Vous êtes sur la page 1sur 16
LECTURE CHANTEE CHANSON POPULAIRE RUSSE Premiéze fois f/ Dew e fois p Ludwig van BEETHOV! (1770-1827) Vivace @ Eccrivez 8 mesures de rythme.avee des i J Id vetdes phrasés (piqué ou lie) oa ® compiétez avec des t git ~A1 my J ® Combien y aeteitde phrases dans ta Chanson populaire russe, de Beethoven?....... Recopiez ta dernidve ® Que signifie “vivace” ae clébut du morceau? 260TH DICTEE LECTURE RYTHMIQUE, ® Vivace iS gO nny 4 ty +Hy,ALOIOo 4 © moe You sam ee a i a one . @ Ensanon (yd ped pRa i peter OW muy pip BOLL @ netiques aver une fleche site mouvement est ascondant ow descendant i t= ® Ecrivez une suite de notes conjotntes dont le mouvement est: a Ss 2 ® Berives tes chigres indicateurs de mosure: 1, Hola, ~~ — © & é# j veut dire qu'il faut jouer Ol piqué ig @ Pp vewdire OD forte et fun jone 0 sres dowe Q pianissimo OD dour 0 piano O foe === eemtaire Derescendo et l'un joue Ode moins en moins fort Dl aecrescendo Ode plus em plus fort LECTURE CHANTEE LES MOISSONNEURS (Zl. de refrain seulement) (6¢ ordre) Frangois COUPERIN (1668-1733) _-2 é = a a SS SS SSS Pe Een ss D Quette indication de mouvement donne Couperin? vos Comnniend alles-vaues charter Cette piece? sono D Repéres, sur la pariirion, te déburde chaque refrain TR @) Cites des chansons en rondeae Lecon 14 Legon 14 + lapse === = bone o * arptes + cantabile = chantant LECTURE DE NOTES eae : ® a (= es aa Be | Dis Epo sur une portée, savoir (aprés avoir compté les tons et demi-tons) qu'il y a une tierce mineure entre ces deux notes ne sert a rien, si 'éléve n’entend pas |'espace sonore que constitue une tierce mineure. Ceci revient 4 connaitre alphabet et la phonétique d'une langue sans comprendre le sens des mots. En résumé La sensibilisation aux phénoménes sonores doit étre le point de départ et le but de tout ensei- gnement musical. Les signes musicaux ne sont que les intermédiaires permettant de muatérialiser ces sensations. LIRE c'est ENTENDRE, donc RESSENTIR la Musique. La progression nécessaire pour I'apprentissage de la lecture musicale quel que soit I'age de I'éleve, doit étre : 1er stade: —_Ecoute, attitude passive — découverte de la sensation. 28me stade : _Imitation-Improvisation, stade actif, approche personnelle de !'élément trav: 3éme stade : Lecture, association progressive de cet élément avec les signes le représentant. AUDITION RELATIVE ET AUDITION ABSOLUE La formation musicale en France est exclusivement basée sur le principe de |'oreille absolue, cest-a-dire sur la faculté d’associer immédiatement un son avec le nom de la note qui le représente. Or loreille absolue est un don, qu'il faut cultiver trés jeune. Voila pourquoi les études musicales paraissent souvent inaccessibles a tous les enfants qui naissent sans ce don, a tous ceux qui, jouant d’un instrument transpositeur, ne peuvent par deéfinition méme, |'acquérir, et 4 tous ceux qui abordent ces études a 'ége adulte. Mais l'oreille absolue est-elle indisnensable * Dupré et Nathan affirment a ce sujet : “Il ne faut pas considérer cette faculté congénitale de discrimination de la hauteur des sons comme l'indice d'un tempérament musical, car elle existe chez des sujets non musiciens et manque chez des musiciens de valeur.” Flech dit : A vrai dire, la reconnaissance immédiate du son qui vient de retentir ... ne prouve que I’existence de cette faculté, rare chez le débutant. Eile ne constitue en aucune maniére une condi- tion “sine qua non” pour étre un bon musicien. ... L'audition relative est équivalente au sens des intervalles et constitue un critére assez sur de musicalité.”’ C'est donc a la formation de l’oreille relative que tend ('ouvrage suivant. Plus qu'une succession de sons isolés, c’est la nature de I'enchainement de ces sons qui crée la MUSIQUE En outre, seuie la lecture par la connaissance des intervalles permettra d’atorder sans difficulté la musique contemporaine, M Cl ARBARETAZ 32. DORS, DORS, PETIT ENFANT! SBERCEISED Um per lent Mélodie populaire Pt 1,Ders,dors, pe-lifen-fant! Les moutons sont an champ, 2.Dors.dors, | can Oe wale! “gil ibe gett S.Dors, dors, Un belange Q. Mins.tant 388 M4, LE CHANT DU COR (CANON 4 QUATRE VOIX) Paroles de A,GEANT Sa awe Melodie populaire J, Les agneaux dans le pré. Dore, man ange a = di 2 Dans levcleux fait bril—ler L'é = toi te du ber-ger, Des -cendra. t'ap.por—ter Un beau ré = ve do=rét =a — 1 | =P ee mon petit garal e petit enfant! {-3,Dore, dors, Dore, dors, 33, BONNE NUIT Modéeé et tendrement Pp 1, Bonne nuit, cher en— fant! Des lis. o = do sonne encorsAniqu’ll eat beau,le son du cor! Tra.ra, trara, traal 35, LE COUCOU (CANON & TROIS VOIR) » Du haut de son grand ch ne, Qui ré-pond au hi sou, Bn Q.Bonne nuit, cher en — fant! Lan — ge te gal v bon! Cou-cou, Cou - com, Cou -cou,Cou_cou, Con cou, Cou~ ec i va ge Se Fr. GRUBI * chan . tez si bien Joy -eux re ofrain, Al — i Be 2poe en ar.) - vant, Bevo — le tant, Sor 2°) Silas ert pri de vous, Soy-ex ja — lous’ Drétre 4.cos ma obril = kk En vé - ri — té, Qe wd Rlai— Gt alte ta coun 5. 86k Te fot Lihat et Bee jo. We Maw cl) ft. mit, Ay 1.Do0 — i Sain — te nuit? Tout sen. dort bid 2Dou _ ce nmtt Sain — te nuit! Quel bon — heur - 3.Dou. = ce muti Sain = te nuit’ “Ye. ter = vous oe Saleen) = + mi : = Seg re ee Bie ploy tau" St De Bega = aoa 2 fee ae ae tte, hej Soe bv a ee get yee aoe Shp cee Same ie tere Ree ae 4 En cep tp) me tee Ligh ere ee Peat Gant fait son mes _ 34 = ge, Tat re = par See ae: ie ee — wf =—=— aces oT | : 2les Saints An — ai = am ieee Ae ee Pant tin, Aux ~teurs du vil — ta ke eee » Diane Com > hence son mea = fe Tot Situ, — Wevl ner iuirendretom oon > ge ie ae ‘iter’ * Nao - fer plus le cous me = ge cua oy se ited aunt 2 ek ey ge fue Pet at pourfon be [oe Be J Au cial Vas-tre re — tit, Au ciel I'as-sre ge — tay 2M est né le Saueveurt— Mt ‘est née Suuzveurl 2.Diew fait hommepour tous. Died fait homme pour nou. 42, 0 DIVIN ENFANCON Noél du XVII* siécle modéré et doux —_—_—— ? 4,0 di —vin En-fan- gon, Qui pour nous vient de 2. Ti gran-de pau-vre — té, Ton ex —tré.me mar. 3.Les an -ges pour re — frain De leur dou-ce mu -— 4,.Es -prits dé-li - ci — eux, Qui chan-tez sur 1’é - 1, nat es tre Pour mille au — tres rai — sons 2, ty = re, Et ton hu - mi- li - té 3, si = que, N’ont par — mi lair se — rein 4. ta = ble, Ob — te — nez- nous des cleux aaa ———__ REF RAIN avee expression va ag 5 fi Le 1,Que pour la paix y = 2. Tout ce la veutnous di = 3. Que eecri