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CARMA MMMM Ke 5 Montrer que la somme des cubes de trois é entiers consécutifs est divisible par 9. BSCS DECISIS Cacher les aie FEA AOAC Acca ea Zia somme des trois cubes peut s'écrire : U y (n-1)> +n? + (n+1)> = 3n(n*42). E 9) (1) nest multiple de 3: f 5 alors 3n((n?+2) esr divisible par 9. 5 (2) n n'est pas multiple de 3 : alors ¢ n= 3k+1 ou n=3k-1; n2+2= 9k?+6k+3 Y 3 ou n2+2=9k2. 6k+3 est divisible par 3 E 9) donc 3n(n?+2) est divisible par 9. c MBOUP WIOBIBIBSIDSIASIASIASIBSIASII SEALAR ALAA ARAMA AATF lin —5 CIOS OP OS OS OO 8 OP OF OP EN. Trouver tous les n € Z tels que | t | B ¥ | Soit n eZ tel que [OISAISSISSISSISSISSIESIGSIGIIGS) lin -—5 n+4 On a alors: n+4 | 1l1n—5. Mais: l1in—S=11(n+ 4)— 49,d’0d : n+ 4] 49 et donc: EN. | n+4€Divz(49)={—49,—7,—1,1,7,49}, | puis: nm € {—53, —11, -S, —3, 3, 45). On teste tous les cas. par exemple sous la | forme d’un tableau : [a [53-1 -5 -3 3 45 lin —5 n+4 12 18 60 -38 4 10 | Onconclut, que, pourtouta € Z: lin-—5 n+4 Ainsi, il existe unin € N et un seul convenant, c’estn = 3. EN eon =3. ae a eee aaa ee ae eee eee QRS RSFRSRSRSOSOSOSVSBVS petq désignent deux entiers naturels tels que p2 - 2q2=1 (par exemple p=3 et g=2) 1° ) Démontrer que p est impair. 2 2° ) Démontrer que g est pair. LOE OP OP OP OP OL OP OP OP OS AGACACAGCAGCAGCACAGABAISAISaIE Y1°) Onpeut écrire p? =2q? +1 % q étant un entier, 2g2 est un entier multiple de 2, c'est-a-dire un entier pair, 2 donc p2 = 2g2 + 1 est un entier impair. Si p était un entier pair, on aurait p=2k avecke Z, donc p? =4k2 =2x(2k2) avec Ake Z donc pe serait aussi un entier pair, ce qui est en contradiction avec le résultat trouvé. p West donc pas un entier pair, cest a dire que [pestun enter mpar]. 2° )On peut écrire 292 =p? - 1=(p - 1)(p + 1) Ona vu a la question précédente que p est impair, donc p-1 et p + 1sont des entiers pairs. On peut donc écrire p-1=2k avecke Z et par conséquent p+ 1=2k + 2=2(k +1) Alors 2q2 =(p - 1)(p + 1) =2kx2(k + 1) =4k(k + 1) Donc g2=2k(k +1) avec k(k+1)eZ Donc g? est un entier pair. Si q était impair, on aurait q =2n+1 avecne Z donc qg? =(2n+ 1% =4n2 + 4n+ 1 = 2(2n2 + 2n)+ 1 avec 2n2 + 2ne Z, donc q? serait impair, ce qui est en contradiction avec le résultat trouvé. YSIS OAISSYy SSIS SSS SS SASS ISAS SA SASSISYILSY) IROMIROTIREIRaIROIROI Ra REI ROIRGIRalRalRalox Donc g n'est pas un entier impair, c'est-a-dire que [g est un entier pair J. Spo oo ooo oo oS oC oC oo oo ool oe oo by) eNSIITEN BIRIRIRSRIFRIRIR AR SB SRS Soit 2 un entier naturel. 1°) Démontrer que n?2 + 5n +4 et n2 4+ 3n4 2 sont divisibles par n+ 1. 2°) Déterminer l'ensemble des valeurs de 2 pour lesquelles 3n2 + 152+ 19 est divisible parn + 1 3°) En déduire que, quel que soit n, 3n2 + 152 + 19 n'est pas divisible par n? + 3n+ 2 PUL CL CL UD Vf U1 BLO OD Of © Qrupusisus ACACAGCAGCAGCAGCASASAGCAGASAL 3) 1) Onpeut écrire 22 + 524+ 4=(n + 1)(n + 4) et 24+ 3nt+2=(n4+1)(n + 2) n+4 et n+2 étant des entiers, on en déduit que: n2+5n+4 et n243n+2 sontdivisibles par a+ 1 quelque soit l'entier naturel n 2°) Raisonnons d'abord pourze Z. On peut remarquer que 3n2+152+19= 3(n2 +5n+4)+ 7 Ona vu dans la question précédente que n+ 1 divise n2+5n+4. Onpeut en déduire que n+ 1divise 3n? + 152+ 19 < a+ 1divise7 @ n+1e{-7;-1;1;7 @ ae {-8;-2;0;6} Donc 3n? + 152+ 19 est divisible para + 1 siet seulement si ne {-8; -2;0; 6} nétant un entier naturel, on en déduit que : 3n2 + 15n + 19 est divisible par 2+ 1 si et seulementsi 2c {0; 6} 3°) On sait que n+1 divise 243042 Si 2 + 3n+2 divise 3n2 + 152+ 19 alors n+1 divise 3n2 +4 152 +19 D'aprés la question précédente, on aurait donc nécessairement ne {0 ; 6}. Pour toute valeur den différente de 0 et de 6, r2 + 3n + 2 ne divisedonc pas 3n? + 15n+ 19 Prenons a =0, ona n243n+2=2 et 3n24 1504+ 19=19 donc n2+3n+2 nedivisepas 3n? + 152+ 19 Prenons n=6, ona n243n+2=56 et 3n2 + 150+ 19=217 il est immédiat que 56 (nombre pair) ne divise pas 217 (nombre impair) donc n24+3n+2 nedivisepas 3n2 + 1524 19 Ona donc démontré que : quel que soitre N, 3n2+15n+19 n'est pas divisible par n? + 32+ 2 f Sroamormsinpsipoleolmolmolmolool ISAS ASSMISVIISASA GASB SASS SISA SAGA SA SBI SVIGVILGajiggi SEFRIRFRIRARARARARARARH Montrer: Vn € N, 14 divise 347+? 45°71), Sl Sal Sal Sal Sl Sa Sf St St SSS 7} Notons, pourtoutn EN: uy, = 34+? +19 2+ Ona: up = 32? +5 = 14, donc 14 | uo. jy" Supposons por unm EN fixé: 14 | uy. Exprimons u,,,; en faisant intervenir u, : 2 = 34nt+2 + sree itl _ gint6 4 52n+3 LOSI 4) Uns = i 34. 34nt2 + §2a+3 os 3*(un _ Stl). 52n+3 j i = 34u, —4-14- 5°71, Comme 14 | up, on déduit 14 | uasi, % ce qui prouve le résultat demandé, A par récurrence sur n. AIT GIR RAI RG IR aR eRe Re limaliralirn wa 34u, + gat (52 _ 34) wes 34uy — 56- gent ar p ° ; ° p p p e ( RIA ARLAFRARALAIRARAR ARI Démontrer que pour tout n EN: 1. n3 —n est divisible par 6 , ie 2. n® — n est divisible par 30 , > 3. n’ —n est divisible par 42 . » Indication : Pour 1, on peut factoriser n? —n » pour voir que ce nombre est multiple de 2 et ut de 3. Les cas 2 et 3 peuvent se traiter de facon » analogue. > & I DM TATA CAVALLI LALATAEL 3 n3 —n = n(r? — 1). n pair > n3? — n multiple de 2. n impair => n? —1 pair et n? —n multiple de 2. c % n multiple de 3 > n? —n multiple de 3. f 4 n= 3k+1= n?—1 = 3(3k? + 2k) multiple de 3. 4 n= 3k+2 => n? —1=3(8k? + 4k) multiple de 3. f Dans les 3 cas, n? — n est multiple de 3. c ¥} n? — n est divisible par 2 et 3 qui sont premiers f 4 entre eux donc n* — n est divisible par 6. f 1 [- TRA GTIRGITASGTIROTRGIIRGIIRGTIR GIIRIR GIRS Gll= MAMAMAMAAMAMAAMAAMRAC Démontrer par récurrence que pour tout n € N, 32n+2 _ 97+! oct divisible par 7. Ecrire 3°°+2 — 2n+1 = 32n(32 — 2) — 2/32" — 2"), UWHAMPUSUSUIUAIUPAIUIUIUIe A SASACACACACACACACHCSACaE 33 Soit P(n) la propriété : sg2n+2 _ 9n+1 ect divisible par 7”. Montrons par récurrence que P(n) est vraie f FREITR SOIT’ pour tout n EN. C P(Q) est vraie. En effet, Y 30*2 _ 21 — 9 — 2=7 est divisible par 7. Y Supposons qu'il existe & entier positif tel que Rs P(k) est vraie. Montrons alors que P(k ~ 1) est vraie. 2(k+1)+2 _ o(ktI+1 _ g2k+4 _ oh+2 Y = gk+2 (3? _ 2) . aig 1 af) i 3? — 2 est égal A 7 donc 3?**?