par le ou la
partenaire de ce quelqu’un, il est possible que l’accusateur soit plus coupable
quant aux erreurs faites, de fait que concernant la personne pointée du doigt sur
la scène publique, il aura partagé les mêmes expériences. Dans tous les défis et
les problèmes du sexe, cultivez la miséricorde envers les autres, vous souvenant
que dans les domaines d’appui pour la compréhension, si aujourd’hui est votre
journée pour donner, il est possible que demain ce soit le jour de recevoir.
46. Visites fraternelles
Visiter est un acte de fraternité, duquel il ne convient pas d’abuser du temps ou
de faire preuve de commentaire inconvenable. A chaque fois que cela sera
possible, la visite sera marquée avec anticipation, afin que ceux qui reçoivent ne
soient pas indisposés. La personne qui en visite une autre, pour le plaisir de
l’amitié ou pour de la courtoisie, n’aura pas besoin pour cela de dépasser un
temps supérieur à 15 ou 20 minutes, revenant aux personnes recevant, de
prolonger ce temps, insistant pour que le visiteur ou les visiteurs ne se retirent
pas. Parmi ceux qui se rencontrent, il y aura spontanément assez de
considération pour que ne surgissent pas des souvenirs désagréables, de part et
d’autre. N’abusez pas de l’ami qui visite, sollicitant un service professionnel en
dehors du lieu et du temps, comme quelqu’un qui organise une embuscade
affective. Ne profitez pas de minutes de gentillesse, dans le traitement social
pour formuler des conseils qui n’ont pas été demandés. Taire les impressions de
voyages ou les données autobiographiques, dès lors qu’elles ne sont pas
sollicitées par les circonstances. Évitez les critiques qu’elles qu’elles soient. Ne
posez pas de questions susceptibles d’incommoder les personnes vous
accueillant. Ne jetez pas à la dérobée, des regards aux quatre coins, à la manière
de quelqu’un qui cherche des motifs pour la censure ou la médisance.

47.Visites à des malades


La visite à un malade demande du tact et de la compréhension. Abstenez-vous
de donner la main à un malade lorsque vous êtes admis en sa présence à
l’exception de cas où ce soit lui qui en prenne l’initiative. Si le visiteur n’est pas
appelé spontanément à voir le malade, il n’insistera pas, acceptant tacitement
les motifs manifestes qui mettent obstacle à cette démarche même. Toute
conversation au pied du malade exige contrôle et sélection. Évitez les narrations
autour des maladies, symptômes, souffrances et autres sujets désagréables. Une
carte fraternelle ou quelques fleurs, substituant la présence, dans l’hypothèse
d’une visite répétée, pour un traitement prolongé, constituent des sources de
vibrations constructives. Alors que l’oraison est une bénédiction providentielle,
dans tous les cas, le type d’assistance médicale, en faveur de tel ou tel malade,
sollicite considération et respect Ne parlez jamais fortement dans un hôpital ou
dans la chambre d’un patient. Pour aussi grave que soit l’état organique d’un
patient, ne jamais lui imposer des pronostics autour de la mort, parce que
personne sur Terre, ne possède de recours pour mesurer la résistance de quelque
personne et chaque cas agonisant qui désincarne, fonctionne suivant la
miséricorde de Dieu, dans la Grande Vie à travers les Esprits Bienveillants et
Sages qui dosent la vérité en Amour, au bénéfice des frères et sœurs qui se
délocalisent de plan. Toute visite à un malade, même si c’est une simple visite,
doit être courte.
48. Imprévus pendant les visites
Au cours d’une visite déterminée, taire quelque commentaire ou question
lorsque que les amphitryons reçoivent une correspondance. Lors d’une
discussion, totalement inattendue entre familiers, gardez discrétion et respect.
Ne proférez pas des exclamations, ne poussez pas des cris si un insecte ou
quelque petit animal surgit aussitôt. Conservez votre calme sans interférence à
chaque fois qu’un enfant de l’habitation visitée reçoit une remarque de ses
parents Abstenez-vous de commenter négativement les petits désastres de la vie
du foyer, que ce soit de la chute d’une personne, comme de la vaisselle cassée.
Si d’autres visites apparaissent, même si ce sont des personnes avec lesquelles
nous ne nous trouvons pas particulièrement affiliées, ne nous désengageons pas
abruptement, mais restons quelques instants dans l’enceinte domestique dans
laquelle nous sommes, témoignant cordialité et révérence. Voyant des personnes
qui nous sont inconnues ou qui ne nous ont pas été présentées dans l’enceinte
qui nous accueille, ne formulez jamais de questions comme : ‘Qu’est-ce que
c’est?’ ‘C’est qui celle-là, ‘C’est une personne de votre famille’, ‘Qu’est-ce
qu’il fait ici’ ou ‘tiens! Serait-il que je connaisse cette personne ?’
Lorsque des résidents d’un domicile sont prêts à sortir, au moment même de
notre arrivée, nous devons renoncer au plaisir de les visiter, leur laissant la
liberté. Qui visite doit toujours apporter avec soi optimisme et compréhension
pour être utilisés dans n’importe quelle circonstance.

49. Par rapport à l’assistance sociale


Approchez-vous de la personne venue cherchez assistance, et trouvez en elle
une créature humaine, si humaine et si digne quant à nos êtres les plus chers. En
aucune façon, n’agissez en superposant les instructions professionnelles sur les
principes de la charité authentique. Aider sans afficher de supériorité.
Comprenez que nous sommes tous nécessiteux de telle ou telle espèce, devant
Dieu et devant les autres. Mettons-nous dans la situation difficile de qui reçoit
le secours. Prêtez attention à la parole des compagnons en privé, les écoutant
avec une affectueuse patience sans faire simultanément autre chose et sans les
interrompre par des recherches inopportunes. Taire toute observation cruelle ou
déprimante devant ceux qui souffrent, tout comme savoir mettre en silence les
sarcasmes et les amertumes près des créatures aimées. Confortez les nécessiteux
sans exiger de leur part des changements immédiats. Aidez les nécessiteux à
être indépendants de nous. Respectez les opinions et les idées de ceux que nous
prétendons aider. Ne jamais subordonner la prestation de services ou de
bénéfices à l’acceptation des points de vue qui nous sont personnels. Conservez
discrétion et respect aux côtés des compagnons pauvres ou en souffrance, sans
tracer de commentaires indélicats les concernant lorsque la visite est terminée.
50. Par rapport à la prière
Vénérons dans la prière la présence de la lumière qui nous révèle le chemin
pour la Vie Supérieure, sans nous en servir pour nous plaindre d’autrui ou
répandre verbalement sur quiconque. Lorsque notre communion avec Dieu et
avec la Haute Spiritualité n’est pas possible en quelques endroits, cependant
elle l’est toujours dans le silence du cœur, conformément à la recommandation
faite par Jésus.

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