paci — fi = 4. Ce joy-au dé _lec _ ta - ————— 9 if ke .4, Dieu, mon es — pé — ran — ce, La pam au eee; = pp plus lent = == d.doux pa — ys de Fran — ce, don —nez paix, 104 90, ALPHABET 1. Un jour Ja. troup'cam — pa, Zils chef simmt A en ~ er, Soles) pin Jeur 4 Jo > sepb fit de ta crem Bey - ee bien con—vain — cus, 8) Maint'nant awl ne pleat plus Oe ee AL La BOA T; Les More © Lluis mit tom, — ber: B, Be Lio | son ad joint Jo — seph Fr Pais 3. toups dans leur = Ea, ! fad age arg Sra Hea ne la vic am grand” aif, oe ae R For. Syars vont se | Jka — ver, a ¥ Le a choutincas 5 c | eovite A man —. Ker G w= térenii quel ira = cast K mine du ta. cao ol 6, Mea th He la jen heste, 5. 5 Ren G.temps est an beau fixe, x, x os 1 lit tout § — non ~ der: 2. gars rest’ sous Ta hdche, Nec leg) hi ron —-delies: mis, quel” sou — pet! ce Ia, san = tet be = son quion les aide! Nota, Las «Pinsons, les Loupe, les Hirondellese sont des noma de troupes, dex « Seauts de Fronce + 105 Théorie et Solfége Cours moyen (Eleves de 9a Wars) Le Progtainme Gffieiel du 23 Povrier 1089 presarit la crntinuation es. études du cours Elémontaize avoe des exercices comportant de nowyelles valeurs (arocke, deuble-evsebe, noire pointée ct silences eorrespondants.),la tonalité el les modes (majeur, eningar)des sxereicoe de Lecture, soltége et chant & une ou plistears vols. Zn solfege one se contenters. pas de faire nommer ies nates sur le poriée; chaque legen de leeinre sera-en méme temps un exereice d’intonation. Tableau comparatif des notes et silences ast at Be At Temps La rondo vant deux Manches: Loe quitine noires: it ereches au. seige doubles eroches, La pause ro quatre soupirs: ou uit demi-soupies Bilenees Les intervalles: ere we ia ai, Nates Notes graves io = a 4 i = os 4 dot la ae Les altérations: Le difise (4) hans: In note un deisi-tom. Le kimol (b balsse In note d'as demi-ton. Le becarse (t)anmule Peffet du divsé et balsst Ie note Pundemi-ton, ES bécerve () anaule Vetfet di bemol et iausse Ia note dus demi-ton, 110 Les altérations : Le ditse, le bémol, le bécarre, M4 ‘Théorie et Solfege Cours supérieur (Eteves de 11 A 13.ans) (Compre te Bropromae OFF do 2 Pirie 1985) 4. La double-crache 8. La croche pointée 4 8, Mesures composées: ; dutantine OM, v. WERER, x “a La gamme de Ré majeur == SSS 412. La Syncope Air popalaire on Trlande Eorrhtte SS Quelques tonalités nouvelles en majour Yotr les syneopes doo No 18 el 14. La gamme de Sol majeur La gamme de Fa majeur SSeS el Ya i then ; = f dein, ; ia tn Na tem Air gppalalee en, Provenen AA. andente —= Caste mane ete) Célibre_cantigne de 1599 Te af - fei, rt 2 ————_———. Mo. eS |) Sa ME ——= od 114, La gamme de Sib majeur Hewn, ites Air de GLUCK 14, Andante expressive Qnelques tonalités nouvelles en mineur La gamme de La migeur (Ton relatif de Do majeur Bates, Eton, He ton i. Be SCHUMANN ms La.gamme de Mi mineue, (Tom relatif de Sol majeur) Ma ton, Haten, Mo ten, 16. Melodie da XVI" Siicle Moderate ——— B ere eee 7H La gamme de Si mineur (Ton relatif de Ré majeur) SS SS Hein, Mten, He ? ? ~ ——— 5 iT, Nalodie flamaude ee 1 MES, WALLADE. DE RoLaxD? of | “203, A Mes sects lex hee cle ta pe Misyyuc - DELINSTITUT DE PRAVCE. ies —~ SNe”

Vous aimerez peut-être aussi