(3? — 2) est divisible par 7. De plus 374+? — 2* est divisible par 7 - ROIS! y [ev] Ms Rs d’aprés I’hypothése de récurrence, donc 2(37*+2 — 2*) aussi. On en déduit que 3%k+1)+2 _ 9(k+1)+1 est divisible 7, comme somme y de deux multiples de 7 : P(k — 1) est vraie. & Conclusion D’aprés le principe de récurrence, la ¢ propriété est vraie pour tout n positif. i TFREITROI TSG SI) IBS SSI SSI SST SSI SST SSID SI SSI SSI SSI SSI SS SST Sa m* | ! | | 1 EALPRARALARARARAR ARS? Soit x et y deux entiers naturels. Montrer que 2x > °§ e* divisible par 7 si et seulement si 5x + 4y I'est. EMEDICINE Annonces Google Hele Tal Eetalatelleremy §©Pourquoi cette annonce ? @ Cacher les solutions (1) Supposons que 7 divise 2x + 3y; alors , comme 7 ¥ (2) Réciproquement, si 7 divise 5x+4y alors 7 divise 6(5x+4y) - 7(4x+3y) = 2x+3y. SIBSIIBIBIIDIBIBIESIBIBIBSIBS) divise 7, 7 divise 6(2x+3y) - 7 (x+2y) = 5x + 4y. ; ity SERERSRSVSVSVSVSVSVEVW Montrer que si p est un entier naturel premier supérieur a 5 alors (p-1)? divise (p-1) !. q EMMI Annonces Google Bloquer I'an (f-3) Pourquoi cette annonce ? ( Cacher les solutions 4 Par la définition d'une factorielle on a ¥ 1x 2x3... (p-2)x (p-1) =(p-1)!. Done (p-!) divise (p-1)! On va démontrer que ¥ (p-1) divise aussi (p-2)!. 4 p est impair, puisque premier supérieur a 5, y donc p-! est pair. Alors, (p-1)/2 est un entier ( strictement plus petit que p-2 car p <5). 4 Alors, (p-2) ! =1 x2 x3x...x (p-3) x (p-2) 4 est divisible par 2 x (p-1)/2 = p-1. t t t t i GRA Soit a et b respectivement définis par : a= n?-7n+15n et b=n-3 ou n désigne un entier naturel § strictement supérieur 4 3. Quels sont le quotient et le ; reste de la division euclidienne de a par b ? ESE DeDENEDeSE DECIR Annonces Google (3) Pourquoi cette annonce ? © Cacher les solutions On établit facilement I'identité suivante : n?-7n+15=(n-4)(n-3)+3. Si 3 est < n-3, soit n> 6 alors 3 est le reste de la division euclidienne de n?-7n+15 par n-3. : : ' Les autres valeurs possibles pour n sont 4,5 et 6; si n=4 ou n= 6 ona pour reste =0. Si n=5, le reste est =I. GACGHCAGASS ae cam i a IR FRALFTRATRARAR ATR IRM On considére un entier naturel a dont |'écriture décimale est a=a,x 10% + a,_4 x 10-14 + a, x 10 + a On lanote souvent “G,a,74.-.aja9 Démontrer les propriétés suivantes : 1°) amagq (2) 4°) aa (5) 2") cu 3 (3) 5°) an 3g (9) is isn isa 3°) a=10xa,+a9 (4)| 6°) c= a;- > a; (11) i=0 i=0 ipair iimpair Parr Prer Arr PacrPrcs Déduire de chacune de ces propriétés un critére de divisibilité énoncé sous forme d'une phrase et donner dans chaque cas un ou deux exemples significatifs. LSUPUIUSUPIANPUAIAPDUIAIE PLPV PL PLP PPL PPP Pisses @estun entier naturel dont |'écriture décimale est she = qx 10" + day x 101 +... + ay x10 + ay 1°) On sait que 10=0 (2) donc pour toutic N* 10'=0 (2) donc a;x 10! #0 (2) donc a,x 10% +a,4x10%1+4....4a,x 1050 (2) On en déduit que a,x 107 + dag x 101+ .... + 04x10 + Gye ay (2) c'est-a-dire Un nombre est pair si et seulement si son chiffre des unités est pair. Exemples: 102568 est pair car 8 est pair 589647 n'est pas pair car 7 n'est pas pair. 2°)On sait que 10=1 (3) donc pour tout ie N 10's 1/81 (3)donc a;x10' =a; (3) Ona a= 5" ax 10! donc as 24x 10! (3) i=0 donc | ae SS a, (3) iz0 Un nombre est divisible par 3 si et seulement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Exemples : 10302 est divisible par 3 car 1434256 est divisible par 3. 72311 n'est pas divisible par 3 car 7+24+341+1=14 nest pas divisible par 3. 3°) On sait que 100 =0 (4) c'est-d-dire 1020 (4) Pour i> 2, on peut écrire 10! = 10? x 10!-2 avec 10-2 IN Donc pouré>2 10's 0x 10-250 (4) Onaalors 10/=0 (4) pourtout/>2, iza 4 a;x10'=0 (4) Onpeut écrire =D gx = 205+ 100, +'¥ ax 1, izo Onen déduit [a= aq + 10a; (4) Un nombre est divisible par 4 si et seulement si le nombre formé par ses deux demiers chiffres est divisible par 4. [SASASASACASASAESASAGACS [ASIIASINGIRSIRSIASIASIASIASIASIBSIASIASIAGIASIASIASIASINGIASIASIAGICS NIBSIESIEAISSISSISSIBCAIBAISSIBSIESS) a est un entier nature! dont I'écriture décimale est a =a, x 10" + ayy x10) +... + ay x 10 + a9 1°) On sait que 100 (2) donc pour toutie N* 10'=0 (2) done a,x 10! =0 (2) donc a,x 10%+ 4,4 x1014.... +a «1050 (2) On en déduit que x 10% + apg x 101 +... + ay x10 + Gg ay (2) c'est-a-dire Un nombre est pair si et seulement si son chiffre des unités est pair. Exemples: 102568 est pair car 8 est pair 589647 n'est pas pair car 7 n'est pas pair. 2°) On sait que 10=1 (3) donc pourtout é< N 10's 1/=1 (3)donc a;x10' =a, (3) =n =f a,x 10! done a= >, a,x 10! (3) izO Un nombre est divisible par 3 si et seulement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Exemples : 10302 est divisible par 3 car 1434256 est divisible par 3. 72311 rest pas divisible par 3 car 7+2+341+1=14 nest pas divisible par 3. 3°) On sait qe 1000 (4) c'est-a-dire 1020 (4) Pour é > 2, on peut écrire 10! = 10? x 10/-2 avec 10'-2eIN Done pouri=2 10'=0x10'-?=0 (4) Onaalors 10/=0 (4) pourtouté 22, iza & a,x 10'=0 (4) Onpeut écrire i=2 $ a 5 " ize ign X a;x10' ag + 10x, + D a,x 10. i= i=2 Onen déduit [asap + 10 xa; (4) Un nombre est divisible par 4 si et seulement si le nombre formé par ses deux demiers chiffres est divisible par 4. Exemples : I SAS SUISOI SOI SGISASASASAGAGA GAGA GAGA GAGAGAGAGAGAGCHGHCH ABB sosmons c [ASIDASIBSIRSGIASIASIAGIAGIRGIRGIRARARGAREIRSIRGIRGIRGIRGIR Onen déduit | @% dp + 10 xa, (4) Un nombre est divisible par 4 si et seulement si le nombre formé par ses deux demiers chiffres est divisible par 4. Exemples : 1983124 est divisible par 4 car 24 est divisible par 4. 72310 n'est pas divisible par 4 car 10 n'est pas divisible par 4. 4°) On sait que 100 (5) donc pour toute Nt 10'=0 (5) donc a;x 10/ #0 (5) donc a,x 107+ a, 4x10%1+.... +a x10=0 (5) Onen déduit que 5 a,x 10" +a, 4 x10"1 4 .... #410 + a8 ay (5) Cest-a-dire Unnombre est divisible par 5 si et seulement si son dernier chiffre est divisible par 5 (c'est-a-dire 0 ou 5) ie ls 3 > ie ie 125875 est divisible par 5 car le demier chiffre est 5. 524856 n'est pas divisible par 5 car le dernier chiffre nest ni Oni 5. 5*)On sait que 1081 (9) donc pourtout /e N 10's 1'8 1 (9) donc 4x10 #a, (9) ° Sj » 5 ; as x10! done am S a)x 10! (9) iO om [aise Un nombre est divisible par 9 si et seulement si la somme de ses chiffres est divisible par 9. Exemples 10908 est divisible par 9 car 14948 = 18 est divisible par 9. 10524 n'est pas divisible par 9 car 145+244=12 n'est pas divisible par 9. 6°) On peut remarquer que 1091 (11) ; 101m 10-1 (11) ; 102m 10081 (11) Si est pair, on peut écrire i= 2p avec pe IN donc 10'=102P =(102P done 10!= 1751 (11) Si/ est impair, = 2p +1 avec pe N donc 10 = 102741 = (102)? x 10 donc 10/= 17x10 105-1 (11) On en déduit que sifestpair a,x 10'=a; (11) et sifestimpair a;x10/= -a, (11) Done ‘Sax t0'm Sa + 3” (-a) (11) cs jee jee ipair impair (ATEATEAGAGCACAGACHCAGAEASAGASEISUISVISUISY __ 125875 est divisible par § car le demier chiffre est 5. ©) 524856 n'est pas divisible par 5 car le dernier chiffre nest ni Oni 5. 