CORRECTION 

: Le conditionnel présent et passé

1/ Observe attentivement les verbes de ce texte et réponds aux questions.
– Ce serait dangereux, dit mon père, surtout le jour de l’ouverture. Il y aura d’autres
chasseurs dans la colline… Il est petit et, dans les broussailles, on pourrait le prendre pour un
gibier.
– Mais moi, je les verrais, les chasseurs ! Criais-je entre deux sanglots. Et alors, si je leur
parle, ils comprendront que je ne suis pas un lapin !
Marcel Pagnol, « la gloire de mon père »
a. Recopie les verbes conjugués à l’indicatif futur simple :
aura, verrai, comprendront
b. Recopie les verbes conjugués au conditionnel présent :
serait, pourrait
c. Quelle est la valeur des verbes au conditionnel ?
Verbes 1 : hypothèse
verbes 2 : hypothèse
2/ Mets les verbes à l’indicatif futur ou au conditionnel présent selon le sens.
« Comme j’(aimer) aimerais sortir de là ! » A ce moment, Alice se met à repenser à sa chatte
Dinah qui est restée à la maison et elle se promet d’être très gentil avec elle dès qu’elle la
(retrouver) retrouvera « je lui (donner) donnerai du lait tiède tous les matins, je lui (fabriquer)
fabriquerai une souris en chiffon. Oh, mon Dieu, que j’(aimer) aimerais qu’elle soit ici avec
moi, je (pouvoir) pourrais lui parler ! »
D’après L. Caroll, Alice au pays des merveilles
3/ Réécris les phrases en conjuguant les verbes à la personne demandée.
a. Il supporterait n’importe quoi.
3e pers. du pluriel : Ils supporteraient n’importe quoi.
b. Je ne les aurais pas crus si méchants.
1ère pers. du pluriel : Nous ne les aurions pas crus si méchants.
c. Accepteriez-vous de m’aider ?
2ème pers. du singulier: Accepterais-tu de m’aider ?

BENSLAMA Fadoua