5°) On sait que 101 (9) donc pour tout é¢ N YY 10's 1/1 (9) donc a,x 10! =a, (9) ize isn Ona a= 3, q;x10' donc a= > a,x 10! (9) iz0 i=0 done > @ (9) isd Un nombre est divisible par 9 si et seulement si la somme de ses chiffres est divisible par 9. Exemples : 10908 est divisible par 9 car 1+9+8 = 18 est divisible par 9. 10524 n'est pas divisible par9 car 145+244=12 n'est pas divisible par 9. 6°) On peut remarquer que 1091 (11) ; 102 10e-1 (11) ; 102510081 (11) Si est pair, on peut écrire i= 2p avec pe IN donc 2 10'=102P =(102Y donc 10’ 17=1 (11) Si/ est impair, /=2p+1 avec pe N donc 10’ = 102P+1 = (102)? x 10 [SMISAISAISAISISUISUIIGOIISO) ~) donc 10/= 17x 10=10 =-1 (11) On en déduit que sifestpair a,x 10'sa, (11) et sifestimpair a,x 10/= -a, (11) Un nombre est divisible par 11 si et seulement si la différence entre la somme des chiffres de rang pair (apartir de la droite) et la somme des chiffres de rang impair est divisible par 11. Exemples : 41308 est divisible par 11 car (8+ 34 1)-(0+ 1)=11 est divisible par 11. 107524 n'est pas divisible par 11 car (44540) -(24+741)=4 nest pas divisible par 11. LSIISAIISSIISOIISOIISYISUISUI SA SOSA So) ener er eee eee MRAM MAMAMAMAMF Pour n entier naturel non nul , on pose UgH li +2!+3!+..+n! a) Montrer que n! est divisible par 10 si et seulement si n est supérieur a 5. b) Montrer que n! est divisible par 100 si et seulement si n est supérieur a 10. c) Montrer que n! est divisible par 49 si et seulement si n est supérieur strictement a 14. d) Montrer qu'il existe un entier np tel que pour tout n supérieur strictement a np , on a : U, =3 (mod 10). e) Montrer que qu'il existe un entier n, tel que pour tout n supérieur strictement an, on a: U, =47 (mod 49) UHUPUPeUPIULIuUPeLILAIAITS Lr eae PrP SL PPL PLPL PLP estes ae On sait que : *n! = 1.2.3....(0-1)n * Un entier naturel est divisible par 10 si et seulement si il est divisible par 2 et par 5. a) n! est divisible par 10 si et seulement si dans sa décomposition en facteurs premiers, 2 et 5 ont des exposants non nuls. alors n! est divisible par 10 si et seulement si n> 5. b) Un nombre est divisible par 100 si et seulement si dans sa décomposition en facteurs premiers, 2 et 5 ont des exposants supérieurs 4 2.| (100 = 22. 5?) Or, n! = 27.5 otk est un entier si et seulement sin > 10. ¢) n! est divisible par 49 = 7? si et seulement si 7 apparait avec un exposant supérieur a 2 dans 1a décomposition en facteurs premiers de n! Cela signifie que n est supérieur 414 (14 = 2.7) d) n! est divisible par 10 si et seulement si n supérieur a 5. Cela signifie que n! = 0 (mod 10) si et seulement si n supérieur 4 5. Pour n> 5, ona 142143144! + 5!14+...4 n! =1+2!+3!+4! (mod 10) Done, pour ny = 4, on a bien Un = Us sin > 4. Cela signifie que I’écriture en base 10 de U, finit par un chiffre constant pour n> 4. 1! =1 (mod 10) 2! =2 (mod 10) 3! =6 (mod 10) 4! =4 (mod 10) Done 1! + 2! +3! + 4! =3 (mod 10) par suite U,=3 (mod 10) e) On sait que n! =0(mod 49) si et seulement si n > 14. Don| TE 4+ 2043! +4) +... al 14-2145) 40+ ae pour n> 13. On trouve U,=47 (mod 49). [ASTASIRGIASIAGTIAGIATIASIAGRGIASIATRGIASIATIAGIASIASIACIAGIASIASICS AIDA LEILA EDIE IED AIDA EEDA EIEIO LT . b) Un nombre est divisible par 100 si et seulement 2 si dans sa décomposition en facteurs premiers, 2 et 5 ont des exposants supérieurs a 2. (100 = 22. 57) Or, n! = 2?.52.k ot k est un entier si et seulement sin> 10. c) n! est divisible par 49 = 7? si et seulement si 7 apparait avec un exposant supérieur a 2 dans la décomposition en facteurs premiers de n! Cela signifie que n est supérieur al4_ (14 =2.7) d) n! est divisible par 10 si et seulement si n supérieur a 5. Cela signifie que n! = 0 (mod 10) si et seulement si n supérieur a 5. Pour n>5,ona 14214314414 5!4+...4 n! =1+2!+3!+4! (mod 10) Done, pour ny = 4, on a bien Un = Us sin > 4. Cela signifie que l'écriture en base 10 de U, finit par un chiffre constant pour n > 4. 1! =1 (mod 10) 2! =2 (mod 10) 3! =6 (mod 10) 4! =4 (mod 10) Done 1! +2! +3!+4! =3 (mod 10) par suite U,=3 (mod 10) e) On sait que n! =0(mod 49) si et seulement si n> 14. Donec T! 4.2043! +4) -.cF nt = 114-2143!441+ ot 13! pourn> 13. On trouve U,=47 (mod 49). | SACACGACACACASACACACACASAEACACACACACAGAIS REIREIREIRGIRGIRAIRGIRGIRGIRGIAGRGIRASIACIADINSIRSIBSIBSIDSI ) pat emn | meen mata | gmat ma lemaltoma | paloma | ealemal paloma le-—aloma | paloma lemaltoma Trot HAAAMAMAMAAMAA Soient x, y deux entiers. Montrer que x” + y” est divisible par ™ si et seulement si x et y le sont. YSU SUSU BASU SUSU BUBBA Dans ce qui suit toutes les congruences sont ¥, modulo 7. i Soient x et y divisibles par 7. 2 Alors x= y = Oe x*4+y2=02 4 aol be Pour la réciproque, supposons que : x+y? =0° +0 =0. 9} Or pour un carré il n'y a que quatre R2 ¥ valeurs possibles 0, 1,2 et 4. En effet: R =0 al =0, eatpene i je ie zh Ne z 2 Si Io Si x = +2 alors x? =4, Six = +3 alorsx? =9 =2. Donc la somme de deux carrés ne peut étre 0 modulo 7 que six = y =0. [ATI ASOD ASIASIOSIAGIDSIASIAS] KAMARA MRRRRAM Quels sont les entiers naturels, multiples de 10 et inférieurs 4 5000, qui sont la somme des < carrés de trois entiers consécutifs ? tara DI [SAI[GIIISIISSISIGPISAILSAILSAI Ga LGxa] LC z} Pour tout n entier naturel on peut écrire l'identité fe suivante : A n? + (n+1)? + (n+2)? = 3n? + 6n +5 Y , = 3(n? + 2n +1) +2 =3(n+1)? + 2. t Alors, n? + (n+1)? + (n+2)? = 3(n+1)? + 2 (mod 10). 4 n? + (n+l)? + (n+2)?=0 (mod 10) est donc Y z équivalent a 3(n+!)? + 2 = 0 (mod 10) i soit 3 (n+1)? =8 (mod 10). z Comme I'inverse de 3 modulo 10 est 7, ona : i A 7x 3(n+1)? =7x 8 (mod 10) i 5) ce qui donne (n+1)?=6 (mod 10). % (n+1)? = 6 (mod 10) est équivalent a f 7 n+l =4 (mod 10) ou n+l = 6 (mod 10) i donc n? + (n+1)? + (n+2)? = 0 (mod 10) est i wd équivalent a n =3 (mod 10) oun =5 (mod 10). A L'ensemble S des entiers naturels, multiples de 10 Y zy et inférieurs a 5000, qui sont la somme des carrés Y de trois entiers consécutifs consécutifs et qui correspondent a ne {3, 5,13, 15, 23, 25, 33, 35} Y 2 est S= {50, 110, 590,770, 1730, 2030, 3470, 3890}. f MBVIBIBIBIBYVOIBOVBOIBYIBOIOYIE ww Tax KAAARMAAMAMAMAAR Déterminer le reste de la division x 4 euclidienne de x 1. 22'° par7 x . par 7. 2189 2. 3 par 25. x nL CF C8 CF TO C1 CD DD DD D8 G0 OB fe e a ie a ie ie ie iB fe ie 1. Lenombre 22"° est tellement grand qu’on ne peut pas effectuer cette division sans astuce (ou ordinateur). On a2? = 1 mod 7, donc je fais la division euclidienne de 2!° par 3, 2! — 3q4r, ce qui permet d’écrire PM = Pat = (23)9 x 2" =2" mod 7. Il reste alors 4 determiner ce reste r. Trois méthodes pour cela: e Par calcul mental. 2'° = 1024 = 341x3+1 e Les parésseux reconnaissent que 1023 est divisible par 3, donc le reste est 1. e On écrit 2'9 = 2?*5 = (2?7)8 =45 = 15 =1 mod 3. On obtient alors 2?" =2 mod7 ce qui prouve que reste de la division euclidienne de 22"° par 7est 2. 2.Imitant la méthode ci-dessus nous cherchons une puissance 3" équivalente 4 +1 mod 25. 3 =9, 3 =2,3' =6, 3? =-7, 3 =4, 37=12, P=11, 3°? =8, 3'°=-1 mod 25. Comme 2189 = 10 x 218 + 9 on trouve 32189 = (310218 x3? = (-1)2'8 x8 =8 mod 25. NN Noe eal [MMA MMA MMA MAMMA AGAMA PARARARGTATAGAARAAA RAAT AAATAARAAATRARARAAGIE 3. IRAE ARARAAAMAAM On donne l'égalité 1000 = 13x76 + 12 Soit 2 un entier naturel. 4 Déterminer, suivant les valeurs de n, le reste de la > 4 division euclidienne de 1034 par 13. > Détemniner, suivant les valeurs de n, le reste de la 4 division euclidienne de 10°"+1 + 105” par 13. > x En déduire le reste de la division euclidienne par 13 de 11000 000 000 000 . xe Quel est le reste de la division euclidienne par 13 » 4 de 25x 1015 +1. a@ eID OGIO ADA OADIDOAE: D'aprés l'égalité 1000 = 13 x 76 + 12, on peut dire que 100012 -1 (13) donc 10°=-1 (13) Si nest un entier naturel, on a alors (103)"= (-1)" (13) cest-a-dire 103%=(-1)* (13) Sinest pair, onadonc 103%=1 (13) et sinestimpair 103*=-1= 12 (13) Comme 1 et 12 sont des entiers naturels strictement inférieurs a 13, on en déduit : Le reste de la division euclidienne de 10 par 13 est donc 1 siz est pair et 12 si nest impair |. 10341 4. 1034 = 103" 104 1037 = 11 x 1037 Si nest pair, on a 103% 1(13) donc 11x 1094511 (13) donc 10314 103" = 11 (13) Sinest impair,ona 10%= -1 (13), donc 11x 109s -11=2 (13) donc 1031 + 103%= 2 (13) Comme 11 et 2 sont des entiers naturels strictement inférieurs @ 13, on en déduit : Le reste de la division euclidienne de 1057*1 + 1057 est donc 11 si vest pair et 2 sin est impair On peut écrire 11 000 000 000 000 = 11 x 1012 = 1013 + 1012 En utilisant le résultat précédent avec n =4, ‘on obtient : Le reste de la division euclidienne de 11 000 000 000 000 par 13 est 11 Ona 1015 = 1035. D'aprés les résultats précédents avecn=5,ona 101 = -1 (13) Donec 25 x1015s -25=1 (13)donc 25x 10154+1=2 (13) Comme 2 est un entier naturel strictement inférieur @ 13, on en déduit : ‘Le reste de la division euclidienne par 13 de 25x 10541 estdonc 2 (ISMN SIR GIR STIROIROoleoieailie ol 2 iB 3 iB 2 iB 2 iB 3 iB 2 iB 3 iB 3 iB 4 B 2 iB 3 & 3 & 4 g 3 & 3 & 2 & 3 & 3 & % ae KAA AAAMAAMAMAMAM Quel est le reste dans la division par 7 des nombres 9998887 77666555444333222111 9998887 7766655544 4333222111000 Pe Pe PO DO DO OO OO OO DO OO OO 11 Y) Soit N = 999888777666555444333222111 N peut s'écrire sous la forme : Z N= 11142%111x103 43 «111x105 44 x111x109 + ... Y} c'est-a-dire N = 114424 111x101%3 43 1111023 +. ..49x111x1083 On peut remarquer que 11126 -1 (7) Y et 103= 1000= 65-1 (7) donc 10%= (-1) (7) . y Alors siz est pair 105%= 1 (7) RSIS RII RII RII RSI ROI RSIS ROI RSI RGIRSIRRS1 et sinestimpair 105s -1 (7) 3} On en déduit que NS=142x(-1)x(-1)+3x(-1)x144.x(-1)x(-1)#...49 x C1) x1 A Donc Ns-142-3+ 4-5+6-7+8-95 - 582 (7) A Le reste dans la division par 7 du nombre 3 9998887 77666555444333222111 est donc 2 Soit M = 9998887 7766655544 4333222111000 Ona M=1000xN 3 On sait que 1000=-1 (7) et N#2 (7) donc 1000N=-1x2=-2#5 (7) Y Le reste dans la division par 7 du nombre A 9998887 77666555444333222111000 est donc 5 BYVBYWVPIVVVVBIPERVI BIBLE »* ECARAMAMAMAMAAI Montrer que : pour tout entier premier p tel que p> 3 Ona: p’=1 (mod 24) CD CL CL CIC CD UD UD TBODY. FREVERUFRUES ihe AbW AbW Abe ADE 2 23) Soit p un nombre entier premier tel que p >3. SAGCASASAISAISASASAGABAG AIS © pn'est pas un multiple de 3. Donec p=1 (3) ou p=#2 (3) onendéduitque p=#1 (3) ou pe -1 (3) cest-a-die p-1=80 (3) ou p+i#0 (3) Alors (p - 1)(9 +1)=0 (3) clest-a-dire p2-1=0 (3) cest-a-dire p2- 1 est divisible par 3. « D‘autre part p est nécessairement un nombre impair. On peut donc écrire p=2k+1 avec ke N. Done p2-1=(p-1)(p +1) = (2k + 1- 1)(2k+ 1+ 1) = 2k(2k + 2) = 4k(k + 1) Parmi les deux entiers consécutifs & et & + 1, ilyen aun qui est pair, done &(k + 1) est pair. On peut donc écrire &(k + 1)=2K avec Ke IN. Onaalors p2-1=4k(k+1)=8K avec KEN. On peut en déduire que p2- 1 est divisible par 8. p2 - 1 est donc divisible par 3 et par 8. Les nombres 3 et 8 étant premiers entre eux, on en déduit que p2- 1 est divisible par 24. Done p2-1=0 (24) clesta-dire p2=1 (24) R On a donc démontré que : Pour tout nombre p premier strictement supérieur a 3 ona p2m1 (24) SIADIRUIDUIDUIDSIDSIBIIDIIDIIPI DIDIDIDIDIRIGIDIOI FI HI HI DI BIES TRERERSRERSRERERERIR ERE a) Soit a € Z. Montrer que le reste de la division euclidienne de a? par 8 est égal A 0, 1, ou 4. b) Soit n € N. Montrer que, si 8 divise n — 7 (autrement dit : n = 7 [8]), alors 7 ne peut pas étre la somme de trois carrés d’entiers. OE SE IK IESE IE OK OE EES Cacher les solutions £24.a) « Si a est pair, alors 4 | a?, donc le reste de Lr oPsis og la division euclidienne de a? par 8 est 0 ou 4. * Si a est impair, il existe b € Z tel que a=2b+1,etona @ = 4b? +4b+1=4b(b+ 1) +1. Comme b(b+1) est pair (car b ou b+1 est pair), on en déduit que le reste de la division euclidienne de a? par 8 est 1. b) Supposons qu’il existe (a,b,c) € Z? tel que n=@4+bP +e. Le reste r de la division euclidienne de n par8 est donc parmi les sommes de trois nombres puis y parmi 0, 1,4 (réduites modulo 8), donc r € {0,1,2,3,4,5,6}, 7 #7. [FGF GiGi B 2 a g 2 a a a a @ a R iL MAFLAMAMAMAAABS 1. Déterminer les restes de la division de 5° par 13 pour pentier naturel. 2. En déduixe que pour tout entier naturel n supéneur ou égal 4 1, le nombre N = 31477! + 18° est divisible par 13 0D CP C8 ODO OI OL OL Of Of OY Agana BPRaAIRD DESCENT MSS TEES Reste de la division 1/5 |-1 ou 12/—5 ou 8) 1 de 5? par 13 donc pour p=4k le reste est 1, pour p=4k+1 le reste est 5, pour p=4k+2 le reste est 12 ou —1, pour p= 4k+3 le reste est 8 ou —5. 2. N=314* 41847! » 31=2x13+5=5(13) et 18=13x1+5=5(13) ; ona donc N= 31" +184 =[ 541 +5477 |a13) =| gil 454043 Jas) =[5+8](13) = 0(13) Oe Pe DIIBIRPIEIBIPYIEIBIPYIEIPSIRS dS -wewe we we wwe we wwe we we we we Quels sont les entiers premiers p =2 > tels que p divise 2P+1 ? RF CD BDU UIUDUIUD UDO. SPS SUSU SY BUASUSAsiyow p étant premier, le petit théoreéme de Fermat i donne : 2?! =1 (mod p) ; SF alors 2x 2°"! 41 2x 1 +1 (mod p). i Sy Ona : 2P+] =0 (mod p) et 2P+1 =3 (mod p) R 4 et par conséquent : 3 =0 (mod p) qui montre i que p divise 3. p étant premier et divisant 3 Sy he peut étre que 3. I n'y a donc qu'un entier R 4 naturel p >2 qui divise 2P+1 : c'est p=3. i ~ W VIII PI PIPI PPI PPS) RAR RRRRRRRRH Quel est le chiffre des unités de 20072007 9 nf CM CF C8 CL CL Gf OBL BM BO I LE ES (IY ES) (SS LBS LS 2007! =7 (mod 10) 20072=9 (mod 10) 20073 =3 (mod 10) 2007*= 1 (mod 10) 2007 = 501x443 d'ou 2007501x4 +35 2007501x4 x (20073) = Ix 20073 =3 (mod 10). Le chiffre des unités de 20072907 est donc 3. BIBIOIBIBIGIGIBIGIBIBIOX FESR SR SR FRSC SR SR SR SR SRST Soit p un entier naturel et u_ = 2P + 22P + 23P, Déterminer l'ensemble des nombres p tels que » uy soit divisible par 7. 1? OP OF Lf OF Of OF Bf OF BP BP BS C Si n= | (mod 3) alors n = 3k +1 aveck €N, e Alors : 2"= 2 Gk) = (23k x 4 =k x 2, , Comme 8 = 1(mod 7) on obtient : 2" = 2 (mod 7). Si p= 1(mod 3) alors 2p = 2(mod3) et 3p =3(mod3). fe % zh 3 3 3 On en déduit : 2? = 2 (mod 7), 22P = 4 (mod 7) e 3 3 3 SI fai ms et 23P = 1 (mod7). Alors, u, =2+4 +120 (mod7). y Conclusion: _ y Si p = 1 (mod 3) alors 4, est divisible par 7. mr’ é BIBIBIBIDIBIBIBIBIBIBSIT MAMMA MARMAMAMAF Soit aun entier naturel. Montrer que pour tout a entier strictement positif > (a-1)**+1=2 (moda). AICIUIULIUIUIUIUSUIUIUF® ASAGACACACACACACACHCHCEAG Le développement de (a-1)7* par la formule du y} binédme de Newton donne une somme de termes dans laquelle le seul terme qui ne contient pas le nombre a est (-1 yx et ce terme est égala 1. On a donc : (a- 1)?k = 1 (mod a) et par conséquent : 3 (a-1) 2k +1=2 (mod a). WVLIIVLIPIVIIPSIBSBILSILSIBI (AGS BIIRIBSIRSIRS) ALARA Ath ae Ta ao Tour out eniernaurel n supéicuro a on sige pa fala fonction dni ‘sur R par: fnlx)= x" * é On note sa eourbe representative dansun repre onhogonal (0, + 7) du plan. PARTIES Sur le graphique ci-dessous, on a représenté unc courbe , otk est un entier naturel ‘non nul, sa tangente T; au point d'abscisse 1 et la courbe ‘1. We Sf et St Ladtite 7, coupe Fate des ascisses a point Ade coordonnées (4 0, * Of Ol Ol Of Of OF . Déterminer es limites de a fonction fi en ~co eten +00. - Etudier les variations dela fonction fi et dresser le tableau de variations de fi. -Al'aide du graphique justifier que kest un entier supérieur ou 6gal 82. Démontret que pour n > 1, toutes les courbes ‘¢, passent parle point O et un autre point dont on donnera les coordonnées. Verifier que pour tout enter nature! n supérieur ou égal2, et pour tout réel x, Salay= 2" Hina be. 3. Sur le graphique, la fonction fy semble admettre un maximum atteint pour x=3. Valider cette conjecture & aide d'une démonstration. w ke? 4.a, Démontrer que la droite Ty coupe axe des abscisses au point de coordonnées (=> Enda de dk dons dec nae denier oan , On die tae npr nti nit outer fa [Pee Woah 2. Dans cette question, toute trace de recherche ou diniiative, méme incomplete, sera prise en compte dansTévaluation. as Sar le graphique ci-contre, (on a représenté les portions des courbes “61,'6,'6,€10, ‘Go, 60 comprises dansla bande définie par 0 0, done f(x) est du signe de I-x, done positif pour x < 1 et nulle pour (nen déduit le tableau de variations suivant «On sit que E> 15 im. fits ce quien pa le cas por fi apts le graphique, done k7 1, cestaire £2. rc fils) 2a. Pour tout m > 1,oma fy(0) =Oxe? = Det fa(I) = V ‘Toutes les courbes , passent par 'rigne ete point de coordonnées( 1. Pour tout 1 > 1 fest dGrivable comme produit et composée de fonctions dérivables. Pourtout xR, flx)= nx" em + x (0° 3. filx) = 2(3- s)e"*, quis'annule en x=3et est dusignede3— fetnégatif. pour x > 3. Lafonction fy admet done {un maximum en 3 4, a. Léquation deta tangente Ty est: y= fZ()Lx— 1) + f(t). done y= _ (ee kv? -opour x= He TO POURS TY On it qe coupe Fate des abies nO nt done equation tm obi stad) tyea ta PARTIE (On designe par (Jy) a suite définie pour tout entcr nsupéricur ou égal 1 par I, = {tees [' aan dcone| wet v sont dérivables./ et sont continues. On peut effectuer une integration par patties. retutsintaig [wets dr=|-2e-t+ [et ae= [ASIBSIBSIRSIASIASIESIRSIASIASIBSIBSIASIASIOSIAGIASIASIASICS 2. a, Sur [0; I, fest continue et positive, donc 1, représente Faire comprise entre les doites ‘déquations 1 = 0, x= 1, lacourbe , et Taxe des abscisses.On vot surle graphique que ces aires semblent décroissantes, donc la suite (I,) semble décroiseante. b. Pour tout m > 1, Inst In= [2 = [eter Sur |0; 11,2" 2 0,¢ * > O0eta—1 SDSIBSIBDSIDIIBIIBSIBSIIBSIBDSIBSIBS) 5) PIDIBIBIBIBIRIGIRIBIRIDIBIBIBIBIOY Fee eet 1. Démonuer que ~ tout n de N* et tout x de [0; 1]: 2a, caleuler f" =" =e xin b. ae en utilisant 1., que: pournéN* 1 aoa 0: la suite V est croissante. i 5. Uln)- ¥(n)= Inns 1)— aes cicettert Mais lim BEN aces lim In{7**) =0.Parsuite lim, m_(U(n)— V(a))= Les suites U et V sont respectivement décroissante et croissante et ——<——e et ont la méme limite 7. 1u(n)- vim < 10 5 et seulement stin("*1) < 102, soitsi et seulement si "** or teat. Done |U(n)— Vin)l < 10°? ssi — 1 <0! _ 1 et par suite siet (SASS) 1 seulement sin 2 Sooi 7 La calculatrice donne = 99, S008... nay En prenant m > 100 on est sr que [U(n) - V(n)| < 107. i La calculatrice donne U}o0 0,582 et Vi90 = 0,573. De Pencadrement : 4 0,572 P(o) est vraie d'aprés le pré-requis n°1. 4 > Supposons P(n) vraie au rang n cad que (J =". i Ras 7H Multiplions par e* chacun des membres, il vient (* J" xe! =a" xe" eo (<)' =< i A'aprés le prérequis n®2, cad (¢* J" =a!" } me On considére la suite (u,) définie pour tout entier naturel n par: 4, = i 7 sax. i olte™ Mr’ mas fe ii « a = pe a dr=1-0=1 Olt 0 a Bia.uo+ w= f ag olt+te™ ol+te™ Bib. Ona m= i i+ ( = de=-[to(1+0*)] =-to(1404) 4102 fe Olte” olte™ mrs Comme ug + 1, = 1, on en déduit que us = -In(1+e")+1n2-1. Y Ba. u, est 'intégrale d'une fonction (continue) positive, elle est done positive. i Rs LOT ESTES TIENTS denigme oy ges - Bga. Uncalcul direct donne : tig, +, = ( had Tia ér=)ie nt Hac=f eM ar, ; 2 . fen} cet C saaevrsan lf Bgb. D'aprés Ba, la suite u, est positive on a done u, = 2-4, <=. i 7 " on 3 Bg. Encore une fois, le calcul est direet: im &*=0 done Jim «aprés le théoréme des gendarmes elle converge et tend vers 0. ¢ MAT ATIATI ATID ATIBSIASIASIASIASIC =0 : comme la suite est positive, Y FRESE RSSSRSSSSSOSSVSRVE Lexercice comporte une annexe a rendre avec la copie. On considére les fonctions f et g définies, sur Vintervalle 0; +ool, par fG@)=In(xt+1) et g(x)=e*- 1. On désigne par @; et €, les courbes représentatives des fonctions f et g dans un repére orthonormal (0, 1", J’). Ces courbes sont tracées sur la feuille annexe, dont le candidat disposera comme il le jugera utile; cette annexe sera a joindre ala copie, avec les éventuels ajouts effectués par le candidat, 1. Vérifier que les courbes 7 et Gz ont une tangente commune au point O(O; 0). Préciser la position de la courbe €f par rapport a cette tangente. 2. Démonter que les courbes @+ et , sont symétriques par rapport a la droite d’équation y= x. 3. Soit a un nombre réel strictement positif. On se propose de calculer de deux fagons différentes le nombre I(a) = [ines Idx. a. En utilisant des considérations d’aires, Bernie: que (a) = aln(a+ ve l) dx. b. En déduire la valeur de I(a). c. Retrouver la valeur de (a) en effectuant une intégration par parties. FRFUTUFUTUPRPaTaire PUA ARAN AMANANARAINM ARAN ANRARANRANANRADIND ATR TRTRFRTRFRFRFRTR mm Be Be Be Be Ge 2oe 2e&e Oe Oem & DEDEACAEASACAESAEMSAGCAEAE {La fonction wx 1-41 est dérivable et stictement positive sur[0, += [ done f=lnu est Arivable sur (0; +f Pour tout e[0;+0f, 008: S18) = gest derivable sur [0,+=[ comme somme des fonctions x1 e" et x19 1 dérivables sur (0,0[ Pour tout xde[0;+20[, ona: g x)= Ona f(0)= g(0)=0 et fX0)= g0)=1 done G; et Cy admettent au point d'abscisse 0 des tangentes passant par le méme point O{0 ; 0) et ayant le méme coefficient directeur 1 La droite d'équation y = x est une tangente commune aux cousbes Cy et Cy point O(0 ; 0) Position relative de, par apport a droite & d'équation y= sagt d'éudierle signe de f(2)—x. ‘Notons Ia fonction définie sur (0; + par W(x) = f(2)—x. ‘nest décivable sur [0; 40 comme somme des fonctions fet x-+ —x, dérivables sur [0;+=[. es mo= aes ct pour tout x de JO: =. #2)-<0 donc h est strictement décrossante sur [0,4 ‘De plus W(0)=0 done h est négative sur [0,4 ‘Conclusion la courbe C,esten dessous de la droite A d'équation 2)Mox:3) et MQ 3) sont symétnques pa rapport la drone A d'équation y= En posant y=In(x'+1), ona les équvalences | x20e9 x+12 1Le9 bx +1)2 06 y20 Par suite Mesye Cer +1 et y20eoMy33) 6 Cy (Ce qu prowve que les coutbes Cy et C, sot syntiques par rapport la dose A ‘Une autre méthode consist & moniter que ft g sont des bijections réciproques en wrifant que = pour toutx20, (f8X2) pour touty20, (ee SXV)=¥ ¥ 3) Sur [0;4m, Fest une fonction contime exe drivable et pontive done ff (x)dr est Vie, en ‘wats sre du domaine pln it parC, ae des bss, les dots '6quations 1=0 et Parsynne dee A (consreton des as), [ahd et ust Pe en ts ted done 3 lan Limite parC, la droite déquation ya, les droits uations x=0 et x= Ina +1) (Or cete dei sire, en wits die, soba par difrence (ae eagle OAC) (ate ou cube Cy ne Oat fa 1) =aafa =f" %e ae ‘A. Bet C tant respectivement les potnts de coordonnées (l(a + 1) :0), (in(a + 1);a) et (2). Shy [perar=ata(as1 fe —xft? = aifa-s1)-(@1-ta+1)-1) soit, [ fende=(@ + in(a+)-a. )Notons 469 In(e#1) et vib x41, Gyre eine 91 et vr sont contin sur {0+ {. On peut done appiquer la forme d'intégration par parties Ma)= Fixings ndr= [vemcaddr=[uenl, - [rem ende a)=[(x+ nine +f - [ide =(a+nI0(a-+1)-[xf, soit Xe) =(a+DI0(0-41) page yy Pee (ASIRASIDSUIFSUIBSIFSIDUIESIBSIRSIRSIFSIPSIFSIDSIFSIEUIESUIBSIRSIESIFSIE ISACASACACAGAGCACH | s'agst d’étudier le signe de f(x)-x oe Be -iotons ina fonction définie sur [0; += [ par M(x) = f(Q)~z. R gq fest rable, +=°[ comme somme des fonctions fet xt» —x, dérivables sur (0; +-[. ¥ eye ae (0) =0 et pourtoutx de 0, +f, (8) <0 done hes srctement Acroisante sur [0+ De plus h(0)=0 donc h est négative sur [0; 40[ Conclusion la courbe Gest en dessus dea vite A déquation y =x sur [0 +f 2) Mécy) et M'Q’:3) soot symtriques par apport la droite A '6qution y =x . En posant y =In(x +1), ona les équivalences | x20 x+12 169 In(r+1)20¢3 y20. Parsuite MG; 9) €Cy o> y=In(x+1) et 120 oe? =x41 et y20OMYY;1) eC, (Ce qu prouve que les courbes Cy et C, sot symetnques par rapport ila dove A. ‘Une autre méthode consiste monrer que ft g sont des bijections réciproques en vérifant que: =pourtoutx2 0, (foE)3)=* ~pourtouty2 0, (e> NlOd=y PIBIBIBIBIBAN 3) Sur[0,+=[, fest une fonction contiame car dérivable et postive done ['f(x)dr est I'sire,en ‘unutés dare du domaine plan hinsté par Cy, I'sxe des absisss, les dross d'équations x=0 et x=a. Parsymétne dane A (conservation desires), [f(a et us a en its aie domaine plan limité par Cy, a dite d'équation y= a les droits d'équations x=0 et x=In(a +1), Or cette deriére sre, en units d'aire, s’obtient par difference: (ire du rectangle OABC) ~ (sire sous la courbe C, entre Oet in(a + 1)) =alaa +1) (“"'"(e" — de A, Bet C étant respectivement les points de coordonnées (In(a + 1) ; 0), (In{a + 1) ; a) et (0; a). &) [sede = ato(a+1) fe" — xB = aln(a+1)—(2+1-Infa+1)-1) sat, [ fonte=(o+D ite +9)-a. ©)Notons wb Ine) of vixes x41. wet sont érvables sur [0;-+=[ et leas des x91 et vx 1 sont eontinss sur {0, +2 [. On peut donc appliquer la formule d’intégration par parties Ma) = Prxincr +d = [ vedueaddr=[ooucol - [vedu ddr + )Ia(a+1)—[xh,, soit (a)=(a+1)in(a+1)—a. mmc luvs ai DINBIIBIIBSIBSIBSIRSIRSIASI sis I C(I SSISHISAIS SASHES (SASHA SH) tee ae Seo Ee oe oP Oae SIGS FLAIR ARLARLATLTR AR AR ARIE On siintéresse dans cet exercice a une suite de nombres rationnels qui converge vers ¢”. On définit, pour tout entier naturel n > 1,I'intégrale 1, = £ Ze- x)"e*dx. 1. Calculer I). 2. Btablir que pour tout entier naturel n > 1, 0< Iq <2 (2-0. 3. A l'aide d'une intégration par parties, montrer que pour tout entier naturel omen nl, Invi =n Tope 2 2 2 4 Démontrer par récurrence que e” = 1+ T+ +--+ 7 + Ine 5. On pose pou wutenternauren> n=, b. snutunuepmuncnrausirncuce|! r 6. En déduire la limite de la suite (un) puis celle de la suite (In). 7. Justifier enfin que: ¢ = lim m, (1+ eazy. whee h, 2! nt ef Sa? Sa? Sa? Se? SP SP Se? Se SP SP PRINTSIRON ONIN urusurummusseis = SIISIEABABACASACAIGCAISAIGaAIC 2 1. Sin=1, 1 [2 netas on intogre par parties: fi lo ulx)=2-x v(x)=e* W()=-1 {x)= e* vées continues sur l'intervalle (0; 2], donc: (2—neri- [oF dx=-24 e"=2 +68 1-0-3, 2. Ona les équivalences 0 < x <2 <> -2<¢-x<0 —> 0<2- ste 08) fi (2—2)" <2" <> 0<¢ 2-x)"e" <2"e" <> OK xe- xe" < — Ate i Onen déduit Vordre des intégrales sutvantes : e-aetdr< [ Latetds > 0< fy=e2—3: al; 3 Héxédité : supposons que e? = 1+ 2 =i +E + fe Diapris la question 2 a ann précédente, on peut écrire : e242. + Taran t lant quest bien la relation demandée au rang n'+ 1. Légallté ct dnc Wate pour tout supérieur ou égal a 1. amt ont _ 2 Met at} @ Quel que soit le naturel 7, um > 0. Le quotient Terin "07 nel Ones ntipdes cts mit CConcusion sn >3, alors tq < 3 tn [RETTRETTRET RAT RET RAT RAT RAT RAI RAIA membres a membres (tous les termes sont supérieurs a zéro) on obtient : oe o a PUTIVAGAVALALALALITAUS 1. Ona f(x)= ex 2; f est donc le quotient de deux fonctions dérivables (la est donc dérivable sur 0; +001. Jer**? qui est du signe de 1 x car e-*#? >0 de variations: Limits aux bomes: f(x) =ex 2. On sait que tim tg £ = son done fi £ 20 Conon: im fx) = 0. axe des abscises ext done asymptote bin courbe représenative def au vol- sinage de plus infin Dautrepari/(o)=0xe? =0et f() =e 2 am Sur la calculatrice examen des deux courbes permet de conjecturer & Tunicité de la solution de réquation f(x) = Inx sur Fintervalle 1; +00. b. Sigtx)=Inx- f(x) différence de deux fonctions dérivables sur [1; +00} ‘est dérivable sur cet intervalle et g/(x) = —-(1—x)e"**?. Or d'aprés la ‘question 1., f'(x) = (1- x)e**? <0 sur|1; +001, done—(1-z}e**? 30 etcomme => 0, ¢(4)>0sur[l; +001 Lafonetin g continue est done croisante sur [1 ; +00. De plus g(1) = —f(1)=—e< Oet lim, g(x) = +00. existe donc un rel unique a>" tel que g(a) =0 => Ina = f(a). € Lacalculatrice permet d'appréhender a au mlliéme : a= 9,005. Partie 1. On tnnigre par parties avec: { u=2 YG)= wiy=2r ofa) 2 Les fonctions w et» sont dérivables et les fonctions wet v sont continues sur On intdgre cette dernire itégrale A nouveat par parties: { ux va)=e SA(SACSHCACACACACAGCACACACACACACACAGCACASASASASASASAsASA [ADIATIRGDIASIECINGIATIATIATIATIATIBTIAGIASIBCIATIESIETIASIBSIASIASIAS! Onin papi avec: | u(x)= (x)= (t-a)>. . Démontrez que pour tout ae [0 ; an jos < I;(a) . 0. 7. En déduire que pour tout a [0; tool, |In(1 + a)— Pla)l < <* =: 8. Déterminez, en justifiant votre réponse, un intervalle sur lequel P(a) est une valeur approchée de In(1 + a) a 10-3 prés. % 2 ‘ 2 1 “2 2 ¢ Iess(a) = —4—4— + lela) pour tout 2 t. Soit P le polyndme défint sur R par P(x) = 2a5— txts BP Dta x. 3 6 a ‘ a tC: a 2 é : aHusrusausrusuasrususausus ASAGACASACSAGACACACACAGCAL Ws. gare Jf Betas aig =tma+a- Inl=In(+a). #(co add Mec 2 Ala)= [Goat intégration par parties, on pose | yy. L doa { a na-[Hee)"- ("2 3. Encore une intégration par parties : ube ea u(d= (ke INC alt {" vo= us ae J asad 4 a+ h(2)=In(l+ a)=a. (eget et a (ke D+ a! (i+ a wke2e1 doa tata ae ah | ff CEM cee A | eahet COE cy (e+ OF J 40 (kee gh kT Jo eg Rel SS Pe 4 4,Soit Ax)= 24.2.2, x ;calculons &(a) al’aide de 'égalité précédente : pour k= 1: 5(a)= We (eZ slneay-a, pour k= 2: (4 Pe ta 242 smaeana, pour ke 3: hayes 5ta £ ff sinteaea, pour kad: ade nFe nye LAFF stnttes)-aelaites~ Ae. 5. Kal= [ena els 6), 6 at 6.aComme t0, done f(a) ale meme signe que x+1.Orx+1 200 > ~,onendéduitdoncle tableau de variation suivant =] 7 = f —_ ea Partie B: recherche d'une tangente particuligre 1, La tangente Te a pour équation y= a)(x y= (a+ De Ma=a)+ ae"! +1 2, Soita>0,alors: 0(0; ET, <> O=(a+Ne*'(~a)+a0%*+1 a? —atatl > Inde =. 3. + Lestune solution de équation considérée ear 1 Ie!“ ‘+ Montrons maintenant que cette 6quation nladmet qu'une unique solution ‘surTintervalle 0; +001. Posons, pour tout x>0, g(x) = 1—x7e" La fonction g est alors derivable sur]0; +001 et, pour tout.x>0; g/(x)=—2xe"! = Fe! =—x(2+ x07" > 0,donc x+2> 0 et parailleurs e*' > 0, on en déduit que g/(x) < 0 et done que g est strictement décroissante sur|0; +00) Par ailleurs lig g(x) = 1 et lim, g() D+ fla), cest-d-dire: issante sur JO; +col et s'annule en | (x) > Detdememe six> 1, On sait que g est strictement dé Donesi x< 1,alors g(x) > g(1) alors g(x) < g(1) done g(x) <0. Conclusion :sur|0; +001, g(x) =0 <> x= 1. 4. La tangente cherchée est Ty, elle a pour équation (x= 142, cest-d-dire Pa 1. Voir annexe 1 va) =e! of ay = en! % Poser { way sox y= 0 Les fonctions u et v sont dérivables sur [0; 1], les fonctions u’ et sont conti- ‘nues sur [0; 1) le théoréme d'intégration par parties applique done, 5. Sur 0: 11° estau dessus de A, done sire af du domaine considére est 1 1 1 = (x)-2x)dx = ff (xe! +1- = 4 es Pineae: fe 1-24)dx 14 [)u-2nde = be[x-2)p = G+ Finalement af = + (en unités aire) SF SM(A MAMA AMM AMA ASI S/ ICIS SMS GISG ee Partie C: calcul d'aire 1. Voir annexe 1. 2. Posons { Bay = oo) vx) = x el eh ay = Les fonctions wu et v sont dérivables sur [0 ; 1], les fonctions «/ et v’ sont conti- nues sur [0 ; 1], le théor¢me d'intégration par parties s' applique donc, et : 1 [eof ef Ndr [xe —[e&]} = (1-0)-(1-e4) = i. 3. Sur (0; 1] @ est au dessus de A, donc l'aire cf du domaine considéré est : 1 1 1 ff re-2ujar = ft “Vy 1—ax)dx = uf (1-2x)dx 1 = l4|a-7}y = 540-0) af 1 Finalement : of = = (en unités d'aire). [ASIIDSIRGIRSIBSIESICSIRGIBSICSIASIBSIASIASICSIG Insel on os a a a a on ‘On considare les suites (/,) et Un) définies pour tout entier naturel 7 par: Leoar Tear hi ——d. t 5 —0%. n= Jy rex In Dare |. Sont représentées ci-dessous les fonctions f,, définies sur l'intervalle (0; 1] em . iy(x) = par fal) = pour différentes valeurs de n : ° 2 we Ss wv £ 0 09 0,1 02 03 04 05 06 0,7 08 09 1,0 a. Formuler une conjecture sur le sens de variation de la suite (I,) en expliquant la démarche. b. Démontrer cette conjecture. 2. a. Montrer que pour tout entier n > 0 et pour tout nombre réel x de em en Pint 0; 11: 0< —_, < _¢e™. Vintervalle (0; 1] ase? Siz <° b. Montrer que les suites (J,) et (Jn) sont convergentes et déterminer leur limite. 3. a, Montrer, en effectuant une intégration par parties, que pour tout Gr Of Of OO OO OO OO OO OO OO Os Or 1 oF tiern>1: In=+(1-S—-y,). entier a= 2 (1-15) b. Endéduire lim Ip. UIDIUCIDVILAIDAIDILIDD LAAARAAAARARAAAAAARAAAM Sue iM 1. a, Les fonctions représentées sont positives; [, représente donc l'aire de la surface limitée par le représentation de f, 'axe des abscisses et les droites d'équations x = 0 et x = 1. Le dessin suggére que la suite (J,) est décroissante. ert Hines gene be fail) = F-=45 a ™® Or0< x< 1 > “1 0, on obtient : ful) Inga < In? la suite (Ip) est décroissante. i. i O 5 <7 Sj et par produit parle em fn x) x 0 s e e bre positife-"*, on obtient: —— 1, ona(1+4)?>1+x <> 1 ex? tient: e (+x? “1+x < [py Mt ar produit par le nombre positif e-™, on ob- > 0, donc finalement : . Par intégration sur l'intervalle (0; 1] des inégalités précédentes on obtient floars Ditsae < [acl e°™* dx soit encore 0. I SACACACACACACACACACACACACACACAECARAICACAEACACACH PoalLToalTallalnTalPolLolroaLaoinn EMAAR AA AAA Ae Ah ‘On considere la fonction F define sur 3 par: Fix) = fede Partie A 1) Justifier Vexistence de Fix) sur & 2) Etudier le sens de variation de F et montrer que F est impaire. 3) a) Verifier que pour tout t €[2, +0] ona: e™ 0, O< fix) 2, V, VI VI VIDCI DIDI LIVIDILIVAIDVIVIVIDLIRIVIDLIVID b) En deduire que : V,-V,.. = c) Determiner alors les termes V, et V, FUTUR FRFRFRTRTRTATFRTRTRTRTRFRTUFRTRTRTATRT asus pest Se ae se Se SE IE Ete SIE Partie A 1) La fonction xm €* ext continue sur R done F existe pour tout réct x ¥ 2) La fonetion > est continue sur % done F est derivable ur % et pour tout réel x ona: Fix)= 6" > 0 dole F est strictement croissante surR. La fonction et pore done pour tout 2 €R, J" ttn 2" tht oor cour) [Lotode=2fctede [Cotode= fi cco = 2ff cent © Peto Ce gut done Fax avcoment On dent a fontion Gwar % por: Glu)» FY-8)+ Fx) F eat deraable nr % done Gent deruble nr % etona Cta= Fins FIs) Done it exe une ontnt rte cle qe pau, Gx) ¢ pur tower la constonte i fot choir ame slur comeable pour x ee F(x) dou F est impaire, (ox) + pfx) = 0 car est paire (SACACACACAGCS Dans ce cas pour x = 0, on trowe ¢ = 2F(0) = 2 vitidt = 0 Done pour tout x€R, F(-x)=~F(x) Bia) Pour t= 2, ona -t* + 2 +2) 50-8 <2 or la fonction exp cst eroissante done * <¢* Soit xe [2.+0f. vee [2.x]. €* ce done ff ira < ff etoats fletat o Fix) - Fa) etl eras Fa) ! 208 de eter mie eas [etary trl 2 aby cto oat Fras [Pete gl pur wut nx 4) La fonction F est croissante et mayorée sur done elle admet une limite finie L en =~ (Resultat de cours) Partie 8 et Se ce qui donne 0 f(x) s e* fe=0 Et puisque lim = 0 done, dopres le theoreme des gendarmes, zal a Hom fram Geng Pa en lefenbe mat fesecenany 2) Pour tout rél x, on associe la fonction g definie sur La fonction w est derivable sur Done g est derivable sur SATIS RETR IRAI RGR GTIRATI RETR GI RAI RETIRES RETTIG SIGINT wer, reo ale} MCACACACACACACACACACHCACACACACAGCH AS, 3 [fo Done g cst derivable sur 24] Dy gt —Eret™' et g(0) ~ F(0)~ 0 done ait) = a0 ot a a wren, Pim e(5]> [Ee 2» [for Done [fist = 2 Fix) Dix) = 8) + [FO 4) est derivable surR ton a Way = fiat + BF CIF a) = 26 FCA) + 26" Fa) Done best consiontesurR et We = R,W)= WO) = f(0)+ [POF = fa = = 2) On a him Ft) = Jim F020) =O et lim Fix) = L Or pour tou rel 3, na fa") + |F2if = done par pssage le limite en a (oor F postive nr (0,44) are Lo ts san oben 2 = et pinque L lim U(x) tI 1Vy= Jim Usix)= lim fede = tim Fix) = 2) a) A Taide d'une integration par parties, on trouve o Montrons que lim ex"! = 0 + inlets sin pine= {t+ n— 92) tim "23 = 0 done jim a*(-1+(n= 1) 83|= =n eo im ee z 5 cs = om Par passage @ la limite en +— dans Tegalite (*) on obtient ° V, t (ASTASIASIAGIAGIAGIASIASIACIAGIAGIASIASIASIADIAGIRGIASIASIASIAGIASIASIASI Ou encore V, ="=¥,_, pour tout entier n> 2 z ) Montrone, a Taide d'un raisonnement par réeurrence, que pour tout entier naturel n; V,-V, Hit 1 lik fin io de Y= ttisher “ew E Bi Bn tuared f.4-8 F enn sain 6, spent Vs LE emetn 0 V Mag = ODEE $ (SA SACHS LACM MMM MMMM MEG CA MMM MEGEECEEGES DB, TROT ROI RUIN ROI RGIRGIRGIASIRUIRcIRullo ¢ a Ee SEENON Soit [ta fonction définie sur R par : (x) — (ax! + bx ee olva, b ete sont des réels. On donne les deux courbes“ et“ représentatives des fonctions fet f' ‘ou f désigne la fonetion derioée de { (Voir page 4) 1) Préciser, avec justification, la courbe correspondante & chacune des deux fonctions fear. 2) A Taide des courbes “, et“, determiner les réels a, bet . 3) Dresser le tableau de variation de f. 4) Déterminer, avee justification et sans calcul, le nombre de points Cinflexions veninels pour la courbe representative de f. 5) Determiner grophiquement Faire A de la région du plan limitée par la courbe representative de f' et les droites ¢quations y= 0, x=-1 et x=0 Page Considerons ta suite (I) define par + ‘dt 4 fret at emen SLaee 10) Mote utp tet ener nad cath < esha 6) Rr déduire que la suite (J,) est convergente et préciser sa limite. 2) a) A Caide dune intégration par partie, montrer que Yn eX. 1, ©) dire gue ar neti nat it et les droites Céquations x= 1 et x= 0. 4) On se propose dans cette question de montrer que le nombre ¢ nest pas rationnel Pour cela on proctde par Tabsurde et on suppose que e = P ot p et q sont deux q centiers naturels non nule et on pose u, =n! I, @) Comment peut-on choisir Fentier naturel n pour que u, soit un entier? (uilser(2)) 1) Utiiser Fencadrement (1) pour montrer que pour un choix convenable de Fentier naturel m, O< 4, <1 ©) Conclure. b, b, x » x x x x » Determiner ators tim So. 2 ca re ant pun nape neat, $ x x » a 2» x a x x x FRFRIUIRIRIRTRIRTRARTR IRR IR ARR IRPRIRAATRARAR IRA pa z a al pis pe Ts y AeLLaAins 5 Race 7, eo PS 6d fc rap stone dei at tact chnar de tne ert Oe essing Sora Fr pore gor fa gtr VA iy bieeeedent ee Sa cie eal [itlege @o¥sine oldedreoine_oa— Gre, fo a ltarsti lat peta oles oe—es dae s ab tsa ab = 1 done [fix (2 Fes De =e 2) Graphiquement rae = T = Tis o 7 fe as ae ee faye He = te 49 Visine cnc: core def shane de conoid os oi dona dat ps ft Utilisation de la dérinée seconde : f étant deux fois derivable surR et en plus f'admet deus enemas done la evurbe def ade deus pont aflenons SA- [ipaie=Via, 10) D1 0-1, PARTE B + fete Lety~-trene-tea7 a se Sealey gear a se i t if [ASIBSIDSIESIBGIDSIDSIDSIBSIRSIBSICSIDSIDSIBSIBSIBSISSICSIBSICS! deo tsters doe flea seraes Seo SU sie sells 1) Drapres ce qui precede 2) @) Pour n= 0 ona: 1, ~ fre de'de—|-1evetl, + fred = tei oor a petetnsintgrecreen feat 1 faiths farurete L fierce 1 +1, wean Pn foisant ks sommes membre & membre et apres simplification on obtient : 1, et puigue im 1, = 0. alors 5 2 aire demande ~ A~ J f(xide~ A [a +otetde = A— 21, Done aie Tonands— 6— 2 doe Shee i y 3 y y y y 3 y y y 4 y y y y 3 g y y y y 3 omer ae, sit wm enti lft ae si am nie opr ea A. choisir n suptricur & ¢. a PARTIE B Da) Pour n=0:1,~ [etd —l-e?, Ss BIBMHIBIGIGIGIHU HIBIGIBGIHUBIGIGISI HM S-tS1etsetses(ttiyl <(iitte oy an ee A ed Ce qui conduit & [paso ntl, [een Int le mtd 1 ou encore can, <— n+l ned i 1 gard < e 8) Drapres ce qui precede 4 cnt < ni ea en plus Jim —£— = 0 done la suite (I,) converge vers 0. ao as 4) 4 . 4 _— n=O ona: 1, = fy petde= (4 nett, + feta = aapith D4 ttet Vegi pie + v--e be + Das top, att pe et arate f, we ae dt ire Pat reat = 1 in! wm t's v1, ¥ t JEn faisant la sommes membre & membre et apres ¥ implification on obtient : © {O..m} 5 a & Done pour que u, soit un entier il faut que "* soit un entier et pour cela il suffi de q ¥ choisir n supérieur & 4. b) Pour n>q et n2>20na:0<—2-«< supl2,q) ona: u,< Z110,f =O (ensemble vide) cc qui est impossible car u, existe pour tout entier naturel n. ¥ Donc notre supposition est fausse et que e n'est pas un nombre rationnel. NB : La limite de nombres rationnels n'est pas foroément un nombre rationnel. es Mtn herria alee Galle enllenrllatGailenGallerGatietGlies

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